Post on 04-Aug-2020
transcript
DÉCOUVRIR, CO-CONSTRUIRE, AGIR
RENCONTRE NATIONALE DES SCIENCES PARTICIPATIVES LIÉES À LA
BIODIVERSITÉ 29 MAI 2015
Un événement organisé par : Avec le soutien du Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis
©
JM.Catil, CPIE ©
M.Sineau, CPIE © J.Persyn
OUVERTURE DE LA JOURNÉE
•
Sandrine DEROO, directrice de la nature, des paysages et de la biodiversité, Département de la Seine-Saint-Denis
INTRODUCTION
•
Cécile OSTRIA, directrice générale de la Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l’Homme
•
Brigitte GIRAUD, directrice de l’Union nationale des CPIE
•
Caroline JOIGNEAU-GUESNON, chargée de mission à l’Union nationale des CPIE
•
Emeline BENTZ, chargée de projet à la Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l’Homme
LES SCIENCES PARTICIPATIVES GENÈSE
•
Dès le XIXe siècle, des programmes d’observations, de recueils de données et d’inventaires scientifiques par des sociétés savantes.
•
Des premières initiatives « grand public » lancées aux USA, Canada et UK à partir de 1900.
•
Une arrivée en France en 1989 pour les ornithologues avec le STOC, puis dans les années 2000 avec des programmes grand public : Observatoire des Papillons des Jardins, Phénoclim, etc.
LES SCIENCES PARTICIPATIVES DÉFINITION
« Les sciences participatives sont des programmes de collecte d’informations impliquant une participation du public dans le cadre d’une démarche scientifique.
L’application de ces sciences participatives au domaine de la biodiversité se décline en 3 objectifs :
•
avoir des données sur la nature et la biodiversité pour étudier son état de santé (monitoring de long terme) ;
•
produire des outils de sensibilisation et d’éducation à la nature et à la biodiversité ;
•
former une communauté et mobiliser autour d’enjeux liés à la nature »
Définition du Collectif National SP - Biodiversité
COLLECTIF NATIONAL SP - BIODIVERSITÉ GENÈSE
Un terreau propice à l’émergence d’un réseau d’acteurs
•Des ouvrages de références (Tela Botanica, IFREE)•Une démonstration d’intérêt du Ministère de l’Ecologie•Des rencontres entre acteurs à l’initiative du Muséum national d’Histoire naturelle (2010), de la Fondation Nicolas Hulot (2011) et de Natureparif (2012)
Des besoins identifiés : financement, visibilité, animation, recrutement, procédure scientifiques claires et indiscutables, caractériser les sciences participatives…
COLLECTIF NATIONAL SP - BIODIVERSITÉ CREATION
COLLECTIF NATIONAL SP - BIODIVERSITÉ OBJECTIFS
2 objectifs qui s’inscrivent dans les politiques publiques :
•Structurer les acteurs des sciences participatives en re seau national
•Porter la contribution des sciences participatives aupres des instances politiques relatives a la biodiversité et des acteurs des sciences acade miques
COLLECTIF NATIONAL SP - BIODIVERSITÉ CARACTÉRISTIQUES ET SPÉCIFICITÉS
A l’échelle nationale :
-Recense et référence des programmes de SP liés à la biodiversité en France-Donne de la visibilité et favorise les échanges-Est un interlocuteur au carrefour de multiples acteurs-Est non institutionnel
A l’échelle de ses participants :
-Crée un espace d’échanges entre différents acteurs et différentes échelles (national <=> local)-Sort les participants de leur isolement et de leurs réseaux-Alimente leurs ressources (veille, journées thématiques)
COLLECTIF NATIONAL SP – BIODIVERSITÉ CHANTIER COMMUNICATION
•
Espace sciences participatives sur NatureFrance et l’annuaire des sciences participatives
•
Argumentaire et guide des bonnes pratiques
Un pilotage par :
Avec la contribution de :
COLLECTIF NATIONAL SP –
BIODIVERSITÉ 3 GRANDS CHANTIERS
•
Communication •
Espace sciences participatives sur NatureFrance
•
Annuaire des sciences participatives•
Argumentaire et guide des bonnes pratiques
COLLECTIF NATIONAL SP – BIODIVERSITÉ CHANTIER INDICATEUR SP
Il présente l’évolution de l’implication des citoyens dans les sciences participatives
86 programmes contribuent à l’indicateur
2014 : 37 838 observateurs, soit+ 10,3 % depuis 2012
Un pilotage par :
COLLECTIF NATIONAL SP – BIODIVERSITÉ CHANTIER ÉVÉNEMENT
•
Rencontre nationale sciences participatives•
Favoriser les échanges
•
Découvrir de nouveaux programmes, de nouvelles méthodes
•
Co-construire des outils
Un pilotage par :
Avec la contribution de :
DÉROULÉ DE LA JOURNÉE MATINÉE
•
Table ronde 1: Les sciences participatives et l'évaluation des changements climatiques
Pause
•
Table ronde 2 : Sciences participatives, sciences sociales et sciences de la communication
Repas
DÉROULÉ DE LA JOURNÉE APRÈS-MIDI
•
1. Co-construire le guide de bonnes pratiques des sciences participatives liées à la biodiversité
•
2. Des nouveaux outils pour les sciences participatives
•
3.1. Les collectifs et les relais régionaux sciences participatives
•
3.2. Les entreprises et les sciences participatives
•
4. Les sciences participatives à l'école et à l'Université
•
Conférence de clôture « Quand notre biodiversité nous parle du climat »
PARTICIPEZ AU LIVE TWEET !
Avec #RencontreSP
Et retwitter @JagispourNature
TABLE-RONDE 1
LES SCIENCES PARTICIPATIVES ET L’ÉVALUATION DES CHANGEMENTS CLIMATIQUES
©
JM.Catil, CPIE ©
M.Sineau, CPIE © J.Persyn
LES SCIENCES PARTICIPATIVES ET L’ÉVALUATION DES CHANGEMENTS CLIMATIQUES
Table-ronde animée par Grégoire LOÏS, directeur de Vigie-Nature, Muséum national d’Histoire naturelle
Avec les interventions de :
•Jérôme DUVERNOY, chargé de mission à l’Observatoire national des Effets des Réchauffements Climatiques (ONERC)
•Laure TURCATI, chargée de mission, OSU Ecce Terra, Muséum national d’Histoire naturelle
•Daphné ASSE, chargée du programme Phénoclim, Centre de recherche sur les Ecosystèmes d’Altitude (CREA)
JÉRÔME DUVERNOY, ONERC
L’OBSERVATION DU CHANGEMENT CLIMATIQUE
©
JM.Catil, CPIE ©
M.Sineau, CPIE © J.Persyn
29 mai 2015
PLAN
1. L’Onerc
2. Le changement climatique
3. Les indicateurs
ONERC
Collecter et diffuser les informations, études et recherches sur les risques liés au réchauffement climatique et aux phénomènes climatiques extrêmes.
Formuler des recommandations sur les mesures de prévention et d’adaptation à envisager pour limiter les risques liés au changement climatique
être le point focal du GIEC en France
Contribuer au dialogue sur le changement climatique avec les pays en développement.
PLAN
1. L’Onerc
2. Le changement climatique
3. Les indicateurs
LE GIEC LES OBSERVATIONS A
nom
alie
de
tem
péra
ture
°C
par
rapp
ort à
1961
-19
90
Anomalie de température moyenne des océans et des terres 1850-2012
Année
LE GIEC LE CLIMAT FUTUR
Les impacts attendus dépendent des émissions de GES
PLAN
1. L’Onerc
2. Le changement climatique
3. Les indicateurs
LES IMPACTS
LES IMPACTS
Progression du front d’expansion de la chenille processionnaire en France entre 1980 et 2014
100 km vers le nord entre 1972 et 2009
2,7 km/an entre 1972 et 1992,
4 km/an depuis 2000
L’ensemble de la région est désormais favorable au développement de l’insecte
SCIENCES PARTICIPATIVES AGIIR
AGIIR, est une application pour mobile développée par l’Inra
deux insectes majeurs :-la chenille processionnaire du pin-le frelon asiatique à pattes jaunes.
ÉVOLUTION DES POPULATIONS DE CERTAINS OISEAUX
SCIENCES PARTICIPATIVES LPO
JÉRÔME DUVERNOY, ONERC
MERCI DE VOTRE ATTENTION
©
JM.Catil, CPIE ©
M.Sineau, CPIE © J.Persyn
29 mai 2015
LAURE TURCATI, MNHN – OSU ECCE TERRA
UN OBSERVATOIRE DE L’ENVIRONNEMENT URBAIN
©
JM.Catil, CPIE ©
M.Sineau, CPIE © J.Persyn
29 mai 2015
CONTEXTE –
GENÈSE DU PROJET
Pollution atmosphérique
Pollution de l’eauBruit
Biodiversité
Bien-être des citadins
© Cirko |Wikimedia
Climat
CONTEXTE –
GENÈSE DU PROJET
Pollution atmosphérique
Pollution de l’eauBruit
Biodiversité
Bien-être des citadins
© Cirko |Wikimedia
Climat
CONTEXTE –
GENÈSE DU PROJET
Pollution atmosphérique
Pollution de l’eauBruit
Biodiversité
Bien-être des citadins
© Cirko |Wikimedia
Observatoire participatif de
l’environnement urbain
Climat
CONTEXTE –
GENÈSE DU PROJET
Demonstrating the concept of 'Citizen Observatories'
CITIZEN OBSERVATORY OF URBAN SOCIAL-ECOLOGICAL SYSTEMS
Services écosytémiques
Support
Approvisionnement
Culturel
Rétention de polluantsRégulation de la température
Recyclage de la matière organique
nourriture
Régulation
© Lamiot |Wikimedia
CO-USES
© LimoWreck |Wikimedia
© Lamiot |Wikimedia
Mobilisation difficile en ville
CO-USES
Questions ProtocolesRécolte
des donnée
s
Analyses des
données
Interprétation des analyses
Prise de décisions
Recherche Participative
CO-USES
Questions ProtocolesRécolte
des donnée
s
Analyses des
données
Interprétation des analyses
Prise de décisions
Citoyens
Recherche Participative : implication des protagonistes tout le long de la production de connaissances
CO-USES
Questions ProtocolesRécolte
des donnée
s
Analyses des
données
Interprétation des analyses
Prise de décisions
Citoyens Décisionnaires Entreprises
Recherche Participative
CO-USES
Questions ProtocolesRécolte
des donnée
s
Analyses des
données
Interprétation des analyses
Prise de décisions
Citoyens Décisionnaires Entreprises
Chercheurs
Soutien
Recherche Participative
CO-USES
Londres
Paris
Séville
Helsinki
Budapest
CO-USES
Londres
Paris
Séville
Helsinki
Budapest
Large gradient climatique
CO-USES
Londres
Paris
Séville
Helsinki
Budapest
Comparaison de la participation
CO-USES
Possibilités de protocoles
Type et fonctionnement du sol Pollution de l’air et de l’eau
UN OBSERVATOIRE FRANCILIEN?
Pollution atmosphérique
Pollution de l’eauBruit
Biodiversité
Bien-être des citadins
© Cirko |Wikimedia
Climat
UN OBSERVATOIRE FRANCILIEN?
Pollution atmosphérique
Pollution de l’eauBruit
Biodiversité
Bien-être des citadins
© Cirko |Wikimedia
Climat
UN OBSERVATOIRE FRANCILIEN?
Pollution atmosphérique
Pollution de l’eauBruit
Biodiversité
Bien-être des citadins
© Cirko |Wikimedia
Climat
Toute contribution,idée,
partenariat…sont les bienvenus :
turcati@mnhn.fr
UN OBSERVATOIRE FRANCILIEN?
Pollution atmosphérique
Pollution de l’eauBruit
Biodiversité
Bien-être des citadins
© Cirko |Wikimedia
Climat
Toute contribution,idée,
partenariat…sont les bienvenus :
turcati@mnhn.fr
DAPHNÉ ASSE, CREA
L’ATLAS DU MONT-BLANC COMPRENDRE ET FAIRE COMPRENDRE UN MASSIF EN
ÉVOLUTION
©
JM.Catil, CPIE ©
M.Sineau, CPIE © J.Persyn
29 mai 2015
Explorer Emerveiller
Eduquer
Biodiversité
et changement climatique
Sur une nature emblématique
Transmettre les résultats de la recherche, impliquer le public, faire découvrir la
biodiversité
et la démarche scientifique
1996Date de création de
l’association
4Salariés
Et des collaborations étroites avec une dizaine de chercheurs du CNRS français,
WSL suisse et ARPA italienne
1Héritier d’un Observatoire
et d’une aventure scientifique
10 000 000Données sur le climat, la
faune et la flore
300 000€
de budget annuel uniquement
sur financements de projets de sources publiques ou privées
1 600Observateurs bénévoles
annuellement
+4 300 m = 4 300 km
Le Mont-Blanc: laboratoire à
ciel ouvert
+1,5°C AU XXE
SIÈCLE DANS LES ALPES
PARCOURIR 100M DE DÉNIVELÉ
ÉQUIVAUT À
PARCOURIR
100KM EN LATITUDE EN TERMES DE DIVERSITÉ
BIOLOGIQUE
DE MARTIGNY AU SOMMET DU MONT BLANC = DE LA MÉDITERRANÉE AU PÔLE
Le Mont-Blanc: laboratoire à
ciel ouvert
Intérêts à
l’échelle locale :
Intérêts à
l’échelle globale :
•
Pour la gestion d’un territoire soumis à
d’importants changements
•
Pour la valorisation d’un des sites les plus visités de France
•
Tri-nationale : pour l’émulation scientifique
•
Un outil puissant de sensibilisation
Un appui à
la gestion du territoire
Un outil de sensibilisationLe Mont-Blanc site de référence pour le suivi
de la Planète
Objectifs du projet
Les partenaires
Lancé en 2011 par le CREA, dans le cadre du Plan Intégré Transfrontalier (PIT) sur fonds européens Alcotra (France-Italie)
Partenaires scientifiques :
Partenaires stratégiques :
Volet scientifique explorer -
comprendre
Thématiques : Entre Climatologie, Glaciologie et ECOLOGIE
Concentrées autour des pelouses alpines, la haute montagne et la limite forestière supérieure
•
Faune – Flore – Climat
•Phénologie –
Dynamique des populations – Distribution des espèces –
Services
écosystémiques
•Histoire scientifique du Mont-Blanc
Volet scientifique explorer -
comprendre
Acquisition des données :
Exploitation des données :
•
Suivis automatisés•
Relevés et campagnes par des scientifiques
•
Observations participatives (ex : hauteur de neige, photos paysages fixe,…)
•
Modélisation des évolutions faune/flore•
Modèle climatique Mont-Blanc
•
Indicateurs de suivi territorial
Volet scientifique explorer -
comprendre
Volet scientifique explorer -
comprendre
Renoncule des glaciersOptimum climatique actuel : 2600 m en 2100 : 3800
m
+ 1200 m
perte de 70% de son aire de distribution
Optimum climatique actuel : 2600 m en 2100 : 3800 m
+ 1200 m
perte de 70% de son aire de distribution
Volet diffusion émerveiller -
éduquer
Outils multimédia :
Centre de formation :
Évènements et réseaux :
•
Site web : www.atlasmontblanc.org
•
Elus, techniciens, professionnels de la montagne, étudiants,
•
Séjours scientifiques jeunes/adultes •
Présence dans les médias
•
RDV du CREA annuels
A venir…
Opportunité
de présentation de l’Atlas à
la Conférence Climat de décembre et aux évènements parallèles à
cette conférence
Mont-Blanc sentinelleScience participative et climat
Ne ratez pas…
Objectif Mont-Blanc : sur les traces d’un géant
Documentaire Arte –
diffusion le 4 juillet
Merci de votre attention
Anne Delestrade –
Directrice - adelestrade@creamontblanc.org
Irene Alvarez –
Directrice en charge des Programmes – ialvarez@creamontblanc.org
www.creamontblanc.orgwww.atlasmontblanc.org
Partenariat OrangeTM
- CREA
Un partenariat de haut niveau et novateur
TABLE-RONDE 2
SCIENCES PARTICIPATIVES, SCIENCES SOCIALES ET SCIENCES DE LA COMMUNICATION
©
JM.Catil, CPIE ©
M.Sineau, CPIE © J.Persyn
SCIENCES PARTICIPATIVES, SCIENCES SOCIALES ET SCIENCES DE LA
COMMUNICATION
Table-ronde animée par Emeline BENTZ, chargée de projet « bénévolat nature et outre-mer », Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l’Homme
Avec les interventions de :
•Anne DOZIERES, coordinatrice des Observatoires Vigie-Nature grand public, Muséum national d’Histoire naturelle•Daphné ASSE, chargée du programme Phénoclim, Centre de recherche sur les Ecosystèmes d’Altitude (CREA)•Ghislain BOURG, expert en communication engageante, Auxilia Conseil•Charlotte ARNAL, directrice associée, Agence Patte Blanche
ANNE DOZIÈRES, VIGIE-NATURE
MUSÉUM NATIONAL D’HISTOIRE NATURELLE
ETUDES SOCIALES SUR LA PARTICIPATION AUX OBSERVATOIRES
VIGIE-NATURE
©
JM.Catil, CPIE ©
M.Sineau, CPIE © J.Persyn
29 mai 2015Un réseau de citoyens qui fait
avancer la science!
Naturalistes
Grand public
ScolairesAgriculteurs Gestionnaires
FLORILEGESPrairies urbainesObservatoires transversaux
Suivi de la biodiversité et Chantiers d’insertion
Jardins partagés
Sciences participatives
Identifier une
problématique
Intérêts
scientifiques
Intérêts du
public
Définition
d’un
protocole
Observations
et
expériences
Science :Résultats de
recherchePublications
Société
:IndicateursPolitiques
environnementales
Individus :ConnaissancesRapport à la
nature
ConservationRésilience
Soutenabilité
Adapté
de Shirk et al. 2012. Ecology and Society 17(2)
> Connaissance des papillons
> Connaissance de l’écosystème « jardin »
>
Pratiques pro‐biodiversité
> Intérêts pour les papillonsAlix Cosquer 2012. (A‐C Prevost)CESCO‐MNHN
Joana Rebelo, 2012 . (encadrement B.
Lizet)UMR Eco‐Anthropologie et ethnobiologie,
MNHN >
Changement du regard sur la ville
et sur la flore urbaine
>
Développement de nouveaux savoirs d’amateurs pouvant conduire à une envie de
protection
Grand public
Enquête ethnobotanique sur la participation
Enquête ethnographique auprès de 30 participants
>
Plus d’éléments de nature dans un dessin de jardin idéal en ville pour les élèves participants à Vigie‐Nature Ecole
Chloé
Fraisse, 2014. (Anne‐Caroline Prevot)CESCO‐MNHN, psychologie de la conservation
Questionnaires auprès de 500 élèves de 6°‐5°
Scolaires
Emmannuel Charonnet, 2014. (Elise Demeulenaere, Vanessa Manceron)UMR Eco‐Anthropologie et Ethnobiologie, MNHN
Identification des limites à
l’implication des lépidoptéristes dans le STERF
> Enjeux territoriaux : Difficile appropriation des résultats au niveau régional
STERF: Suivi Temporel des Rhopalocères de France
> Enjeux sociaux : Dynamique sociale du dispositif peu présente
Approche ethnologique des réseaux de Lépidoptéristes français
Naturalistes
Etude comparative de deux dispositifs: l’Atlas de Sarthe / STERF
Suzie Deschamps,
2013. (Elise Demeulenaere, Vanessa
Manceron)UMR Eco‐Anthropologie et ethnobiologie, MNHN
>
Repositionnement des agriculteurs vis‐à‐vis de la
biodiversité
: de la position d’accusé
à
l’action
>
Reconfiguration des relations professionnelles
Buhler E., Raymond R. & Villot M. 2010‐2012.Ladyss – CNRSEtude des facteurs sociaux de la participation
> Apporte une «
expérience
»
de la nature
Agriculteurs
© Photos Rose-Line Preud’Homme
Gestionnaires Chantiers d’insertion
Anne Dozières, Julie Scapino. 2013‐2014CESCO‐MNHNUMR Eco‐Anthropologie et ethnobiologie, MNHN
Etude de l’appropriation d’un dispositif participatif
Rencontre entre mondes sociaux différents, importance de l’animateur
Acquisition de connaissance Questionnements sur les pratiques de jardinage
Evolution du regard porté
sur le vivant
Modes d’appropriations inattendus
Forums ouverts –
COP21 2015 –
L. Garnier, A‐C Prevot, L. Marilly
TomasikCESCO, MNHN ‐
CNRS
© Dessins Romane Amice
Enquête observateurs Grand public
3173 réponses1891 participants à Vigie-Nature
- Anne Dozières– dozieres@mnhn.fr -
Merci
DAPHNÉ ASSE, CREA
PHÉNOCLIM, SOUS LA LOUPE DES SOCIOLOGUE
©
JM.Catil, CPIE ©
M.Sineau, CPIE © J.Persyn
29 mai 2015
«Qui est le citoyen scientifique
? Anatomie d’un projet de science participative (Phénoclim)»
Analyse sociologique réalisée par :
Bruno Strasser didacticien des sciences –
Université
de Genève Patricia Silvera -
Université
de Genève
•Profil des participants•Leur perception du programme•Leur apprentissage•L’évolution du programme sur 10 ans
Le profil des participants
Les participants sont-ils des amateurs ?
Le profil des participants
Motivation de participation
Le profil des participants
Les participants sont-ils expérimentés ?
Perception du programme
Phénoclim un programme scientifique
Apprentissages
Evolutions sur 10 ans
Evolutions sur 10 ans
Evolutions sur 10 ans
GHISLAIN BOURG, AUXILIA
L’APPORT DE LA COMMUNICATION ENGAGEANTE DANS LE CADRE DES
SCIENCES PARTICIPATIVES
©
JM.Catil, CPIE ©
M.Sineau, CPIE © J.Persyn
29 mai 2015
PARCOURS
•
2011 - Thèse de doctorat en psychologie sociale « L’apport de la communication engageante et des représentations sociales dans le cadre de la promotion de l’éco-mobilité »
•
Sous la direction de Fabien Girandola et Lionel Souchet
•
Consultant confirmé à Auxilia, cabinet de conseil spécialisé dans l’accompagnement des territoires dans leurs projets de développement durable
COMMENT AMENER UN INDIVIDU A ADOPTER UN COMPORTEMENT ?
1ère piste : la communication persuasive
Shannon & Weaver, 1948
Postulat : nos idées déterminent nos actes.Pour changer les comportements, changer les opinionsMais décalage entre les idées et les actes
COMMENT AMENER UN INDIVIDU A ADOPTER UN COMPORTEMENT ?
2ème piste : l’engagement (Joule & Beauvois, 1998, 2002)
Technique d’engagement : le pied-dans-la-porteDemander peu (acte préparatoire) avant de demander
beaucoup (acte cible)
COMMENT AMENER UN INDIVIDU A ADOPTER UN COMPORTEMENT ?
Communication,Information
Modification desopinions
Comportement final
Communication persuasive
Acte préparatoire Modification des opinions
Comportement final
Engagement
Acte préparatoire Comportement finalCommunication,Information
3ème piste : la communication engageante -
mutualiser les deux
Rend plus sensible Donne du sens
EXEMPLE D’APPLICATION : PRÉSERVER LA BIODIVERSITÉ
SUR L’ÎLE D’OLÉRON
•
Sensibiliser pour engager, Romain Patrux (UNCPIE, 2014)
EXEMPLE D’APPLICATION : PRÉSERVER LA BIODIVERSITÉ
SUR L’ÎLE D’OLÉRON
•
Sensibiliser pour engager, Romain Patrux (UNCPIE, 2014)
SCIENCES PARTICIPATIVES & COMMUNICATION ENGAGEANTE
•
3 conditions encouragent l’attention qu’un individu porte à
la biodiversité
(Cosquer, 2012)
•
Sciences participatives ≈
démarche de communication engageante•
Importance de l’acte engageant : apport de connaissances nouvelles, pour soi et le bien commun
Inscription dans un cadre local
Interaction directe Transfert de connaissances
COMMENT INSÉRER UN NOUVEAU COMPORTEMENT DANS LE QUOTIDIEN ?
•
Comment passer du comportement ponctuel au régulier, de l’inhabituel au quotidien ?
•
Quelques pistes…
Simplicité et progressivité
•
Actes préparatoires peu coûteux et «
victoires rapides
»
•
Attention à
ne pas surcharger les volontaires
Maintien de l’intérêt
•
Rappel et feedback•
Valorisation (reconnaissance des compétences, ludification)
Création de dynamique de groupe
•
S’appuyer sur les volontaires pour en recruter d’autres•
S’appuyer sur les acteurs institutionnels et associatifs qui n’ont pas de lien avec les sciences participatives
Utilisation des TIC
•
Communiquer via les médias les plus utilisés•
Faciliter la mise en commun (rappel, feedback, ludifications)
•
Interopérabilité
avec les réseaux sociaux existants
MERCI POURVOTRE ATTENTION !
CHARLOTTE ARNAL, DIRECTRICE ASSOCIÉE, AGENCE DE COMMUNICATION PATTE BLANCHE
REGARD D’UNE COMMUNICANTE
©
JM.Catil, CPIE ©
M.Sineau, CPIE © J.Persyn
29 mai 2015
ANIMÉS PAR LES PARTICIPANTS DU COLLECTIF SCIENCES PARTICIPATIVES - BIODIVERSITÉ
ATELIERS EN SIMULTANÉ
©
JM.Catil, CPIE ©
M.Sineau, CPIE © J.Persyn
ATELIERS EN SIMULTANÉ
Session 1 : 14h – 15h15 / Session 2 : 15h30 – 16h45
•1. Co-construire le guide de bonnes pratiques des sciences participatives
•
Dans l’espace restauration
•2. Des nouveaux outils pour les sciences participatives
•
Dans la salle informatique de la maison du Parc
•3.1. Les collectifs et relais régionaux sciences participatives
•3.2. Les entreprises et les sciences participatives
•
Dans le ½ espace de la salle plénière
•4. Faire des sciences participatives avec des scolaires et des étudiants
•
Dans le ½ espace de la salle plénière
RESTITUTION / CONCLUSION
•
Les 3-4 idées clés de chaque atelier
•
Conclusion de la rencontre