LOPTION SCIENCES de Bagnols en visite à luniversité des SCIENCES DE MONTPELLIER le 9 mai 2005.

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L’OPTION SCIENCESde Bagnols

en visite àl’université des

SCIENCESDE

MONTPELLIER

le 9 mai 2005

Monsieur SABIR commence la matinée avec sa balance de torsion, histoire de s’échauffer …

On est à la fac, on sort le plan, qu’est-ce que c’est grand,

c’est où le bâtiment 20 ?

Monsieur Andral n’est pas perdu, les facs de sciences, il connaît déjà, on doit trouver B20 tout

seul.

Tiens,un TPd’électro-techniquequi

passe !La scienceavance …Non, elleroule.

Il y a aussi des petites classes à la fac, première rencontre avec un prof de physique du supérieur, «

comment peser la terre ? » Avec une grosse balance ?

Voilà, c’est

la balancede torsionde Cavendis

h.

Il a peséla terreavec çaen 1792 !

A gauche la balance elle-même,en dessous l’enregistrement des résultats qu’elle produit.

Elle n’est pas grosse, la balancequi pèse la terre.

Elle marche depuis1792 ?

A cet époque, un bonhommepédalait pour l’électricité ?

L’appareil historique de 1792 était contenu dans une armoire en acajou de plus de 2m sur 2m.

Le bonhomme était assis sur son petit tabouret.

Après la théorie, la pratique. C’est une grosse jumelle ?

Non ce n’est pas une jumelle, c’est la sonde SX 100, observons une météorite à la sonde …

Olivier, le Directeur du Laboratoire, nous explique l’intérêt d’observer de si près une météorite, elle

est peut être dangereuse ? Mieux vaut l’observer de loin.

La salle du microscope électronique

Une jeune chercheuse en microélectronique nous explique le fonctionnement de ce microscope.

Les filles, la science a besoin de vous.

Le microscope électronique

L’appareil à gauche est le microscopequi permet de voir l’infiniment petit,il n’a pas l’air comme ça !

Cette fourmi a-t-elle les mandibules propres ?

Qu’est ce que c’est ?

?????

                                         

           

LA SALLE BLANCHELes puces ne supportent pas les poussières. À l’échelle d’une puce, un grain de poussière représente un rocher qui bouche les chemins creusés pour la circulation des électrons. Pour cette raison, les lieux de fabrication des puces, les salles blanches, sont extrêmement propres. L’eau, l’air, les produits chimiques, de même que l’humidité et la température de la salle blanche doivent être rigoureusement contrôlés. Les opérateurs en salle blanche n’échappent pas à la règle. Ils portent une combinaison spéciale qui retient les particules organiques et les poussières. En effet, l’homme est la principale source de micropoussières : 500 000 particules sont dégagées par une chevelure lors d’un mouvement de tête. L’haleine d’un fumeur contient encore 20 000 particules à chaque expiration trois heures après sa dernière cigarette. Salle de lithographie.

Des futurs profs au travail.Préparation des concours.

On croise une expo, c’est de la géologie.

Après toute cettenourritureintellectuelle,une pause bienméritée.

Enfin l’amphi de la fac, là on est au moins 500 élèves de toute la région. Monsieur P.G. de Gennes s’adresse à nous. Première consigne : « il

faut innover ! »

« Comment apprendre à innover ? »

Deuxième consigne : pour être un bon chercheur, d’abord du bon sens, puis observer, enfin être tenace.

Bilal : « c’est toutà fait nous, je vais faire chercheur. »

Au revoir la fac, peut être à bientôt …