Venus et adonis francés

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VENUS Y ADONIS

DEPARTAMENTO DE FRANCÉS DEL IES LOS BATANES

Texte traduit par: Mª Gracia Torres

Il était une fois en Asie Mineur un roi qui s'appelait Cinyras, celui se vantait que sa fille

Myrrha était plus belle qu'Aphrodite elle-même

déesse de l'amour et de la beauté

Quand Aphrodite a appris la nouvelle elle s'est beaucoup fâchée car elle se demandait comment

une simple mortelle osait se comparer à une divinité comme elle;

c'est ainsi, qu'elle s'est vengée de la jeune fille en l'inculquant un irrésistible désir vers son père

Pour cela, et sous la protection de l'obscurité, Myrrhe a dormi douze nuits

continues avec son père.

Mais quand à la douzième, celui-ci a découvert l'inceste, armé de son couteau, il a poursuivi sa fille afin de la tuer. Elle, épouvantée, demanda de l'aide aux dieux:

“ Oh , dioses , si sois accesibles a los que reconocen su culpa , he merecido y no rechazo el triste suplicio .Pero para no

ultrajar viviendo a los vivos y muerta a los muertos , expulsadme de ambos reinos y negadme , una vez

transformada , tanto la vida como la muerte ”

Ainsi elle a parlé aux divinités et ils la métamorphosèrent en arbre, celui de la myrrhe.

Neuf mois plus tard, l’écorce de l’arbre se brisa et il en sortit l’enfant qu’on appelle Adonis.

Il était si beau qu’Aphrodite prit Adonis et le cacha dans un coffre qu'elle confia à Perséphone, la reine du monde des morts.

Mais Perséphone, quand elle le vit si beau, ne voulut plus le rendre à Aphrodite.

Ainsi, il a été décidé que Zeus et Orfée décident quelle déesse doit rester avec Adonis.

Le résultat a été qu'Adonis passerait seul un tiers ; Perséphone en recevrait un autre ; le dernier serait pour Aphrodite.

. Cependant, Aphrodite, a réussi persuader Adonis de rester les deux tiers de l'année avec elle, pour mécontentement de l'autre divinité.

Adonis grandit très vite en âge et en beauté, il passait beaucoup du temps à s’adonner à sa passion, la chasse.

Aphrodite captivée par la beauté de ce garçon, a abandonné ses travaux habituels jusqu'au point qu’elle n'allait pas même à l'Olympe près des autres dieux,

puisqu‘elle priorisait l’amour qu’elle sentait pour Adonis avant n'importe quelle autre chose, de telle façon qu'elle le couvrait des baisers et se passait avec lui toutes les nuits.

Donc, au lieu d'augmenter sa beauté en se soignant, elle marche ça et là par les montagnes, par les bois et par les rochers pleins de buissons, avec les vêtements repris jusqu'au genou, en excitant les chiens et en poursuivant les animaux qui offraient un butin sûr comme des lapins, des cerfs …

Cependant, Aphrodite - en prévoyant sa mort - a essayé de lui mettre en garde sur les dangers que la chasse entrainait:

“ Sois vaillant face à ceux qui fuient ”, dit-elle ; “ l'audace n'est pas sûre face aux audacieux. Mon jeune ami, évite d'être téméraire, en me mettant en danger ; ne tourmente pas les fauves dotés d'armes par la nature. Que ta gloire ne me coûte pas trop chère.

Ta jeunesse, ton visage, et les attraits qui ont ému Vénus ne touchent ni les lions, ni les sangliers soyeux, ni les yeux et les cœurs des bêtes sauvages. Les défenses crochues des rudes sangliers contiennent la foudre, une impétuosité et une rage infinie habitent les lions fauves, race qui m'est odieuse ”.

Donc, toi, mon amour, fuit de ceux-ci et de toute sorte de fauves sauvages, qui ne se retournent pas pour fuir mais, au contraire, ils te font face, à fin que ta valeur ne soit pas préjudiciable pour les deux ".

Telles furent les recommandations de Vénus, qui fit atteler ses cygnes et prit la voie des airs.

Mais la vaillance est incompatible avec les conseils. Un jour, les chiens d'Adonis avaient suivi les traces claires d'un sanglier et l'avaient débusqué ; et le jeune fils de Cinyras avait transpercé la bête d'un trait oblique quand elle allait sortir de la forêt,

De son groin retroussé, l'animal eut tôt fait de secouer l'épieu teinté de son sang, tandis qu'Adonis tremblant cherchait un refuge sûr

Le sanglier farouche le poursuivit, lui plongea complètement ses défenses dans l'aine et le terrassa mourant sur le sable fauve.

La qui est née de l'écume de la mer, sur son char léger tiré par des cygnes ailés, traversait les airs et n'était pas encore arrivée à son destin quand de loin, elle reconnut les gémissements du mourant et inclina ses oiseaux blancs dans cette direction ;

dès que, du haut du ciel, elle le vit sans vie et agitant son corps dans son propre sang, elle sauta à terre, et est sortie en courant où Adonis se trouvait. La déesse sans regarder où elle marchait, s'est cloué une épine au pied, et son sang a donné une couleur aux roses, dont la couleur était blanche; à partir de laquelle, la rose est devenue rouge.

Une fois avec son bien-aimé, elle se mit à genoux à côté de lui, caressant ses cheveux et en battant sa poitrine, se plaindre de son sort. Là elle est restée beaucoup de temps en regrettant la mort d'Adonis.

On dit qu'Aphrodite aspergea la flaque de sang d'un nectar odorant ; à ce contact, le sang gonfla comme les bulles transparentes que l'on voit souvent apparaître sur une boue jaunâtre ; et moins d'une heure après, naquit de ce sang une fleur de la couleur des grenadiers,

l’anémone.

Mais cette fleur ne se laisse admirer qu'un court moment, car elle est mal fixée et, à cause de sa trop grande légèreté.

. Vénus, en honneur de son amant, a institué une fête funèbre, que les femmes célèbrent tous les ans au printemps : dans des verres, dans des caisses ou dans n'importe quel autre lieu, elles semaient des graines, qu'elles devaient arroser avec de l'eau chaude pour qu'elles poussent rapidement.

Ces plantations ont été appelées jardins d’Adonis. Les plantes, donc forcés, mouraient peu de temps après d'avoir sorti de la terre, symbolisant le destin d'Adonis,

,et les femmes se donnaient en lamentations rituelles par le destin du jeune bien aimé d'Aphrodite.