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500kms

Date post: 19-Jan-2016
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Pendant toute la durée du voyage, la crainte les agite et les tient continuellement en émoi. A cela s'ajoutent les fatigues excessives de la marche, les tourments de la chaleur et du froid dans les déserts. Ce sont autant pour eux des causes de maladies et de morts. Ils succombent par milliers... - PowerPoint PPT Presentation
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Pendant toute la durée du voyage, la crainte les agite et les tient continuellement en émoi. A cela s'ajoutent les fatigues excessives de la marche, les tourments de la chaleur et du froid dans les déserts. Ce sont autant pour eux des causes de maladies et de morts. Ils succombent par milliers...La traite auXIX d’après des sources tunisiennes Khalifa chater perso.hexabyte.tn/.../traite-final.htm

Il arrive que des caravanes entières disparaissent

A Mourzouk, fondé au XiVème siècle, arrivait deux ou trois caravanes par an. Les caravanes y restent un ou deux mois afin qu’arabes et esclaves se remettent de leur long voyage.

20% des esclaves mouraient au cours de la traversé soit deux fois plus que pour la traite transatlantique

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Koumbi Saleh

Sosso

Niani

Tombouctou

Kirin

Fès

Marrakech

Atlantique Méditerranée

Alger Tunis

Tripoli

Gao

Tekedda

Agadès

Bilma

MourzoukKoufra

Le Caire

Ghat

In salah

Taghazza

Sidjilmassa

Tlemcen

Oualata

Aoudaghost

or

Sel

Esclaves

Routes transsahariennes

Capitale - Ville

Etapes - oasis

La Mecque

Départ d’Agadès

« Remise en forme » à Mourzouk

Vente d’esclaves à destination

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Le Marché aux esclaves (peinture occidentale orientaliste de Jean-Léon Gérôme, XIXe siècle)

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Les routes [modifier]

Forteresse au MarocLes pistes caravanières, aménagées à partir du IXe siècle,

passaient par les oasis du Sahara : les déplacements étaient dangereux et pénibles à cause des contraintes climatiques et

des distances. Les grands convois transportaient des esclaves depuis l'époque romaine mais aussi toutes sortes de produits qui servaient au troc. Contre les attaques des

nomades du désert, des esclaves étaient employés à former une bonne escorte. Les esclaves qui ralentissaient la

progression de la caravane étaient tués. D'après l'historien Ralph Austen[35], le taux de mortalité entre le moment de la capture et la vente était compris entre 6 et 20 % selon les

parcours (le trajet vers le Maroc étant relativement peu meurtrier, alors que la traversée du Sahara en direction de la Libye pouvait se solder par une hécatombe[5]). En Asie, les convois d'esclaves sont attestés pour le XIIIe siècle sur la

route de la soie[9].