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Introduction aux outils du Web 2.0
Stage URFIST 5 octobre 2010
Marie-Laure Malingre, Alexandre SerresURFIST de Rennes
URFIST de Rennes, 2010 2
Quelques mots-clés du web 2.0
URFIST de Rennes, 2010 3
PLAN DU STAGE 1/ Introduction 2/ Caractéristiques du web 2.0 3/ Différents types d’outils
Blogs Micro-blogging Pages personnalisables Plates-formes de partage de signets Plates-formes de partage multimédia Réseaux sociaux Wikis Outils de gestion
4/ Conclusion: usages et enjeux
URFIST de Rennes, 2010 4
1. Introduction : qu'est-ce que le Web 2.0 ?
Concept flou, difficile à définir ; “Notion marketing” et mutation réelle du
web Origines :
Terme popularisé par Tim O’Reilly, éditeur spécialisé, en août 2004
Une définition (Wikipédia) : “Web 2.0 est un terme souvent utilisé pour désigner ce qui est
perçu comme une transition importante du World Wide Web, passant d'une collection de sites web à une plateforme informatique à part entière, fournissant des applications web aux utilisateurs.”
Réalités multiples : Blogs et blogosphère, fils RSS, indexation collective,
web services, réseaux sociaux...
URFIST de Rennes, 2010 5
1. Du web 1.0 au web 2.0
URFIST de Rennes, 2010 6
1. Introduction : qu'est-ce que le Web 2.0 ?
6 principes du web 2.0, selon T. O'Reilly :
Web = plate-forme de services Internautes : co-développeurs des
applications Richesse dans les données Intelligence collective : Wikipedia Interfaces souples et légères, objets
nomades Amélioration du service avec augmentation
du nombre d'utilisateurs : effet de la « longue traine »
URFIST de Rennes, 2010 7
Modèle de la « longue traîne »
« Les produits qui sont l’objet d’une faible demande, ou qui n’ont qu’un faible volume de vente, peuvent collectivement représenter une part de marché égale ou supérieure à celle des best-sellers, si les canaux de distribution peuvent proposer assez de choix. »
(extrait de Wikipedia)
URFIST de Rennes, 2010 8
2. Composants et caractéristiques du web 2.0
Principaux aspects du web 2.0 et Principaux aspects du web 2.0 et rrepères sur les technologies
Deux points-clés : La syndication de contenus Les tags
Qu’est-ce qu’un « site 2.0 » ?
URFIST de Rennes, 2010 9
2.1 Les composants du web 2.0
URFIST de Rennes, 2010 10
2.1 Caractéristiques du web 2.0 Des interfaces souples, intuitives,
interactives L’éclatement des données L’usager contributeur La mise en réseaux généralisée L’interopérabilité entre les applications Voir Yahoo Design Pattern Library
URFIST de Rennes, 2010 11
2.1 Caractéristiques du web 2.0 : des interfaces souples, intuitives
Des interfaces centrées sur l’usager : Possibilités pour l’utilisateur d’interagir :
annoter, écrire, surligner, déplacer…
Exemples des pages personnalisables
Technologie Ajax
URFIST de Rennes, 2010 12
2.1 Caractéristiques du web 2.0 : des interfaces souples, intuitives
Ajax (« Asynchronous JavaScript And XML »/ Jesse James Garrett)
Définition : Solution informatique libre de développement d’applications
Web permettant de recharger, non pas une page entière, mais seulement les éléments sur la page qui ont besoin de l’être (rafraîchissement de ces éléments).
Contenus dynamiques et réactifs, peu d’appels au serveur hébergeur, grande interactivité
Utilisé par Gmail, Google Maps, Flickr, Netvibes…
Ajax élément clé des applications et services Web 2.0 = plusieurs technologies combinées ensemble
URFIST de Rennes, 2010
2.1 Caractéristiques du web 2.0 : des interfaces souples, intuitives
Présentation des informations
Affichage dynamique et interactif de l’information
Système d’échange et de manipulation de données
Mécanisme de récupération de données asynchrone
Intégration avec Javascript
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2.1 Caractéristiques du web 2.0 : des interfaces souples, intuitives
Illustrations d’interaction Ajax avec l’usager :
Insertion de données sans rechargement de la page
Site web Radio-Collège », http://pages.usherb.ca/kpetit/hst781/radiocollege.php
ObjectGraph Dictionary Ajax Translator
Glisser-déposer des blocs sur la page Pages personnelles du type Pageflakes, Netvibes
URFIST de Rennes, 2010 15
2.1 Caractéristiques du web 2.0 : l’éclatement des données
Eclatement, réutilisation, mixage… des données
Technologie des mash-up
URFIST de Rennes, 2010 16
2.1 Caractéristiques du web 2.0 : l’éclatement des données
Les « Mash up » ou « Mash-up » : illustration de la technologie Ajax
Mixage de plusieurs applications Définition :
« Application web composite mixant plusieurs sources ou plusieurs contenus pour fournir un nouveau contenu, produit ou service ». (Source : Digimind)
Font appel à Ajax, aux API (interfaces de programmation) et aux procédés d’extraction et d’agrégation de contenu (RSS / ATOM)
URFIST de Rennes, 2010 17
2.1 Caractéristiques du web 2.0 : l’éclatement des données
Des exemples de Mash up : Utilisant l’API (Application Programming Interface) de Google
Maps Site Recent Earthquakes Who’s Web Site HousingMaps : Google Maps + CraigsList
> Développement du « GéoWeb » = fusion de l’information géographique avec du contenu web divers
Utilisant l’API d’Amazon Site Liveplasma
URFIST de Rennes, 2010
2.1 Caractéristiques du web 2.0 : l’usager contributeur
De l’internaute visiteur à l’internaute contributeur : «l’intelligence collective » et « les ingénieurs ordinaires »
Co-production de l’information par l’usager Enrichissement de l’information Recyclage d’information Socialisation, échange, partage de l’information, travail
collaboratif Usager co-constructeur de services
Tests, amélioration, extension des applications Notion « d’innovation ascendante »
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2.1 Caractéristiques du web 2.0 : l’interopérabilité
> Capacité d’agents du web, de systèmes à communiquer entre eux
Interopérabilité des outils, des plateformes, des interfaces, des formats
Standards ouverts « Dispositifs bienveillants » (Emmanuel Belin) = dispositifs qui vont
s ’harmoniser avec un savoir, un appareillage déjà là.
Applications : Postage simultané sur diverses plateformes Authentification unique et Open ID …
URFIST de Rennes, 2010 21
2.1 Caractéristiques du Web 2.0
Des représentations cartographiques du web 2.0 : Plan du web 2.0 et cartographie des usages
(blog 1ère Position)
Des répertoires sur le web 2.0 Go2web20.net
URFIST de Rennes, 2010 22
2.2 La syndication de contenus :qu’est-ce que c’est ?
Les outils de syndication de site / de blog Une des applications majeures et
emblématiques du Web 2.0 Formats qui permettent d’exporter et lire
des données d’actualité au format XML
URFIST de Rennes, 2010 23
2.2 La syndication de contenus :qu’est-ce que c’est ?
Syndication de contenus : possibilité de publier automatiquement sur un site web des informations issues d'un autre site web
Un fil RSS = un fichier texte au format XML (eXtended Markup Language)
RSS peut signifier : Really Simple Syndication Rich Site Summary RDF (Resource Description Framework) Site
Summary (plus rare)
Création par Netscape en 1999
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2.2 La syndication de contenus : comment ça marche ?
Comment reconnaître les fils RSS ? Logos sur les sites, RSS ou ATOM :
En lien, derrière le logo : l'adresse URL du fichier texte
permettant la syndication Exemple : passer la souris sur un fil RSS et observer la barre
d'état du navigateur Lors de la mise à jour d’un site web, un fichier texte au
format XML contenant une description synthétique des nouveautés du site est généré en temps réel
3 principaux formats de syndication : RSS 2.0 (simplicité et extensibilité) Atom (précision et degré d’élaboration) RSS RDF 1.0 (intégration web sémantique)
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2.2 La syndication de contenus : comment l’utiliser ?
Outils En lecture : agrégateurs de fils RSS Pour l’édition : éditeurs de fils RSS
Plusieurs types d'agrégateurs : Agrégateurs en ligne : MetaRSS, « pages perso » Agrégateurs en local : FeedReader ; voir liste sur
RSS et podcasts Agrégateurs intégrés :
Au logiciel de messagerie : Thunderbird Au navigateur : Firefox, Safari, OPera
URFIST de Rennes, 2010 26
2.2 La syndication de contenus :
à quoi ça sert ?
Omniprésence des fils RSS Plusieurs fonctions des fils RSS :
Suivre l’actualité d’un site : réception de toutes les nouveautés
Se tenir informé : Sur l’actualité : tous les journaux proposent des fils RSS Sur un domaine : suivi de blogs et de sites spécialisés
Outil de veille et de surveillance, technique du push
URFIST de Rennes, 2010 27
2.2 La syndication de contenus : quels avantages ?
Simplicité : pas d’enregistrement préalable, pas de donnée personnelles, désabonnement très simple
Organisation optimisée de sa veille grâce à l’agrégateur qui centralise les sources d’information et importe automatiquement les mises à jour
Participation à la diffusion de l’information et réponse aux besoins des usagers
Augmentation de la visibilité du service qui propose des fils RSS et donc de la notoriété de l’organisme
(d’après Bibliobsession 2.0)
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2.2 La syndication de contenus : quels inconvénients ?
Peu de mise en forme personnalisée Accès à une partie du contenu seulement
sur certains fils RSS Pas de prise en compte statistique des
abonnements aux fils RSS pour les administrateurs de sites web
Problème de surcharge cognitive, au-delà d’un certain nombre de fils RSS
Pas de fonctionnement en temps réel : Fils RSS « dépassés » par Twitter ?
Voir récente innovation : RSS Cloud
URFIST de Rennes, 2010 29
2.2 La syndication de contenus : pour en savoir plus
Pour en savoir plus sur les fils RSS : Videos sur YouTube Utiliser des fils RSS..., URFIST de Paris
Sur les agrégateurs : http://urfist.enc.sorbonne.fr/anciensite/rss/agreg
ateur.html
URFIST de Rennes, 2010 30
2.3 Les tags : qu’est-ce que c’est ?
Un tag = Mot-clé, sous forme d'étiquette Au fondement de l'indexation libre, des « folksonomies » Apposé sur un document numérique
Deux types de tags : Mots-clés libres, mis par les utilisateurs, les
administrateurs d'un site : Exemple : UrfistInfo
Produits par une indexation automatique : Recherche d'occurrences et mise en évidence des mots-clés
2.3 Les tags : comment ça marche ?
Nuage de tags (tagclouds): Ensemble de tags regroupés
dans un même espace Taille de chaque tag
variable selon sa popularité :
fréquence de requêtes sur le tag densité d'articles indexés par le
tag nombre d'occurrences du mot-
clé dans un texte ou un corpus
URFIST de Rennes, 2010 31
URFIST de Rennes, 2010 32
2.3 Les tags : à quoi les utiliser ?
Ses favoris (signets, bookmark) cf « social bookmarking »
Des photos, vidéos, podcasts
Ses captures de page web (ou d’éléments de page web) Ex : Clipmarks
ON TAGGUE
Les « posts » que l’on publie sur son blog, des fils RSS
(Source A. Thomas)
URFIST de Rennes, 2010 33
2.3 Les tags : à quoi ça sert ?
A aider à la navigation :
Ex. : Flickr Flickr real time tags
A la recherche d’information sur certains moteurs de recherche :
Exalead : module sur Wikipedia
Technorati : possibilité de recherche sur les tags associés
A représenter l'information : Créer des nuages de tags sur
les résultats des moteurs : Search Cloudlet
Nuages de tags à partir de Google News, sur les termes de l'actualité :
Google News Cloud Outils de création de nuages
de tags : Wordle
URFIST de Rennes, 2010 34
2.3 Les tags : à quoi ça sert ? Un exemple de nuage de tags sous Wordle
La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 en tags…
URFIST de Rennes, 2010 35
2.4 Qu’est-ce qu’un « site 2.0 » ?
Applications web 2.0 Nombreuses, variées, apparition quotidienne de
nouveaux services
Caractéristiques : Type de site : favorise le partage et la diffusion
de contenu Rôle de l’utilisateur : permet de participer, de
personnaliser et de collaborer Navigation : simplifiée (menus légers, RSS et
nuage de tags) Test par l’internaute
URFIST de Rennes, 2010 36
2.4 Exemple d’un site « web 2.0 » : Formadoct sous LibGuides
Plateforme ergonomique, intuitive Onglets, boîtes mobiles Interactivité Personnalisation Flux RSS Nuage de tags Contenus et vidéos embarqués (YouTube,
SlideShare…) Récupération des signets Delicious Système de FAQ Dissémination des contenus via Twitter ou Facebook
URFIST de Rennes, 2010 37
2.4 Exemple d’un site « web 2.0 » : Formadoct sous LibGuides
2.4 Exemple d’un site et d’un journal « web 2.0 » : The Huffington Post
Biographie de l’auteur
Alertes
Réseaux sociaux
Index des bloggueurs
Interopérabilité
Interactions des lecteurs
Dissémination
URFIST de Rennes, 2010 39
3 Différents types d’outils
Les blogs : WordPress Le micro-blogging : Twitter Les « pages perso » : Netvibes Les plates-formes de partage de signets : Diigo Les plates-formes de partage multimédia : Flickr,
SlideShare Les réseaux sociaux : LinkedIn, Facebook Les wikis : ZohoWiki Les outils collaboratifs : Zoho Les outils de gestion et d’organisation :
RememberTheMilk
URFIST de Rennes, 2010 40
3.1 Les blogs : qu’est-ce que c’est ?
Web log : journal de bord
Un blog = un site web réunion d'un ensemble
de billets (posts), triés par ordre ante- chronologique
hyperliens ajout d'éléments
multimédias (photos, sons, vidéos…)
Caractéristiques : Simplicité :
de création : nombreuses plates-formes, aide en ligne
d'alimentation Instantanéité Interactivité :
Commentaires Rétro-liens (trackbacks) Fils RSS Liste de liens (blogroll)
URFIST de Rennes, 2010 41
3.1 Les blogs : comment ça marche ?
Blogs, comme les wikis, reposent sur des CMS (Content Management System) (Systèmes de Gestion des Contenus)
Un CMS : outil de production de site web dynamique Permet :
la publication dynamique et la gestion collaborative de contenus de gérer le contenu d’un site web sans connaissance technique
particulière Notion de contenu :
Ensemble des informations proposées aux visiteurs d’un site web : Du texte; De l’image; De l’audio; De la vidéo; Des documents…
B. de Carné, Acréat, 2008 42
3.1 Les blogs : comment ça marche ?
URFIST de Rennes, 2010 43
3.1 Les blogs : comment ça marche ?
Deux possibilités : Utiliser une plate-forme en ligne
gratuite : Blogger, WordPress, Over Blog, etc. Voir « Tableau comparatif des plateformes de blogs
publiques »
Télécharger un outil de création de blog : WordPress Compétences techniques nécessaires
URFIST de Rennes, 2010 44
3.1 Les blogs : qu’est-ce qu’on y trouve ?
Plusieurs typologies possibles (cf O.Ertzscheid) Premier critère : nature du contenu
Trois grandes catégories : Journaux personnels :
journaux « extimes » de Skyblog, blogs familiaux... Carnets de notes (notebooks) :
Points de vue, analyses, synthèses... sur tout sujet ; individuels ou collectifs
Blogs de journalistes, politiques, scientifiques, d’experts...
Méta-blogs, blogs filtres : Reprise des contenus d’autres blogs Véritables blogs de veille, thématiques...
Autres critères : Blogs personnels/collectifs,
intimes/thématiques
URFIST de Rennes, 2010 45
3.1 Les blogs : comment en trouver ?
Utiliser la blogroll d'un blog :
Ex. : UrfistInfo Moteurs de blogs :
Technorati Google Blog Sea
rch Wikio
Affinement sur moteurs généralistes :
Exalead Listes de blogs en
bibliothéconomie : sur Bibliopedia
URFIST de Rennes, 2010 46
TP 1 : Recherche sur les blogs
Chercher des blogs et des billets de blogs (post) sur les archives ouvertes mots-clés : archives ouvertes, open access, libre
accès.... Outils à utiliser :
Google Blog Search : http://blogsearch.google.fr/?hl=fr&tab=wb
Wikio Comparer Google Blog et Wikio
URFIST de Rennes, 2010 47Source : Bibliobsession
URFIST de Rennes, 2010 48
3.2 Le microblogging : Twitter.Qu’est-ce que c’est ?
Origine : Twitter.com créée en mars 2006, par société
californienne Odéo « tweet » : gazouiller
Service de microblogging : Messages très courts : moins de 140 caractères Instantanéité Outil de messagerie, de partage et de veille Via Internet, les téléphones mobiles.
URFIST de Rennes, 2010 49
3.2 Le microblogging : TwitterExplosion du phénomène
Progression fulgurante : > 5 millions d’utilisateurs en
2008, entre 5 et 10 000 nouveaux comptes ouverts chaque jour
> 5 millions de « tweets » / jour
13ème site mondial Augmentation du trafic de 33
% depuis avril 2010 20 milliards de tweets
envoyés depuis 2006. Mais 75% des tweets envoyés
par 5% des inscrits (Source : MinuteBuzz)
Source Alexa. Disp. ici
URFIST de Rennes, 2010 50
3.2 Le microblogging : Twitter Comment ça marche ?
Combinaison du blogging et du réseau social : Envoi et partage de messages avec groupe
d’utilisateurs (twitterers) Choix des utilisateurs suivis (following) Possibilité d’avoir (ou de refuser) des
« suiveurs » (followers) Exemple:
Compte Twitter de l’URFIST de Rennes
URFIST de Rennes, 2010 51
3.2 Le microblogging : Twitter Comment l’utiliser ?
Création d’un compte Deux types d’espaces :
Espace public : affichage de tous les tweets postés (et rendus publics)
Ex. : http://twitter.com/marind Tweets indexés par moteurs de recherche
Espace privé : accessible par login, gestion du compte, suivi des utilisateurs…
Possibilité de poster des tweets par : Site Twitter : sur le web, via SMS… Applications clientes : Twhirl, Twiterrific… Plates-formes de partage de signets : Diigo…
URFIST de Rennes, 2010 52
3.2 Le microblogging : Twitter Comment l’utiliser ?
Créer son réseau : Onglet Find People : recherche par nom ou
prénom ; possibilité d’importation de carnet d’adresses mel
Recherche sur les messages par le moteur Twitter Search
Poster des tweets : Publics/privés Répondre à quelqu’un : @nom du twitterer Ré-expédier un tweet : RT@nom du twitterer
(ReTwitter)
URFIST de Rennes, 2010 53
URFIST de Rennes, 2010 54
3.2 Le microblogging : TwitterA quoi ça sert ?
A faire de la veille A partager :
une information : Signalement d’une ressource,
d’une information… une expérience :
Ex. d’une conférence suivie en temps réel
un événement : Twitter comme média en
temps réel : cf Iran
A « réseauter », à communiquer :
avec sa communauté, son réseau
A promouvoir (son organisation, son labo..) :
Signaler une production, un événement…
A vendre : Nouvel outil de marketing
A raconter sa vie…
URFIST de Rennes, 2010 55
3.2 Le microblogging : TwitterComment rechercher dans les tweets ?
Plusieurs outils de recherche spécialisés
Topsy : Recherche par mots-clés, par
utilisateurs, par dates… Affichage par périodes
TwitterPowerSearch : Moteur de recherche en
temps réel : Derniers tweets postés Présentation des résultats de
recherche en widgets Outil de veille
TweetGrid : Tableau de recherche
de tweets avec nombreuses fonctionnalités
Recherches possibles sur 9 critères
Recherche avancée Affichage personnalisé
en colonnes Outil en temps réel Sauvegarde de la veille
URFIST de Rennes, 2010 56
3.2 Twitter :pour en savoir plus
TWITTER par Sophie Cornière in Bibliothèque(s) n° 45 (juillet 2009)
53 conseils et idées pour mieux utiliser Twitter, par J.F. Ruiz
Bien débuter sur Twitter : guide pour les novices, Blog du Modérateur
Twittosphere.fr, le blog des applications pour Twitter : recense plus de 800 applications (sept. 2010) !
URFIST de Rennes, 2010 57
3.3 Les “pages personnalisables” :qu’est-ce que c’est ?
Définition : Pages web, personnalisables, privées/publiques
Possibilité de gérer et d’organiser soi-même ses flux Pages web organisées en onglets et boîtes Fournies gratuitement Différentes des « pages perso » des hébergeurs (Orange,
Free…) Marché concurrentiel, enjeux publicitaires…
Voir « Le point sur la bataille des pages perso… », « Le classement des pages personnalisables… »
Quelques acteurs : Netvibes PagesFlakes Webwag Igoogle
URFIST de Rennes, 2010 58
3.3 La veille sur les fils RSS : les « pages personnalisables »
Fonctions : Pour la gestion et la recherche d’information, la
veille Choix personnel des sources : sites web, blogs, fils
RSS … Divers services : calendrier, agenda … Bureau virtuel personnel : concentration de ses
applications personnelles en un seul lieu Possibilités de portails personnalisables
de flux RSS : Portail Netvibes de Ville de Brest Liste de portails Netvibes de bibliothèques
TP 2 :
Les pages personnalisables :
Netvibes
URFIST de Rennes, 2010 60
3.4 Plates-formes de partage de signets
Plates-formes de partage de signets, bookmarks sociaux, social bookmarking...
Premier symbole du web 2.0
Apparus en 2004
Notion de partage au centre de ces services
URFIST de Rennes, 2010 61
3.4 Plates-formes de partage de signets
Principes : Externalisation de ses
bookmarks
Indexation libre par tags
Classement des signets par catégories et par tags
Indication du nombre de signalements d'un même signet
Création de réseaux de partage :
« social bookmarking »
Intérêt : Simplicité :
de collecte et de gestion des signets
Plus-value documentaire :
Tags Catégories
Plus-value sociale : Capitalisation du réseau Réseaux de confiance
Visibilité : Exemple de RIME
URFIST de Rennes, 2010 62
3.4 Plates-formes de partage de signets
Difficultés d’indexation :
Folksonomie : indexation libre, en langage naturel
Pièges du langage naturel : synonymie, polysémie...
Absence de règles formelles
Nouvelles pratiques d'indexation
Emergence de règles collectives spontanées
Enjeux pour les bibliothèques :
Plus-value des professionnels de l'indexation pour stabilisation des règles
Rôle de signalement de ressources fiables
Réseaux professionnels de partage de signets
Emergence d'une « tag literacy », à intégrer à la formation des usagers
URFIST de Rennes, 2010 63
3.4 Plates-formes de partage de signets
Intérêt pour la recherche d’information :
Recherche parmi les sources jugées pertinentes par une groupe d’utilisateurs
Identifier des leaders de veille
Juger de la popularité d’une source (combien de fois a-t-elle été mise en signets)
URFIST de Rennes, 2010 64
3.4 Plates-formes de partage de signets
Généralistes :
Delicious : Yahoo Yahoo! Favoris :
Yahoo Blogmarks :
entreprise française Blinklist : MindValley
Labs, entreprise de Malaisie
Diigo
Scientifiques :
Connotea : revue Nature
2collab : Elsevier Bibsonomy :
Université de Kassel (Allemagne)
URFIST de Rennes, 2010 65
3.4 Plates-formes de partage de signets : Diigo
Diigo = “Digest of Internet Information, Groups and Other stuff” (concentré d’informations Web, de groupes et d’autres choses)
Outil de gestion et de partage de signets, d’annotation très puissant
Lancé en juillet 2006 ; rachète Furl en mars 2009 Fonctionnement :
Barre d’outils intégrée dans le navigateur Ressources :
http://www.activeille.net/index.php/archives/2006/08/04/diigo-excellent-outil-de-travail-collaboratif/
http://wiki-urfist.unice.fr/wiki_urfist/index.php/M%C3%A9moriser/Diigo
URFIST de Rennes, 2010 66
3.5 Plates-formes de partage multimedia : les photos
Changement de statut de l’image : De l’objet à contempler ou du support… … à une nouvelle dimension de la présence numérique
Dans les réseaux numériques : administration, gestion, circulation, création des images
Plateformes de partage de documents multimédias
2009 : 4 Mds de photos sur Flickr 3 Mds d’images publiées sur Facebook / mois 2 Mds de vidéos vues chaque jour sur YouTube
URFIST de Rennes, 2010 67
3.5 Plates-formes de partage multimedia : les photos
Recherche dans les sites de partage de documents multimédias
Flickr, racheté par Yahoo! En 2OO5 = partage de photos
Mise à disposition du moteur de recherche pour recherche sur les collections mises en ligne par les utilisateurs
Menu Organize pour organiser ses photos Attribution de mots clés, (géo)taggage ;
commentaires Annonce 5 millards de photos (au 19 septembre
2010) et 3000 images chargées chaque minute Lien avec Android depuis septembre 2010
URFIST de Rennes, 2010 68
3.5 Plates-formes de partage multimedia : les photos
Modes de recherche (Flickr) : Recherche par requête booléenne sur le titre ou la
description, mais aussi sur les tags Affinement ou élargissement de la recherche à
partir du tag Filtrages par type de contenu, de média, par dates,
par licences Recherche sur les photos, les utilisateurs, mais
aussi sur les « groupes » (= utilisateurs qui partagent les mêmes centres d’intérêt photographiques)
Un exemple d’utilisation : La Library of Congress
Voir TP
URFIST de Rennes, 2010 69
3.5 Plates-formes de partage multimedia : diaporamas
SlideShare Application phare pour le partage et récupération de
présentations / diapositives 25 millions de visiteurs chaque mois Powerpoint, mais pas seulement : aussi pdf, OpenOffice, Word,
documents depuis Google Docs… Transformation des présentations en format flash
Après inscription, possibilité de stocker et de publier les présentations, soit dans un réseau limité, soit publiquement
Ressources référencées par les moteurs de recherche Valorisation de l’expertise et outil de veille
URFIST de Rennes, 2010 70
3.5 Plates-formes de partage multimedia : diaporamas
Quelques fonctions de Slideshare :
Outils de tagging, de rating et de recherche Possibilité de garder les présentations dans ses
favoris, d’envoyer leur lien par mail Possibilité de créer un réseau de contacts Possibilité d’intégrer les présentations dans les
réseaux sociaux comme Facebook ou Linkedin, dans son blog, son site, de les tagguer sur Delicious, d’envoyer vers Twitter
Possibilité d’intégrer des vidéos Youtube dans ses présentations
URFIST de Rennes, 2010 71
URFIST de Rennes, 2010 72
3.6 Réseaux sociaux
Réseaux sociaux / Social Networking Nombreuses plateformes généralistes ou spécialisées,
explosion des audiences et multiplication des applications (jeux, partage de goûts littéraires …)
Gratuité et ouverture Transparence et visibilité de l’identité numérique Les amis de nos amis … : informations, mise en relation et
prise de contact en ligne des profils individuels (dimension personnelle) la constitution de communautés (dimensions collective) Interaction avec le cercle des relations
Optique de cooptation et de recommandation
URFIST de Rennes, 2010
3.6 Réseaux sociaux
Réseaux sociaux généralistes Les plus connus :MySpace / Facebook / Twitter (micro-blogging)
Réseaux sociaux spécialisés Professionnels : profils avec CV + liens et « hubs »
regroupant des utilisateurs autour d’un centre d’intérêt LinkedIn Viadeo
De chercheurs : Scilink
Moteurs de recherche scrutant les réseaux sociaux
Stalkerati, YoName …
URFIST de Rennes, 2010 74
3.6 Réseaux sociaux :Facebook
Facebook créé en 2004 par Marc Zuckerberg
Ouverture vers l’extérieur
Domination mondiale avec 500 millions d’utilisateurs
Cf carte mondiale des réseaux sociaux (juin 2009)
Indexation des profils par Google
URFIST de Rennes, 2010 75
3.6 Réseaux sociaux :Facebook
Variété des usages : Communication / buzz
sur un sujet Recherche de
partenaires, clients Amélioration de son
référencement Surveillance de
l’actualité Questions à la
communauté
Vente et affiliation Sondages, enquêtes Recherche d’emploi,
recrutement Création et suivi d’un
réseau personnel / professionnel
Utilisation des applications Facebook
Partage de fichiers et de documents
URFIST de Rennes, 2010 76
3.6 Réseaux sociaux :Facebook
Mixité, convergence des applications
Création D’un profil, d’une page, d’un
groupe Limites et risques
Mise en scène de soi Perte de contrôle Question de l’accès aux données
personnelles Problème des traces laissées sur
le réseau social Gestion de l’identité numérique /
e-réputation Usurpation d’identité
URFIST de Rennes, 2010 77
3.6 Réseaux sociaux :Facebook
Une « utilisation raisonnée »
L’exemple des bibliothèques françaises sur Facebook
Une cinquantaine d’avatars de bibliothèques françaises (Source : Bibliobsession 2.0)
Ex de la BPI, de la bibliothèque Cujas Voir
les bibliothèques ayant un compte sur des sites de réseaux sociaux (Bibliopedia)
URFIST de Rennes, 2010 78
3.6 Réseaux sociaux professionnels
Réseaux sociaux professionnels (RSP) Démultiplication des contacts Nouvelles modalités de recrutement, d’échanges,
de promotion… Même fonctionnement que réseaux sociaux grand
public Principaux RSP :
LinkedIn : 75 millions d’inscrits
Viadeo : 30 millions
Xing : 9 millions
URFIST de Rennes, 2010 79
3.6 Réseaux sociaux professionnels :
LinkedIn Le plus grand RSP au monde :
7O millions de membres dans 200 pays (en juin 2010), 75 millions en septembre
1 nouveau membre s'inscrit chaque seconde 560 000 professionnels se connectent chaque
jour Les dirigeants des 500 plus grosses sociétés
sur LinkedIn 50% des membres : poste de décision au sein
de leur entreprise
Source: Marketing et Technologies
URFIST de Rennes, 2010 80
3.6 Réseaux sociaux professionnels : LinkedIn
Usages : 41% : faire des affaires 70% : recherche de travail 80% : recrutement
Intérêt également dans le secteur public : Participation à une communauté Partage d’informations Visibilité professionnelle Intérêt pour recrutement, contacts…
Exemple de profil public LinkedIn
3.7 Collaborer : les wikis Définition :
Du terme hawaïen « wiki wiki » = « rapide » ou « informel »
Wikiwikiweb = Le 1er wiki en 1995 (Ward Cunningham)
Définition tirée de Wikipédia :« Site Web dynamique permettant à tout individu d’en modifier les page à volonté. Il permet de communiquer et diffuser des informations rapidement, de structurer cette information pour permettre d’y naviguer commodément »
Applications : Outil de gestion et de partage
des connaissances Travail collaboratif URFIST de Rennes, 2010 81
3.7 Collaborer : les wikis Fonctionnement
Moteur de wiki, fermes à wikis et accès par navigateur
Rédaction collaborative d’articles (rubriques)
Gestion des droits de modification Historique des modifications /
archivage des versions Syntaxe / interface graphique;
langage de mise en forme simplifiée Table des matières dynamique, etc.
Quelques logiciels wiki : MediaWiki, Dokuwiki, Phpwiki,
PbWorks, WikiNi, Wikidot, ZohoWiki…
Exemples de wikis : Wikipedia (2001),
Citizendium (2006) ou Scholarpedia, encyclopédies collaboratives
Wiki GTAO (groupe de travail sur les archives ouvertes)
Bibliopédia et les « bibliowikis » recensés sur : http://biblio.wikia.com/wiki/Bibliowikis
Support de David LiziardURFIST de Rennes, 2010 82
URFIST de Rennes, 2010
3.8 Collaborer : les suites bureautiques
Zoho : Entreprise californienne, considérée comme l'une
des plus innovantes du web 2.0 Concurrente de Google et Microsoft sur les outils
collaboratifs Véritable trousse à outils :
Zoho Writer : traitement de texte Zoho Sheet : tableur Zoho Show : présentation ; nouvelle version lancée le
12 décembre ; cf sur blog de Benoit Descary Mais aussi Zoho Meeting, Planner, Chat, Wiki, etc.
URFIST de Rennes, 2010 84
3.8 Collaborer : les suites et outils bureautiques
Autres exemples : Google Documents :
Successeur de Writely Traitement de texte et tableur
Zimbra : Plate-forme collaborative, suite bureautique Récemment rachetée par Yahoo
URFIST de Rennes, 2010 85
3.8 Collaborer : les outils de coordination
Pour trouver une date commune pour un événement : Doodle :
Entreprise suisse (Zurich) Outil en ligne, très simple à utiliser Permet d'organiser rapidement des sondages :
pour fixer une date de réunion, organiser un événement... Pour faire un choix collectif : cinéma, restaurant...
Pas d'authentification obligatoire
URFIST de Rennes, 2010 86
3.9 Collaborer : les outils de gestion de tâches
RememberTheMilk : Outil en ligne, de gestion de “to do” listes Grande simplicité d’utilisation Authentification nécessaire Permet d'organiser rapidement ses différentes tâches :
Création de listes de tâches personnelles Description des tâches Possibilité de partage Système d’alertes par mel Interfaçage avec d’autres applications : Twitter, GoogleCalendar...
Autre outil de gestion du temps : Todoist Voir comparaison sur Outils froids
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3.10 Conclusion sur les outils Explosion des outils de gestion de l’information
Problème de surcharge informationnelle Problème de l’intégration des différentes applications
Intérêt des pages personnalisables comme bureau virtuel
Garder des outils spécifiques pour des usages bien différenciés : gestion de signets, gestion des tâches, etc.
Jouer de l’interopérabilité des outils
URFIST de Rennes, 2010 88
3.10 Quelques ressources sur les outils
Outils froids de Christophe Deschamps : http://www.outilsfroids.net/
Influx, de Christophe Asselin : http://influx.joueb.com/
FredCavazza.net de Fred Cavazza : http://www.fredcavazza.net/
Voir aussi le ppt de Mael Le Hir sur la veille
URFIST de Rennes, 2010 89
4/ Usages et enjeux : le web 2.0 pour l’enseignement et recherche
Une « science 2.0 » ? (cf. O. Ertzscheid) Vers une interactivité des ressources
Possibilité d’annoter et de commenter des publications scientifiques = peer reviewing en accès libre et interactif = « Open reviewing »
collections Open Access Plos One Revue Philica
Nouveaux modes d’interrogation des bases de données (Interface HubMed sur la base Medline : flux RSS, tags, annotations…)
Des réseaux sociaux scientifiques Academia.edu, SciLink Biomed Experts Carnets² (université Paris Descartes)
URFIST de Rennes, 2010 90
4/ Usages et enjeux : le web 2.0 pour l’enseignement et recherche
Sur les plates-formes de partage :Communautés de spécialistes, de pratiques
Partage de documents My Experiment Open-Notebook-Science
Partage de signets Connotea (exports de listes sélectionnées sur tags) Diigo (bookmarking et annotations)
Partage de références d’articles CiteUlike (Outil de partage de signets pour universitaires, url
d’articles scientifiques)
URFIST de Rennes, 2010 91
4/ Usages et enjeux : le web 2.0 pour l’enseignement et recherche
Production de blogs : Blogs scientifiques
Hypothèses.org Blogs de chercheurs : « une science aimable » (A.
Gunthert) Affordance d’Olivier Ertzscheid (voir son billet sur la
blogosphère scientifique) Technologies du langage de Jean Véronis L’Atelier des icônes d’André Gunthert
Wikis scientifiques / de scientifiques Genomics Questions-science.com
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4/ Usages et enjeux : le web 2.0 pour les bibliothèques
« Bibliothèque 2.0 »
2005 : terme inventé par Michel Casey (Library Crunch)
Le concept :« L'information devrait circuler de la bibliothèque à l'usager, et de l'usager à la bibliothèque, pour permettre une adaptation rapide et permanente des services. Les usagers (comme individus et comme communautés) devraient être impliqués en tant que consultants, participants, cocréateurs - ceci pour permettre l'innovation aussi bien dans les services virtuels que les services physiques. »
Source : Bibliopedia
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4/ Usages et enjeux : le web 2.0 pour les bibliothèques
Quelques applications Blogs
de bibliothécaires : Bibliobsession 2.0 de bibliothèques : Buboblog Manifeste du bibliothécaire 2.0 (Laura
Cohen, 2006, bibliothèque de l’université d’Albany) [blog interrompu]
Portails Netvibes Bibliothèques de l’Univ. de Provence
Signets Delicious Bibliothèques de l’Univ. de Provence
Wikis Bibliopedia, Biblio-wikia
Réseaux sociaux BNF sur Facebook
Usages : Messagerie instantanée Intégration de tags Interfaces de consultation
simplifiées et innovantes Veille par RSS Réseaux sociaux et collections
sur plateformes de partage (LC sur Flickr)
« Contextualisation de la bibliothèque » (sur Amazon, LibraryThing, Google Book Search) et recommandation (JM Salaün)
Opac 2.0 / Cataloblog (O. Le Deuff)
Du web 2.0 au Web Squared (Web²) …
selon Tim O’Reilly
Voir : -Web Squared : web 2.0 five years on (Tim O’Reilly, John Battelle, 2009)-Web Squared, transition vers le web 3.0 ou nouveau paradigme ? (Fred Cavazza, 2009)
Source de l’image : Web Squared Journalhttp://www.websquaredjournal.com/evolution-du-web-du-web-1-0-au-web-squared/2010/01/30/