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La Trace n° 107 — Septembre 2013 — Page 16 LES AINES DE L’UCPA Associaon sans but lucraf (loi 1901) déclarée à la préfecture de police de Paris le 21 mai 1985– J.O. du 12/06/1985), rassemble tous les retraités et les personnes ayant travaillé ou exercé une foncon bénévole au sein des associaons de l’UNCM, UNF ou UCPA. L’UNCM (Union Naonale des Centres de Montagne) et l’UNF (Union Nauque Française) crées en 1945, se regrou- pent en 1965 pour donner naissance à l’UCPA (Union des Centres de Plein Air) associaon gérée par les associaons de jeunesse, les fédéraons sporves de plein air et les pouvoirs publics. GIENS-DÉBUT JUILLET 2013 La Trace n° 107 — Septembre 2013 — Page 1 BULLETIN N° 107 — SEPTEMBRE 2013 lesainesdelucpa.fr LA TRACE LA TRACE LA TRACE LA TRACE Édité par l’associaon UNCM/UNF LES AINES DE L’UCPA 17 rue Rémy Dumoncel 75014 Paris Dépôt légal ISSN 1252-8323 GIENS JUILLET 2013
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La Trace n° 107 — Septembre 2013 — Page 16

LES AINES DE L’UCPA

Associa�on sans but lucra�f (loi 1901) déclarée à la préfecture de police de Paris le 21 mai 1985– J.O. du

12/06/1985), rassemble tous les retraités et les personnes ayant travaillé ou exercé une fonc�on bénévole au sein des

associa�ons de l’UNCM, UNF ou UCPA.

L’UNCM (Union Na�onale des Centres de Montagne) et l’UNF (Union Nau�que Française) crées en 1945, se regrou-

pent en 1965 pour donner naissance à l’UCPA (Union des Centres de Plein Air) associa�on gérée par les associa�ons

de jeunesse, les fédéra�ons spor�ves de plein air et les pouvoirs publics.

GIENS-DÉBUT JUILLET 2013

La Trace n° 107 — Septembre 2013 — Page 1

BULLETIN N° 107 — SEPTEMBRE 2013

lesainesdelucpa.fr

LA TRACELA TRACELA TRACELA TRACE

Édité par l’associa�on UNCM/UNF

LES AINES DE L’UCPA 17 rue Rémy Dumoncel

75014 Paris

Dépôt légal ISSN 1252-8323

GIENS JUILLET 2013

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GIENS DÉBUT JUILLET 2013

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RENÉ THOMAS

MANUEL MONZO

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René THOMAS (suite)

Notre copain René (Philibert pour moi) va bien nous manquer. On les es-

père tous éternels et ils partent, avec un pe,t morceau de notre mé-

moire.

Je me souviens de René s’entrainant à Montgenèvre en vue d’obtenir un

diplôme de ski, avec d’autres affreux jojos, chahutant les pauvres et très

rares filles à s’être égarées dans ce9e profession.

Il logeait chez nous, au centre, et on l’embauchait en fonc,on de sa car-

rure à transférer les meubles du Pont de l’ Alpe (UNCM) au centre actuel

du Monê,er où nous nous sommes installés en Janvier 1950. A la fin de la journée il disait « j’ai l’impression d’avoir fait le Mont Blanc aujourd’hui » ! Il est par, pour l’École Na,onale passer son brevet de guide : il est sor, premier (peut être grâce à son entrainement). Il a même été embauché comme Professeur de ce9e célèbre école. Au revoir mon vieux copain, à bientôt sans doute. Je me retrouve être probablement la doyenne avec Péchoux et Mario. Ce n’est pas drôle de voir l’hécatombe des plus jeunes que moi… Denise MARTIN

Manuel MONZO

Le 12 juin, Manu MONZO, nous a qui9és suite à une douloureuse mala-die qu'il a affrontée avec beaucoup de courage. Originaire de Lyon, typo-graphe de forma,on, il rejoignit en 1964 l'UNCM des Deux Alpes, puis de Serre Chevallier et d'autres centres comme moniteur de ski puis chef de maison à Argen,ères. Ses amis se souviendront de sa mé,culosité, de sa discré,on, de sa disponibilité et de son a9achement à l'UCPA. Ses ob-sèques ont eu lieu à Servoz où il habitait. Des membres des équipes des centres de la Vallée de Chamonix et Gilbert Rhem à ,tre personnel et au nom des Aînés y assistaient, des fleurs ont été déposées en notre nom à tous. Ses cendres seront dispersées à la Dent D'Oche au dessus de Ber-nex (Chablais) où réside sa famille et qu'il affec,onnait par,culièrement. Gilbert.

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LE MOT DU PRÉSIDENT

De nos jours, beaucoup se plaignent ; parfois avec raison, mais souvent sans trop réfléchir sur le bien fondé de leur contrariété. Il y a quelques temps, un ar,cle de la "grande presse " nous rappelait com-bien nous, occidentaux, é,ons "chanceux ". En effet, si nos frigos comportent de la nourriture, si nous avons un toit sur la tête, un lieu pour dormir avec des vêtements sur le dos, nous avons déjà plus de richesse que 75 % des personnes de ce monde.

Détenir un chéquier, avoir un peu d’argent dessus (ou dans sa poche) et pouvoir s’offrir un « p’,ot café » ou autre plaisir, nous range dans les 8% des personnes les plus riches de la planète.

Si les risques ou drames de la guerre, la solitude de l’enfermement, l’agonie de la torture ou les affres de la famine nous ont épargnés, nous sommes plus chanceux que 500 millions de personnes de notre monde ! Et, en sachant lire ces lignes, nous sommes encore très privi-légiés : 2 milliards d’humains ne savent pas lire du tout.

Alors, rela,visons, apprécions et profitons du présent et finissez bien l’été avec forme et santé pour tous.

Amicalement. Gilbert.

******************************************************

*** Dans ce numéro 107, la rubrique « appel à témoin » a été rem-placée par le bel hommage de Marie-Odile à René. Son texte est bien dans l’esprit de notre rubrique qui retrace la vie hors du commun qu’ont vécu certains pionniers de l’UNCM.

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STAGES A VENIR

Pour toutes les inscrip�ons, joindre au plus tard un mois avant le stage, un

chèque de 100 € à l’ordre des « Aînés de l’UCPA ».

Contact pour les stages de ski ou de randonnée : Jojo Sourd — Téléphone : 06 19 22

68 56 - 120 chemin des Preynats — 05220 Le Monê�er-les-Bains.

Contact pour les stages de golf ou de plongée : Jean-Pierre Charrière — Téléphone :

06 20 43 28 00 — 123 rue Denis Magdelon —13009 Marseille.

GOLF A JUMIÈGES : du 15 au 21 septembre. (inscrip�ons urgentes)

SÉJOUR CULTUREL A GIENS : du 29 septembre au 05 octobre. Visites

& culture. Plus, clou du séjour : « les voiles de St Tropez ». Contact :

Alain Coduri — 06 75 02 57 97 — Le Freyssinet — 05220 Le Monê�er-

les-Bains.

SKI EN JANVIER : non encore défini. Les lieux et dates seront affichés

sur le site fin octobre / début novembre.

DÉCOUVERTE DE LA PLONGÉE A NIOLON : automne 2014.

……………………………………..

Vous n’êtes pas encore inscrit pour recevoir La Trace par internet ?

Signalez vous, vous aiderez à alléger les frais d’impression et d’expé-

di�on pris en charge par le siège. Plus de 50 d’entre nous ont choisi

ceVe formule économique. Merci.

…………………………………….

RAPPEL : envoyez vos documents pour LA TRACE (comptes rendus, souvenirs, anecdotes ou photos) à Pierre : [email protected] Envoyez vos documents, textes ou photos pour LE SITE à Michelle : [email protected] - Merci.

La Trace n° 107 — Septembre 2013 — Page 13

Alors bien sûr quand vous revenez dans la

« vraie » vie, la nôtre, vous posez sur ce9e

société un jugement sans pi,é. Les

hommes d’ici sont cupides, c’est dans leur

nature mais pour beaucoup ils ont aussi

perdu la plupart des valeurs qui élèvent

l’homme comme le travail ou l’honnêteté.

Vous ne l’acceptez pas. Ne parlons pas des

hommes poli,ques, vous prônez le retour à

la royauté, c’est tout dire !

Les spor,fs peut-être auraient trouvé grâce

à vos yeux, les performances, le dépasse-

ment de soi, vous inspiraient respect et ad-

mira,on.

Mais votre regard, pour impitoyable qu’il

soit est souvent d’une justesse et d’une acuité surprenantes, rien ne

vous échappe.

Nous n’avons pas encore parlé de votre passé d’entrepreneur. Vous

avez rencontré 2 chefs de chan,er de l’entreprise BILLARD travaillant

au barrage de TIGNES, rencontre qui a abou, à la créa,on de la SCOB

à La Chapelle de Guinchay.

Votre passé d’exploitant agricole aussi, en acquérant une planta,on

de clémen,niers en Corse pour vous occuper en retraite et dont je

vous ai détourné.

Et nous n’avons pas encore parlé de votre mère, ce9e femme au cou-

rage remarquable et à la vie rude que vous admiriez tant ni de ces

humbles sherpas que vous avez côtoyés dans l’Himalaya, ni encore des

riches clients que vous guidiez vers les sommets.

Et aussi de votre fils, Michel Houellebecq, votre fierté et la cruauté de

la vie : vous n’avez pu lire son dernier roman « La carte et le terri-

toire » étant a9eint de la D.M.L.A., vous aimiez tant lire.

Vous voyez René nous n’avons pas fini de parler de vous.

Vous é,ez un homme rare, un homme libre.

Soyez en paix. Marie-Odile.

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HOMMAGE A RENE THOMAS

C’est promis René nous essaierons de ne pas pleurer, vous n’appré-cieriez pas, nous parlerons juste de vous, de votre vie. Une vie comme la vôtre, beaucoup en rêvent. Vous ne racontez pas des aventures extraordinaires ou des exploits mirobolants, au contraire tout est simple, naturel, spontané, « normal ». Et vous nous expliquez comment vous avez escaladé les sommets, parcouru le monde et rencontré des hommes sur tous les con,nents. Quand nous parlions de notre semaine au bureau, vous racon,ez le Mont-Blanc, le Kilimandjaro, l’Aconcagua, le Népal, l’expédi,on en Indou Kouch, les périples en camion pour chercher des manteaux en Afghanistan, les espaces infinis de la Pampa, votre saison de ski au Chili avec Perillat, l’Afrique en 2 CV dans les années 50, les riches étrangers que vous guidiez ou cet ermite qui vivait à 4000 m d’al,-tude. Vous avez fait une première en gravissant la face nord de l’Aconcagua en hivernal : plus de 6900 m d’al,tude. Vous y êtes retourné emme-nant des clients et pour la dernière fois en 1996 alors âgé de 72 ans, seul, jusqu’au refuge Evita Peron à plus de 6000 mètres d’al,tude. Mais vous rendez-vous compte René que tout ce que vous avez vécu est Extraordinaire ? « Oh j’ai eu de la chance », voilà votre réponse ! Oui René vous êtes sûrement né sous une bonne étoile, mais ce choix de vie là c’est à votre volonté, votre courage, votre exigence, votre soif de liberté, votre curiosité que vous le devez, avec les mêmes cartes en main beaucoup auraient joué une autre par,e. Car enfin rien ne vous prédes,nait à ce9e vie, bien au contraire. Né en Normandie, près de la mer, loin des Alpes, vous travailliez aux Chemins de Fer. C’était l’assurance d’une vie tranquille aux fins de mois sans richesse mais sereines et à l’époque, une situa,on plutôt enviable. Mais vous n’aimez pas que l’on vous commande, alors vous claquez la porte, et partez sur les routes, vous tracez votre propre chemin. Il passera par Chamonix, l’aventure sera lancée. Votre mé,er vous conduira autour du monde, vous vivez pleinement votre liberté et vous vous nourrissez des rencontres et de l’observa,on des hommes d’ailleurs.

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DEVINETTE

Réponse du n° 106 : CHAMONIX

VALLOT — ANNÉES 62/63 OU 63/64.

- Micky SZEKELY — Jo MARUTZI — Ber-

nard KINTZELE — Jules BRECHU — Pierre

LEBLANC — Charles REVEL — Michel RI-

CHARD — Zoltan KUBINI — Maurice GIC-

QUEL — Merci Monique...

DEVINETTE DU N° 107 : QUI, OU ET QUAND ?

Réponse à : [email protected]

MAIS QUI SONT CES DEUX CLOWNS QUI ROULENT LEUR CAISSE ?

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STAGE DES AINES A GIENS —30 juin au 6 juillet 2013 Ce sont 23 stagiaires pour la plupart affamés de chaleur

qui ont arpenté les alentours de la presqu’île sous un soleil

bienvenu.

Marie-Odile THOMAS est venue partager ce9e semaine et

ainsi son mari René fut un peu avec nous.

Sous la houle9e d’Alain CODURI, le programme s’est orga-

nisé démocra,quement mêlant harmonieusement culture,

nau,sme, baignades, randonnées et farniente.

Colle noire le lundi avec visite au pied levé de la mine de

cuivre de Cap Garonne. Affublés d’une charlo9e sous le

casque, nous avons traversé une pe,te par,e des galeries

de ce9e mine de cuivre désaffectée et transformée en mu-

sée.

A la veillée, pe,te conférence d’Alain sur le massif des

Maures mêlant audacieusement l’histoire, la pâ,sserie (la

tropézienne), les loisirs (origine du mot pétanque : pieds

tankés, pieds qui ne bougent pas ), l’économie (le chêne

liège).

Mardi, Une heure trente de bateau pour a9eindre l’île de

port Cros, parc na,onal depuis 1963 qui « tend au soleil

ses miroirs et ses fleurs »

Notre guide Daniel SEVOZ qui a gardé ces îles en son jeune

temps nous fait découvrir un cime,ère qui rendrait

presque la mort acceptable et nous entraîne sur une pe,te

par,e des 30 km de sen,ers balisés.

Belle randonnée ombragée, entrecoupée d’une baignade à

la Palud, un peu ternie par les méduses.

Mercredi, journée de repos avec une visite des salins le

ma,n et assemblée générale l’après-midi.

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gardera des stagiaires séparés

adultes/ados, mais ils seront mé-

langés dans certains stages. Cela

répond au fait qu’aujourd’hui, de

nombreux ados ne veulent plus

par,r en colo mais faire du sport

et rencontrer des gens. Dans un

contexte de déser,on de la mon-

tagne l’été, ils sont l’avenir du tourisme ! » assure Luc Verier.

Le chan,er ayant pris du retard, (météo et mauvaises surprises) les pre-

miers stagiaires de l’été ont été transférés à l’UCPA de Chamonix. Le centre

argenterot devrait ouvrir mi-juillet.

Pauline MOISY—Le Dauphiné Libéré du 27 juin 2013.

——— Un nouveau centre à 11 millions d’€uros ——— Le centre a été agrandi sur les emprises actuelles. Les façades historiques,

avec leurs balcons en fer forgé et leurs encadrements de fenêtres en granit,

ont été conservées. La par,e centrale crée il y a 40 ans pour relier les 2 hô-

tels a été montée à 21 m. de haut. Un bâ,ment a été érigé sur l’ancienne

terrasse de droite, créant une symétrie inexistante avant.

Côté rue, une par,e centrale a été crée avec un hall d’entrée et une cage

d’escalier qui dessert les 4 étages. « Cela reste un centre UCPA, donc on a

une majorité de chambres de 4 soit 17, des chambres de 5/6 et des sanitaires

communs. On aura une capacité de 300 stagiaires avec 3 chambres pour han-

dicapés. » précise le directeur.

Toutes les salles à manger sont orientées au sud avec vue sur le mont Blanc.

Parmi les nouveautés : un sauna, une salle de fitness (le centre proposera des

stages de danse dès cet été) et deux salles de réunion.

————————Une école de trail ———————— A l’horizon 2014, une école de trail s’adressera à un public pas forcément

hébergé au centre. Ce9e école aura son propre site web, son service de ré-

serva,on et sera ouverte aux grands ados qui sont nombreux à aimer le trail.

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L’UCPA D’ARGENTIÈRE SE REFAIT UNE BEAUTÉ.

Le centre UCPA, c’est le bâ,ment de référence à Argen,ère. D’abord parce

qu’il en impose par sa taille, mais surtout parce qu’il est là depuis plus d’un

siècle, en plein cœur du village ! Il commençait à se faire vieux et c’est pour

cela qu’un ambi,eux chan,er de rénova,on a été lancé en mai 2012.

L’hôtel n’a pas toujours eu cet aspect. D’ailleurs, le singulier est incorrect ; il

faut parler des hôtels, ce qui explique la complexité du bâ,ment. Quand

l’UCPA l’a acheté dans les années 1970, la par,e centrale sur deux niveaux

avait justement été construite pour

relier l’hôtel de droite à celui de

gauche. A l’époque, le centre accueillait

jusqu’à 315 stagiaires, nombre ramené

à 293 ces dernières années;

Des travaux nécessaires : « Le moment était arrivé où il n’était

plus possible d’accueillir correctement

les stagiaires dans ces bâ,ments. On

avait des chambres de 6 lits sans lavabo, sans armoire, le centre devenait

presque insalubre. — explique Luc Verier son directeur — Il y avait eu une

réfec,on totale des sanitaires et de quelques chambres il y a une vingtaine

d’années mais les réfec,ons par tranches n’étaient plus possible. La fré-

quenta,on baissait de façon dangereuse et il fallait nous me9re aux normes

d’accessibilité. »

La décision de lancer les travaux a été prise il y a cinq ans et a exigé une révi-

sion siimplifiée du Plan Local d’Urbanisme. « Les collec,vités ont compris

l’intérêt de ce centre qui assure le renouvellement de la clientèle. » se féli-

cite le directeur.

L’ouverture aux mineurs : Au-delà d’un ceertain confort, le nouveau centre perme9ra d’accueillir un

public de mineurs et des scolaires hors saison, ce qui n’était pas le cas jus-

qu’à présent. Les premiers jeunes de 14 ans et plus arriveront cet été. « On

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Une guide passionnée nous emmène à travers ces salins situés

dans la lagune formée par le rarissime « double tombolo » de

la presqu’île. Ces salins qui ne sont plus exploités depuis 1995

ont été sauvés des griffes des promoteurs immobiliers en deve-

nant patrimoine du li9oral en 2001. Les flamants roses appré-

cient ces grands espaces d’eau et de végéta,on.

Pendant ce temps les intrépides : Dominique et Jean-Claude

lancés sur un catamaran cassent un hauban, démâtent et

a9endent les secours.

L’après midi c’est Marc et Claudine qui dessalent...

Jeudi, direc,on fort de Brégançon, résidence d’été du prési-

dent à qui nous ne pourrons pas rendre visite parce que la

bande ar,ficielle qui relie la terre ferme et l’impressionnant

fort situé en haut d’un îlot est fermée au pe,t peuple. Plutôt

que de chercher à épier le président nous nous offrons une

belle balade jusqu’à la plage de l’Estagnol, le long d’une côte

découpée, agrémentée de plages aux eaux et aux couleurs

dignes de Tahi,.

Le vendredi, un généreux cadeau de l’UCPA nous permet de

faire la traversée en zodiac jusqu’à l’île de Porquerolles. Une

dernière journée de vraies vacances pour clôturer ce stage

avec baignade à la plage de la Courade et visite du fort sainte

Agathe.

Merci à tous ceux qui ont contribué à la réussite de ce stage et

au centre UCPA qui accueille avec beaucoup de souplesse et

propose une cuisine fort agréable. Chris�ne. Les par�cipants : Luce�e BELLINA—Chris$ne & Albert CARRIER—Claudine &

Alain CODURI—Claude CULLARD——Marc DESTAILLEURS—Dominique & Jean-

Claude KANDEL—Mireille LEVEILLE—Mar$al MAES & Catherine—Gilbert & Vol-

ga RHEM—Papy ROLLAT—Marc & Jacqueline ROMAGNAN—Daniel SEVOZ—Jojo

& Anne�e SOURD—Marie-Odile THOMAS—Claude & Claude-Michèle VOISIN.

Une dizaine d’Aînés sont venus se joindre à nous pour l’Assemblée Générale.

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EXTRAIT DE « TONALITES »

Le magazine des salariés de l’UCPA.

Chaque année, le bilan social fait le point sur l’emploi, la rémunéra-

�on, la santé, la sécurité, la forma�on, les rela�ons professionnelles,

la durée ou encore l’organisa�on du travail.

*82% des salariés sont affectés sur les sites spor,fs. L’effec,f global

enregistre une baisse de 5,2% par rapport à 2011. Seul les CDD ont

diminué suite aux fermetures de 3 centres en 2012 (Vars et Mont-de-

Lans plus Argen,ère temporairement pour travaux et perte de déléga-

,on à Jumièges).

Sur les 3 dernières années, la répar,,on par famille professionnelle

demeure sensible-

ment iden,que :

43,5% en anima,on

et encadrement

spor,f, 27% en ad-

ministra,on et or-

ganisa,on, 14% en

entre,en et main-

tenance, 12,4%

pour la restaura,on

et 2,5% en marke-

,ng et vente.

Une majorité de

jeunes salariés. Plus

de 58% de l’effec,f

est âgé de moins de 35 ans. L’UCPA reste ainsi avant tout un em-

ployeur offrant des parcours professionnels aux jeunes, ce qui contri-

bue au dynamisme de l’entreprise et à son phasage avec sa clientèle.

La Trace n° 107 — Septembre 2013 — Page 9

Des recrutements dynamiques. 95 personnes ont été embauchées en

CDI en 2012 (88 en 2011 et 63 en 2010) essen,ellement dans les sites

spor,fs. 6931 CDD ont été signés dont 6800 pour les centres, soit 453

contrats de plus qu’en 2011. La majorité des recrutements des moins

de 25 ans concerne des contrats aidés (appren,ssage, professionnali-

sa,on, élèves-moniteurs) me9ant en évidence le rôle majeur de

l’UCPA en tant que primo-employeur.

Des rémunéra,ons en augmenta,on depuis deux ans. Sur les deux

dernières années, au-delà des évolu,ons légales du SMIC, les salaires

ont suivi deux types d’augmenta,ons : pour les salariés au minimum

conven,onnel, 1% en 2010, 1,5% en 2011 et 1,7% en 2012. Au-delà de

cela, pour l’ensemble des personnels, la direc,on générale a tenu à

préserver le pouvoir d’achat à travers deux augmenta,ons générales :

1,11% en 2011 et 1,10% en 2012.

Huit nouveaux accords d’entreprise. La représenta,on du personnel

est assurée au niveau local par les délégués du personnel (DP) et au

plan na,onal par le comité d’entreprise (CE). Les DP et le CE doivent

être réunis tous les mois et

le « comité d’hygiène, de

sécurité et des condi,ons

de travail » tous les trois

mois.

Huit accords d’entreprise

ont été signés l’année der-

nière. Citons l’accord sur le

dialogue social et le droit

syndical, le protocole de

fin de négocia,on sur la

« ges,on prospec,ve de

l’emploi et des compé-

tences » ou encore celui

sur la filière maintenance

et propreté.


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