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LAURA COX BAND Sortie le 10/03/2017 -...

Date post: 27-Aug-2018
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- REVUE DE PRESSE - Laura Cox Band Hard Blues Shot Sortie le 10/03/2017 VERYCORDS Distributed by - REVUE DE PRESSE - LAURA COX BAND Hard Blues Shot Sortie le 10/03/2017
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Laura Cox Band Hard Blues Shot

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LAURA COX BAND Hard Blues Shot

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Objectif Live 03/03/17

J’ai vu l’avenir du Rock ‘n’ Roll, et elle s’appelle LAURA COX Laura COX & son Band, Mathieu Albiac (Rhythm Guitar, Backing vocals), François C. Delacoudre (Bass, Backing vocals) & Antonin Guérin (Drums), nous livre son tout 1er album « Hard Blues Shot » (dans les bacs le 10 Mars). Et quel album mes aïeux, pour un premier essai, vous le voyez bel et bien transformé. Avec Laura, cela parait simple, facile le rock ’n’ roll, un « retour vers le futur » avec un bon gros son old-school, bien typé 70’s (voire début des 80’s), et qui fait la part belle aux guitares. « Hard Blues Shot », c’est 10 chansons composées par la Miss, qui nous emmènent en voyage vers des contrées bien chaudes, gorgées de soleil, tout comme sa musique. Nous voici en plein road-movie, un album idéal pour une virée en voiture. Allez, il est temps pour moi de chausser mon casque ED-PHON3S, et c’est parti pour 42’ d’offrandes au Dieu Rock’n’Roll. « Hard Blues Shot », et son intro qui n’est pas sans rappeler un certain AC/DC et son titre « Live Wire », ouvre le bal. C’est direct, un hard-rock old school comme on l’aime, on est de suite dans le vif du sujet, la rythmique qui en impose, la guitare acérée et la voix de Miss Laura qui déboule. Ça sent bon le hard-rock ‘n’ roll made in Australia. Pour démarrer un concert, rien de mieux que ce titre, tous les ingrédients sont là pour mettre à genoux le public. Et l’on continue, toujours sur les routes australiennes, avec « The Australian Way » (moi j’entends du Airbourne là-dedans), la voix de Laura qui prend le lead au début, pour ensuite laisser sa guitare s’exprimer. Après deux titres joués sur les chapeaux de roues, « Good Ol’ Days » et son mid tempo arrive à point nommé pour souffler quelque peu et laisser la Miss s’embarquer dans un solo digne des plus grands (si, si, j’ose le dire). Le propos se fait plus grave sur ce titre, l’atmosphère générale y étant plus lourde. « Too Nice for Rock ‘n’ Roll », ou voilà encore un titre qui devrait faire un malheur sur les planches. Tout est là, une voix, des riffs, une rythmique (guitare/basse/batterie) bien en place, ô que je l’aime ce « Too Nice for Rock ‘n’ Roll ». Il est temps maintenant de laisser l’australian way de côté pour aller rendre visite à nos amis texans (qui a dit que ZZ TOP est passé par là J) avec ce « Morning Road » qui sent bon la Route 66. « Barefoot In the Countryside », qui nous replonge dans ce bon vieux blues américain, avec quelques accents de country de-ci de-là, est l’occasion pour Laura de nous dévoiler une autre facette de son talent. Sur ce titre l’ombre du groupe THE EAGLES n’est pas loin.

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Objectif Live 03/03/17

Le petit intermède country/blues fini, c’est reparti de plus belle avec ce « Take Me Back Home » et son solo de guitare en intro. Nous voilà bien rassuré (si tant est que l’on pouvait en douter) quant à la cohésion du groupe, on sent que chacun est bien en place, au service de la musique, et plus précisément celle du Hard Rock ‘n’ Roll du LAURA COX Band. Avec « If You Wanna Get Loud », on croirait entendre une chanson des NASHVILLE PUSSY, et bien que nenni, et c’est tant mieux pour nous, c’est bien notre jeune française qui l’a écrite. C’est direct, pêchu, et pour moi rien de moins que le 2ème titre majeur de cet album. L’album a commencé par un voyage sur les terres australiennes, nous y revoici avec « Going Down ». Comme toute bonne chose a une fin, voici venu le temps, non pas de l’île aux enfants, mais pour Laura de nous dire au revoir, de poser ses guitares électriques, de se faire un peu plus grave en nous livrant ce titre « 13 », en hommage aux victimes des attentats qui ont ensanglantés notre beau pays. Voilà, c’est fini…………..mais que c’était bon, quelque chose me dit qu’il n’a pas fini de tourner sur ma platine ce « Hard Blues Shot ». Laura COX, ce n’est ni plus, ni moins, que la réincarnation de Lita FORD et PAT BENATAR en une seule personne. Ce 1er essai est bel et bien transformé, on a connu pire comme démarrage de carrière. Laura COX nous démontre ici toute l’étendue de son talent, c’est rafraichissant, c’est rassurant pour le devenir du rock made in France, et ça laisse présager de bien belles choses pour l’avenir. Il ne lui reste plus qu’à sillonner les routes pour délivrer la bonne parole du Rock ‘n’ Roll. Et si je devais me laisser aller au jeu de la petite note, je délivrerai à ce « Hard Blues Shot » un bon 8 ½ /10. Jean-Luc

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Guitar Part 03/03/17

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Sortie le 10/03/2017

TV ROCK LIVE 13/03/17

LAURA COX INTERVIEW MARS 2017 OC : D'où te vient cet intérêt pour le rock sudiste, plutôt machiste, notamment Blackberry Smoke ? Es-tu une spécialiste du genre ? Quelles sont tes autres influences ? LC : Blackberry Smoke est un de mes groupes actuels préférés. Je regrette qu'ils ne soient pas plus connus en France... Je les ai vus au Nouveau Casino et à l'Alhambra. J'aurais aimé retourner les voir à la Maroquinerie fin mars mais on sera en concert ce soir là ! Mon père Brian est Anglais, c'est lui qui m'a fait découvrir toutes ces musiques y compris la country (Johnny Cash, Willie Nelson...) et le classic rock (Dire Straits, AC/DC...). C'est ce qui m'a donné envie de me mettre à la guitare dont je joue depuis que j'ai 14 ans. Notre musique est un mélange de classic rock et de rock sudiste : AC/DC rencontre ZZ Top en quelque sorte ! N'ayant que 26 ans, je connais moins les "vieux" groupes de rock sudiste comme Blackfoot ou Molly Hatchet mais j'apprécie la nouvelle vague avec Blackberry Smoke donc et aussi Whisky Meyers. J'ai découvert également Natchez via leur guitariste et ça me plaît bien. Hormis le sudiste, on essaie toujours d'inclure des standards (Stones, Pat Benatar etc.) dans notre setlist. OC : Comment interprètes-tu cette arrivée massive de femmes dans le blues rock ces dernières années : Samantha Fish, Layla Zoe, Beth Hart, Ana Popovic, Sari Schorr, Joanne Shaw Taylor etc. Que penses-tu des hard rock girls ? LC : Je suis personnellement plus rock que blues. Les filles qui jouent de la guitare sont effectivement soit blues, soit metal. Entre les deux, il y en a beaucoup moins et notamment très peu dans le créneau classic/hard rock. C'est difficile d'ailleurs à expliquer ! Je n'écoute pas forcément des groupes de hard parce que ce sont des filles qui y jouent comme Girlschool ou Rock Goddess. Par contre j'aime bien les Donnas, qui n'existent plus malheureusement... J'aime bien les Runaways aussi ! Et puis les groupes de garçons avec une fille à leur tête comme Blues Pills ou Halestorm... OC : Quel jugement porte-tu sur la scène blues française actuelle : Jesus Volt, Shaggy Dogs, Manu Lanvin... LC : Je ne connais pas très bien. J'ai effectivement découvert Jesus Volt il y a peu et j'ai trouvé ça super. En fait j'ignorais que cette scène blues française existait. Je ne suis de toutes façons pas très portée sur le blues rock. Dans un genre plus pub-rock, on va jouer avec Dr Feelgood très prochainement et j'ai hâte de voir ce que ça donne... OC : Comment s'est faite la connexion avec ta maison de disques Verycords ? LC : Tout est parti de notre manager Christophe qui connait les Fatals Picards. Jean Marc Sauvagnargues, le batteur des Fatals Picards, a sa boîte de prod' ; il a proposé de nous produire et nous a mis en relation avec leur label Verycords qui nous a signés. C'est une excellente maison de disques française qui signe le plus de groupes d'ici : Mass Hysteria, les Wampas, Black Bomb A, Manu Lanvin, No One Is Innocent etc. OC : Quel est le futur pour le Laura Cox Band sur scène : 1ères parties, dates solo ? LC : Jouer sur scène est vraiment ce qui me plaît le plus actuellement. J'ai commencé par me faire connaître sur youtube avec mes vidéos et à l'époque on n'était pas très nombreuses comme filles à la guitare. Maintenant on en voit plein et je pense que si je me lançais aujourd'hui, ça serait beaucoup plus difficile ! Je veux passer du virtuel au réel ! Quant aux premières parties, on adore ça ! On a fait celles de Joanne Shaw Taylor, Band Of Friends, Trust et on aimerait bien faire celle de Blackberry Smoke, Rival Sons, The Answer, Airbourne, Halestorm, Black Stone Cherry, The Temperance Movement ou Blues Pills dans le futur... Ca nous fait rêver ! Sinon on aimerait faire des festivals...

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Sortie le 10/03/2017

TV ROCK LIVE 13/03/17

OC : Vas-tu durcir ton son et aller vers des choses plus hard rock ? LC : Pourquoi pas ! Ca dépendra de l'évolution de ma voix ! J'ai commencé à prendre des cours de chant au moment de l'enregistrement de l'album. Si ma voix le permet on ira effectivement vers des chansons plus hard à la AC/DC. J'aimerais qu'on me voit autant comme une chanteuse que comme une guitariste. OC : Est-ce Laura Cox et son band ou véritablement le Laura Cox Band ? LC : Je voudrais qu'on nous voit comme un vrai groupe. J'ai gardé mon nom dans celui du groupe pour ne pas partir de zéro grâce à ma notoriété internet mais je me sens plus à l'aise dans la logique d'un groupe à part entière... Sur scène je ne suis pas seule devant et le groupe derrière, on forme une entité homogène. OC : Qui écrit les textes ? LC : 50/50 moi et Mathieu le second guitariste. Notre chanson "13" sur les évènements du Bataclan a aussi été écrite à 2. Elle sort du lot et a beaucoup touché les gens. Le couplet en français a été écrit par Mathieu car je ne me sens pas encore d'écrire en français. OC : Comment vois-tu l'avenir de ta carrière ? LC : Ca dépendra de ma voix comme je te l'ai dit plus tôt. En tous cas, maintenant qu'on a sorti notre premier album "Hard Blues Shot", on va voir comment les choses évoluent... OC : Merci pour cette interview Laura et rendez-vous à Houville-la-Branche le 11 mars pour ton concert. Olivier Carle Interview réalisée le 1er mars au Dr Feelgood 37 rue Quincampoix 75004 Paris Merci à Maxime Bert de Verycords et à Christophe Jardon de Muzivox Laura Cox à la Salle des Fêtes d'Houville-la-Branche : Suite à cette interview, je me suis rendu à Houville-la-Branche en ce 11 mars. L'abum "Hard Blues Shot" venant de sortir, le Laura Cox Band nous en a livré de larges extraits. Le groupe m'a paru encore plus soudé et en osmose qu'à La Batterie Guyancourt en 1ère partie de Band Of Friends... Un vrai plaisir de jouer et de présenter tous ces nouveaux titres comme le nostalgique "Good Ol' Days", le très sudiste "Too Nice For Rock'n'Roll", le ZZ Topien "Morning Road" ou le très AC/DCien "Goin' Down"... Et puis quelques reprises bien senties comme "La Grange" de ZZ Top, "Jumpin' Jack Flash" des Stones ou encore "Heartbreaker" de Pat Benatar ! Gros succès dans cette Salle des Fêtes à proximité de Chartres. Le père de Laura, Brian, est aux anges tout au long du concert, sans doute très heureux de voir sa progéniture s'adonner avec autant de talent à magnifier les riffs de sa jeunesse ! On n'a pas fini d'entendre parler du Laura Cox Band...

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Sortie le 10/03/2017

Sleaze This City 13/03/17

Vous connaissiez cette jeune fille brune qui faisait déjà un paquet de vues sur YouTube. L’heure est venue de vous présenter LAURA COX sous un autre jour ; en effet, avec le LAURA COX BAND, la guitariste française sort tout juste son premier album, Hard Blues Shot (disponible dès le 10 mars). Retour sur son parcours et petit aperçu de ce que la machine a dans le ventre. Vous n’en serez pas déçu… ———————- Sleaze This City : Tu sors avec ton groupe un bel album de dix titres. Mais revenons au tout début : on peut lire sur toi, que plus jeune, c’est en regardant des vidéos de guitaristes sur YouTube que tu t’es dit « Pourquoi pas moi ? ». Est-ce que tu peux raconter un peu cette période, et éventuellement nous donner des noms de youtubers ou youtubeuses qui t’avaient influencée à l’époque ? Laura Cox : Alors déjà, c’étaient que des garçons, parce qu’à l’époque, en 2008 il n’y avait pas trop de filles qui faisaient ce genre de truc. Maintenant, t’en as plein plein ! Mais à l’époque il n’y en avait pas. Attends, je ne me souviens même plus de leurs nom… Si, par exemple, un type qui s’appelle Yann Laird, un anglais, je crois. Sam Coulson, que je suis encore maintenant, qui a une super chaîne et qui est très bon techniquement. Globalement, c’était eux. Il y avait aussi une chaîne qui s’appelait Pastors of Muppets, aussi… Des choses pas forcément très connues, mais qui m’ont motivée, des petits gars, parfois des ados, qui faisaient de la guitare super bien. C’est eux qui m’ont donné envie d’apprendre des morceaux, comme Sweet Home Alabama, j’ai eu envie d’essayer moi aussi. Sans attendre quoi que ce soit. Je n’ai jamais cherché à faire le buzz. Et finalement, c’est bien, comme il n’y avait pas trop de filles sur ce créneau-là, ça a pris, et tant mieux. STC : Et comment tu décrirais l’évolution qu’il y a eu depuis, sur ce terrain-là ? Laura : Ouais, franchement, si je commençais maintenant, ça prendrait pas du tout. T’as trois millions de filles qui sont bien meilleures que moi, je pense que le créneau est saturé maintenant. Donc heureusement, ça a été ma petite chance de commencer tôt. Même au niveau global de réalisation de vidéo, t’as du niveau de nos jours ! Et puis YouTube, il me semble que c’est pas si vieux, ça doit dater de 2005 (on a vérifié, ndlr). Mais maintenant, avec plusieurs caméras, etc., c’est très évolué. À l’époque, du moment que les gars jouaient bien, ça m’intéressait déjà assez. STC : Te voilà désormais, tu es passée de derrière ta caméra à la scène. Hormis ce projet qui est au premier plan maintenant, est-ce que tu as eu d’autres expériences en groupe par le passé, des trucs à nous raconter ? Laura : Je n’ai pas eu d’autre projet. En fait, jusqu’à ma rencontre avec Mathieu (Albiac, ndlr) qui est le guitariste du groupe, j’avais jamais fait de scène, j’étais bloquée tranquille derrière mon ordi. J’avais même pas envie, en fait ! J’étais toute seule chez moi, derrière ma webcam, et ça m’allait très bien de jouer seule. Crédits Photos via facebook de Laura Cox STC : Tu as du recevoir des tonnes de sollicitations, pourtant. Laura : Oui, beaucoup, mais ça ne me disait pas. J’avais juste envie de jouer, sans stress. Et en 2010-2011, j’ai rencontré Mathieu qui m’a dit « Attends, t’as jamais joué avec quelqu’un ? Mais attends, on va jouer ensemble ! ». Donc il m’a tiré hors de ma chambre. Jusqu’alors, c’est un exercice que je ne connaissais pas du tout, j’avais l’habitude de jouer sur des backing tracks, avec un accompagnement derrière moi. Jouer avec de vraies personnes, ça change tout. En 2011 on a commencé à bosser des compos, et en 2013 on a monté le groupe qui a pas mal évolué, il y a plusieurs line up. Mais avant ça, je n’avais jamais eu de groupe. C’est ça qui me faisait peur, en fait. J’avais des millions de vues sur YouTube, et j’avais peur d’être un peu attendue, lors de la première scène que j’allais faire comme je n’avais jamais fait de scène, j’espérais ne pas me vautrer. STC : Et maintenant, comment tu te sens, sur scène ? Laura : Maintenant ça va mieux, en trois ans, on a eu pas mal d’expériences. Maintenant qu’on a trouvé un tourneur et qu’on a signé, que l’album sort, on commence à être habitués à ça et il y a pas mal de dates qui arrivent. Mais à l’époque, en 2011, même si j’avais une dizaine d’années de guitare derrière moi, je n’avais absolument jamais fait ça. STC : Et puis la transition doit être assez étrange à vivre, entre internet et le public…

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Sortie le 10/03/2017

Sleaze This City 13/03/17

Laura : Ouais, carrément ! Sur internet, tu t’en fiches, les gens commentent, et ils peuvent critiquer, c’est facile. Il y aura toujours des gens pour critiquer partout, mais c’est d’autant plus simple derrière un écran. J’avais un peu peur du public au début aussi, mais j’ai pris un peu plus d’assurance depuis, et puis ça me plaît d’être entourée, j’ai trois garçons avec moi, donc je ne me sens pas toute seule non plus. STC : Est-ce que tu as déjà eu affaire à des réactions de gens qui comparent ce que tu fais sur scène et ce que tu fais en vidéo ? Laura : C’est vrai que sur YouTube, il y a plus de guitare, et les gens attendent ça. Sauf que ce groupe, c’est un groupe de rock, et on a voulu monter quelque chose de cohérent. Je chante aussi, je ne peux pas tout faire en même temps. J’essaie de ne pas mettre trois minutes de solo dans les morceaux ! Les gens regrettent qu’il n’y ait pas assez de guitare dans le groupe, ça, oui. Globalement, les gens sont positifs, ça fait très plaisir. STC : Après tout ce temps, on peut dire que l’album sort « seulement » maintenant. Dans le contexte de cette sortie, est-ce que tu penses qu’il y a une difficulté, un défi majeur pour s’insérer sur le marché en France, notamment dans ce genre de musique ? Laura : Déjà, c’est peut-être ma vision, et c’est peut-être faussé, mais j’ai la sensation qu’il n’y a pas de marché pour ça en France. Et à partir du moment où tu décides de faire ce genre de musique-là, du rock, et même pas du rock moderne ou dans le genre Shaka Ponk qui peuvent marcher, mais du rock vintage plus old school, comme il n’y a pas de marché, au moins on ne s’attend à rien. Je sais que ça ne fera jamais un gros hit en France, à l’époque à laquelle on vit, mais on se fait plaisir. Si jamais il nous arrive quelque chose, tant mieux ! Je vois ça de manière positive, parce que pas mal de gens suivent déjà. Je remarque qu’il y a plus d’étrangers qui suivent et qui demandent. Ces dernières années, comme je bosse pour Guitar Part le magazine de guitare français, je vois que plus de français me suivent, ça a aidé. Là, on a signé avec une maison de disque française, donc on s’attend à plus de com auprès du public français. Je vais voir jusqu’où on peut aller. Je sais que dans notre créneau, on n’ira pas jusqu’aux NJR Music Awards, hein ! (rires) J’espère que non, franchement. Il y aurait eu un truc bizarre dans notre musique. Après, il y a des émissions où ça n’est pas impossible, Gojira a été invité au Petit Journal, mais après… Il y a des limites en France. Mais on le sait, on fait ça juste pour se faire plaisir, sinon on aurait fait de l’électro ! J’ai bon espoir. L’album va sortir, j’en ai eu de bons retours jusque-là, on a eu quelques passages radio… STC : Et je crois que vous êtes plutôt bien classés dans les précommandes les plus signifiantes à la Fnac, non ? Laura : Oui, en ce moment on est 24e ou 25e sur 500. Dans le top des précommandes, on est devant James Blunt, on est devant Jamiroquai, j’y croyais pas. Au départ, on me disait que les vues sur YouTube, c’est pas forcément des gens qui achètent ton CD. Eux, ils sont habitués à regarder des vidéos, qui plus est des vidéos gratuites, alors ce n’est pas acquis. Il faut les bouger. Mais ça démarre bien. Maintenant, j’espère que les gens qui ont précommandé vont aimer l’album, surtout. STC : On se demandait, avec ce passage de YouTube aux concerts, c’est un intérêt majeur de garder ton nom, qui est aussi le nom de ta chaîne, dans le nom du groupe. Toutefois, est-ce que tu penses que c’est amené à changer un jour, que la notoriété du groupe dépassera celle de ton nom sur YouTube, jusqu’à éventuellement changer de nom ? Laura : On y a pensé, ça a été la grosse questions ces dernières années. Au début, le groupe s’appelait juste « Laura Cox ». Bon, c’est compliqué, les gens savent pas que c’est un groupe, une artiste en solo, une chanteuse… Je voulais vraiment qu’on sente que c’est un groupe, je ne voulais pas être considérée comme un artiste toute seule. Comme je te l’ai dit, je me sens mieux quand je suis entourée par des musiciens. Bon, en l’occurrence, aujourd’hui ils ne sont pas là (rires). Sur les visuels, dans la promo, sur scène, on est ensemble. Mais au moins, en gardant mon nom, on ne partait pas de zéro. Les gens peuvent se dire « Ah, si, je crois que je la connais ! ». Je peux te dire qu’on a déjà pensé à prendre un autre nom, mais pour l’instant ce n’est plus d’actualité. On ne sait jamais ce qui peut arriver, mais comme le premier album porte ce nom, ce serait bizarre de changer. Je pense qu’on va rester comme ça. STC : On aimerait savoir un truc, à toi de te lâcher là-dessus. Qui serait le groupe avec lequel tu rêverais de tourner ?

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Sleaze This City 13/03/17

Laura : Franchement, j’ai laissé tomber l’aspect un peu « rêve » de rencontrer ses idoles, avec internet, les réseaux sociaux, tout est assez ouvert, tu peux rencontrer des gens, je ne dirais pas « facilement », mais tu sais que c’est possible. Après, dans mes espoirs les plus fous, il y a des nouveaux groupes que j’écoute actuellement, comme par exemple Black Stone Cherry que j’adore, Airbourne, Blues Pills, Rival Sons, Halestorm, alors eux ce serait magnifique parce que Lizzy Hale c’est un de mes gros modèles au niveau de la voix. Tous ces groupes que je te cite sont assez récents. C’est vrai qu’avant, j’étais plus axée ZZ Top, AC/DC, les Guns… J’écoutais que des trucs anciens. Et puis ces trois-quatre dernières années, j’ai eu des révélations, et je me dis que le rock a de l’avenir. Bon, ce ne sont pas des français, mais c’est déjà bien ! Si je pouvais faire leur première partie un jour, ce serait top. Crédits Photos : Didier Bonin (via site www.lauracoxband.com) STC : Avant de te mettre à faire de la musique de façon plus poussée, tu faisais des études, comme la plupart d’entre nous. Si jamais tu n’avais pas eu l’opportunité de booster ta carrière musicale, tu aurais poursuivi dans quelle voie ? Laura : Si YouTube n’avait pas trop marché, mais en jouant quand même de la guitare, j’aurais fait ce que je fais actuellement, c’est-à-dire travailler dans un magasin de musique, parce que c’est ce qui se rapproche le plus de la guitare. De toute façon, c’est exactement ce que je fais en ce moment, à mi-temps, pour m’aider un peu niveau financier. Sinon, il y a un truc qui n’a rien à voir que j’aurais bien aimé, c’est faire des doublages dans les dessins-animés ! Ça m’aurait fait marrer, si je n’avais pas du tout touché à la musique. STC : C’est plutôt génial, même si certains se posent la même question que nous, que tu joues avec des mecs. Mais pourquoi ne pas avoir monté un groupe de filles ? Laura : Je n’ai ni cherché des filles ni particulièrement cherché des garçons, en fait. Je cherchais simplement des gens pour m’accompagner, et il se trouve que les garçons sont quand même beaucoup plus simples à trouver. Parce que pour trouver une super guitariste, une super bassiste, une super batteuse… J’en connais très peu, et elles sont souvent déjà prises parce que justement, assez prisées. Je me sens bien avec des garçons, je pense que c’est moins « prise de tête », je suis bien avec eux. C’est bizarre aussi de vouloir former un groupe 100% féminin, ça veut dire qu’on pense marketing derrière, comme si ça devait forcément marcher mieux… Je voulais trouver avant tout des gens qui veulent jouer. STC : Mais au final, pour toi, au fond être une fille dans ce milieu, c’est un frein ou un atout ? Laura : Je préfère me dire que c’est un atout. Si j’avais été un garçon et si j’avais posté ces mêmes vidéos sur YouTube, ça n’aurait rien donné. Il y a trois millions de garçons qui jouent mieux que moi. D’un côté, c’est pas juste, c’est surtout que j’ai eu de la chance je pense. Ça peut être un frein, il y a plein de gens machistes, sexistes, et tout… Qui diront que j’ai des vues parce que je suis une fille. Mais non, je leur réponds que j’ai des vues parce que je suis une fille et parce que je joue bien. Voilà. Mais être une fille m’a aidée à sortir un peu du lot, peut-être. Je préfère le voir comme un point positif. S’il y a des commentaires sexistes sous mes vidéos, tant pis ! STC : Niveau paroles, tu te vois écrire en français un jour ? L’album ne contient que quelques phrases en français… Laura : Que en français, non, ça n’arrivera jamais. L’anglais reste la langue la plus compréhensible par tous. Certains m’accusent de renier mon pays, alors que non, doucement, c’est juste de la musique. C’est pareil quand je poste un message sur Facebook, les français m’accusent, et si je parle français, les étrangers anglophones ne comprennent pas. C’est pour ça que je fais les deux. Niveau paroles, ce n’était pas du tout d’actualité, mes influences déteignent sur ce qu’on fait, alors naturellement et comme mon père est anglais, je fais de la musique avec des textes en anglais. Mais il est vrai qu’il y a des étrangers qui seraient intéressés de m’entendre chanter en français. Ils trouvent ça exotique ! Mais dans la dernière chansons de notre album, il y a un couplet en français en effet. Ça vient de Mathieu, parce qu’il est meilleur parolier en français que moi, bien meilleur. Ça ouvre un peu les portes, on aura des retombées là-dessus, et à l’avenir on pourra essayer ça sur un titre, juste une chanson, pour voir. Pourquoi pas. STC : Une dernière question : ce serait quoi ton animal spirituel ? Laura : Mon animal spirituel ? Mais c’est super compliqué, ta question ! Euh… Je dirais… Le chien de Mathieu, c’est un berger australien, du coup, c’est ma réponse. Parce qu’il est gentil, et un peu con. Le Laura Cox Band est actuellement en train d’arpenter les routes de France, et passera notamment par La Cave d’Argenteuil (dans le 95) le 10 mars prochain. D’autres dates sont à venir, n’hésitez pas à checker ! Propos recueillis par CHERRY

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Music Waves 13/03/17

LAURA COX BAND: HARD BLUES SHOT (2017) ALBUM - VERYCORDS - HARD ROCK / BLUES - LOLOCELTIC - 15.03.2017 "Si un effort reste à faire pour asseoir une véritable identité, le talent et l'énergie du quatuor sont autant de garanties d'un futur plein de promesses au sein du paysage du heavy rock vintage." 3/5 GROUPES PROCHES : AC/DC, LYNYRD SKYNYRD, JOE BONAMASSA, LITA FORD, ZZ TOP, AIRBOURNE, BLACKBERRY SMOKE FORMATION : Antonin Guerin (Batterie), François C. Delacoudre (Basse), Laura Cox (Chant / Guitares), Mathieu Albiac (Guitares) L'air de rien, cela va bientôt faire une dizaine d'années que Laura Cox occupe l'espace internet avec ses vidéos Youtube. La guitariste prodige, qui a eu l'honneur de recevoir les félicitations de Joe Bonamassa, a décidé d'entrer dans le monde "réel" en montant son propre groupe en 2013. Après quelques prestations live remarquées, le quatuor propose son premier opus en ce début d'année en refusant les étiquettes, préférant parler d'influences multiples aux racines vintage communes. Et la première influence qui saute forcement aux oreilles en début d'album, c'est AC/DC. En dehors de la voix de Laura Cox qui n'est pas sans rappeler celle de Lita Ford, autre guitar-heroine, tout le reste du titre éponyme semble tiré de sessions inconnues de "Powerage". Il est clair que la guitariste a été biberonnée à la Gibson SG d'Angus Young et cette fascination est totalement assumée sur le titre suivant au titre évocateur : 'The Australian Way'. Avec des paroles qui ne tournent pas autour du pot (Radio is dead, TV is shit...), la maîtresse des lieux fait déjà preuve d'un caractère aussi trempé que ses riffs. Et comme si cela ne suffisait pas, elle tient également ses engagements en ne se laissant pas enfermer dans une copie du combo légendaire des frères Young, ou de ses rejetons d'Airbourne. Car si le heavy rock proposé ici plonge ses racines dans le pub-rock australien, il le fait également dans le southern-rock américain et le prouve dès un 'Good Ol' Days' étalant sa mélancolie et son feeling sur plus de 6 minutes. Cette variété d'influences assumées est peut-être également le petit point faible de cet opus qui navigue entre les deux continents sans réellement trouver une ligne directrice qui installerait un style propre au quatuor parisien. On passe d'un boogie southern à la ZZ Top ('Morning Road') à un country rock mené par un banjo léger et entraînant ('Barefoot In The Countryside'), avant de replonger dans une série de hard rock bluesy et graisseux. Tous ces titres se révèlent accrocheurs, dotés de riffs efficaces, de refrains hyper catchy ('Going Down') et de soli lumineux, mais il y a toujours l'ombre d'un géant qui plane sur chacun d'eux. Seul '13' vient clôturer l'ensemble de manière un peu déconcertante avec une approche acoustique et intimiste mélangeant anglais et français et changeant de thème à mi-course. Mais que l'on ne s'y trompe pas, si un effort reste à faire pour asseoir une véritable identité, le talent et l'énergie de Laura Cox et de ses compagnons de jeu sont autant de garanties d'un futur plein de promesses. La technique de la guitariste n'est déjà plus à présenter et son talent de composition et d'interprétation est à la hauteur de la vitesse de ses doigts sur les cordes. Il lui reste désormais à trouver un terrain où marier ses différentes racines afin que puisse pousser un arbre unique dont la sève est déjà vigoureuse.

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Music Waves 13/03/17

Rencontre avec une jeune artiste aussi charmante que charmeuse pour une entrevue sans détour où il sera question aussi bien du machisme que de Lita Ford, Sheryl Crow et... Axel Red ! Quelle est la question qu’on t’a trop souvent posée ? Est-ce que Laura Cox est ton vrai nom ? (Rires) Ce n’est pas que ça m’énerve mais c’est bizarre : mon père est anglo-saxon et donc oui, c’est mon vrai nom… Avec la sortie de ton premier album, celui d’Alex Cordo, les différents projets de Neogeofanatic et avant vous Franck Graziano, il semble qu’être intervenant pédagogique chez Guitar Part soit un bon tremplin pour se lancer dans la production d’albums. Non, c’est juste que nous sommes tous guitaristes et nous avons tous envie de sortir des albums (Rires) ! Après, nous n’œuvrons pas dans le même style : ils sont plus orientés instrumental. Mais pour répondre à ta question, c’est assez naturel : tu travailles chez Guitar Part, tu joues de la guitare, tu as donc envie de sortir un album. On peut dire que tu es un "produit" de YouTube avec près de 50 millions de vues de tes vidéos. Comment expliques-tu ce succès ? (Rires) Il y a un peu de chance parce qu’à l’époque où j’ai commencé à poster des vidéos, il n’y avait pas beaucoup de filles qui faisaient de la guitare électrique, des covers et autres solos… Cela s’est pas mal démocratisé ces dernières années et je pense que si je commençais maintenant, ça n’aurait pas du tout le même impact parce qu’il y a trop de filles hyper talentueuses… Une fille au milieu de tout cela a dû attirer un peu l’œil On peut dire que tu es une précurseur ? On peut dire ça. A la base, il n’y avait que des garçons qui faisaient ça, et une fille au milieu de tout cela a dû attirer un peu l’œil (Sourire)… donc ils ont cliqué ! De fil en aiguille, les vues se sont multipliées au point de faire un effet boule de neige. Tu disais qu’une fille au milieu de tous ces garçons avait dû attirer l’œil. On a constaté que beaucoup de commentaires étaient plus centrés sur ton physique plus que sur ta musique… Je ne peux pas nier que cela aide : ça fait partie du jeu ! Aujourd’hui, j’ai des vues et si le prix à payer est quelques commentaires sexistes, c’est un moindre mal N’est-ce pas frustrant de constater que tu œuvres dans un milieu finalement machiste ? Au moins, j’ai la chance d’être vue parce que si j’avais été un garçon, j’aurais eu peut-être 100 vues et ça se serait arrêté là. Ce n’est pas juste mais voilà ! Aujourd’hui, j’ai des vues et si le prix à payer est quelques commentaires sexistes, c’est un moindre mal (Sourire) !

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Music Waves 13/03/17

Cela fait bientôt 10 ans que tu t'es construit une réputation sur le net. Qu'est-ce qui t'a décidé à passer dans le monde "réel" ? Je n’ai pas eu cette envie toute seule. De moi-même, j’étais assez réservée, assez renfermée : c’est la raison pour laquelle j’ai commencé sur YouTube parce que j’étais très bien, tranquille toute seule dans ma chambre à faire de la guitare devant ma Webcam. Et ensuite, il y a eu la rencontre avec Mathieu qui a coïncidé avec la période où je commençais à sortir un peu de chez moi. Il m’a motivé à me dire que la musique, c’est avant tout rencontrer et jouer avec des gens. Ça a mis du temps à venir parce que ce n’était pas du tout ma nature et puis j’avais déjà 7 ou 8 ans de guitare derrière moi et je n’avais vraiment fait de scène, je n’étais jamais sorti de chez moi… C’est vraiment lui qui m’a motivé ! Nous nous sommes rencontrés en 2011 et nous avons commencé à jammer ensemble : ça m’a permis de m’ouvrir un peu plus ! Et cela a-t-il changé ton approche de ton instrument ? On ne peut pas comparer le fait de jouer seule chez soi sur une backing track et le fait de jouer avec gens. Il faut être à l’écoute parce que les personnes ne sont pas des robots -si ça bouge derrière toi, il faut se caler sur eux- mais au début, j’étais vraiment enfermée, je n’entendais pas ce qu’il se passait à côté (Rires) ! Du coup, oui, ça change énormément les choses et je m’y suis mise un peu sur le tard : je dois encore beaucoup travailler sur le fait d’écouter et de jouer ensemble… Les groupes 100% féminins ont souvent du mal tenir longtemps (Runaways, Hole, Crucified Barbara...), alors que les artistes féminines avec un groupe masculin ont une longue durée de vie (Lita Ford, Joan Jett...). Comment expliques-tu ce phénomène ? Parce que les filles sont trop prise de tête (Rires) ! On remarquera que nous n’avons rien dit : cela vient de toi ! (Rires) J’avoue que je me sens très bien de n’être entourée que de garçons ! Et puis, je pense que cela aurait été super dur de trouver un groupe de filles : c’est assez rare de trouver de bonnes musiciennes… J’ai donc choisi la solution de facilité en prenant des personnes qui sont venues naturellement vers moi et il s’avère que ce sont des garçons avec qui je m’entends super bien… C’est beaucoup plus simple ainsi ! As-tu conscience que la France n'est un pays particulièrement réceptif à ton style musical ? Avec un père anglo-saxon, est ce que cela n'aurait pas été plus simple pour toi de te lancer outre-manche ou outre-Atlantique ? T’es-tu fixé comme objectif de redonner vie au vrai rock dans l’hexagone ? Le paysage français étant un peu trop étroit, envisages-tu d'exporter ta musique ? C’est vrai que ça ne nous aide pas beaucoup. Malheureusement, c’est assez handicapant de sortir un album de rock de façon générale en France. Pour l’instant, avec Verycords avec qui nous venons de signer, c’était beaucoup plus simple de se concentrer sur le public français : ils vont essayer de développer ce public. Mais je sais aussi qu’il y a beaucoup de demandes à l’étranger, j’espère qu’on va arriver à trouver des tourneurs parce que c’est malheureux à dire mais je sais que ça plaira plus à l’étranger. On n’a pas fait beaucoup de pays pour l’instant mais déjà rien qu’en Belgique, le public réagit différemment…

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Music Waves 13/03/17

N’est-ce pas frustrant de savoir à l’avance que tu ne sauras jamais prophète en ton pays ? Non parce qu’en ayant commencé ce type de musique, je savais très bien que ce n’était pas pour marcher sur l’or ici (Rires) ! Donc, du coup, je me suis faite à cette idée… Lita Ford ne fait pas partie des influences que tu cites, pourtant, ta voix et des titres tels que 'Good Ol'Days' oriente vers cette artiste. Qu'en penses-tu ? (Etonnée) C’est vrai ? Malheureusement, je n’ai jamais écouté Lita Ford et il faudrait que je le fasse parce que tu n’es pas le premier à me le dire… Donc, non ce n’était pas voulu parce que je ne connais pas du tout ; personnellement, je connais plus Joan Jett… Sur des titres tels que 'Hard Blues Shot' ou 'The Australian Way', l'influence d'AC/DC est évidente et assumée. Angus Young fait-il partie de tes principales influences ? Je l’adore mais les titres que tu cites ont plus été influencés par Mathieu dont l’idole est Malcom Young. Je me suis un peu adaptée à ce style pour ces compos mais cela n’empêche pas que j’aime beaucoup Angus Young. Ce qui me faisait peur avec ce type de chansons : c’était la voix parce que malheureusement, je n’aurais jamais la voix de Brian Johnson (Rires) ! Mais globalement, AC/DC fait partie de mes influences comme Airbourne… Tu as reçu des félicitations de la part de Joe Bonamassa. Peux-tu nous en dire plus sur les conditions de ces félicitations ? J’aurais bien aimé les recevoir. En fait, je me suis aperçue qu’on parlait de moi sur un forum mylespaul.com et c’est un forum sur lequel Joe Bonamassa poste très souvent. Et un gars du forum a posté en lui conseillant de regarder une de mes vidéos dans laquelle je jouais dans le style de Joe Bonamassa et il a répondu à ce commentaire en disant que ça faisait plaisir de voir que la relève était assurée par de jeunes gens qui écoutaient ce style de musique. Même si ça me fait énormément plaisir malheureusement, il ne me l’a pas dit à moi personnellement mais ça ne m’a pas empêché d’aller sur le forum et d’enregistrer la base et encadrer le commentaire (Rires)… Non je plaisante ! Nous n’en sommes pas encore à une signature sur Mascot mais comment expliques-tu l’intérêt de Verycords pour toi ? C’est vrai que quand on voit la liste des artistes signés chez Mascot, c’est tout ce que j’adore… Pour ce qui nous concerne, à la base, cela part de notre tourneur Christophe de Muzivox qui connaissait un peu les Fatals Picards qui sont signés chez Verycords. Du coup, nous avons signé chez Verycords via les Fatals Picards qui nous produisent… Il n’y a pas beaucoup d’autres maisons de disques en France qui pourrait mieux nous correspondre que Verycords qui est un label ouvert et je me reconnais dans des artistes comme Manu Lanvin, Anna Popovic… : je suis vraiment contente !

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Music Waves 13/03/17

Dans 'Hard Blues Shot', tu annonces 'Radio is dead, TV is shit !' As-tu conscience qu'il y a mieux pour être invitée sur ces médias ? J’espère qu’ils ne comprendront pas ce que je dis (Rires) ! Mais bon, cela ne m’a pas empêché d’être récemment passée à la radio sur Ouï Fm et ils ne m’ont rien dit ! Non, je parle de l’image globale que j’ai des médias français. Le titre '13' qui clôture l'album est un peu étrange, mélangeant le français et l'anglais, et changeant de thème. Qu'as-tu cherché à faire avec cette chanson ? Cette chanson est très particulière. C’est vrai qu’elle ne ressemble pas du tout au reste de l’album. C’est une chanson que j’ai écrite après les attentats du Bataclan - d’où le ‘13’ pour 13 novembre. A la base, je ne comptais pas inclure ce morceau dans l’album, je ne voulais pas le faire… Ce n’était pas du tout dans mon intention : je voulais juste faire une belle chanson qui arrive à rendre hommage à tout ce qui s’est passé. Mais finalement, j’ai joué ce titre avec Mathieu, on l’a un peu travaillé… Mathieu est plus doué que moi pour composer en français (il a fait des lettres modernes), et il voulait faire une partie en français… et de mon côté, j’ai écrit les parties en anglais. Pas mal de personnes -même étrangères- me demandaient pourquoi je ne chantais pas en français, ce n’était pas du tout d’actualité mais Mathieu a écrit un petit couplet en français… Mais c’était bizarre de chanter en français. Quand on enregistrait, l’ingé son nous disait que ça lui faisait penser à Axel Red (Rires)… C’est différent ! Mais comme la chanson parle d’évènements qui se sont passées en France, c’était aussi légitime d’avoir une partie chantée en français. On peut dire que ‘13’ est une sorte de nouveau ‘Manhattan Kaboul’ ? Franchement, ce n’est pas le type de comparaison que j’ai en tête (Rires) Depuis, est-ce devenu une actualité et qu’une porte française s’ouvre à toi ? (Rires) Nous ne ferons jamais du 100% français mais même si rien n’est écrit pour l’instant, il n’est pas impossible que pour le prochain album, une chanson soit écrite en français, histoire de faire un test et voir ce que les gens en pensent parce que ce n’est pas du tout là où je pensais aller parce que je n’ai jamais écouté de rock français… Tu refuses de te laisser étiqueter et tu mélanges les influences sur cet album. Ne crains tu pas un certain manque de cohérence au bout du compte ? Non, mais on ne s’est pas dit qu’on souhaitait mélanger tel ou tel genre, c’est juste qu’une part de nous qui se reflète dans cet album : Mathieu est plus dans des influences australiennes Airbourne, AC/DC, moi, à la base, j’aime beaucoup tout ce qui est country et sudiste… Du coup, tout cela s’est mélangé naturellement… Le lecteur de Music Waves qui a lu attentivement cette interview saura en écoutant ton album, quels sont les titres composés par Mathieu et les tiens ? (Sourire) Ça peut se sentir ! Franchement, c’est globalement ça ! Nous sommes les deux compositeurs principaux : les titres plutôt sudistes viennent souvent de moi et ce qui est plus hard vient globalement de lui…

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Music Waves 13/03/17

Les titres influencés par le pub-rock australien et ceux influencés par le southern rock américain sont facilement identifiables. À terme, espères-tu réussir à mélanger ces styles pour créer le tien propre ? À terme, bien évidemment j’aimerais bien avoir une signature. Pour un premier album, peut-être que ce n’est pas assez mature pour se ressenti mais j’aimerais bien que dans plusieurs années, on me dise qu’on entend directement ma signature vocale et instrumentale. Mais également en termes de composition… Totalement mais pour l’instant, je ne dirais pas qu’on tâtonne mais c’est un premier album qui mélange nos influences et nous en sommes très contents. Pour les prochains albums, ce serait bien d’avoir une empreinte un peu plus forte au niveau du style. Tu multiplies les soli. Est-ce une manière pour toi d'affirmer ? Et à l’inverse, n'as-tu pas peur que cela fasse parfois un peu trop démonstratif ? Alors je ne suis pas la seule à faire des solos dans cet album - Mathieu fait deux solos -, mais après, ça, tu ne peux pas forcément l’entendre quand tu écoutes l’album… Mais c’est vrai que comme tu l’as dit, je viens de YouTube et les gens m’ont connu en faisant des solos : je ne voulais pas décevoir une partie de ce public qui m’a connue et qui m’attendait dans ce registre. Je pense qu’il y a des gens qui auraient aimé que je fasse un album instrumental sauf que j’écoute très peu de musique instrumentale et je ne me sentais pas de le faire : je voulais faire une musique qu’on peut écouter sans réfléchir… A propos de réfléchir, vous avez réfléchi au prochain album ? Oui, on y réfléchit mais rien n’est fixé, rien n’est prêt bien évidemment mais on commence à avoir des riffs à mettre en place et à bosser. Le but est d’enchaîner assez rapidement mais nous avons beaucoup de concerts qui arrivent prochainement, il faut donc que nous soyons prêts pour le live et quand nous serons mieux sur ce point, nous pourrons envisager la compo du deuxième album. Ton jeu de guitare est très rock mais tu es aussi une adepte du finger-picking, notamment sur le titre ‘Barefoot In The Countryside’. Est-ce qu’un guitariste comme Knopfler t’a beaucoup influencée ? Il m’a influencée et c’est lui qui m’a fait jouer au doigt quand j’ai essayé d’apprendre les solos de « Sultans of Swing ». Et du coup, je joue naturellement tout le temps en chicken-picking qui est une technique hybride mediator/ doigt. En revanche, sur ‘Barefoot in the Countryside’, je ne joue pas de guitare -je joue du banjo- c’est Mathieu qui fait les parties de guitares (Rires) ! Outre ses qualités musicales, l’album surprend par tes énormes progrès au chant. Ta voix est maintenant assez proche de Sheryl Crow… (Visiblement ravie) Ah, ça fait plaisir : Sheryl Crow est mon idole absolue ! Franchement, autant Lita Ford, je ne connais pas du tout mais Sheryl Crow, je connais sa carrière par cœur.

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Music Waves 13/03/17

Et as-tu beaucoup travaillé le chant, as-tu pris des cours pour arriver à ce niveau ? Malheureusement, non (Sourire)… Je dis malheureusement car je ne suis pas bonne élève : je n’ai rien foutu (Rires) ! Mais naturellement, depuis qu’on a monté le groupe, depuis deux/ trois ans, le fait de simplement chanter, je pense que ma voix se fortifie. Et ce n’est que très récemment, au moment d’enregistrer l’album exactement, j’ai commencé à prendre des cours -qui ne m’ont pas servi à l’enregistrement- et je suis motivée parce que je sais que c’était mon point faible et j’aimerais arriver à un point où les gens se disent que Laura Cox est aussi bonne chanteuse que guitariste. Qu’attends-tu de cet album? Ma première envie était que nous soyons simplement contents de cet album, ne pas être déçus. Aujourd’hui, je suis soulagée (Sourire) et maintenant, j’attends qu’il nous ouvre des portes. Dans un premier temps, j’aimerais jouer dans des plus gros festivals même sur les scènes découvertes et ensuite, peut-être aller jouer dans d’autres pays comme je te l’ai dit tout à l’heure. En plus, on commence à être diffusé sur certaines radios ce qui fait déjà plaisir, on aimerait que ça continue… Malgré ce que tu as chanté à leur propos… (Rires) Non, il y a quand même des exceptions -bien évidemment, on ne sera jamais diffusé sur NRJ- on a été invité sur Ouï Fm la semaine dernière, j’ai appris que nous avions été diffusés sur RTL dans l’émission de George Lang… Après Francis Zegut sur RTL2… Ce serait magnifique ! Questions traditionnelles de Music Waves, quel est ton meilleur souvenir d’artiste ? Quand on m’a dit que je chantais comme Sheryl Crow (Sourire)… Non, mais le groupe est assez récent donc franchement, pour l’instant, je n’en ai pas en tête… mais globalement, même si ce n’est pas un souvenir fixe, la signature Verycords, la sortie de l’album sont des souvenirs supers ! Au contraire le pire ? Hum… Quand on a dit que ‘13’ était le nouveau ‘Manhattan Kaboul’… (Rires) Non, je n’ai pas eu de mauvais souvenir, de mauvaise expérience… mais comme tu le disais tout à l’heure, ce serait peut-être par rapport au milieu machiste : il y a certains plateaux, certains festivals où il y a des métalleux bourrés qui vont te dire n’importe quoi et je ne sais pas quoi répondre… et je préfère m’en aller parce que c’est plutôt insultant ! Même si ce n’est pas méchant, ce serait ce genre de trucs…

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Music Waves 13/03/17

On a commencé cette interview par la question qu’on t’a trop souvent posée, au contraire, quelle est celle que tu souhaiterais que je te pose ? Hum… Attends, je réfléchis parce que franchement, tu as bien fait le tour… Honnêtement, je ne sais pas, tu as posé toutes les questions qu’il fallait… et tu n’as pas posé celles qu’il ne fallait pas (Rires) ! Allez, je te propose d’y réfléchir et tu me répondras pour la promo du prochain album... c’est-à-dire ? On va essayer de le faire vite mais vu que rien n’est fait pour l’instant, ce n’est pas dit que ça se passe dans le timing que j’imagine mais ce serait bien de le sortir un an et demi après la sortie de celui-ci… Donc rendez-vous en septembre 2019 pour répondre à ma question… C’était laquelle déjà ? (Rires) Merci ! Merci beaucoup Merci à Loloceltic et Newf pour leurs contributions...

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Blues Mag 04/17

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

TV Rock Live 22/03/17

Laura Cox Interview mars 2017 TvRockLive.com : D'où te vient cet intérêt pour le Rock Sudiste, plutôt machiste, notamment Blackberry Smoke ? Es-tu une spécialiste du genre ? Quelles sont tes autres influences ? Laura Cox : Blackberry Smoke est un de mes groupes actuels préférés. Je regrette qu'ils ne soient pas plus connus en France... Je les ai vus au Nouveau Casino et à l'Alhambra. J'aurais aimé retourner les voir à La Maroquinerie fin mars mais on sera en concert ce soir là ! Mon père Brian est Anglais, c'est lui qui m'a fait découvrir toutes ces musiques y compris la Country (Johnny Cash, Willie Nelson, ...) et le Classic Rock (Dire Straits, AC/DC...). C'est ce qui m'a donné envie de me mettre à la guitare dont je joue depuis que j'ai 14 ans. Notre musique est un mélange de Classic Rock et de Rock Sudiste : AC/DC rencontre ZZ Top en quelque sorte ! N'ayant que 26 ans, je connais moins les "vieux" groupes de Rock Sudiste comme Blackfoot ou Molly Hatchet mais j'apprécie la nouvelle vague avec Blackberry Smoke donc et aussi Whiskey Myers. J'ai découvert également Natchez via leur guitariste et ça me plaît bien. Hormis le sudiste, on essaie toujours d'inclure des standards (Stones, Pat Benatar, etc.) dans notre Setlist. TvRockLive.com : Comment interprètes-tu cette arrivée massive de femmes dans le Blues Rock ces dernières années : Samantha Fish, Layla Zoe, Beth Hart, Ana Popovic, Sari Schorr, Joanne Shaw Taylor, etc. Que penses-tu des Hard Rock Girls ? Laura Cox : Je suis personnellement plus Rock que Blues. Les filles qui jouent de la guitare sont effectivement soit Blues, soit Metal. Entre les deux, il y en a beaucoup moins et notamment très peu dans le créneau Classic/Hard Rock. C'est difficile d'ailleurs à expliquer ! Je n'écoute pas forcément des groupes de Hard parce que ce sont des filles qui y jouent comme Girlschool ou Rock Goddess. Par contre j'aime bien les Donnas, qui n'existent plus malheureusement... J'aime bien les Runaways aussi ! Et puis les groupes de garçons avec une fille à leur tête comme Blues Pills ou Halestorm... TvRockLive.com : Quel jugement porte-tu sur la scène Blues française actuelle : Jesus Volt, Shaggy Dogs, Manu Lanvin... ? Laura Cox : Je ne connais pas très bien. J'ai effectivement découvert Jesus Volt il y a peu et j'ai trouvé ça super. En fait j'ignorais que cette scène Blues française existait. Je ne suis de toutes façons pas très portée sur le Blues Rock. Dans un genre plus Pub-Rock, on va jouer avec Dr Feelgood très prochainement et j'ai hâte de voir ce que ça donne... TvRockLive.com : Comment s'est faite la connexion avec ta maison de disques Verycords ? Laura Cox : Tout est parti de notre Manager Christophe qui connait Les Fatals Picards. Jean Marc Sauvagnargues, le batteur des Fatals Picards, a sa boîte de prod' ; il a proposé de nous produire et nous a mis en relation avec leur Label Verycords qui nous a signés. C'est une excellente maison de disques française qui signe le plus de groupes d'ici : Mass Hysteria, les Wampas, Black Bomb A, Manu Lanvin, No One Is Innocent, etc.

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

TV Rock Live 22/03/17

TvRockLive.com : Quel est le futur pour le Laura Cox Band sur scène : 1ères parties, dates solo ? Laura Cox : Jouer sur scène est vraiment ce qui me plaît le plus actuellement. J'ai commencé par me faire connaître sur Youtube avec mes vidéos et à l'époque on n'était pas très nombreuses comme filles à la guitare. Maintenant on en voit plein et je pense que si je me lançais aujourd'hui, ça serait beaucoup plus difficile ! Je veux passer du virtuel au réel ! Quant aux premières parties, on adore ça ! On a fait celles de Joanne Shaw Taylor, Band Of Friends, Trust et on aimerait bien faire celle de Blackberry Smoke, Rival Sons, The Answer, Airbourne, Halestorm, Black Stone Cherry, The Temperance Movement ou Blues Pills dans le futur... Ça nous fait rêver ! Sinon on aimerait faire des festivals... TvRockLive.com : Vas-tu durcir ton son et aller vers des choses plus Hard Rock ? Laura Cox : Pourquoi pas ! Ça dépendra de l'évolution de ma voix ! J'ai commencé à prendre des cours de chant au moment de l'enregistrement de l'album. Si ma voix le permet on ira effectivement vers des chansons plus Hard à la AC/DC. J'aimerais qu'on me voit autant comme une chanteuse que comme une guitariste. TvRockLive.com : Est-ce Laura Cox et son band ou véritablement le Laura Cox Band ? Laura Cox : Je voudrais qu'on nous voit comme un vrai groupe. J'ai gardé mon nom dans celui du groupe pour ne pas partir de zéro grâce à ma notoriété Internet mais je me sens plus à l'aise dans la logique d'un groupe à part entière... Sur scène je ne suis pas seule devant et le groupe derrière, on forme une entité homogène. TvRockLive.com : Qui écrit les textes ? Laura Cox : 50/50 moi et Mathieu le second guitariste. Notre chanson "13" sur les évènements du Bataclan a aussi été écrite à 2. Elle sort du lot et a beaucoup touché les gens. Le couplet en français a été écrit par Mathieu car je ne me sens pas encore d'écrire en français. TvRockLive.com : Comment vois-tu l'avenir de ta carrière ? Laura Cox : Ça dépendra de ma voix comme je te l'ai dit plus tôt. En tous cas, maintenant qu'on a sorti notre premier album "Hard Blues Shot", on va voir comment les choses évoluent... TvRockLive.com : Merci pour cette interview Laura et rendez-vous à Houville-la-Branche le 11 mars pour ton concert. Interview Exclusive d’Olivier Carle, réalisée le 1er mars au Dr Feelgood 37 rue Quincampoix 75004 Paris Merci à Maxime Bert de Verycords et à Christophe Jardon de Muzivox Laura Cox à la Salle des Fêtes d'Houville-la-Branche : Suite à cette interview, je me suis rendu à Houville-la-Branche en ce 11 mars. L'abum "Hard Blues Shot" venant de sortir, le Laura Cox Band nous en a livré de larges extraits. Le groupe m'a paru encore plus soudé et en osmose qu'à La Batterie Guyancourt en 1ère partie de Band Of Friends... Un vrai plaisir de jouer et de présenter tous ces nouveaux titres comme le nostalgique "Good Ol' Days", le très sudiste "Too Nice For Rock'n'Roll", le ZZ Topien "Morning Road" ou le très AC/DCien "Goin' Down"... Et puis quelques reprises bien senties comme "La Grange" de ZZ Top, "Jumpin' Jack Flash" des Stones ou encore "Heartbreaker" de Pat Benatar ! Gros succès dans cette Salle des Fêtes à proximité de Chartres. Le père de Laura, Brian, est aux anges tout au long du concert, sans doute très heureux de voir sa progéniture s'adonner avec autant de talent à magnifier les riffs de sa jeunesse ! On n'a pas fini d'entendre parler du Laura Cox Band... Live Report d’Olivier Carle

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Oui FM 24/02/17

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

L’Echo Republicain 13/03/17

Un concert au féminin très applaudi HOUVILLE-LA-BRANCHE Publié le 13/03/2017 Un concert au féminin très applaudi La chanteuse et musicienne et son groupe Laura Cox Band. © Ducharme Isabelle Facebook Twitter Google+ Email Diminuer la taille du texte Augmenter la taille du texte Ça déménage ! Pour son unique concert annuel, l'association Branch'é zique a affiché complet samedi soir, pour un concert au féminin avec deux têtes d'affiche Laura Cox et un bonus, Matha Flieds. Pour son premier concert après la parution de son tout nouvel album "Hard blues Shot", Laura Cox a donné le ton dans une étonnante démonstration de guitare hard rock country devant une audience d'Houvillois de tout âge. Figure féminine du monde de la guitare Cette jeune artiste a démarré sa carrière de chanteuse et musicienne sur les réseaux sociaux qui l'ont propulsée du virtuel à la scène. Au fil des années elle affine sa culture country, folk, rock aux accents de Johnny Cash et Dire Straits. Elle s'impose alors comme l'une des grandes figures féminines de la guitare. Le succès arrive… Elle fonde son groupe Laura Cox Band. Surprise en première partie Punch et rythme étaient aussi eu rendez-vous en première partie : la Texane Matha Fields, en tournée en Europe, s'est produite sur la scène d'Houville-la-Branche à la grande surprise des spectateurs. Elle était accompagnée par les musiciens d'Urbain Lambert.

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

L’Alsace 03/04/17

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Voix de garage Grenoble 03/04/17

LAURA COX BAND Hard Blues Shot, CD, LP, Digital Veryccords Le titre de l’album dit tout et ne ment pas ! Dans un genre qui nous a trop souvent fait subir des grateux qui se répandent Laura Cox et son gang joue serré et balance bien ! Avec un art du riff que ne renierait pas le Angus Young des jeunes années. En plus la voix de la dame accroche bien l’oreille tout autant sur les titres très Rock que sur les passages les plus ‘émotionnels’. Ce 1er album est parfaitement construit alternant des titres posés ayant un mood bien Southern Blues Rock et des trucs bien plus musclé tirant vers le Hard Blues bien raide comme il convient. En plus les chansons vont direct au but et sans perdre leur temps en bavardage inutiles… Encore un 1er album d’un groupe d’ici qui est totalement convainquant et emballant !!! https://www.lauracoxband.com/ https://soundcloud.com/lauracoxofficial

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Radio R E C 03/04/17

Très bonne surprise à l’écoute de ce splendide et superbe album de Laura Cox band qui utilise les ingrédients rock blues grass avec un côté seventies ou les riffs et les rythmiques blues hard rock donne des pulsations sonores très efficace et percutantes. Elle trouve le ton juste qui lui permet d’apporter des subtiles compromis qui équilibre ce fin dosage de ses influences qui explore une intensité des chocs sonores qui progressent à travers des échanges qui provoque une solide alternance qui marque une certaine tension sonore. Elle offre une judicieuse alchimie de ses éléments qui fusions avec ses folles rythmiques qui renforce la puissance de ses solides versions par un très belle alchimie de mélodies et de puissances riffs. Elle agrémente ses folles versions par une énorme intensité sonore elle apporte dans ce chaos une certaine sensibilité qui distille des cadences très efficaces. Ils agrémentent une riche diversité qui provoque une belle surprise avec ses énergiques instrumentations qui confirme l’intelligente des croisements des contrasses et des trajectoires musicales qui bouge sans cesse avec ses fascinante versions blues rock qui complète cette judicieuse fusion . J'ai adoré ce fantastique et organique album une belle révélation

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Metal Integral 06/04/17

LAURA COX BAND - Hard blues shot Style : Rock Support : MP3 - Année : 2017 Provenance du disque : Reçu du label 10titre(s) - 43minute(s) Site(s) Internet : LAURA COX BAND FACEBOOK LAURA COX BAND WEBSITE Label(s) : Verycords (20/20) Auteur : rebel51 Date de publication : 06/04/17 Au coeur du rock et de ses racines !!! LAURA COX BAND est un groupe français créé par Laura COX, suite au succès obtenu via Youtube par son talent guitaristique et ses reprises de grands classiques du rock. Imprégnée de musique rock, folk et country par son père anglais, elle se décide alors de fonder son propre groupe et de montrer réellement sur scène ses capacités et son engouement pour cette musique. Avec Mathieu ALBAC (guitare), François C. DELACOUDRE (basse) et Antonin GUERIN (batterie), Laura COX prouve par ses clips, ses concerts et maintenant ce 1er album toute la force rock mature qu’elle possède et qu’elle transcende avec l’aide bien sûr de ses musiciens. Ce Hard Blues Shot est un petit bijou rocailleux, dense, au feeling intense, emplie de la voix extraordinaire, si si j’insiste, de la miss COX, qui fait preuve là d’une performance exceptionnelle. Avec un son exemplaire, une batterie impeccable, des riffs incessants, parfois acerbes, parfois plus bluesy, le défi de ce 1er album est atteint : proposer à la fois du rock des 50’s, du blues américain fort bien maitrisé et de la country même parfois comme sur Barefoot In The Countryside, titre vraiment fantastique. Bref c’est un vrai régal tout au long des 10 titres de feu que LAURA COX BAND nous procure, il y a une densité, une force musicale qui nous fait revivre le vrai rock, fait de sueur, d’émotions poignantes (Hard Blues Shot en est le titre exemple cliquez ici) et qui donne une envie folle de bouger. Il n’est pas important de citer tous ces titres taillés pour la scène car la joie de vivre et de jouer se ressent à chaque note, à chaque riff de guitare, à chaque émotion vocale que Laura COX sait si bien faire passer. De plus iI y a un côté très old school sur certains titres comme Good Ol’ Days (cliquez ici), qui rend cette galette plus qu’attractive et des relents de rock australien bien sûr comme sur The Australian Way ou Too Nice For Rock ‘N’ Roll. Avec une production vraiment très claire et qui met bien en valeur la puissance de feu du groupe, c’est une explosion rock continuelle, bien maitrisée et de 1er ordre. Ces 4 musiciens ont le feu sacré et Hard Blues Shot est un excellent retour aux sources rock, bien exprimé et une fois l’album écouté, la seule envie est de s’y replonger, n’est-ce pas là la marque des plus grands ? Chapeau bas à ces 4 musiciens talentueux appelés à un avenir radieux : tout simplement PHÉNOMÉNAL !!! Take Me Back Home : cliquez ici

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Ride The Sky 07/04/17

Laura Cox : « Hard Blues Shot » Publié : 7 avril 2017 par Alain B. dans Chroniques, Musique Tags : Classic Rock, Hard Rock, Laura Cox, Laura Cox Band, Musivox, Rock Sudsite, Verycords,Veryshow Pour Laura Cox, un bon gros riff vaut mieux qu’un refrain pop. La simplicité n’est pas forcément signe de facilité, et c’est dans cet esprit qu’ils mettent leur technique au service de leur musique, pour apporter ce qui se fait de plus rare en France : un style vintage et épuré. Pour son premier album, le Laura Cox Band a réuni 10 compositions efficaces et percutantes, permettant une immersion totale dans son style atypique. Avec ce disque, le groupe affirme plus que jamais son identité rock, teinté de blues, de country et relevé par de gros riffs de guitares. Les chansons originales du Laura Cox Band ont pour but de transporter l’auditeur dans des époques passées. « Barefoot in the Countryside » nous fait redécouvrir tout autant le vieux bluegrass américain, sans oublier le hard blues australien mis en avant avec « Hard Blues Shot », « The Australian Way » ou encore « Going Down ». Mais impossible de passer à côtés des influences majeures de Laura avec ce bon vieux rock sudiste texan, représenté par les tranchants « Too Nice for Rock ‘n’ Roll », « Morning Road »et « Good Ol’ Days ». L’album se finit cependant sur une touche acoustique et mélancolique avec la chanson « 13″. Les thèmes abordés sont inscrits dans la pure lignée des vieilles chansons blues, entre la recherche de la liberté et du dépaysement avec « Barefoot in the Countryside » ou le voyage et les virées sur l’autoroute, comme « Morning Road », dont les images pourraient figurer dans un film de James Dean. Les paroles traitent également de sujets plus lourds, tels que le sentiment de solitude face à un amour passé et lointain sur « Good Ol’ Days », où l’impression de ne pas trouver sa place avec « Too Nice for Rock ‘n’ Roll ». La chanson la plus poignante et ayant la plus grande signification est le titre acoustique « 13″, un véritable cri du cœur en hommage aux victimes du Bataclan. Cela dit, le Laura Cox Band ne serait pas pleinement un groupe de rock & roll s’il n’abordait pas les thèmes récurrents et incontournables du genre. La fête et ses excès sont à l’honneur sur les incontournables « If You Wanna Get Loud (Come to the Show) », « Hard Blues Shot », et « Going Down ». Bien conscient d’être à contre-courant de la scène française actuelle, le Laura Cox Band veut faire de sa différence une force, en continuant à jouer la musique qu’il aime : du rock old school dans sa forme la plus simple. Les 10 morceaux de cet album sont particulièrement aboutis, mis en valeur par une production idéale pour apprécier ces brûlots dans le plus pur esprit du Hard Rock seventies !

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Concert Monkey.be 08/04/17

LAURA COX BAND - HARD BLUES SHOT https://www.lauracoxband.com/ https://www.facebook.com/lauracoxofficial/ Laura Cox is een jonge Franse gitariste die opgroeide met de songs van The Band, ZZ Top, Johnny Cash, The Dire Straits en de Rickenbacker van Roger McQuinn. Pas op veertienjarige leeftijd begon Laura zelf op de gitaar te spelen. In 2008 begon ze met filmpjes op YouTube te plaatsen en sindsdien is ze uitgegroeid tot één van de bekendste vrouwelijke gitaristen op het internet. Ze heeft meer dan tweehonderdduizend volgers op YouTube en is al meer dan zevenenveertig miljoen maal bekeken. De droom van Laura was en is nog steeds om van muziek haar werk te maken, dus moest ze overstappen van het virtuele naar het echte leven. Ze besloot om samen met de jonge gitarist Mathieu Albiac, die dezelfde muzikale passies heeft als Laura, een eigen band op te richten. In 2013 werd de Laura Cox Band geboren, een band die de voorkeur geeft aan goede zware riffs en een geluid dat een combinatie is van classic rock en Southern rock. In 2014 werd met 'Cowboys & Beer' een eerste single opgenomen. Een country song die geschreven werd door Laura en Mathieu. Door deze single kregen ze aanvragen om op een paar festivals te spelen. In 2015 veranderde de band van samenstelling en ze bestaat nu uit zangeres/gitariste Laura Cox, gitarist Mathieu Albiac, drummer Antonin Guérin en bassist Francois Delacoudre. De band heeft het gevoel eindelijk compleet te zijn en met 'Hard Blues shot' verscheen op tien maart 2017 hun debuut album. Het album opent met de titeltrack 'Hard Blues Shot', dat met een zware gedreven bass riff van Francois Delacoudre op gang getrokken. Eenmaal de gitaren en het slagwerk hun intrede doen, gaan alle registers open. Meteen laat Laura al haar klasse horen op haar Gibson, maar ook haar stem kan bekoren. In deze mix van bluesrock en Southern rock wordt het gaspedaal volledig ingedrukt vanaf het begin tot de laatste noot is uitgestorven. Het viertal blijft er stevig tegenaan gaan in de heavy rocker 'The Australian Way', waarin de frontvrouw uithaalt met een verschroeiende gitaar solo. De voet wordt van het gaspedaal gehaald voor de mooie Southern rock ballade 'Good Ol' Days', dat het verhaal vertelt van de confrontatie met de eenzaamheid na een afgebroken liefdesrelatie. Met een vlijmscherpe gitaar riff wordt de Texaanse Southern rocker 'Too Nice For Rock'n Roll' ingezet. Het refrein nodigt uit om mee te zingen en zal zeker en vast zalen en festival weides in vuur en vlam zetten. Ook 'Morning Road' heeft dezelfde capaciteiten als zijn voorganger. Drummer Antonin Guérin en bassist Francois Delacoudre zorgen voor de stuwende rock groove en gitariste Laura Cox zorgt met zinderend en vlijmscherp snarenwerk voor de apotheose. De vreemde eend op dit album is ongetwijfeld 'Barefoot In The Countryside'. Dit old American bluegrass nummer is voor mij één van de beste songs op het album. Het nummer wordt erg knap opgebouwd en kent verschillende sfeer en ritme wisselingen en dat komt de song alleen maar ten goede. De banjo is fenomenaal en maakt van 'Barefoot In The Countryside' een topper. Na een paar raken slagen van drummer Antonin Guérin in 'Take Me Back Home' gaat Laura verschrikkelijk te keer op de snaren van haar six string met vlijmscherp en verschroeiend snarenwerk tot gevolg. De gitaar liefhebbers kunnen nogmaals hun hartje ophalen. Dit is Old school rock zoals hij moet gespeeld worden, namelijk met een stomende groove en gitaarwerk dat door merg en been gaat. Laura Cox haar goede stem geeft het nummer nog wat meer power. De band blijft vol gas geven tijdens 'If You Wanna Get Loud'. Het nummer heeft een uitstekend refrein en het is muziek die nogal wat volume mag hebben, zoals de titel al aangeeft. Zorg dat je alleen thuis bent en draai de volumeknop stevig naar rechts en de muziek op 'Hard Blues Shot' zal nog beter klinken. Nog een nummer dat live zeker voor vuurwerk zal zorgen en tevens een song waarin de headbangers zich volledig kunnen uitleven is 'Going Down'. Al de kwaliteiten van de Laura Cox band zitten in dit nummer, waaraan voor mij geen einde hoeft te komen. In het semi akoestische '13' klinkt de stem van Laura als een pijnvolle schreeuw uit het hart. De zangeres wisselt het Engels af met het Frans, in deze hommage aan de slachtoffers van dertien november in de Bataclan tijdens het concert van The Eagles Of Death Metal. Het is na zoveel instrumentaal geweld wel een apart en beklemmend nummer om het debuut album ' Hard Shot Blues' mee af te sluiten. De liefhebbers die houden van een mix van old school rock, Southern rock en heavy rock gaan zeker aan hun trekken komen met deze 'Hard Shot Blues' van de Laura Cox Band. Hopelijk zien we deze band binnenkort ook op festivals en clubs in België, want Laura Cox is een uitstekende gitariste en zangeres. (7,5/10) Walter Vanheuckelom

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Zicazine 13/04/17

LAURA COX Ecrit par Yann Charles jeudi, 13 avril 2017 LAURA COX https://www.lauracoxband.com/ Remerciements : Maxime et Sabrina (Verycords), Le Dr Feelgood Les Halles. Laura Cox est une jeune guitariste française pour qui « un bon gros riff vaut mieux qu'un refrain pop ». Et c'est vrai que son premier album « Hard Blues Shot » sent bon le rock old school dans sa plus simple forme. Un mélange de rock australien et de rock sudiste texan, avec des touches de country et de bluegrass. Et comme en plus elle ne fait pas semblant quand elle envoie ses solos, il ne nous en fallait pas plus pour vouloir faire sa connaissance. Bonjour Laura, pouvez-vous vous présenter pour nos lecteurs ? Bonjour, Je m'appelle Laura Cox Je joue de la guitare depuis une dizaine d'année, et j'ai été découverte grâce à des vidéos que j'ai diffusées sur YouTube en 2008. Cela fait maintenant trois ans que j'essaie de monter mon propre groupe et depuis un an et demi maintenant, on a le line up définitif. On commence à tourner et on a sorti notre premier album le 10 mars, signé chez Verycords, et on est très content. Comment êtes vous arrivée à la musique ? Bonne question. En fait tout naturellement, personne ne m'a forcée. Mes parents n'étaient pas du tout musiciens, ni personne d'autre dans ma famille. Mais par contre ils écoutaient et me faisaient écouter de la bonne musique quand j'étais petite. Et je pense que c'est cela qui m'a donné envie de jouer de la guitare, puis de chanter accessoirement, mais principalement je voulais jouer de la guitare. Mais je n'ai pas commencé très tôt, vers 14 ans je crois. Pourquoi la guitare, et pourquoi ce style de musique ? En fait on écoutait beaucoup de rock et dans le rock, ce qui te saute à la figure en premier, c'est la guitare, la rythmique certes, mais surtout les solos. Et je me suis dit que j'aimerais bien faire pareil que mes guitaristes préférés. Comment définissez-vous votre musique ? Blues, rock ? Globalement on dira que c'est principalement du classic rock, mais avec diverses influences comme la musique sudiste voir un peu country parce que c'est un style que j'apprécie, mais je ne voulais pas faire un album 100% country ou rock sudiste parce que ce n'est pas ce qui me résume le mieux. Et puis c'est assez confidentiel au niveau public. Mais je voulais quand même les inclure dans les autres influences comme le rock ou hard rock australien comme AC/DC ou Airbourne et voilà ce que ça a donné. On trouve aussi du bluegrass ou du blues ? Oui, c'est ça. Globalement cet album nous reflète bien. On touche un peu à tous les styles qu'on apprécie. Peut être que par la suite, sur un deuxième album, le but sera d'arriver à ancrer une empreinte ou une signature à notre musique. Mais là, pour ce premier album, c'est ce qui nous ressemble le plus avec nos diverses influences. Qui a écrit les textes ? On se partage la tâche avec Mathieu, l'autre guitariste, et moi. On est compositeurs tous les deux, autant pour la musique que pour le texte. Oui, c'est 50 / 50 entre lui et moi.

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Zicazine 13/04/17

Pourquoi pas de textes en français ? Mis à part une phrase dans une chanson … Tout simplement parce que je n'écoute pas vraiment de musique et de rock français. J'ai toujours écouté de la musique rock anglo-saxonne donc forcément je suis plus allée vers des types de compositions en Anglais. J'avais envie de faire de la musique qui ressemble à ce que j'aime et que j'ai l'habitude d'écouter. Même si on est en France et que je suis Française, j'avais envie de garder cet esprit là. Je sais que j'ai pas mal de fans étrangers sur Facebook qui me demandent si je vais faire des chansons en Français car ils aimeraient bien m'entendre dans ma langue. Ca a un petit côté exotique pour eux. Mais pour l'instant ce n'est pas prévu. Bien que pourquoi pas une chanson. Oui c'est à voir … Et puis le fait de chanter en Anglais te permet aussi de pouvoir t'exporter peut être ? Oui, il y a ça aussi bien sûr. C'est vrai que ça aide. Même si je n'avais pas pensé à ça. Mais c'est surtout que ma vision de la chose sont des textes sans prises de tête, plus tournés vers l'ambiance fête et rock’n’roll. Ce qui n'est pas évident à faire en Français. L'Anglais s'y prête mieux. Question misogyne, c'est pas trop compliqué pour une femme dans ce milieu ? Non. Jusqu'à maintenant j'ai été plutôt bien accueillie. Il y a bien quelques festivals avec quelques mecs un peu bourrés qui te font quelques réflexions, mais c'est rare. Globalement l'accueil est plutôt positif et ça fait même plaisir je pense. Et puis j'ai trois garçons qui m'entourent et qui peuvent me défendre. (Rires) Combien de temps pour écrire, composer et enregistrer cet album ? Ca a mis du temps. La phase d'écriture, on l'a commencée alors que l'on n'avait même pas encore envisagé de sortir un album. Je pense que les plus vieilles chansons doivent dater de 2011. Après, elles ont été retravaillées, réarrangées. Donc c'est difficile de dire le temps que ça a pris pour l'écriture en elle même. Par contre, l'enregistrement a pris plus de temps que prévu. On pensait le faire en deux semaines l'été dernier, mais ça n'a pas pu se faire aussi rapidement. Et ensuite tout le monde reprenait le boulot, donc on a calé des sessions par ci, par là, et ça s'est étalé, on va dire entre août et octobre. Pour l'enregistrement, c'était en one shot ? Comme c'est un premier album, je ne voulais pas faire du live. Je voulais qu'on sente que c'était bien travaillé, et pas un truc fait à l'arrache. Mais pour garder ce côté énergie live, le batteur et le bassiste ont enregistré en même temps, pour avoir une base rythmique solide et vivante. Le reste on a enregistré instrument par instrument, pareil pour le chant. Vous allez emmener cet album sur les scènes ? A t il été composé en pensant à la scène, au live ? Toutes les chansons avaient d'abord été jouées sur scène avant d'être enregistrées sur l'album. Donc oui, elles ont été composées pour être jouées live. Et c'est vrai que ça donne une dimension différente quand tu les joues live ou quand tu les écoutes en version studio. La set list sur scène, ce ne sera que l'album ou quelques reprises ? Avec l'album on n'a pas assez de titres composés pour tenir tout un concert donc on est obligé de faire quelques reprises. A terme oui, j'aimerais bien pouvoir faire un concert uniquement avec nos compositions. On vous a connu via vos vidéos sur YouTube, c'est actuellement un des meilleurs moyens de se faire connaître ? YouTube je ne sais pas, mais internet oui. C'est vrai que moi j'ai eu de la chance, car en 2008, il n'y avait pas beaucoup de filles qui jouaient de la guitare électrique qui postaient des vidéos. A la base, je ne cherchais pas particulièrement à me faire remarquer, mais bon, ça a pris, avec de plus en plus de vues. Mais maintenant, je pense que ce serait plus compliqué car c'est bien saturé sur internet. Tu trouves beaucoup de filles ou de gars talentueux, c'est une vraie mine d'or, mais il y a énormément de monde, donc forcément c'est plus compliqué d'émerger.

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Sortie le 10/03/2017

Zicazine 13/04/17

Tu as eu de la chance, ou tu es tombée vraiment au bon moment ! Oui c'est ça. Même si je te dis, ce n'est pas forcément ce que je recherchais. En fait je m'y suis intéressée parce que je cherchais des vidéos de tutoriels ou de leçons de guitare, puis j'ai regardé mes guitaristes préférés pour apprendre. Et ça m'a motivé pour poster mes propres vidéos. Quelles sont tes références musicales ? Côté rock et hard rock, AC/DC, Airbourne comme je le disais avant. J'ai des modèles, mais qui ne sont pas forcément des influences sur ma musique, comme Joe Bonamassa par exemple. Techniquement je pense que c'est le meilleur. Il a un toucher particulier qui m'émerveille à chaque fois, mais qui n'est pas une influence de notre musique car on est moins blues traditionnel. Il y a des guitaristes de country aussi, comme Brad Paisley ou Johnny Hiland. On sent cette influence country dans mon jeu car j'ai développé une technique à la main droite qui est proche des techniques country qui utilisent à la fois médiator et doigts. Sinon côté hard sudiste, ce serait ZZ Top ou Lynyrd Skynyrd. Voilà, un mélange de tout ça. La prochaine étape c'est quoi ? On va enchaîner pas mal de dates pour emmener cet album partout où on peut. Et puis par la suite, on va se lancer dans la composition d'un deuxième album car j'ai envie que ça suive. Je n'ai pas envie d'attendre trois ou quatre ans avant que le second album ne voit le jour. Pouvez-vous définir le groupe en deux ou trois mots ? J'allais dire comme c'est écrit dans la bio. « Des jeunes qui font de la musique de vieux ». (Rires). Non, c’est trop facile ça ! (Rires) Faut que je réfléchisse … Je dirais : old school, dynamique, efficace ou percutant ! On n'y va pas par quatre chemins, on va droit où il faut. Quel est le dernier album que vous avez écouté ? Le dernier album de Rival Sons, « Hollow Bones ». Dans les derniers groupes récents, c'est un groupe que j'aime beaucoup et que je suis ! Merci Laura pour cette interview Merci à toi Propos recueillis par Yann Charles

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Rock Hard 13/04/17

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Sortie le 10/03/2017

Ride The Sky 04/12/16

Interview Laura Cox Band @ Guyancourt (78) le 1er décembre 2016 Publié : 4 décembre 2016 par Alain B. dans Interviews, Musique Tags : AC/DC, Classic Rock, Hard Rock, Joe Bonamassa, Laura Cox, Laura Cox Band, Mark Knopfler, Muzivox, Slash, Verycords, ZZ Top Entretien avec la chanteuse / guitariste Laura Cox réalisé par Alain BOUCLY pour Ride The Sky, le 1er décembre 2016 à Guyancourt – « La Batterie » – Peux-tu décrire ton parcours depuis que tu as commencé la musique ? J’ai commencé la guitare à 14 ans, et pris des cours pendant 4 ans, ce qui m’a bien aidé pour acquérir les bonnes habitudes. J’ai arrêté par la suite quand j’ai senti que je pouvais me débrouiller seule. Cela fait maintenant 8 ans que je progresse ainsi, et même si c’est un peu plus difficile, la motivation est maximale. Les premières vidéos ont été postées sur YouTube après 2 ou 3 années de pratique. Celles ci ont fait un petit Buzz, et de fil en aiguille le groupe s’est créé en 2013. Cela fait plaisir de voir qu’aujourd’hui, nous sommes sur la bonne voie et que tout avance positivement. – Parles nous un peu de tes influences… Globalement, ce j’écoute une variété de styles qui va du Bluegrass au Metal, Quant aux guitaristes, Slash, Mark Knopfler et Joe Bonamassa font partie de mes principales influences. Je trouve que Joe Bonamassa est le meilleur techniquement ! Mais la musique jouée par groupe est principalement orientée vers le Country Rock et le Hard Rock. – Tu as commencé à te faire connaitre en postant des vidéos de reprises sur YouTube. Comment t’est venue cette idée et de quelle manière as-tu réagi quand tu as vu le nombre da vues augmenter considérablement? Lorsque j’apprenais la guitare, l’idée m’est venue en passant beaucoup de temps à visualiser sur YouTube les vidéos de guitaristes qui interprétaient des covers. Du coup, ça me motivait pour jouer, et comme j’appréciait ces vidéos là , j’ai eu envie de faire la même chose. Après, l’augmentation du nombre de vues est arrivée progressivement d’une année sur l’autre. De voir l’ampleur que cela a pris fait vraiment plaisir, car je n’ai rien fait pour, juste posté la musique que j’aime. – Quelles sont les covers que tu préfères jouer ? Au départ, je préférais jouer les solos, alors que maintenant je prend également plaisir à faire les rythmiques, l’accompagnement. Mais j’ai de moins en moins l’occasion de jouer des reprises, car la priorité actuelle est avant tout de développer le groupe et ses propres compositions. Du coup, je commence à perdre ce que j’ai appris et connaissait par cœur même si je continue à en écouter. Par contre, ZZ Top reste une des seules covers que nous continuons à faire. – Quelle définition donnerais-tu à la musique de Laura Cox Band?

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Sortie le 10/03/2017

Ride The Sky 04/12/16

C’est du « Classic Rock », qui n’est pas un genre très à la mode en ce moment en France. C’est de la musique de « vieux »! On va dire ça: Si tu veux une définition, c’est du rock pour « vieux » ! (rires) Mais c’est ce qui nous plait, car nous avons tous des influences diverses et variées mais nous nous rejoignons sur ce point là. – Tu assures le chant tout en jouant de la guitare. Pourquoi as-tu pris cette option ? Au début, nous nous sommes demandés si nous n’allions pas prendre un autre chanteur. C’est peut être un peu égoïste, mais finalement, je souhaitais que ça reste mon projet car j’avais envie de garder le contrôle du groupe. Je me sens vraiment davantage guitariste que chanteuse, ce qui est encore le cas maintenant. Mais l’envie de trouver un équilibre me motive à prendre des cours de chant, afin d’avoir un niveau équivalent dans les deux domaines. – Peux-tu présenter les musiciens qui t’entourent ? Mathieu Albiac à la guitare, avec lequel j’ai formé le groupe. C’est avec lui que nous avons débuté l’aventure, créé les premières compositions en 2012, puis lancé le groupe un an après. Nous avons exactement les mêmes influences, on peut dire que c’est moi en garçon ! Mathieu: Laura a aussi des influences Country et sudiste, alors que de mon côté, AC/DC est bien présent. Cela a permis d’injecter ce style avec le sien et réciproquement, ce qui donne une bonne complémentarité. Laura: Nous avons trouvé plus récemment Antonin qui officie derrière les futs. La démarche s’est faire par internet, et je dois dire que je n’affectionne pas ce type de recherche. Mais n’ayant aucune autre possibilité, ni d’autres contacts, il y a eu cette chance qui a permis d’intégrer Antonin. Et pour François, cela s’est fait naturellement, en allant voir en concert un de mes amis Julien Bitoun avec lequel il jouait. Nous avons sympathisé et il s’est montré intéressé et motivé pour venir avec nous. – Ce sont eux qui ont participé à l’album ? Nous y avons tous participé. Les compositions viennent de Mathieu et moi. Ensuite on peaufine et on gère les arrangements avec l’ensemble du groupe. – Parlons un peu de votre futur album, de son enregistrement et de son contenu… L’enregistrement qui a eu lieu durant les mois d’août et septembre est terminé. Il reste le mastering des fichiers audio à finaliser, ainsi que le pressage et l’artwork de la pochette. L’album contiendra 10 morceaux et aura pour titre « Hard Blues Shot ». – Quand est prévue sa sortie ? Il sortira chez « Verycords » en février / mars 2017. – Pour terminer, as-tu un message à transmettre aux lecteurs de Ride The Sky ?

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Ride The Sky 04/12/16

Continuer à écouter de la musique de vieux ! (rires) Et n’hésitez pas à venir nous voir en concert! Nous avons déjà de nombreuses dates prévues pour 2017, grâce à Kriss (Manageur et tourneur de Laura Cox Band ndr) de chez Muzivox qui nous fait tourner. Nous serons très heureux de vous rencontrer à cette occasion.n Merci Laura pour ta patience et ta disponibilité. Merci à toi ! Réalisation & Photos: ©2016 Alain BOUCLY

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Sortie le 10/03/2017

MyRock 04/17

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Sortie le 10/03/2017

Yonne Mag 22/04/17

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Sortie le 10/03/2017

Guitare Xtreme 05/17

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Bassiste 05/17

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Bassiste 05/17

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Bassiste 05/17

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Sortie le 10/03/2017

Radio Metal 05/05/17

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Sortie le 10/03/2017

Le Parisien 18/05/17

Laura Cox Band "Hard Blues Shot", du hard blues chouette boule noire,blues-rock,classic rock,hard-rock,laura cox band J'aime beaucoup le Laura Cox Band pour deux raisons principales. D'abord, et surtout, sa musique me plaît. Ensuite, le groupe nous a totalement mâché le travail, à nous autres plumitifs, pour définir sa musique. Vous avez même le choix entre deux définitions : soit du "southern hard blues", soit de la "musique de vieux rockeurs alcooliques jouée par des jeunes Français en pleine forme" ! Car oui, malgré son nom, le Laura Cox Band est bien de chez nous, même si la charmante Laura, ci-devant chanteuse et guitariste, est née de père britannique. Et le quatuor donne donc dans un bon vieux hard rock'n'roll intemporel, avec quelques influences sudistes, voire country (le banjo est de sortie pour introduire des morceaux comme "Morning road" ou "Barefoot in the countryside"). Avec un titre d'album comme "Hard Blues Shot", les amateurs de Stromae ou Amir savent de toute façon qu'il est plus prudent de passer leur chemin. Ici, on cause gros riffs (le titre éponyme, "The australian way", "Take me back home", "Going down" rien à voir avec le classique de Don Nix), la guitare gémit, miaule et hurle, les synthés pointent aux abonnés absents, on tape du pied et on a envie de ressortir ses vieux disques de ZZ Top, Point Blank, AC/DC ("The australian way", on nous a prévenus) ou George Thorogood. Un créneau pas trop exploité en France, dans lequel Laura Cox et ses amis s'engouffrent avec talent aujourd'hui avec ce disque, et depuis des années sur le Net, où la comparaison avec Lita Ford revient souvent. Tout ceci, joué avec sérieux mais qui ne peut bien entendu prétendre innover en quoi que ce soit, a vocation à être entendu live. Nous serons au concert de la Boule Noire, à Paris, le 27 mai. Le groupe se produira ensuite, entre autres, à Cast (29) le 3 juin, à Poitiers le 1er juillet, à Saint-Vincent du Mercuze (38) le 2, et au festival Blues Passion de Cognac le 6 juillet.

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Ride The Sky 21/05/17

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Sleaze This City 21/05/17

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Laura Cox Band Hard Blues Shot

Sortie le 10/03/2017

Guitarist Magazine 21/05/17

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Sortie le 10/03/2017

Sur la route 66 02/06/17

Nda : Révélée par de nombreuses vidéos, patiemment mises en ligne sur un célèbre site de partage, Laura Cox devient (dès 2008) l’une des guitaristes les plus suivies de sa génération (220.000 abonnés sur sa chaine YouTube, pour une bonne cinquantaine de millions de vues !). Armée d’un immense talent et d’une touchante sincérité, elle fonde le Laura Cox Band en 2013. Très vite son (déjà) large cercle de fans s’agrandit et les concerts s’accumulent à la vitesse d’un solo exécuté par Steve Vai. Naturellement, la concrétisation arrive en même temps qu’un premier album, « Hard Blues Shot » (label Verycords), qui trouve sa place parmi les sensations musicales de l’année 2017. De quoi titiller la curiosité de n’importe quel amateur de musique, surtout s’il tient un micro dans l’une de ses mains… Laura, on sait que tu as grandi au sein d’une famille franco-anglaise. Cette dernière porte-t-elle un intérêt spécifique pour la musique et a-t-elle joué un rôle formateur en ce qui concerne ton apprentissage de cet art ? Cela a joué mais, malheureusement, je pense avoir surtout été élevée « à la française ». J’ai toujours vécu en région parisienne et mon père, bien qu’anglais, ne m’a jamais parlé dans sa langue maternelle (rires). De ce fait, j’ai tout d’une petite française. Cependant, j’ai toujours écouté de la musique anglo-saxonne…ce qui a, probablement, déclenché mon intérêt pour la guitare ! Dès mon plus jeune âge, je me suis passionnée pour la country music, le classic rock et le hard rock.66 Des influences qui se ressentent, aujourd’hui, nettement dans ta musique. Ceci-dit, et pour revenir plus spécifiquement à la country, cette musique est riche d’une multitude de styles différents. Quels sont, à tes yeux, les artistes les plus importants dans ce domaine ? A l’époque, j’écoutais principalement Johnny Cash et Willie Nelson que mon père m’a fait découvrir. Actuellement, j’écoute davantage les « vrais » guitaristes orientés country. Des gens qui jouent en fingerpicking comme Brad Paisley (c’est, surtout, l’aspect instrumental de la musique de ce dernier qui m’intéresse) ou Johnny Hiland (qui n’est pas très connu, mais qui est un « monstre » de technicité en la matière). Dans ce domaine, ce que j’écoute se résume donc à un mélange de country traditionnelle et de new country instrumentale…avec un maximum de shred à la Télécaster (rires) ! T’es-tu intéressée à des artistes plus anciens, qui ont lancé cette mode de la country instrumentale (des gens tels que Chet Atkins par exemple) ? Très peu… J’ai tendance à ne pas trop me diversifier en ce qui concerne mes influences. C’est, peut être, une erreur et je sais que je devrais davantage partir à la découverte de sons que je ne connais pas encore de manière suffisante. Il est vrai qu’il me faudrait plus écouter quelqu’un comme Chet Atkins… Tu as commencé la pratique de la guitare alors que tu étais âgée de 14 ans. Maitrisais-tu un autre instrument auparavant ? Non, je n’étais pas musicienne avant de commencer la guitare. J’avais juste acheté un petit clavier mon m’amuser chez moi…mais je ne me suis jamais considérée comme pianiste. Aujourd’hui, il y a d’autres instruments qui m’attirent mais je ne souhaite pas me disperser de peur de ne rien faire suffisamment bien. J’essaye donc de me concentrer au maximum sur la guitare. Ceci-dit, si le pouvais, j’apprendrais mieux la basse et la batterie. Récemment, je me suis mise au banjo…ce que j’ai envie de développer davantage. En effet, cet instrument m’intéresse vraiment.

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Pourquoi ce choix de la guitare ? Je n’ai pas vraiment choisi cet instrument puisque, écoutant du rock, sa sonorité (les solos, les riffs…) m’a naturellement touchée. C’est, davantage, une évidence en ce qui me concerne. Ton apprentissage s’est-il déroulé auprès d’un professeur ou étais-tu autodidacte ? J’ai commencé en prenant des cours et cela m’a bien aidée ! J’avais un excellent professeur qui m’a enseigné de nombreuses choses durant 4 ans. Ainsi, je n’ai pas pris de mauvaises habitudes ni de mauvais réflexes. Puis j’ai arrêté car, logistiquement parlant, c’était assez compliqué (nous habitions loin l’un de l’autre, ce qui nécessitait des voyages en train etc.). J’ai donc continué à bosser toute seule… Je t’ai observée, durant le soundcheck qui vient de se terminer. Pendant les réglages tu continues à t’exercer. Joues-tu en permanence ? Non mais il est vrai que, pendant les balances, j’essaye de me chauffer la voix ou les doigts lorsque l’on n’a pas besoin de moi. Sinon, de manière générale, la durée de mes entrainements est très variable. Cela peut aller de rien à 7 heures par jour. Je ne me fixe jamais de planning type, je ne joue que lorsque j’en ai envie. C’est, peut-être, un défaut mais je ne tiens pas à rentrer dans une routine d’échauffement. Tu es très jeune, on peut dire que tu fais partie de la génération 2.0. De ce fait, tu connais la puissance d’internet. Malgré cela t’attendais-tu à un tel succès sur la toile, suite aux vidéos que tu as pu y poster (suscitant, au passage, l’intérêt de millions de personnes) ? Non, mais le succès n’est pas venu d’un coup…de nulle part. J’ai commencé à poster en 2008 et tout s’est mis en place petit à petit. Dès le début, j’ai senti que les gens accrochaient car, à petite échelle, je récoltais déjà pas mal de réactions positives. Un après-midi, alors que je passais déjà beaucoup de temps à regarder des guitaristes qui m’impressionnaient sur YouTube, je me suis dit que je pourrais faire la même chose qu’eux. Ceci dans le but de motiver d’autres personnes et de me faire plaisir. Je suis donc partie de cette idée, sans arrière pensée et sans attendre quoi que ce soit. Le résultat est positif et j’en suis contente…ça a donné quelque chose (rires) ! Tu as regardé beaucoup de vidéos et tu as pris des cours de guitare. As-tu également appris certains rudiments de cet instrument en t’appuyant sur internet ? Actuellement, je me concentre vraiment sur le groupe et j’ai tendance à ne plus trop chercher des outils pédagogiques sur internet. Je le faisais il y a quelques années car, dans cette optique, certains sites sont vraiment bien construits. Je me souviens d’un guitariste, Doug Seven (spécialisé dans la country), qui m’a permis d’acquérir de nombreuses connaissances. J’avais téléchargé ses leçons… Je devrais, peut-être, m’y remettre mais j’ai moins le temps et moins de motivation pour cela. En effet, je me consacre à fond sur nos compositions et sur nos concerts. Tu viens d’évoquer ton groupe, Laura Cox Band, dans quelles circonstances l’as-tu fondé. Peux-tu me présenter les membres qui le constituent ? J’ai mis un peu de temps car, au début, j’étais juste présente sur YouTube. Puis, j’ai rencontré Mathieu Albiac (deuxième guitariste du Laura Cox Band) qui m’a poussé à former le groupe. Nous nous sommes rencontrés en 2010 et nous avons commencé à nous pencher sur la question en 2011. Ce n’est que 2 ans

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plus tard que le combo a fait son apparition sur scène. Nous n’étions pas, spécialement, intégrés au milieu de la musique. C’est pour cela que nous avons mis du temps à trouver une bonne section rythmique. Nous avons donc posté des annonces et, après plusieurs changements, nous avons pu mettre en place notre line up actuel…je suis très fière de ce dernier ! Nous y retrouvons le bassiste François C. Delacoudre (rencontré via un ami commun, également guitariste) et Antonin Guérin à la batterie. Nous avons fait la connaissance de ce dernier via un site. Comme quoi on peut, quand même, trouver des gens biens sur internet (rires) ! Il en résulte un premier album « Hard Blues Shot », quelle a été sa gestation…de quelle manière êtes-vous entrés en contact avec le label Verycords ? Avant de nous lancer dans l’enregistrement de l’album, nous jouions déjà sur scène (depuis 2 ans) les morceaux qui le constituent. Pour notre prochain disque, par contre, les chansons seront inédites… La plupart de nos fans connaissaient donc l’intégralité de « Hard Blues Shot » avant sa sortie (en dehors de 2 ou 3 titres écrits juste avant les sessions). Les morceaux ont été composés par Mathieu et moi-même, avant l’arrivée de François et Antonin au sein de notre formation. A l’heure actuelle, les idées de bases viennent toujours de Mathieu et de moi…puis nous signons les arrangements tous les quatre. En ce qui concerne Verycords (un label que je connaissais déjà, car c’est le plus important en ce qui concerne le rock et le hard rock en France), nous avons été mis en contact via une société de production qui est, globalement, gérée par certains membres des Fatals Picards. Ce groupe étant signé chez Verycords, tout à coulé de source et nous en sommes très contents ! Au final, de quelle scène te sens-tu la plus proche…avec le groupe, vous sentez-vous affiliés à une famille musicale en particulier ? Non…c’est une chose très compliquée et je ne sais pas si je vais trancher définitivement pour un registre ou si je vais rester entre plusieurs genres. Je pense que nous ne seront jamais 100% hard rock ou 100% country. Entre les deux, se trouve le rock sudiste qui est sensiblement la musique dont nous sommes les plus proches (avec le classic rock). Pour notre deuxième album, l’objectif sera de « resserrer » notre style et de créer une empreinte propre au Laura Cox Band. Ce sera compliqué car, comme je te le disais, j’aime aussi le bluegrass et il sera difficile de faire un choix. A l’heure actuelle, je ne pourrais pas te dire… En tout cas, votre registre actuel constitue une belle manière de faire tomber les barrières et (surtout) les étiquettes… D’autant plus que j’ai l’impression que ce genre n’est pas très répandu en France. On nous a, parfois, conseillé de changer notre façon de faire et de, par exemple, ajouter de l’électro à notre registre afin de le moderniser. Cela ne nous ressemblerait pas…nous préférons conserver cet esprit vintage et « old school ». Nous allons continuer de faire ce que nous faisons le mieux, en espérant que cela donne quelque chose. Nous essayerons aussi de tenter notre chance chez nos voisins européens… Quels sont les thèmes qui se dégagent le plus particulièrement de tes premières chansons ? Il s’agit des thèmes classiques du rock… Nous n’avons pas envie de « prendre la tête » aux gens avec des sujets « sérieux ». Je ne voulais, par exemple, absolument pas parler de politique… Je souhaitais, simplement, détendre les gens et faire en sorte qu’ils puissent décompresser après une journée de boulot. Nous évoquons donc l’alcool, la fête, les virées automobiles, les histoires d’amour (parfois compliquées)...

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Il y a, tout de même, un thème sérieux qui est abordé. Il s’agit de la chanson « 13 », que j’ai composée suite aux attentats du Bataclan… On vous entend, aussi, proclamer que « TV is shit » dans le morceau « Hard blues shot » qui a donné son nom à l’album. Vous vous « révoltez » face aux programmes qui peuvent être proposés aux gens, c’est en soit un acte politique… Vu sous cet angle c’est vrai ! Cela nous touche directement… A chaque fois que j’allume la télévision, je sais que je ne pourrai pas y voir (et entendre) de la musique qui me plait. Heureusement, il reste quelques radios qui se consacrent au rock et cela fait plaisir ! Nos paroles ne sont, cependant, pas toujours à prendre au premier degré même si je le pense. J’avais, avant tout, envie d’écrire cette chanson pour m’amuser… Il y a beaucoup de jeunes femmes, aujourd’hui, qui sont guitaristes dans le milieu du rock et du rock blues. Depuis quelques années, le label Ruf Records a même lancé les tournées itinérantes « Blues Caravan » qui mettent en avant les talents féminins issus de ces musiques. Adhèrerais-tu à ce type de démarches, si on te proposait d’en faire partie ? Pourquoi pas, mais de façon ponctuelle…pour rigoler. Je ne connaissais pas ce principe mais, à priori, pourquoi pas ? Malgré tout, je préfère tourner avec mon groupe et propager l’esprit du Laura Cox Band… Musicalement parlant, où souhaiterais-tu emmener ce Laura Cox Band ? Avec ta nouvelle passion du banjo, seriez-vous prêts à explorer des territoires plus acoustiques, plus bluegrass ? C’est à définir et c’est la grosse question du moment. Nous pensons à notre deuxième album et, maintenant, tout va venir très vite. Nous partons de zéro et commençons tout juste à sortir des ébauches de nouvelles compositions. Ces dernières sont moins hard, l’esprit est plus sudiste avec un peu de banjo et de dobro. Nous verrons ce que l’ensemble donnera car je n’arrive toujours pas à être fixée. Je vais suivre mon instinct et nous verrons comment sonne l’ensemble… Après ces premières années de carrière, as-tu ressenti que tu as « dragué » un public en particulier ? As-tu amené des amateurs de hard vers la country ou l’inverse ? Je n’arrive pas à savoir… Même si j’ai l’impression que notre public est, principalement, constitué de rockers (ainsi que des bikers). De toute manière, il y a peu d’amateurs de country en France. Ces genres musicaux ne sont, au final, pas si éloignés l’un de l’autre. De ce fait, je ne fais pas forcément de distinction entre les personnes. Je ne vais pas, non plus, faire des sondages après chaque concert…dans le but de savoir de quel univers viennent les gens et pourquoi ils sont venus (rires). En règle générale, notre public est, principalement, masculin avec une moyenne d’âge qui tourne entre les 40 et les 50 ans. C’est une chose assez normale car nous jouons une musique qui est, surtout, appréciée par la génération de nos parents. Souhaites-tu ajouter une conclusion à cet entretien ? Continuez à écouter de la bonne musique rock et faites vivre les radios ! Merci beaucoup pour cette interview ! Remerciements : Christophe « Jaja » Jardon (Muzivox), Sabrina Cohen Aiello et Maxime Bert (Verycords).

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Bien qu’elle ne soit pas née dans une famille de musiciens, l’influence d’un père anglais « qui écoutait beaucoup de bonne musique » (Dire Straits, AC/DC, Johnny Cash…) compte sans doute pour beaucoup dans l’adoption de la guitare par la jeune adolescente. Celle-ci commence à prendre des cours vers l’âge de 14 ans dans une école de musique. « Ça m’a beaucoup aidée, explique Laura, et ça m’a motivée surtout. » Elle se forme pendant quatre ans « avec un super prof », avant de continuer toute seule, en regardant notamment les vidéos de covers sur youtube. « Je passais des après-midi entières à regarder ça, et à essayer de refaire la même chose. » Un jour, elle se lance, avec sa webcam ! Sur des reprises de chansons qui lui plaisent (Offspring, Fall Out Boy…), avec bientôt une orientation « classic rock » (« J’ai vite bifurqué vers Lynyrd Skynyrd… »), soit pour des solos, soit pour des chansons entières. Comment passer des « covers » à ses propres chansons ? « J’étais bien toute seule dans ma chambre, en fait, juste à faire des reprises de solos connus », avoue Laura. Mais après huit années passées à jouer, l’intervention de Mathieu, futur guitariste rythmique du groupe, va faire bouger les choses et provoquer ce virage « du virtuel au réel » : « Bon allez, on sort de chez toi, et on va jouer ensemble ! », lui lance-t-il. A Laura (chant et guitare « plutôt lead ») et Mathieu se joindront bientôt Antonin et François (batterie et basse), pour une formation « classique rock » qui marche bien. Comme souvent, l’élaboration des chansons se fait collectivement. « Je compose le gros de la chanson avec Mathieu, à deux. On trouve les riffs. Les paroles, c’est parfois lui qui les fait. C’est vraiment 50/50 entre nous deux. Et après, on réarrange la chanson à quatre », explique l’artiste. Depuis 3 ans (dont 1 an et demi avec le line up actuel), Laura a pris ses marques sur scène (« Je commence à être plus à l’aise »). Même si elle continue à « poster » régulièrement sur youtube, le groupe est effectivement devenu aujourd’hui une de ses priorités. « Je peux jouer de 0 minutes par jour à 6 ou 7 h, c’est vraiment très aléatoire… », reconnaît notre guitariste, qui « ne (s)e force jamais à jouer ». « Globalement, ce que je fais le plus maintenant, c’est que je répète nos morceaux, parce que c’est l’important. On essaie de rôder nos sets pour le live. J’essaie de bosser aussi les impros… C’était un peu mon point faible… ». Laura se retrouve donc « avec le pedalboard à (s)es pieds », pour essayer de se « mettre en situation pour les concerts ». Flanquée de son modèle signature Bacchus, une guitare japonaise équipée de micros Lolar (pour un son « un peu vintage, organique, comme j’aime bien ») qui, outre son nom sur la tête, porte ses initiales gravées à la 12e case, Laura Cox active ses pédales favorites, parmi lesquelles un overdrive SoloDallas (avec boost et compresseur intégré), émulant le grain généré par le système HF d’Angus et Malcolm Young dans AC/DC, et une pédale « boutique » française Anasounds (« J’ai été super séduite par l’esthétique de ces pédales »). « Ce que j’aime bien, reprend Laura, c’est être tout le temps en gros crunch sur mon Orange… Ensuite, je viens épaissir quand j’en ai besoin… La SoloDallas rajoute un petit tranchant, plus pour les riffs, qui ont besoin d’un peu plus de pêche au sein d’un morceau. L’Anasounds est souvent plus poussée, pour les solos. » Hormis ces influences « rock à la AC/DC », la musique de « Hard Blues Shot » recèle des couleurs « sudistes » (Lynyrd Skynyrd, ZZ Top…), voire même un peu country ou « presque bluegrass », notamment lorsque Laura se met au banjo, une direction qu’elle a envie de continuer à creuser (même si la guitare électrique reste son terrain favori). Sa technique de « Chicken Picking » à la main droite (souvent utilisée dans la country) installe d’ailleurs un trait d’union entre ces différents univers. « Ça me permet d’avoir la main calée sur le manche, de pas bouger, d’avoir un doigt plus ou moins par corde… Tout ce côté un peu « slowdown » me parle… ». Lorsqu’on évoque (comme un compliment !) le côté « non formaté » de sa musique, qui transparaît notamment lors des intros instrumentales de ses chansons, Laura trouve les mots justes : « Ça reflète bien notre amour pour la guitare… ». On ne saurait mieux dire !

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