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MonFinancier n°6 // Printemps 2011

Date post: 01-Mar-2016
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Magazine MonFinancier, courtier spécialisé en assurance vie, placements et défiscalisation.
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Printemps 2011 Tendance : Le point macro Épargner pour son enfant mineur Faut-il croire encore aux fonds en euros? LE JOURNAL DE MONFINANCIER # 6 INVESTIR DANS LE CINÉMA Entretien avec Agnès JAOUI et Brice CAUVIN
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Printemps 2011

Tendance : Le point macro

Épargner pour son enfant mineur

Faut-il croire encore aux fonds en euros?

Le JOURNAL De

MONFINANCIER

# 6

INvEstIR dANs lE CINéMAEntretien avec Agnès JAOUI et Brice CAUvIN

Page 2: MonFinancier n°6 // Printemps 2011

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Printemps 2011

SOMMAIRe eDITO

Tendance ..................................... page 4Avec Carmignac GestionLe point macro

FIcHe PRaTIQUe ............................ page 6Avec MonFinancier.comÉpargner pour son enfant mineur

L’acTU de MOnFInancIeR ............. page 8

InTeRVIeW ................................... page 10 Entretien avec Agnès Jaoui et Brice Cauvin

FOcUS ........................................... page 12 Avec Générali PatrimoineFaut-il croire encore aux fonds en euros

Le SaVIeZ-VOUS ? ....................... page 13 La loi de finance 2011

Edité par4, rue Beaumanoir35000 RENNESTéléphone : 02.99.30.06.43Mail : [email protected]

directeur de la publication : Mathieu NOGUERA GOMEZImprimé en FrancePhotographies : www.fotolia.frwww.morguefile.frPublicité : 02 99 30 06 43ISSn : En coursRcS editeur : 507 830 925 R.C.S. RENNES

Remerciements et collaboration :Gregory Bertrand, Ellie FéeJean-François FourcadeVictor Grosset, Yannick HamonRomain JanowskiBruno Peyraverney, Yann PoirierPascale & Vanessa

Les informations fournies dans Le Journal de MonFinancier sont uniquement à titre in-formatif. Elles ne peuvent en aucun cas ser-vir à la prise de décision des lecteurs dans un investissement ou un non investissement sur un support ou une valeur spécifique. La responsabilité du Journal de MonFinancier et de son éditeur MonFinancier Médias ne pourra être mise en cause suite à des dé-cisions prises en rapport avec le contenu du Journal de MonFinancier. Nous invitons donc nos lecteurs avant toute démarche à consulter un professionnel agréé.

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tENdANCE Avec Carmignac Gestion

Le point macro

Le Black Swan (cygne noir) possible du séisme Japo-nais semble avoir pris fin, au moins du point de vue boursier. Nous revenons donc à une situation qui res-semble à celle du début d'année.

• MonFinancier aime la volatilité qui semble vouloir se stabiliser sur des niveaux historiquement normaux, ce qui fait de nouveau apparaître la valorisation des mar-chés à la juste valeur des sociétés, de leurs résultats et prévisions, et non à l'émotivité.

• MonFinancier aime donc les actions, en sélection-nant des fonds de stock picking de qualité.Valeur Intrinsèque (Code ISIN FR0000979221), Echi-quier Agenor (Code ISIN FR0010321810)

• L'or, toujours soutenu par une demande robuste, a de l'avenir ; attention toutefois à de possibles consoli-dations de court terme.

• Les fonds flexibles sont toujours de bons compromis d'investissement sur les marchés.Echiquier Patrimoine (Code ISIN FR0010434019)

• MonFinancier aimait beaucoup les marchés émer-gents et les matières premières depuis 1 an. Les per-formances ont été telles que, force est de constater que l'espoir c'est réduit. JPMorgan Global Natural Ressources (Code ISIN LU0208853274), Fidelity Funds Emerging Europe Mid-dle East and Africa Fund (Code ISIN LU0303816705)

• MonFinancier aime moins : les obligations occiden-tales. Les taux remontent, conformément à nos pré-visions précédentes. MonFinancier est donc toujours négatif sur ce secteur.

L'avis de MonFinancier

au cours des derniers mois, les marchés financiers ont été marqués par un certains nombre de facteurs d’inquiétudes, qui ont pesé sur la progression des indices boursiers internationaux. Les événements en afrique du nord et au Moyen-Orient ont en particulier engendré des pressions accrues sur le prix du pétrole, tandis que la catastrophe au Japon suscitait une forte remontée de l’aversion au risque. cette actualité ne s’est pas révélée comme un coup de tonnerre dans un ciel bleu, mais s’inscrit dans une tendance lourde de hausse du prix des matières premières, notamment énergétiques, résultant pour une grande part d’une problématique de l’offre face à une croissance inexorable de la demande.

ce contexte a eu un impact particulier sur les pays émergents, la crainte d’une hausse durable du coût des matières premières, y compris énergétiques, y a renforcé les craintes d’une pression inflationniste mal maitrisée. Que cette frayeur ait par exemple entrainé la chute de l’indice Bovespa du marché actions brésilien depuis le début de l’année, nous semble néanmoins témoigner une défiance excessive et à courte vue du marché, ce pays étant à la fois un exportateur majeur de matières premières, notamment alimentaires,

auto-suffisant en pétrole et affichant des taux d’intérêt réels de près de 6%, signe d’une politique monétaire toujours très vigilante. De même, le recul du marché chinois, nous parait exagéré, et les données publiées en février confortent ce sentiment. La Chine bénéficie en effet d’une forte dynamique en termes d’investissements en infrastructures depuis 10 ans et le dernier plan quinquennal chinois devrait renforcer cette tendance. Si face aux pressions inflationnistes, les autorités chinoises ont bien entrepris des mesures de politique monétaire restrictives, nous estimons que nous arrivons au terme de ce cycle, même

si celles-ci sont certes susceptibles d’être poursuivies encore quelques mois. Nous ne pensons pas, en tout état de cause, que ces mesures soient à même de mettre en danger le dynamisme de la croissance en Chine, dont l’objectif de croissance reste fixé à 7% cette année, comme indiqué par le Premier Ministre Wen Jiabao. Nous estimons donc que les pays émergents conservent de fortes perspectives à moyen terme et ce en dépit, des interrogations à court terme liées au traitement de la problématique de l’inflation.

Quant aux pays développés, ils nous semblent profiter d’un dynamisme

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certain sur le court terme. En Europe, le mécanisme de sauvetage permanent tel qu’il se dessine illustre une volonté politique très forte des pays européen de garantir la pérennité de la zone euro. Autant d’éléments qui ont bénéficié d’une lecture plutôt positive de la part des marchés. Aux Etats-Unis, la publication de chiffres macro-économiques toujours bien orientés continue d’alimenter des perspectives positives. Néanmoins, à plus long terme, les facteurs d’interrogation demeurent. Au-delà des événements récents, les économies développées pourraient connaître une inflexion dans leur rythme de croissance. Les marchés devront tôt ou tard focaliser leur attention sur la fin de la politique monétaire ultra-accommodante des

Etats-Unis. Allié à la nécessité pour le gouvernement américain de mener une politique fiscale plus orthodoxe, cela pèsera inévitablement sur la croissance économique à venir. En Europe, l’austérité ambiante sera probablement bientôt accompagnée par des taux d’intérêt plus élevés, compte tenu du conservatisme de la BCE. Une situation qui n’est pas de bon augure pour la croissance économique de la zone euro. Cette moindre croissance dans les pays développés pourrait se traduire par une pression moindre sur les prix du pétrole, même si les tensions politiques internes dans les pays d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient se sont récemment accrues. Dans

ce contexte, notre positionnement en faveur des thématiques d’investissement liées à la poursuite d’une croissance domestique solide dans les grandes économies émergentes nous apparaît plus légitime que jamais.

ainsi, au-delà de la réaction émotionnelle des marchés face à un environnement géopolitique complexe, la tendance de long terme au rééquilibrage de la croissance mondiale en faveur des pays émergents reste à l’œuvre et les craintes inflationnistes devraient décroître et mettre un terme au cycle de resserrement monétaire de ces derniers mois. Dans cet environnement compliqué, nous continuons de surveiller attentivement les événements en cours tout en restant convaincu de la pertinence du positionnement de nos portefeuilles. Carmignac Gestion - Achevé de rédiger le 28 mars 2011.

Pendant les mois qui viennent, nous allons entrer dans une phase d'accélération de l'inflation avec la hausse du pétrole et des matières premières. Il va falloir ajuster nos comportements notamment en matière d'investissement. On évoquait il y a peu la remontée de l'inflation dans le monde. après les pays émergents, c'est au tour des etats-Unis et de l'europe. On fait le tour des placements pour voir ceux qu'il faut privilégier et ceux qu'il faut éviter en période d'inflation.

On commence par les livrets dont le livret A.

Les livrets sont indexés sur l'inflation. Leur rendement va donc suivre l'inflation. Donc bonne résistance à l'inflation mais au mieux on compensera la hausse sans jamais faire mieux.

Les obligations ?

Qui dit inflation, dit hausse des taux long terme. Et dans ce cas, mécaniquement les obligations baissent. Il faut donc privilégier les

obligations indexées sur l'inflation. Quel impact du coup sur les assurances vie en euros? En théorie impact négatif car ces fonds sont investis sur des obligations mais en pratique leur rendement augmente sur la durée avec la hausse des taux car une partie est investi sur des placements à court terme.

Les actions?

Là c'est plus complexe. Les Américains ont déterminé une règle qui a l'air de fonctionner. Une inflation inférieure à 2% et plutôt négative pour les actions, entre 2% et 5% c'est plutôt positif, au dessus de 5% cela devient très négatif pour les actions. Deuxième règle: il faut privilégier les secteurs à pricing power c'est-à-dire les entreprises qui peuvent répercuter les hausses de prix vers leurs clients sans subir de baisse de chiffre d'affaires comme le luxe, les entreprises technologiques mais également bien sur les minières et les pétrolières et éviter les entreprises qui subissent la hausse des prix comme la distribution ou

l'agro alimentaire.

L'immobilier ?

Valeur refuge par excellence contre l'inflation. En période d'inflation les prix de l'immobilier flambent. Sauf si l'inflation provoque une grave crise financière. Mais effet largement positif

Et enfin l'or.

L'or c'est lui aussi le placement inflation. Son cours profite à plein de tout dérapage de l'inflation. Nous entrons dans une ère où l'inflation va probablement se situer dans les 3 à 4% au minimum. Il va falloir ajuster nos comportements et nos investissements.

Rédigé par Gauthier Maes.

Où placer son argent en période d'inflation ?

Croissance économique +0,4 % au 4ème trimestre 2010

Inflation +0,5 % en février 2011

Chômage 9,6% au 4ème trimestre 2010 (DOM Inclus)

Consommation des ménages +0,9% en février 2011

Production industrielle +1,8% en janvier 2011

France : Indicateurs clés

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epargner pour son enfant mineur

Souvent négligée au profit de placements moins performants mais beaucoup plus usités tels que le classique Livret a, la souscription par un mineur d'un contrat d'assurance vie est pourtant tout à fait possible, sous réserve de respecter certaines règles du code civil et du code des assurances.

L'autorisation des représentants légaux

Lorsque les deux parents sont investis de l'autorité parentale - mineur sous administration légale pure et simple - il suffit que ces derniers signent le contrat au nom et pour le compte de leur enfant. (Dans le cas contraire, l'intervention du juge des tutelles sera nécessaire).

Le choix de la clause bénéficiaire

Toujours en vertu du respect des règles du code civil, le choix de la clause bénéficiaire est plus restreint que pour la rédaction d’une clause bénéficiaire par un majeur capable : seule la clause bénéficiaire « les héritiers de l'assuré », peut être envisagée.

La gestion du contrat

Le code civil recommande une gestion de « bon père de famille ». L’investissement envisagé se fait donc très majoritairement sur le support en euros (fonds à capital garanti) éligible au contrat d’assurance vie. Dans le cas le plus courant d’un mineur sous administration légale simple, Les actes de gestions réalisés en cours de vie du contrat doivent systématiquement être signés par les deux représentants

légaux de l’enfant mineur.

Pourquoi épargner pour son enfant mineur ?

Grâce à l'assurance vie, il est donc possible d'épargner dans un cadre avantageux pour ses enfants, dès leur naissance. Travailler sur une solution d'épargne en amont permet d'anticiper des besoins importants (permis de conduire, études, logement, etc.).

Quand la capacité d’épargne des parents le permet, la mise en place de versements programmés offre la possibilité de constituer une épargne beaucoup plus rapidement.

Notions de présent d’usage et de don manuel

anniversaires, fêtes, récompenses à un examen, sont autant d’évènements au cours desquels il est d’usage de donner une somme d’argent. En dehors de ces « périodes » et au delà d’un certain montant (non défini mais relatif à la cohérence entre le montant donné et le niveau de vie du donateur), la somme transmise peut ne plus être qualifiée de « présent d’usage » mais de don manuel. Ce dernier doit donc

être déclaré, sous peine de s’exposer aux risques civil et fiscal. Un acte sous seing privé, précisant la façon dont s'est effectué le don, peut être établi entre les parties. Le don peut être établi par-devant notaire. Il peut aussi simplement être enregistré auprès de l'administration fiscale. L'enregistrement confère au don une date certaine et permet de figer sa valeur à cette date de déclaration.

La souscription des enfants mineurs est acceptée par nos trois parte-naires assureurs, et donc possible sur les contrats MonFinancier Vie, MonFinancier Liberté Vie et Frontière Efficiente.Les versements effectués dans sur un contrat ouvert au nom d’un enfant mineur relèvent de la réglementation sur les donations.En l’absence de déclaration effectuée à la recette des impôts, le risque de voir l'administration fiscale qualifier cette opération de donation in-directe existe. Il faut ainsi être particulièrement vigilant sur le montant et la durée des éventuels versements, eu égard à votre propre capacité d'épargne. Ces versements doivent correspondre à une infime partie de vos revenus (et non de votre patrimoine) et ne pas constituer un acte d'appauvrissement à long terme.L'administration fiscale est plutôt tolérante à ce sujet (implicitement à hauteur du livret A) mais la vigilance reste de mise.

Bruno PeyraverneyDirecteur de l'épargne

Boîte à outils- Enregistrer un don manuel auprès

de l’administration fiscale : formulaire de déclaration n° 2735- Abattements sur les droits de donation :Depuis le 1er janvier 2011, en cas de donation, il est effectué un abattement :de 159.325 € par bénéficiaire, pour les enfants et donataires handicapés (sous certaines conditions), de 80.724 € entre époux, de 31.865 € par petit-enfant, de 5.310 € sur la part des arrière-petits-enfants. Ces abattements peuvent se cumuler. Ils s'appliquent par période de 6 ans.

L'avis de MonFinancier

Montant des versements programmés

Capital au terme d'unedurée de 8 ans

Capital au terme d'unedurée de 15 ans

Capital au terme d'unedurée de 20 ans

75 € 9 635 € 19 940 € 29 240 €

100 € 12 390 € 25 987 € 38 256 €

200 € 23 412 € 50 173 € 74 322 €

300 € 34 434 € 74 359 € 110 388 €

300 € 45 456 € 98 545 € 146 454 €

FIChE PRAtIqUE

Simulation effectuée sur la base d’un verse-ment initial de 1 000 € avec une hypothèse de rendement annuel de 4 %.

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MonFinancier récompensé par la Presse : un printemps qui chante !

Chaque prin-temps, l’actualité de l’assurance vie se décline au gré des concours, des classements et des récompen-ses délivrées par la presse spé-cialisée. Cette année encore, les contrats de MonFinancier – vos contrats – récoltent leur lot de distinctions : Deux des contrats MonFinancier réalisent la prouesse de se re-trouver tous les deux à la premiè-re place du classement d’Investir Magazine, avec 2 assureurs par-tenaires différents. Lauriers d’Or donc, pour MonFinancier Vie (e cie vie) ET MonFinancier Liberté Vie (ACMN Vie) !Nos deux contrats sont égale-ment les heureux lauréats du Label d’Excellence 2011 des Dossiers de l’Epargne.Enfin, du côté techno, le maga-zine Le Revenu distingue l’ap-plication iGenerali de Generali : Grand Prix de L’Interactivité pour une application iPhone à partir de laquelle vous pouvez notamment accéder à la consultation de votre contrat MonFinancier Vie.

L’Actu contratsMonFinancier Liberté Vie

118 – C’est le nombre de nouveaux supports auquel vous pouvez accéder dans le cadre du dernier référencement réalisé sur le contrat. L’offre financière comporte désormais 377 fonds : une gamme complète et évolutive.

MonFinancier Vie

Plus de gratuité – Depuis le 1er janvier 2011, tous les arbitrages réalisés sur votre contrat MonFinancier Vie sont gratuits. Tarification également supprimée pour l’option Dynamisation des plus values qui devient gratuite.

Options de gestion - Pour améliorer la souplesse de gestion du contrat MonFinancier Vie, nous l’équipons de nouvelles options de gestion : le transferts programmés, la limitation des moins values et la limitation des moins values relatives.

Accessibilité – Le versement complémentaire minimum est désormais abaissé à 450 euros, et, pour qu’ils soient encore plus accessibles, les versements programmés sont à présent possibles à partir de 75 €/ mois, une bonne occasion de mettre en place son épargne programmée sans frais!

Frontière Efficiente via MonFinancier

11 – Le contrat Frontière Efficiente par MonFinancier s’enrichit de 11 nouveaux fonds, portant son offre financière à 151 supports éligibles. Des opportunités d’investissement (voir par ailleurs) y sont régulièrement proposées.

evolution de votre interface MonFinancier.comAfin d’accompagner le référencement d’un grand nombre de nouveaux supports financiers à son offre assurance vie, MonFinancier équipe son site Internet d’un nouvel outil développé en partenariat avec Morningstar. En rubrique Nos Outils, vous avez désormais la possibilité de consulter les performances de tous les fonds éligibles à l’offre assurance vie de MonFinancier. : trier les supports par contrat, comparer graphiquement les performances des fonds, filtrer les OPCVM par secteur d’investissement, par société de gestion, etc …

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l'ACtUAlIté dE MonFinancier

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L'actu DéfiscalisationLes changements liés à la loi de fi-nances pour 2011 (voir article p.13) amènent à réfléchir sur les moyens qui s’offrent à vous pour alléger votre impôt au titre de vos revenus 2011 et/ou de votre facture ISF du mois de Juin 2011.

Afin de vous accompagner, comme à l’accoutumée, MonFinancierdéfiscali-sation sélectionne pour vous :

• Des exclusivités : avec le Groupe Hé-rodiade, coproduisez Le Prochain Film de Brice CAUVIN, avec Agnès JAOUI et Yann BARTHES « L’Art de la Fugue », et réduisez votre facture ISF et/ou IR (cf. Interview pages 10 et 11)

• Une gamme de FIP, FCPI IR et/ou ISF (de nombreux partenaires, de multi-ples secteurs d’investissement)

• Des solutions innovantes et « sur-mesure » d’investissement dans des PME : Arkéon Finance

Les frais d’entrée (dès 0%) appliqués par MonFinancierDéfiscalisation sont les frais minimum imposés par les sociétés de gestion. Nous nous enga-geons à nous aligner si vous trouvez moins cher ailleurs !

Retrouvez toute notre offre IR et/ou ISF sur :www.monfinancierdefiscalisation.com,

contactez nous :

attention : Certaines de nos offres sont limitées. Les enveloppes peuvent s’épuiser.Bien évidemment, nous sommes à vo-tre entière disposition pour répondre à l’ensemble de vos interrogations sur l’impact du vote de la Loi de Finances pour 2011 sur la gestion des valeurs mobilières de défiscalisation.

L’Actu PlacementsBooster son fonds en euros en investissant dans des parts de SCPI:

Face à la baisse générale des rendements 2010 * portant sur les fonds en euros, je suis régulièrement interrogé sur l’existence de solutions alternatives ou complémentaires présentant un bon couple rendement / risque, tout en excluant les actions, pour lesquelles vous êtes nom-breux à avoir été « échaudés ».

J’ai une vraie conviction pour les sociétés civiles de placement im-mobilier (SCPI), plus connues sous l’appellation de « Pierre Papier ». Elles ont pour objet l’acquisition et la gestion d’un patrimoine immo-bilier locatif. La gestion de ce patrimoine est confiée à une société de gestion qui se charge de le louer et de l’entretenir pour le compte des porteurs de parts. En contrepartie, elle leur reverse, sous forme de re-venus réguliers, une quote-part des loyers encaissés à proportion de leurs droits dans la SCPI, après déduction des différentes charges (frais d’entretien, de gestion locative, travaux…).

Elles offrent par conséquent la possibilité à un investisseur particulier d’accéder à un portefeuille d’actifs immobiliers via la souscription de parts.

Avant de souscrire un tel produit, il faut bien entendu rester vigilant sur les conditions d’éligibilité à l’intérieur du contrat d’assurance vie.

Fidèle à notre volonté de vous proposer des solutions pertinentes avec des frais négociés au plus bas, nous proposons actuellement une SCPI de rendement à l’intérieur d’un de nos contrats. (L’enveloppe est mal-heureusement limitée et peut être épuisée à tout moment)

Nous sommes à votre disposition pour répondre à vos éventuelles ques-tions et valider la pertinence de cette solution au regard de vos objectifs et de votre sensibilité.

Bruno Peyraverney,Directeur de l’Epargne, MonFinancier

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* exception avec le contrat MonFinancier Vie géré par e cie vie dont le rendement 2010 a été supérieur au rendement 2009 (4.10 % nets de frais de gestion en 2010 versus 4.05 % nets de frais de gestion en 2009).

3 bonnes raisons de réduire votre Impôt sur le Revenu dès ce printemps :

• les Fonds (FIP/FCPI) constitués avant le 1er jan-vier 2011 permettent de bénéficier d’une réduction d’impôt sur les droits d’entrée.• Investir dans un FIP/FCPI qui a déjà une antério-rité. L'épargnant « gagne » un an par rapport à une souscription en fin d'année.• Bénéficier d'une réduction d'impôt sur le revenu de 45 % (FIP Corse) : on ne sait pas à ce jour si, compte tenu des nouvelles contraintes de gestion, il y aura ou non un ou des Fip Corse(s) en fin d'an-née.

Conclusion : Il n’est jamais trop tôt pour bien faire.

dans le cadre de l’assurance vie, la ScPI de rendement est un pro-duit relativement rare qui révèle à mon sens de nombreux atouts:

• Un rendement très attractif• Une plus-value potentielle dans une optique long terme• Des performances historiques (en cumulant rendement et plus-

value) bien souvent supérieures à toutes les classes d’actifs sur la durée : 9 % de performance annuelle moyenne

• Un formidable outil de diversification vers l’immobilier de bureau et commercial

• Un cadre fiscal extrêmement avantageux lorsque le produit est logé dans l’assurance vie

• Un faible ticket d’entrée pour investir dans l’immobilier, tout en étant déchargé du soucis de gestion

• Un placement potentiellement décorrelé des actions

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INtERvIEW

Agnès JAOUI et Brice CAUVINInterview croisée Agnès JAOUI / Brice CAUVIN pour MonFinancier

Brice, pourquoi avez-vous choisi d’adapter le roman de l’américain Stephen McCauley « L’Art de la Fugue » et est-ce un projet que vous « portez » depuis longtemps ?Brice cauvin : La raison principale pour laquelle j’ai eu envie d’adapter ce roman c’est son universalité, son humour novateur et original et surtout le fait qu’il y avait un rôle formidable pour Agnès Jaoui.

Agnès, Brice pourquoi vous êtes-vous choisis ? Agnès, qu’est ce qui vous a fait accepter d’être dirigée par Brice ? Brice, pourquoi Agnès s’imposait-elle comme premier rôle féminin ?agnès Jaoui : J’aime l’univers de Brice, j’aime son incroyable obstination et il en faut pour faire ce métier, la sienne est incroyable et j’aimais Stephen McCauley avant

de rencontrer Brice et pourtant je connais Brice depuis un certain temps..Brice : Moi aussi je connaissais Steve McCauley avant de rencontrer Agnès c’est d’ailleurs sur ça qu’on s’est rencontré car on aimait tous les deux cet auteur.agnès Jaoui : Il nous a réunis.

Agnès Jaoui, quelle part avez-vous pris dans l’écriture du scenario ?agnès Jaoui : Je l’ai lu et j’ai donné mon avis plusieurs fois naturellement.

Agnès, Brice, vous avez la même sensibilité artistique, qu’est ce qui définit selon vous une « comédie populaire française de qualité » ?Brice cauvin : La possibilité de rire, de réussir à rire sans se moquer, que les personnages soient très travaillés, qui nous font rire mais auxquels on s’attache, pas dont on se moque …agnès Jaoui : Que le but ne soit pas uniquement le rire, que ça n’empêche pas de réfléchir ou d’être ému… Brice cauvin : Il n’y a pas une volonté de faire rire au départ mais le côté tragique chez les personnages qui fait rire.agnès Jaoui : Oui, le côté tragique et puis la justesse des situations et des personnages… Brice cauvin : Dans le comique il y a des personnages très travaillés et la direction d’acteurs doit être à la hauteur.. Ils ne se contentent pas juste de vouloir faire rire.

Agnès, Brice, la production d’œuvres cinématographiques s’ouvre aux investisseurs privés, se démocratise presque. Comment percevez-vous cette évolution ?agnès Jaoui : Très favorablement, parce que pour produire des films il faut s’adresser à quatre personnes, si douées soient-elles, si on suit le chemin classique et il est aberrant

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que quatre personnes aient le droit de vie ou de mort sur des projets portés depuis deux, quatre ou dix ans, c’est trop de pouvoir dans trop peu de mains, je pense que c’est vraiment salvateur d’aller chercher d’autres sources ailleurs. Brice cauvin : Je pense aussi que comme le bouche-à-oreille est déterminant dans le cinéma, l’idée de susciter un bouche-à-l’oreille en amont c’est un juste retour des choses pour le spectateur et c’est aussi une façon d’impliquer les gens à la fois dans la production et dans le succès.

Agnès, Brice, que change artistiquement, financièrement l’arrivée de ces investisseurs privés en comparaison des grands Major - des chaînes de TV ou des sociétés de production traditionnelles ?agnès Jaoui : Non, rien, je ne crois pas, non j’espère.Brice cauvin : Non, j’espère que ça apportera une plus grande liberté ; et il faut bien garder notre pouvoir de décision sur les choses. Je trouve

que ça peut laisser une possibilité pour le cinéma d’auteur de garder une certaine intégrité. agnès Jaoui : C’est essentiel, je ne m’étais même pas posée la question !

Agnès, Brice, en guise de clin d’œil, nous sommes bretons, avez-vous un souvenir

ou une anecdote personnel et/ou professionnel qui vous rattache à cette région ? Quelle image avez-vous de notre région ?agnès Jaoui : J’adore la Bretagne, d’abord ils ont des chapeaux ronds, c’est sympa, je crois que l’ouest « est gentil » et l’est « pas gentil » et la pluie rend moins imbécile car on est obligé de rester chez soi et de déprimer, donc de lire des livres.. (j’ai fait un film qui s’appelle « Parlez-moi de la pluie »). En Bretagne les gens sont très sympa, on est toujours très bien accueilli, ..Le surf est moins enrichissant.. Brice cauvin : En Bretagne il y a la mer qui attire mais comme lieu il y a aussi une activité riche et c’est une région qui est connue pour faire émerger des chanteurs, des plasticiens, etc. et puis j’adore les galettes de sarrasin… Propos receuillis par Georges Fernandez, Président d'Hérodiade.

• Solution défiscalisante, innovante et exclusive :Coproduisez le prochain film de Brice CAUVIN avec Agnès JAOUI, Yann BARTHES, Pio MARMAI... : "L'art de la Fugue", en partenariat avec le Groupe Hérodiade.• comme à l’accoutumée, MonFinancierdéfiscalisa-tion sélectionne pour vous des opportunités d’investis-sement défiscalisant :• Le Groupe Hérodiade est une société de production de longs-métrages pour le cinéma créée par Georges Fernandez en juin 2007. Sa particularité est d’ouvrir le capital des films qu’elle produit à des investisseurs privés. Ceux-ci peuvent ainsi, en plus de bénéficier d’avantages fiscaux grâce aux lois Dutreil (impôt sur le revenu) et TEPA (impôt de solidarité sur la fortune), en-trer au capital d’un ou de plusieurs films qu’ils auront

au préalable choisis pour leurs qualités artistiques et commerciales.• en contrepartie d'une durée de blocage et d'un ris-que de perte en capital, les investisseurs privés défis-calisent à hauteur de 22 % leur investissement sur l’IR et 50 % leur investissement sur leur facture ISF.• Offre distribuée en exclusivité et sans frais d'entrée par MonFinancierDéfiscalisation.com

contactez votre interlocuteur dédié :Jean-François FOURCADE,Responsable du Pôle Défiscalisation, MonFinancier.

La sélection de MonFinancier

Making-of de l’Interview

Nous avons déjeuné, Agnès Jaoui, Brice Cauvin, et moi-même, le producteur, pour faire le point sur les disponibilités d’Agnès en vue du tournage de " L’Art de la Fugue " le 5 Septembre et parler de nos amis de Rennes...

L’atmosphère était enjouée sur cette terrasse ensoleillée du res-taurant "Le Caveau du Palais", Place Dauphine. Nous sommes restés ensemble pendant une heure et l’interview a duré 30 minutes, en présence d’un pho-tographe venu tout spécialement pour l'occasion. Brice et Agnès ont dégusté une délectable pièce de bœuf pendant que je prenais un plat de thon. Brice et moi-même sommes arrivés en vespa sous l'œil amusé d’Agnès qui n’a pas manqué la photo depuis son portable.

elle nous attendait, affamée, toute fraîche sortie de son cours de danse. Il y avait dans l’air une bienveillante envie de répondre aux questions de nos partenaires bretons…

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Faut-il croire encore aux fonds en euros ? Par Sonia FENDLER

FOCUs

dans un environnement économique et financier incertain et face à une érosion des taux de rendement, la question est pertinente, d’autant qu’elle concerne le plus grand nombre : 46% de l’encours des actifs détenus par les Français sont investis sur le fonds euro d’un contrat d’assurance vie, soit près de 1 100 milliards d’euros à fin 2010*. Le fonds euros est un outil unique en europe. Seule la France dispose de cette capacité d’offrir un instrument financier qui garantit à tout instant le capital investit quelle que soient les situations de marché.

« Ne pas dissocier la performance de l’inflation »

concernant les rendements, la lecture de la performance doit être relativisée en écart par rapport à l’inflation. Ainsi, en 2010, un taux de 4.10%** nets (taux servi sur notre fonds internet Eurossima) génère un gain de pouvoir d’achat de 2.6 points par rapport à l’inflation (1.5%e). Ce n’est pas négligeable ! Avec 13.63%** de performance nette cumulée sur les 3 dernières années pourtant économiquement difficiles, ce fonds montre bien que l’on peut combiner sécurité et régularité de la performance. Il ne faut pas perdre de vue l’objectif d’un fonds en euros : offrir une rémunération régulière de l’épargne investie afin d’en préserver la valeur dans la durée, quelles que soient les conditions des marchés.

« Choisir un assureur solide avec une vraie stratégie de gestion »

Pour un client qui choisit d’investir sur un fonds euro, ne juger qu’à travers les performances passées n’est pas suffisant. Il doit plus encore aujourd’hui regarder à la fois la solidité financière de

l’assureur, le niveau de ses fonds propres, mais aussi la stratégie de gestion du fonds : la régularité de la performance dépendra de la capacité de l’assureur à anticiper les mouvements de marché et de son savoir faire dans la stratégie de diversification des actifs. Adopter une gestion active mais prudente, savoir piloter ses réserves, avoir une vraie stratégie d’investissement sur des actifs soigneusement sélectionnés : c’est là que se fera la différence dans les années à venir.

« Le fonds euros au sein d’une assurance vie multisupport : des atouts uniques pour une épargne dynamique »

Le fonds euro, socle sécuritaire, est une base de départ solide pour appréhender les autres solutions qu’offre un contrat. L’effet « cliquet », signifiant que les intérêts générés sont définitivement acquis, est un atout supplémentaire dans un contrat fiscalement avantageux et non plafonné. Au sein d’une assurance vie multi-support proposant options de gestion, offre financière étendue et services, le client dispose d’un « couteau suisse » en mesure de répondre à un

maximum de besoins. Oui, les fonds euro restent une valeur sûre de la gestion patrimoniale.

Sonia FENDLER, Directeur du Développement Commercial de Generali Patrimoine

• Beaucoup de gens nous sollicitent pour connaître le devenir des fonds en euros dans le temps. On peut aujourd'hui s'appuyer sur des fonds d’excel-lente facture dont les performances robustes permettent de conserver une progression du pouvoir d'achat non négligeable. Par ailleurs nos contrats bénéficient à tous moment d'arbitrages totalement gratuits ; nous étudions en permanence les alternatives offrant un bon couple rendement/risque : SCPI, Produits Structurés construits intelligemment, fonds flexibles, …

• a noter que les performances des fonds en euros proposés sur les contrats MonFinancier ont bien résisté, avec des taux 2010 supérieurs à 4%. Le fonds Eurossima est l'un des seuls fonds en euros dont la performance a progres-sé de 2009 à 2010 (de 4,05% à 4,10%*). Le fonds Internet Opportunités a dis-tribué un rendement de 4,10*%, se plaçant une nouvelle fois parmi les plus performants du marché - (Tout en proposant un rendement élevé, notre par-tenaire a fait le choix de mettre 0,30% de rendement en réserve, avec pour objectif de maintenir une performance attractive et pérenne sur la durée). Enfin Apicil Euro Garanti, 4,02% servis en 2010, demeure un fonds en euros dont le rapport ancienneté/performance est l'un des meilleurs du marché.

• Retrouvez ces fonds sur les contrats MonFinancier Vie, MonFinancier Li-berté Vie et Frontière efficiente par MonFinancier.* performances nettes de frais de gestion, hors prélèvements sociaux – Les performances pas-sées ne préjugent pas des performances futures

L'avis de MonFinancier

* Source : Banque de France** Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.e : Estimation

Merci à notre partenaire financier :

Page 13: MonFinancier n°6 // Printemps 2011

Loi de Finance pour 2011

lE sAvIEZ-vOUs?

La loi de finances pour 2011 n°2010-1657 publiée au JO du 30/12/2010 est entrée en vigueur le 1ier janvier 2011. elle répond à deux objectifs principaux : réduire le déficit public (afin de respecter les engagements européens) et indirectement celui de la sécurité sociale, et dégager de nouvelles ressources pour financer la réforme des retraites.

La loi reprend les diverses annonces gouvernementales effectuées depuis la présentation du projet de réforme des retraites au début de l'été et poursuit la chasse aux niches fiscales engagée depuis 2 ans.

Fiscalité du patrimoine

Majoration du taux d’imposition des revenus du capital et des plus-values (à compter du 1/01/2011) :

- De 18% à 19%, le taux du PFL sur les dividendes et sur les produits de placement à revenus fixe.

- De 18% à 19%, le taux d’imposition des plus-values de cessions de valeurs mobilières et de droits sociaux.

- De 16% à 19%, le taux d’imposition des plus-values immobilières.

- De 2% à 2,2%, pour le prélèvement social (le taux global des prélèvements sociaux est donc porté de 12,1 % à 12,3%) pour :

• Les revenus du patrimoine perçus à compter du 1/01/2010,

• Les produits de placement (retirés de l'épargne financière

et des placements) sur la part de produits acquise ou constatée à compter du 1/01/2011.

Suppression du crédit d’impôt sur les dividendes (Art 7 loi n°2010-1657) pour les revenus de 2010.

Cette suppression ne remet pas en cause les modalités d’imposition des revenus distribués

Suppression du seuil d’imposition sur les gains de valeurs mobilières, droits sociaux et titres assimilés. Pour les cessions opérées à compter du 1/01/2011, les plus-values sont taxées à l’IR et aux prélèvements sociaux, dès le 1er euro de gain.

Le seuil de 25 830 € est donc supprimé (Art 8 de la loi n°2010-1657). En contrepartie, les moins-values de cession de valeurs mobilières et droits sociaux sont également imputables dès le 1er euro.

Fiscalité des particuliers

Revalorisation du barème de l’impôt sur le revenu

Le barème de l’impôt sur le revenu a été revalorisé de 1,5 % pour l’imposition des revenus 2010.

Le taux de la tranche d’imposition la plus élevée est également porté de 40 à 41%.

Suppression de la triple déclaration pour les couples, l’année de mariage, divorce, PACS ou rupture du PACS (art 95 de la loi n°2010-1657).

Réductions et crédit d'impôt

La chasse aux niches fiscales se poursuit avec la suppression de certains crédits et réductions d'impôt mais surtout la diminution des avantages résultant de la plupart des dispositifs.

niches fiscales : double coup de rabot en matière d’IR

le rabot de 10 % des avantages inclus dans le plafonnement global aboutit, pour les dépenses engagées à compter du 1/01/2011, à une réduction de 10 % des taux des réductions et crédits d'impôt concernés, ainsi que des plafonds d'imputation de ces avantages. 3 dispositifs sont exclus du rabot : l'emploi d'un salarié à domicile, les frais de garde des jeunes enfants, et l'investissement locatif dans le logement social outre-mer (Jego),

le total des avantages fiscaux tiré de ces niches ne peut procurer une réduction d’IR supérieure à la somme d’un montant de 18 000 € (20 000 € en 2010) et d’un montant égal à 6 % (8 % en 2010) du revenu imposable.

Plusieurs dispositifs sont supprimés, dont le crédit d'impôt au titre des intérêts d'emprunts contractés pour l'acquisition de sa résidence principale à compter de 2011.

Réductions ISF appliquées aux investisseurs :

Le taux de réduction d’ISF est aligné à 50 %, que l’investissement soit réalisé en direct, via une holding ou un Fonds. Le plafond annuel de réduction ISF est porté à 45 000 € en cas de souscription directe ou via une holding et à 18 000 € en cas de souscription via un FCPI ou FIP.

La réduction d’ISF est désormais exclue pour les FCPR agréées ou allégées.

Valeur nette taxable du patrimoine Taux d'imposition

N'excédant pas 800 000 € 0 %Entre 800 000 € et 1 310 000 € 0,55 %Entre 1 310 000 € et 2 570 000 € 0,75 %Entre 2 570 000 € et 4 040 000 € 1 %Entre 4 040 000 € et 7 710 000 € 1,30 %Entre 7 710 000 € et 16 790 000 € 1,65 %Supérieur à 16 790 000 € € 1,80 %

Le barème de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) : Le nouveau seuil est fixé à 800 000 €.

Fractiondu revenu imposable

Tauxd'imposition

N'excédant pas5 963 € 0 %De 5 964 €à 11 896 € 5,5 %De 11 897 € à 26 420 € 14 %De 26421 €à 70 830 € 30 %Supérieure à70 830 € 41 %

Revalorisation du barème de l’impôt sur le revenu

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A CROQUeR

Page 15: MonFinancier n°6 // Printemps 2011

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