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paperJam juin 2003

Date post: 08-Mar-2016
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Derniere edition du magazine paperJam juin 2003
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Lydia Mutsch Esch/Alzette strikes back! New! English Text Included Business Magazine #06.2003 5€ | www.paperJam.lu » paper Jam Business Magazine #06.2003
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Lydia MutschEsch/Alzettestrikes back!

New!

English TextIncluded

Business Magazine#06.20035€

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#06.

2003

pj_0_cover+bund.qxd 07.05.2003 13:01 Uhr Seite 1

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imprimerie-SCHLIME 05.05.2003 20:27 Uhr Seite 1

editoRequiescat in pace,new economy?

Après l'éclatement de la bulle boursière, qui a emporté une myriade de

jeunes pouces, le public s'est senti floué par l'exubérance irrationnelle des

marchés et s'est détourné des frasques mirobolantes de la "nouvelle écono-

mie". Pourtant, une kyrielle d'études récentes, basées sur des analyses stati-

stiques soigneuses, sont venues plaider la cause des NTIC (nouvelles tech-

nologies de l'Information et de la Communication). Les études montrent que

la productivité du travail est restée vigoureuse grâce principalement à la dif-

fusion et à l'utilisation des NTIC. C'est du moins le cas aux USA qui béné-

ficient d'un cadre institutionnel propice à la restructuration des processus de

production et de distribution de leurs produits via le Net.

En Europe, la diffusion et la mise en œuvre des NTIC se révèlent plus

laborieuses. Au Grand-Duché de Luxembourg, le recours aux NTIC et la dif-

fusion d'Internet a bien progressé ces dernières années. Plus de la moitié

(54%) des ménages sont connectés à Internet et la quasi-totalité des entre-

prises recourent à la Toile. Le seul point faible, passagèrement sans doute, est

l'administration électronique ("e-government"), du moins à en croire les

exercices d'étalonnage bruxellois.

Après la quantité, la qualitéSi les NTIC se sont bien implantées, du moins du point de vue statistique,

ce ne sera cependant pas une mince affaire pour les mettre en œuvre de

manière efficace. Sans "reengineering" des manières de produire et de ven-

dre, sans services riches en contenu, Internet restera un gadget... et ce serait

bien dommage!

L'Etat doit apporter sa pierre à la constructionLe programme e-Luxembourg a ouvert la voie, les travaux progressent vite

et bien: infrastructure nationale à clé publique (PKI), portail guichet unique

"Entreprises", label "e-commerce-certified", etc. Il faudra veiller à mettre en

place un Plan national de la Sécurité des Réseaux d'Information car sans la

confiance des opérateurs, Internet restera en dessous de son potentiel. �

GUEST WRITER:

Serge Allegrezza

([email protected]),

directeur du Statec,

le service central de la statistique

et des études économiques

de Luxembourg

Edito 003paperJam 06.2003

edito

pj_1_actu.qxd 07.05.2003 12:34 Uhr Seite 003

La confiance, c’est l’essence même d’une relation durable. Dans le monde de lafinance, c’est d’autant plus primordial. Cette notion, ING l’a comprise.Aujourd’hui, Crédit Européen devient ING.Dorénavant, c’est sous cette enseigne quenous vous invitons à nous faire confiance, àl’instar de millions de personnes à travers lemonde.Banque , Assurance, Leasing ...Dans chacun de ces domaines, vous pouveznous faire confiance.

En toute confiance

Crédit Européen devient ING

B a n q u e � A s s u r a n c e � L e a s i n g

w w w. i n g . l u

ING-PJ-06 28/04/03 19:28 Seite 1

Sommaire 005paperJam 06.2003

028 � News Express // 029: Groupe Le Foyer: lesfondamentaux restent solides >>> 030: Immo Croissance:bilan 2002 positif >>> 031: Banque Centrale du Luxembourg:à quand le bout du tunnel? >>> 032: ING Luxembourg: leCrédit européen passe à l'orange >>> 034: Arcelor:Luxembourg aux manifestants absents >>> 037: FIL: vers unchangement de cap progressif

Coverstory:086 � Esch/Alzette strikes back! // La villed'Esch-sur-Alzette bouillonne. Que ce soit dans les domainesde la culture ou de l'économie, elle se positionne de plus enplus comme une alternative à Luxembourg-ville. Rencontreavec Lydia Mutsch, la bourgmestre.

Dossier Assurances:104 � Encore plus propre // Le secteur desassurances n’échappe évidemment pas à la lutte contre le blan-chiment. Une nouvelle loi est même sur le point de la renforcerdavantage

110� Assurance ou banque, que choisir?// Produits bancaires et produits d'assurance: le choix nemanque pas pour l'investisseur, même s'il n'est pas toujourstrès aisé

116 � Assurer son entreprise // Pour uneentreprise, les risques liés à son activité sont multiples et variés.Une analyse approfondie s'impose au préalable à toutedémarche d'assurance...

IT & Télécoms,Internet:012 � Tango: TV + UMTS = Business //Alors que Tango TV fête son 1er anniversaire, l'opérateurannonce un 'soft launch' de l'UMTS au Luxembourg. Aprèsune période de test de 1 à 3 mois, l'offre sera commercialiséeà grande échelle

014 � A votre santé! // Les antennes-relais destéléphones mobiles sont-ils dangereux pour la santé? Ca resteencore à prouver...

028 � Plus d'autonomie pour plus d'in-novation // Le CRP Henri Tudor peut se retourner avecfierté sur ses quinze premières années d’existence et entrevoirson avenir avec optimisme. Cela passe par la consolidation du"modèle CRP"

098� Case Study: Les derniers modèlesde téléphones portables… // Vive les traditions! Tous les 6 mois, paperJam vous présente les derniers modèlesde téléphones disponibles sur le marché. Il est probablequ'avec le lancement de l'UMTS et le déploiement du GPRS,nous pourrons vous présenter de grandes nouveautés pour l'hi-ver prochain! En attendant, régalez-vous, la qualité est au ren-dez-vous…

050 � IT & Télécoms // Les dernières nouveautésdu monde de l'IT

paperJam 06.2003 sommaire

New!

English TextIncluded

028 /089Englishtranslations ofour News Expressarticles andCoverstorybegin on pages 028 and089 respectively.

104Dossier Assurances:Encore plus propreLe secteur des assurances n’échappe évidemment pas àla lutte contre le blanchiment. Une nouvelle loi est mêmesur le point de la renforcer davantage

086Esch/Alzette strikes back!

La ville d'Esch-sur-Alzette bouillonne. Que ce soit dans les domaines de la culture ou de

l'économie, elle se positionne de plus en pluscomme une alternative à Luxembourg-ville.

Rencontre avec Lydia Mutsch, la bourgmestre

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12/06 & 13/06

Dans le bâtiment flambant neuf duCRP Henri Tudor au Kirchberg.

12/06 EAI & WEB SERVICES :

Les enjeux et perspectives de l'interopérabilité(stands à louer : info Marylène MARTIN au 42 59 91-246)

13/06 APRES-MIDI GRATUITE

100% des PC piratés étaient connectés. Et le vôtre ?

P R O G R A M M E C O M P L E T E T I N S C R I P T I O N E NL I G N E S U R W W W. S P I R A L . L U

13/06 MATIN

Un pays connecté est-il un pays piraté ?

avec le soutien du Fonds Social Européen

Anzeige_0403 30.04.2003 0:00 Uhr Seite 1

078Trophées F/P/CRetrouvez la liste de tous lesagences et campagnes nominées pour la grande fêtede la Communicationqui se déroulerale 23 mai à la Kulturfabrik

124TimeOff:

Henry Maymil,du restaurant

La Caravelanous propose…

...le tourbillon de sole et saumon sauce homardine

024Où va le e-learning?Les entreprises semblent encore timorées dansl'utilisation des technologies modernes de l'information au service de la formation

Sommaire 007paperJam 06.2003

paperJam 06.2003 sommaire

Management,RH & Formation:018 � Sensibiliser les "entreprises d'enbas" // L'INFPC planche plus que jamais sur une promotionefficace de la formation continue auprès des petites entreprises etde l'artisanat

024 � Où va le e-learning? // Les entreprisessemblent encore timorées dans l'utilisation des technologiesmodernes de l'information au service de la formation

044 � People // Les mouvements dans les décideursluxembourgeois ces derniers mois

054 � Sondage Monster – paperJam //Sortez-vous souvent avec vos collègues?

056 � Agenda // Formations, séminaires

Finance:027 � La finance fait salon // Petit Financial Onea grandi. Le salon financier, dont la deuxième édition vient des'achever, est sur la voie de la reconnaissance internationale

048 � Place Financière: contrôles renfor-cés en 2002 par la CSSF // La surveillance s'estintensifiée dans le secteur financier. Les sanctions ont suivi

049 � LuxX Inside: voie ascendante pourRTL Group // Le leader européen des médias respire unpeu après une période plutôt sombre

Communication:076� Wéi eng Sprooch should you utili-ser dans la luxemburgische Werbung? // par Michaël Mertens (Advantage communication Partners)

078� Trophées FPC // Les nominés aux prochainsTrophées F/P/C

096 � Case Study: Pourquoi préfère-t-onrecourir au Marketing direct en temps decrise? // Si les budgets pour les médias traditionnels chutenten temps de crise, ceux du marketing direct explosent…

068 � BWD // Les derniers sites Internet luxembourgeois

070 � Les dernières Campagnes // de com-munication au Luxembourg

074 � Business Case Communication:Cibler les jeunes // Chaque mois, une agence et unclient détailleront comment ils ont mis en œuvre une opérationde communication. Ce mois ci: Luxlait & Concept Factory.

TimeOff:122 � TimeOff // 122: Le Patagonia, les Caves Bernard-Massard, Le Country, Le Bonaparte, La Farfalla, L’Opium >>>124: La recette du mois: le tourbillon de sole et saumon saucehomardine, par Henry Maymil, du Restaurant La Caravela >>>126: le club paperJam invité par Vinissimo et le restaurantPomodoro

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TÉL.: 48 73 13-1 FAX: 48 73 13-26

INTERNET: www.greco.luE-MAIL: [email protected]

1/1-Ann-GRECO+SHU 08.05.2003 15:38 Uhr Seite 1

Lydia MutschEsch sur Alzettestrikes back!

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Business Magazine#06.20035€

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en couverture Lydia Mutsch, Bourgmestre de Esch-sur-Alzette

photo David Laurent (Blitz) www.blitz.lu

EDITEURmike koedinger éditeur - mké S.A.télephone +352 – 29 66 18-1fax +352 – 29 66 19e-mail [email protected] url www.mke.lubureaux 39, rue Anatole France, Luxembourg-Bonnevoiecourrier BP 728, L-2017 Luxembourg

directeur de la publication Mike Koedinger (29 66 18-66)[email protected]

administration Stéphanie Simon (-29) [email protected] Ney (-20) [email protected]

REDACTIONtélephone +352 – 29 66 18- (extension)fax +352 – 29 66 19e-mail [email protected] url www.paperjam.lu

rédacteur en chef Vincent Ruck (-45) [email protected]édaction Jean-Michel Gaudron (-48) [email protected] Jean-Marc Streit (-47) [email protected]

rédaction “time off” Jacques Demarque [email protected] Eric Chenal, Frédéric Di Girolamo (Blitz) www.blitz.lu, Jacques Demarqueillustration H! (Bruxelles)

communiqués de presse Merci de nous faire parvenir vos communiqués de pres-se de préférence en trois langues (F, D, GB) accompagnés d’illustrations à l’adressee-mail [email protected] ou par courrier BP 728, L-2017 Luxembourg.Newsletter électronique Parution vendredi. Abonnement gratuit depuiswww.paperJam.lu

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directeur commercial Aurelio Angius (-35) [email protected] chef des ventes Francis Gasparotto (-33) [email protected] consultants Jacques Demarque [email protected] Ae Descamps (-37) [email protected]

PRODUCTIONdirecteur artistique Guido Kröger (xGraphix) [email protected]/mise en page Tudor Baican, Marc Berens, Katarina Kowol,Kim Ney, Natalia Vistas (xGraphix) www.xGraphix.deimpression Victor Buck www..victor-buck.com

DIFFUSIONabonnements Par virement au compte BCEE IBAN LU97 0019 0038 5827 4000Standard: 10 numéros/an: 40 €. Entreprises: 3 x 10 numéros/an: 80 €Tarifs internationaux et formules de grand volume disponible sur demande.diffusion Luxembourg Messageries Paul Krausdisponible également chez Luxair Business Lounge (Aéroport Findel),Grand Hôtel Mercure, Hilton, Hôtel Parc Belair, Le Royal, Sheraton, Sofitel. Vous voulez aussi proposer paperJam à vos clients? Contactez Aurelio Angiusau 29 66 18-35.

© mké S.A. Tous droits réservés. Toute reproduction, ou traduction, intégraleou partielle, est strictement interdite sans l’autorisation écrite délivrée au préalablepar l’éditeur.

about

About 009paperJam 06.2003

about

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Mode d'emploi010 paperJam 06.2003

paperJammode d'emploi

mode d’emploi

index – business guide

L'Index, c'est un guide d'entre-prise, à parution annuelle.Vous pouvez y trouver environ2.000 organisations et près de4.000 décideurs du Grand-Duché de Luxembourg, avecdes possibilités de contactsdirects.

INSCRIPTIONS ET MISES À JOURen permanence, depuis le site webwww.paperJam.lu, grâce à votrelogin (adresse e-mail) et votre motde passe. Si vous avez oublié cedernier, il vous suffit de contacter leresponsable de l’édition: FrancisGasparotto (29 66 18-33 –[email protected]).

EN VENTE en kiosque pour 10 Euroou sur commande (10 Euro, envoicompris) par téléphone au29 66 18-20 chez Isabelle Ney.

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paperJam, c'est également unsite Internet qui regroupe l’ac-tualité des entreprises et insti-tutions. Nous y publions, enpermanence les communiquésde presse des entreprises, avecpossibilité d'une consultationgratuite des archives, soit plusde 2.000 communiqués dispo-nibles.

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magazine

paperJam est un BusinessMagazine qui s'intéresse à toutel'économie luxembourgeoise: lafinance, les assurances, le sec-teur IT, les télécoms, les res-sources humaines, l'Industrie,la communication, …

paperJam, c'est, chaque mois,un dossier autour d'un thèmeprécis, décliné au travers deplusieurs articles, issus des ren-contres avec les professionnelsdu secteur concerné.

VOTRE ACTUALITÉ INTÉRESSELA RÉDACTION Lancement de nou-veaux produits, mouvements de per-sonnel, organisation d’événements,rapports annuels, communiqués depresse, … envoyez vos informationssous forme numérique à[email protected] ou par courrierBP 728, L-2017 Luxembourg.

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Lydia MutschEsch sur Alzettestrikes back!

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newsletterélectronique

Chaque vendredi, recevez dansvotre boite à lettres électro-nique la newsletter depaperJam. Vous y trouverezdes contenus exclusifs, desarticles inédits, des contribu-tions rédigées par des expertsexternes, des informations surles mouvements de la semaineet sur les événements de lasemaine suivante, …

INSCRIPTION sur le sitewww.paperJam.lu

PARRAINAGE Différentes formules(par numéro / mois / …) Contacteztempo! régie pub de mké S.A.en téléphonant à Mike Koedingerau 29 66 18-66 ou consultez le sitewww.tempo.lu

le club

La veille de chaque parutionen kiosque, l’équipe depaperJam invite des personna-lités de l’économie du Grand-Duché et de la Grande Régionà une rencontre dans le cadred’une dégustation de vins.

événements

Du “cocktail des publicitaires”aux tables rondes en passantpar des cocktails d’été et d’hi-ver, … l’équipe de paperJamcrée l’événement pour rencon-trer décideurs et créateursd’opinions dans un contexteconvivial pour faire connais-sance et échanger les opinions.

Mode d'emploi 011paperJam 06.2003

mode d’emploi

pj_1_actu.qxd 07.05.2003 12:07 Uhr Seite 011

C R É A T E U R D ’ A U T O M O B I L E S

Motorisations disponibles: Essence: 1.6 16V (108 ch), 1.8 16V (116 ch) et 1.8 16V Aut. (116 ch) - Diesel: 1.9dCi (100, 110 et 120 ch).Consommation moyenne (l/100 km): Essence de 7,3 à 8,6 - Diesel de 5,4 à 5,7. Emission CO2 (g/km): Essence de 175 à 205 - Diesel de 144 à 154.* offre valable uniquement pour les particuliers, pour toute commande passée entre le 15/04/03 et le 30/06/03.

RENAULT-LAGUNA 06.05.2003 18:48 Uhr Seite 1

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RENAULT-LAGUNA 06.05.2003 18:49 Uhr Seite 2

Actualité014 paperJam 06.2003

actualité

A votresanté!

Scientifiquement, il n'est pas encore établique les antennes-relais des téléphonesmobiles sont nuisibles pour la santé.Jusqu'à preuve du contraire...

pj_1_actu.qxd 06.05.2003 16:25 Uhr Seite 014

Le débat est sans doute loind'être clos et risque fort d'alimen-ter, quelques années encore, lesconversations et déchaîner les pas-sions. Faut-il donc avoir peur desantennes-relais des téléphonesmobiles qui poussent dans nosvertes campagnes, et de leur éven-tuelle influence sur notre santé?Faute de preuves irréfutables, laréponse est, pour l'heure, non,mais il sera bien difficile d'empê-cher les citoyens de se poser desquestions.

Le 17 avril dernier, l'Agencefrançaise de sécurité sanitaireenvironnementale (AFSSE) ren-dait son rapport sur la question,arrivant à la conclusion que,même si le principe d'attentionétait nécessaire pour répondre auxinquiétudes concernant lesantennes-relais, ces inquiétudes enquestion n'étaient scientifique-ment pas justif iées. "À desniveaux de puissance aussifaibles, aucun mécanisme connun'apporte d'explication scienti-fique crédible à des effets biolo-giques" affirme l'AFSSE.

C'est dans ce même état d'espritque s'est tenu, le 2 avril dernier, àLuxembourg, un "workshop" orga-nisé à l'initiative des deux opéra-teurs Tango et P&T Luxembourg,au cours duquel deux expertsindépendants belges sont venusexposer, deux heures durant, leurposition sur le sujet. Le but pre-mier était d'apporter un maximumd'objectivité dans l'approche de laquestion.

"La plupart du temps, le publicne se base que sur des informa-tions non objectives et des don-nées non fondées. Il peut ainsifacilement se laisser influencer

par l'émotion. Il est ainsi impor-tant de lui fournir un maximum devisibilité sur le sujet" rappela, enpréambule, Marcel Gross,Directeur général de l'Entreprisedes P&T. Jean-Claude Bintz,Administrateur-délégué de Tango /Tele2, regretta surtout, pour sapart, que les opérateurs donnentl'impression d'être sur la défensiveà chaque fois qu'ils sont appelés às'exprimer sur des sujets aussi sen-sibles. "Quand on voit qu'àDudelange, récemment, une asbl ademandé une contribution de 20Euro aux habitants d'un immeublepour soi-disant défendre leursintérêts et qu'elle leur a ensuiteconseillé de dire à tout le mondequ'ils avaient des problèmes desanté liées à des installationsd'antennes proches, il apparaîtvital que l'on sache enfin vraimentde quoi on parle".

Tous les effetssont-ils nuisibles?

Le premier exposé du Dr. LucVerschaeve, biologiste, professeurà l'Université d'Anvers et repré-sentant, entre autres, de la

Belgique auprès de l'Organisationmondiale de la santé (OMS) pource qui est des questions "champsélectromagnétiques" s'est limité àévoquer l'aspect purement "santé".

"On sait pertinemment qu'uneexposition intensive à des radio-fréquences provoque une haussede la température. Mais, on saitaussi, par exemple, qu'un four àmicro-ondes, pour qui le phéno-mène est encore plus intense, estconstruit de telle façon que cerisque thermique est nul"explique-t-il, précisant par ailleursque si des effets non thermiquessont également envisageables surl'organisme, cela ne signifie paspour autant qu'il s'agisse d'effetsnuisibles. "Lorsque mon œil per-çoit de la lumière et envoie l'infor-mation au cerveau, il s'agit aussid'un effet biologique. Et il n'estpas nuisible, au contraire!"

De nombreuses études scienti-fiques ont été menées depuis uncertain nombre d'années. Toutesont montré, ponctuellement, queles radiofréquences pouvaientavoir des effets sur le système ner-veux, l'hérédité du cancer, la crois-sance ou l'immunologie. Faut-ilpour autant paniquer? "Non, car�

Actualité 015paperJam 06.2003

actualité

� Les antennes-relais des téléphones mobiles sont-ellesdangereuses pour la santé? Ça reste encore à prouver...TEXTE JEAN-MICHEL GAUDRON PHOTO FREDERIC DI GIROLAMO (BLITZ)

“Le public peut facilement se laisser

influencer par l’émotion”MARCEL GROSS, EPT

pj_1_actu.qxd 07.05.2003 15:23 Uhr Seite 015

� ces études ont toujours été réa-lisée dans des conditionsextrêmes, sur des sujets animauxpeut-être plus réceptifs que lesêtres humains et surtout, un grandnombre de ces études 'positives'n'ont jamais pu être confirméespar d'autres expérimentations"indique le Pr. Verschaeve, qui citeen exemple une étude réalisée parle Pr. Litovitz, tendant à montrerqu'une exposition intensive auxondes de mobilophonie pouvaitavoir une influence sur le dévelop-pement des cancers.

Mais aucune autre étude ana-logue n'a pu parvenir aux mêmesrésultats, le Pr. Litovitz reconnais-sant lui-même que ses propresrésultats étaient non concluants."Dans toute expérimentationscientifique, quelle qu'elle soit, ilsubsiste un taux de 'faux positifsattendus' qui ne sont pas de natu-re à remettre en cause une véritéétablie par ailleurs" rappelle lespécialiste belge.

Conclusion? Difficile de tran-cher un avis définitif sur la ques-tion... "Les tests en cours concer-nant les téléphones mobiles nesont forcément que préliminaires,puisqu'on ne dispose pas d'unedurée d'expérimentation suffisam-ment longue. Il est sans doute troptôt pour définir avec certitude sioui ou non il y a des effets vrai-ment négatifs. On n'est même plusen mesure d'isoler une 'populationtémoin', puisque tout le monde,aujourd'hui est exposé! Il n'y aaucune preuve que les radio fré-

quences et les stations de basen'ont d'effet. Et il n'y en aura sansdoute jamais". La science, quin'aime pas l'incertitude, se trouvedonc bien embarrassée.

Haro sur lesconsidérationssimplistes

Et qu'en disent les "techni-ciens"? Willy Pirard, ingénieurcivil en électronique, expert enradiocommunication et chef de lasection électronique appliquée del'Institut scientifique de servicepublic de Liège (homologué par leministère luxembourgeois de l'en-vironnement pour la réception desstations de base de téléphoniemobile et le mesurage des champsélectromagnétiques) a, pour sapart, rappelé quelques donnéestechniques relatives aux effetsthermiques induits par les ondesélectromagnétiques et les recom-mandations en matière d'exposi-tion à ces effets.

Ainsi, le champ émis par desantennes n'aura pas la même façonde se propager selon que l'antenneest installée sur un terrain décou-vert ou bien sur le toit d'unimmeuble. D'une manière généra-le, il est, en revanche, acquis quece n'est certainement pas au piedde l'antenne que les effets duchamp électromagnétique se fontressentir, mais plutôt à quelquesdizaines – voire centaines – demètres. C'est donc la hauteur des

antennes par rapport aux bâti-ments voisins dont il faut surtouttenir compte.

"Les recommandations sur uneéventuelle distance de sécuritéqu'il faudrait respecter sont àabandonner! Elles ne reposentque sur des considérations sim-plistes qui ne tiennent compte nide la puissance émise ni de ladirectivité des antennes.Augmenter la distance peut mêmes'avérer contre-productif puisquele portable et l'antenne relaisdevront alors émettre davantage".

Actuellement, les stationsémettrices de téléphonie mobilesouffrent d'une sorte de "diaboli-sation" systématique. "Or, onoublie, par exemple, qu'un émet-teur de radio ou de télévisiondéveloppe une puissance millefois supérieure. Et jamais person-ne n'a émis des doutes sur lesconséquences éventuelles pour lasanté" complète M. Pirard, quirappelle, par ailleurs, que toutesles méthodes de calcul sontbasées sur des données "maxima-listes", c'est-à-dire l'hypothèsequ'une antenne émet à pleinepuissance en continu. Or, la plu-part du temps, ces antennesn'émettent pas plus qu'à 50% deleur puissance maximale.

De même, l'atténuation dueaux obstacles n'est pas prise encompte ou sous-estimée, ce qui vaaussi dans le sens de la sécurité."Lorsque des mesures sur sitesont réalisées, les champs sontgénéralement bien inférieurs auxprédictions" note ainsi M.Pirard.

Moralité de tout ça?L'abondance de ces informations,aussi objective soient-elle, ne per-met finalement guère de fairevraiment avancer le débat etauront du mal à convaincre lesplus sceptiques. Une grande étudeau niveau mondial est en cours deréalisation par l'OMS et devraitêtre publiée en 2005. "Mais lesgens en attendent certainementtrop. Il n'est pas dit qu'elle appor-tera la preuve qu'il y a, oui ounon, des nuisances pour la santéliées aux antennes" conclut M.Verschaere. �

Actualité016 paperJam 06.2003

actualité

“Un émetteur de radioou de télévision est1.000 fois plus puissant”WILLY PIRARD, INGENIEUR

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www.peugeot.lu

PEUGEOT 307. AGIT DIRECTEMENT SUR LA CONFIANCE.Comment pourrait-il en être autrement? La Peugeot 307 offre un équipement

de série qui a tout pour vous mettre à l’aise: pare-brise panoramique athermique,

allumage automatique des feux de détresse, aide au freinage d’urgence, ABS,

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PEUGEOT. POUR QUE L’AUTOMOBILE SOIT TOUJOURS UN PLAISIR.

PEUGEOT 07.05.2003 14:18 Uhr Seite 1

� L'INFPC planche plus que jamaissur une promotion efficace de laformation continue auprès des petitesentreprises et de l'artisanatTEXTE JEAN-MARC STREIT PHOTO FREDERIC DI GIROLAMO (BLITZ)

Sensibiliser les“entreprisesd'en bas”

actualité

L'intérêt des entreprises pour les formations pro-fessionnelles continues est indéniable et va crescen-do. D'ailleurs, le rapport annuel 2002 de l'Institutnational pour le développement de la formation pro-fessionnelle continue (INFPC) semble le confirmer. Il établit, en substance, une progression appréciabledu nombre de demandes de cofinancement adresséesau Ministère de l'Education nationale (167 en 2000et 254 en 2001). Rappelons que la loi modifiée du 22juin 1999 a pour objet le soutien et le développementde la formation professionnelle continue par l'inter-médiaire, notamment, d'un cofinancement par l'Etatdes investissements de formation, par voie d'aidedirecte ou de bonification d'impôt.

Cependant, travail à flux tendu, compétitivitéaccrue et manque de personnel de remplacementsont parmi des facteurs rendant ardue une présencerégulière et soutenue du nombre de petites entre-prises désireuses d'investir du temps et de l'argent àla formation professionnelle.

L'un des grands chantiers auquel doit donc s'attelerl'INFPC dans les mois - et certainement les années - àvenir, est très probablement la sensibilisation des petitesentreprises à la formation professionnelle continue (FPC).Sur ce point, Marc Hostert, Président du Conseild'Administration de l'Institut, se veut d'ailleurs convain-cant et rappelle que: "l'INFPC a, entre autres missions,celle de convaincre les entreprises et plus particulièrementles petites entités du bien fondé et de l'utilité des forma-tions professionnelles. Pour cela il faut pouvoir démontreraux patrons que la formation est une réelle plus-valuepour son entreprise et pour ses employés. Une fois sensi-bilisés les patrons n'en démordent plus, en général".

Effectivement, Paul Krier, conseiller de direction de laChambre des Métiers se fait l'écho des paroles de MarcHostert, avec quelques bémols cependant: "Nos forma-tions sont essentiellement suivies par du personnel dumonde artisanal, et, nous devons admettre que beaucoupd'entreprises font preuve d'une régularité et d'un intérêtimportant pour nos différentes formations. D'ailleurs, �

Actualité018 paperJam 06.2003

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actualité

� je ne pense pas que les petites entreprises soient plusréticentes à envoyer leur personnel en formation. Bien aucontraire, je crois même que le monde artisanal est un dessecteur qui répondent le mieux aux formations. Pour preu-ve, dans le cadre de la loi de 1999, quasiment 20% desdemandes de cofinancement émanent de l'artisanat(chiffres 2000)".

Ces 20% des demandes de cofinancement en 2001, nereprésentent cependant, grosso modo, qu’une cinquantained'entreprises artisanales. Ce qui, sur les quelque 4.000petites et moyennes entreprises de l'artisanat et ses 43.000emplois (21% de la population active) présents auLuxembourg, fait encore bien maigre, toute proportiongardée.

La loi-cadre de 1999Et cette loi modifiée de 1999, incite-t-elle et motive-

t-elle plus les petites entreprises qu'auparavant? Ilsemble que, si l'on s'en réfère au témoignage de Jean-

Marie Oswald, patron de la boucherie Oswald (13salariés): "Dans notre profession, la formation conti-nue est indispensable, c'est pourquoi, j'ai personnelle-ment suivi de nombreuses formations et cela depuisque je suis dans le métier. Maintenant, j'incite gran-dement mes employés à suivre régulièrement des for-mations diverses (nouvelles méthodes de vente,bureautique, cuisine, barbecue, produits biologiques,etc.) formations auxquelles j'essaye généralement departiciper. Ce n'est donc pas la loi de 1999 qui m'aréellement poussée vers les formations profession-nelles. D'ailleurs, cette loi, qui n'est foncièrementpas mal, a cependant comme inconvénient de ne pascouvrir l'ensemble des frais de formations et de �

Actualité 019paperJam 06.2003

Si le portail www.lifelong-learning.lu constitue unegrande avancée en matière de visibilité de la FPC surle marché, le travail à fournir auprès de la masse desPME est encore très important.

pj_1_actu.qxd 06.05.2003 16:25 Uhr Seite 019

actualité

� personnel. De ce fait, mon personnel qui suit géné-ralement les formations moitié sur son temps de travail,moitié sur son temps libre n'est pas intégralement rétri-bué sur leur temps passé en formation. Dans ce sens, lesystème français, par exemple, est plus incitatif car letemps de formation est intégralement payé auxemployés. C'est donc une source de motivation supplé-mentaire…".

Pour Jacques Herz, directeur de Berl (environ 20employés), société de fabrication et de négoce de tôle-rie fine de précision et de mobilier de bureau, la loi de1999 a comme mérite: "d'avoir incité les entreprises àmieux organiser, encadrer, valoriser et structurer lesformations professionnelles. Quant à l'aide financière,il s'agit d'un coup de pouce non négligeable. Cette loia donc le mérite d'exister même s'il y a encore certainsaspects qui pourraient être améliorés".

La loi modifiée du 22 juin 1999 est donc plutôt bienaccueillie, bien qu'elle ne réponde peut-être pas inté-gralement à tous ses objectifs, dont celui d'inciter lessociétés à recourir plus assidûment aux formations. Surce point Paul Krier rappelle que: "lorsque la loi a étépromulguée, nous avons constaté, au sein de notre ins-titut de formation, un très léger boom. Cette loi a sansdoute marqué les esprits. Toutefois, elle reste essentiel-lement intéressante, financièrement parlant, pour quifait régulièrement des formations". Et, Marc Hostert deconclure sur ce sujet: "l'aide financière apportée auxentreprises pour toute action de formation n'est que lacerise sur le gâteau. Ce n'est pas cela qui doit inciterles entreprises à se tourner vers les FPC".

Les réelles motivations sont donc à rechercherailleurs, et Marc Hostert de poursuivre: "La FPC per-met aux employés d'être plus polyvalents et donc plusflexibles. Ces atouts ont pour résultats de rendre lesentreprises plus compétitives. En outre, les employés

acquièrent, de leur côté, de nouvelles compétences valo-risantes personnellement et professionnellement quireprésentent une couverture supplémentaire contre lechômage. La FPC est donc avantageuse pour l'entrepri-se comme pour le salarié".

Un seul être vous manque…

Les avantages que procurent les FPC sont donc indé-niables et tout le monde semble de cet avis. Pourtant, cequi tend à freiner le plus les petites entreprises, c'estessentiellement le manque de personnel susceptible deremplacer les salariés en formation. Paul Krier reconnaîteffectivement que: "dans l'artisanat, la taille moyennedes entreprises est de 13 salariés. Donc, si une person-ne part en formation c'est presque 10% de l'effectif quivient à manquer. Si à cela s'adjoint des maladies ou descongés, il est aisé de comprendre qu'il n'est pas toujoursfacile pour ces sociétés d'envoyer régulièrement leurspersonnes en formation".

Ces constatations sont également confirmées parJacques Herz: "Je ne peux pas me permettre d'envoyersystématiquement au moins une personne en formation.Dans l'atelier, par exemple, qui compte douze ouvriers,l'absence ne serait-ce que d'une personne, se traduiraità la longue par une diminution des cadences de produc-tion et donc par une baisse de compétitivité. Mais lesformations restent indispensables pour le personnel del'atelier qui par cet intermédiaire optimise l'utilisationdes machines, acquiert de nouvelles compétences etgagne en sécurité".

Et, Jean-Marie Oswald de rajouter: "Dans notre sec-teur, l'évolution est tellement importante que noussommes obligé de suivre régulièrement des formations.Cependant, pour pallier au mieux l'absence de l'un oul'autre de mes employés, j'essaye de trouver un compro-mis avec eux en les envoyant en formation pour moitiésur le temps de travail et pour l'autre moitié sur le tempslibre. Je minimise ainsi les conséquences d'une absencetrop longue".

D'ailleurs, la majorité des organismes de formationsproposent de plus en plus de formations en week-end ouen soirée, afin de répondre aux exigences des petitesentreprises. Ainsi, comme l'explique Paul Krier: "laChambre des Métiers lors de l'élaboration de son plan-ning de formation, analyse au préalable les besoins qua-litatifs et tient compte des doléances des patrons. C'estainsi que suite aux propositions de certaines entreprisesnous avons déjà organisé ponctuellement des séances ledimanche. En outre, nous tenons bien sur compte desimpératifs de chaque secteur. Par exemple, dans le bâti-ment, les formations sont planifiées lors de la saisonhivernale et nous ne proposons pas de formations lessemaines avant les fêtes pour les pâtissiers..."

Et Marc Hostert de soumettre son opinion pourconclure: "En cette période de faible croissance et alorsque les carnets de commande ne sont pas pleins, il y apeut-être plus de créneaux susceptibles d'être utiliséspour la formation? La période semble donc plus indi-quée et plus propice pour cela". �

Actualité020 paperJam 06.2003

“Dans l'artisanat,si une personnepart en formationc'est presque 10%de l'effectif quivient à manquer”PAUL KRIER,CHAMBRE DES MÉTIERS

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Luxair-PJ 29.04.2003 23:56 Uhr Seite 1

Actualité022 paperJam 06.2003

actualité

Tango:TV+UMTS=Business

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Les anniversaires sont toujoursimportants. Celui d'une télévision,dans un groupe protéiforme quicumule des activités télécoms et desactivités médias, tout particulière-ment. Jean-Claude Bintz, directeurgénéral de Tango et Pascal Koster,directeur, n'ont pas manqué l'occa-sion que le calendrier leur offrait.Première étape: le bilan de la pre-mière année de Tango TV.

Tout d'abord la diffusion. Ce sontaujourd'hui 95% des ménagesluxembourgeois qui peuvent rece-voir cette chaîne de télévision. Dansles foyers, l'attention est tournée versla cible permanente du groupe auLuxembourg, les 15-24 ans...D'après une étude Ilres, Tango TVrecueille 60% de l'audience globalede la tranche d'âge (mois d'avril2003). Sa notoriété est de 92%.Après 1 an, cela ressemble à un jolisuccès.

La chaîne, jouant sur la complé-mentarité entre les différentes activi-tés du groupe, se veut un supportinteractif, grâce notamment auxSMS. Différents jeux, lancés au fildes mois, recueillent ainsi plusieurscentaines d'abonnés: Bombplayeraffiche 4.000 participants; LoveGame 3.300. Des jeux plus ponc-tuels, comme le X-Men Game, àl'occasion de la sortie du film, a atti-ré pas moins de 1.600 personnes.Cette interactivité permet de renfor-cer la rentabilité des activités, ajou-tant les recettes en télécommunica-tions à celles de la publicité et dusponsoring.

D'où l'impact de la 'véritable'annonce du 29 avril: le lancementtant attendu des services UMTS.

Cette technologie permettra, en fait,de déployer de nouvelles offres et denouveaux produits dans le domainesdu cinéma (bandes annonces, …), desinformations culturelles, et de tout cequi relève de 'l'infotainment'. Est, par exemple, d'ores et déjà dispo-nible: 1 heure de contenu 'exclusif'permettant de visionner 1 heure deprogramme de Tango TV sur son télé-phone portable… À noter que cettepossibilité n'est pas limitée aux appa-reils de type UMTS, mais égalementutilisables sur des téléphones GPRScomme par exemple le Nokia 3650(voir page 099).

UMTS: c'est l'aubeAlors que, jusqu'à présent, on

accusait le groupe de souvent lancerdes services alors qu'ils étaient àpeine testés, plutôt instables et insa-tisfaisants pour les utilisateurs, Tangotente cette fois-ci de jouer dans ladouceur. L'annonce faite du déploie-ment de l'UMTS se limite pour lemoment à une population de 'friend-ly-user', laquelle permettra un testgrandeur nature, à la fois du réseau,mais aussi – surtout – des usages quiseront faits des différents servicesproposés.

Comme nous l'avions abordé lemois dernier dans le dossier sur lestélécoms, Tango a fait le pari du bas-culement du marché des installations'fixes' vers les 'mobiles'. Aujourd'hui,environ 80% de la population luxem-bourgeoise possède un téléphone por-table (on ne pourra plus dire de'GSM'…). Avec la baisse des prix dumobile, celle des coûts d'abonnement,et la tendance observée par de plus enplus de particuliers de ne plus s'équi-per 'qu'en mobile', les réseaux GSMactuels menaçaient, à plus ou moinsbrève échéance, de se retrouver satu-rés. On est arrivé aujourd'hui– d'aprèsTango – à environ 500 millions deminutes de trafic (sur les lignes

fixes, on en est à presque 3 milliards) Dans un premier stade, l'UMTS par

Tango aura un débit descendant de 384kbits/s, avant de se voir poussé à 2Mbit/s en 2005. Ces capacités, donc,excèdent largement la vitesse duGSM, limités à 14,4 kbits. En vue: unallègement de la charge pour l'opéra-teur… Il y aurait aujourd'hui 20 mil-lions de SMS échangés, avec un tauxde croissance significatif! Ceci pourles usages existants, sans compter lesnouveaux usages. Ainsi, nombreuxparmi les derniers modèles de télé-phones mobiles mis en vente sontéquipés –intégrés ou en accessoire –d'appareils photographiques, lesimages produites pouvant être alorsattachés à un MMS, la nouvelle géné-ration multimedia du bon vieux SMS.

Aujourd'hui, concrètement, l'opéra-teur dispose de 70 stations UMTSréparties à travers le pays, couvrantprès de 70% du territoire et 92% de lapopulation. D'ici à la fin 2004, ceschiffres seront de 120 stations, 92% duterritoire et 97% de la population. Deplus, le glissement entre l'UMTS, leGPRS et le GSM sera 'transparent'pour l'utilisateur, le téléphone faisantle basculement automatiquement.

Etant donné les délais annoncés parTango pour cette période de test, quePascal Koster a baptisé 'soft laun-ching', le déploiement de l'offre à'grande échelle' pourrait donc êtreenvisagée pour la fin juin. À voir, dèslors, si l'approche des vacances d'été –fort prisées par les jeunes – ne risquepas d'être un frein à ce lancement. Et àvoir aussi quelle sera la réaction qu'au-ront les P&T, également détenteursd'une licence UMTS. C'est surtout delà que devrait venir la riposte, Orange,le 3e acteur, ne semblant pas, pour lemoment, avoir de projets encore bienaboutis pour le Luxembourg, en atten-dant que la 4e licence soit attribuée.L’appel d’offres est en cours... �

Actualité 023paperJam 06.2003

actualité

� Alors que Tango TV fête son 1er anniversaire,l'opérateur annonce un 'soft launch' de l'UMTS auLuxembourg. Après une période de test de 1 à 3 mois,l'offre sera commercialisée à grande échelleTEXTE VINCENT RUCK PHOTO PATRICK MULLER (BLITZ)

Il y a 1 an, Tango TV était lancée.Les responsables de Tango tirentaujourd’hui le premier bilan enmême temps qu'ils annoncent lelancement de l'UMTS

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� Les entreprises semblent encore timoréesdans l'utilisation des technologies modernesde l'information au service de la formationTEXTE JEAN-MICHEL GAUDRON PHOTOS LAURENT HAMELS (BLITZ)

Où va lee-learning?Où va lee-learning?

actualité

Actualité024 paperJam 06.2003

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actualité

Puisque, désormais, plus rien ne semble pouvoir se faire sans leconcours des technologies de l'information, de l'Internet et/ou dumultimédia, il était logique de s'imaginer que les entreprises pour-raient profiter de la tendance pour développer - ou adapter - leurpolitique de formation de leurs employés. Ainsi, ce que l'on peutregrouper sous l'appellation générique du "e-learning" était-il sus-ceptible de rencontrer un succès grandissant.

On se souvient, en 1998, de la création de l'Association luxem-bourgeoise des télé activités (ALTA), qui avait placé le développe-ment des télé-formations parmi ses premières priorités. Parmi lesmembres fondateurs de l'ALTA, on trouvait, outre la Chambre deCommerce, des sociétés "de poids" telles que la Société européen-ne de Communication (maison mère, à l'époque, de Millicom),Cedel International (devenu Clearstream), Le Foyer Assurances,Astra-Net ou encore Infopartners (qui n'avait pas encore croisé laroute de Tecsys et ne s'appelait donc pas encore primesphere...).

Où en est-on cinq ans après? Pas tellement loin… L'ALTA n'aplus d'activités depuis deux ans, sans doute victime de son champd'activités trop restreint, et est actuellement en voie de liquidation.Quant aux développements en matière de e-learning, ils sont enco-re bien timides comme en témoigne l'état des lieux dressé, entredécembre 2002 et janvier 2003, à l'initiative du Centre deRecherche Public Henri Tudor, en partenariat avec le Sitec et lecabinet Etudes et Formation S.A.. Une étude approfondie quimontre que si son potentiel de croissance est encore grand, c'est belet bien parce que la pénétration du e-learning est plutôt limitée. Etrien ne semble affirmer que les entreprises sont prêtes à s'affirmerdans cette voie.

L'étude a été menée en deux phases. Une première, quantitati-ve, a ciblé 991 entreprises de plus de 50 salariés, ainsi que lessociétés de services informatiques de toutes tailles. Le taux deretour a été de 16,25% (soit 161 réponses, dont plus de la moitiéen provenance d'entreprises ayant un effectif compris entre 50 et250 salariés), "ce qui rend compte d'un intérêt relativement mar-qué pour la problématique du e-learning et de la formation engénéral" indique le rapport présenté fin mars à l'occasion des jour-nées du e-learning organisées à Luxembourg par le Sitec. Lesorganismes de formation, eux aussi, ont été approchés: sur les 137contactés, 18 ont répondu (13,14%). Dans une seconde phase, uneenquête plus qualitative a été menée auprès de 17 entreprises et 13organismes de formation, afin de mieux cerner la situation actuel-le réelle et les besoins en la matière.

Question de définitionAu yeux de la majorité des entreprises répondantes, le e-lear-

ning est assimilé aux technologies d'apprentissage à distance, enparticulier via Internet. Un rapprochement pertinent, certes, maisjugé "limitatif" par les concepteurs de l'étude, qui préfèrent propo-ser une définition un peu moins restrictive du e-learning: "Toutmode d'apprentissage s'appuyant partiellement ou entièrement surles technologies de l'information et de la communication dans lebut de faciliter l'organisation et l'accès de la formation et de l'ap-prentissage, permettant notamment de réduire les contraintes d'es-pace et de temps; d'individualiser les parcours de formation; defavoriser l'autonomie de l'apprentissage te de développer des rela-tions pédagogiques en ligne".

Reste que la perception du e-learning, quelle qu'en soit sa défi-nition précise, reste encore très floue: 53,4% des entreprises expli-quent en avoir entendu parler, mais sans s'y connaître véritable-ment, et 16,1% n'en ont même jamais entendu parler. L'étudeexplique ces résultats, notamment, par le manque de résonance des

projets de e-learning effectivement mis en œuvre ou encore une per-ception ayant progressivement perdu de son caractère stratégique auxyeux des entreprises.

"Malgré des signaux quelque peu pessimistes, le e-learning auLuxembourg, bien que dans une position latente, semble pouvoirtrouver un second souffle, même s'il est difficile de dresser des pers-pectives d'avenir" explique Claude Chenut, du CRP Henri Tudor. Defait, si près de 50% des entreprises n'envisagent pas de mettre enœuvre un projet e-learning, 14,2% ont une telle réalisation déjà enplace ou en cours d'implémentation et 23,9% l'étudient de près.

Espoirs déçus?Les entreprises qui disposent déjà d'une solution e-learning ont

essentiellement recours aux réseaux Intranet et Internet, avec le sou-tien de supports CD-Rom. Dans plus des trois quarts des cas, lecontenu diffusé via e-learning touche aux formations métier, quireste le plus "populaire" loin devant la bureautique et l'informatique(54% chacun).

Quant aux entreprises qui ne se sont pas encore lancées, elles jus-tifient leur attentisme principalement la faible utilisation supposéedes solutions e-learning par les salariés (22,5%), le manque d'infor-mation sur le sujet (17%) et la faible valeur ajoutée supposée par rap-port aux méthodes traditionnelles (15%)

Du côté des organismes prestataires dans le domaine de la forma-tion, le e-learning ne fait pas non plus particulièrement recette: lamoitié de ces prestataires n'envisage pas d'implémenter de tellessolutions. Seuls 28% intègrent cette offre, les 22% restants l'envisa-geant dans un futur proche.

Conclusion de tout cela? "Les fantastiques espoirs portés enversle e-learning se sont transformés en réflexions beaucoup plus diffé-renciées sur le potentiel réel de ces nouvelles formes d'apprentissa-ge" note le rapport du CRP Tudor, qui se montre "très réservé sur lasituation du e-learning au Luxembourg et notamment sur sa péné-tration dans les entreprises".

Et de suggérer différentes approches de sensibilisation, par lebiais de la création de groupes de travail et/ou de réflexion; la miseen œuvre de différentes démarches de sensibilisation voire la créationd'un centre de ressources dans le domaine du e-learning.

En juillet 2002, le Sitec avait lancé, dans le cadre d'un program-me européen, le projet P.A.R.E.N.T. (judicieux acronyme de "PourAméliorer le Retour en Entreprise par les Nouvelles Technologies"),une expérience pilote de nouvelles modalités de formation destinées,en particulier, aux salariés désireux de garder un contact avec lemonde du travail et faciliter la reprise des activités professionnellesaprès une "pause carrière" (congé parental, congé de maternité).

Ce dispositif de formation partiellement à distance a été activé aumois de novembre 2002 et devrait prendre fin au mois de décembre2003. Il s'est concrétisé par l'organisation de séances d'information etde formations spécifiques, notamment un module "veille métiers"permettant à chaque participant d'organiser sa propre veille sur sonmétier, ses compétences et le secteur d'activité dans lequel il travaille.

Les premières réalisations ont mis en évidence les avantages etinconvénients de l’apprentissage à distance. Ainsi, être autonomedans son apprentissage est certainement une bonne chose, maisimplique un changement radical avec les enseignements "tradition-nels" basés sur des échanges entre un enseignant et un élève. Parailleurs, la communication via des forums qui permet de garder lecontact malgré la distance présente le handicap de ne pas permettrele décodage des messages non-verbaux...

Une solution réside donc dans l'augmentation du nombre deséances dites "en présentiel", afin de rompre l’isolement que créel’apprentissage à distance et augmenter les interactions, tant avec lesautres apprenants qu'avec les tuteurs, démontrant ainsi que le e-lear-ning n'aura sans doute véritablement d'avenir que s'il est intégrécomme un simple moyen dans un contexte de formation plus vaste,et non pas comme une entité à part entière. �

Actualité 025paperJam 06.2003

L'apprentissage assisté par les technologies de l'information et de la communication cherche encore sa voie...

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Actualité026 paperJam 06.2003

modèle "CRP" soit consolidé, plusexplicite et en conformité avec la loide 1987 portant sur la création de larecherche publique à Luxembourg etplus particulièrement des centres derecherche publics. Par ce biais, etcomme tient à le préciser ClaudeWehenkel, administrateur délégué duCRP Henri Tudor: "dorénavant, dèscette année, une part plus importantede notre budget correspondra à ladotation annuelle que nous octroie leministère de la Recherche. Bien évi-demment, le montant de cette envelop-pe annuelle est et sera négociable enfonction des diverses actions, du CRP,planifiées tout au long d’une année".Auparavant, en effet, les crédits verséspar le ministère au CRP Henri Tudorétaient étudiés au cas par cas.

Mais, annualiser le budget alléguéau CRP apporte-t-il réellement "unplus" quant à son fonctionnement?

� Le CRP Henri Tudor peut se retourner avec fiertésur ses quinze premières années d’existence etentrevoir son avenir avec optimisme. Cela passepar la consolidation du "modèle CRP"TEXTE JEAN-MARC STREIT PHOTO FREDERIC DI GIROLAMO (BLITZ)

Plus d'autonomiepour plus d'innovation

"Bien évidemment, rétorque ClaudeWehenkel, grâce à cette enveloppeannuelle, le CRP gagne indéniablementen autonomie, en liberté d’action etdonc représente un atout supplémentai-re pour la recherche et l’innovation…En attendant peut-être que celle-citende à devenir pluriannuelle".

Rappelons toutefois que le CRPHenri Tudor, bien que service public,est géré comme n'importe quelle entre-prise privée. Les activités du Centresont donc, pour partie, subventionnéespar le ministère de la Recherche,notamment pour tout ce qui à trait à desactivités d’intérêt général, comme laveille technologique par exemple. Maiselles restent tout de même pour unegrande partie tributaire des "parte-naires" du CRP, c'est-à-dire plus spéci-fiquement les entreprises - pour la plu-part du secteur industriel - faisant appelaux services et prestations offerts etproposés par le Centre de Recherche.

"Prenons par exemple les activitésde formation intra-entreprises du GIESITec, poursuit Claude Wehenkel. Ellessont, bien entendu, intégralement cou-vertes par les entreprises demandeusesde ce genre de prestations. Par contre,les activités de l’incubateur duTechnoport ou du Centre de ressourcesde technologies pour l’environnement(CRTE) se concentrant essentiellementsur la recherche et l’analyse, sont plutôtliées aux subventions publiques".

Ainsi, 2003 marque-t-elle un chan-gement tangible pour le CRP HenriTudor, changement qui laisse augurer"d’une augmentation du taux d’autono-mie et de responsabilité du CRP",conclut Claude Wehenkel. Il est vraique sans autonomie, nulle innovationn'est possible... �

Lors de la création du Centre deRecherche Public Henri Tudor, en1987, résonnaient déjà les fondamen-taux que sont l'approche interdiscipli-naire, la primauté du partenariat etl'adhésion au paradigme de l'innova-tion, tournés vers une optique de déve-loppement et de recherche technolo-gique. Quinze ans plus tard, et aprèsune croissance de l'ordre de 2.000%, leCRP Henri Tudor est resté fidèle à sesprincipes de base, tout en promouvantune vision pérenne et concertée de sonavenir.

Aussi pour que les actions duCentre de Recherche (actions orien-tées vers la créativité et l’innovation)puissent se conjuguer avec autonomie,liberté et responsabilité, le CRP et lesfonctionnaires concernés ont conçu,en 2002, les bases d’une sorte decontrat de plan en partenariat avec leministère de la Recherche, pour que le

Le CRP Henri Tudor entend pérenniser son modèle de fonctionnement

actualité

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Actualité 027paperJam 06.2003

A l'heure où cette édition paperJamterminera d'être imprimée, les portes dela deuxième édition du salon FinancialOne 2003 se refermeront. Difficile,donc, de vous dire si ce rendez-vous pro-fessionnel réunissant, sur trois jours,conseillers financiers et institutionnelsvenus de toute l'Europe aura été un francsuccès, mais dans la continuité d'uneédition 2002 plutôt réussie, il y avait dequoi se montrer pour le moins optimiste.

"Nous avions 8 partenaires presse en2002, ce qui correspondait à une 'cou-verture' de 600.000 exemplaires. Cetteannée, nous avons 20 partenaires, soit1,7 millions d'exemplaires sur l'Europeentière" peut se réjouir Fabien Amoretti,General Manager de Farvest, organisa-teur de cet événement, qui a su s'imposeren dépit d'un accueil pour le moins miti-gé sur la place luxembourgeoise.

Il n'y avait en effet pas grand mondepour miser sur la réussite de ce projetl'année dernière, tant les ambitions affi-chées par Farvest semblaient irréelles:créer LA référence européenne enmatière de rassemblement "B2B" dans lesecteur financier. L'initiative n'avait,alors, été soutenue que par la Fédérationeuropéenne des conseils et intermé-diaires financiers (FCI) et l'Associationluxembourgeoise des professionnels dupatrimoine (ALPP). "Pour l'édition2003, une quinzaine d'associations pro-fessionnelles nous ont apporté leurconcours, essentiellement des non-luxembourgeoises" constate M.Amoretti, qui sait qu'en dépit du cheminparcouru depuis un an, la route seraencore longue pour arriver à unemeilleure reconnaissance.

C'est tout de même en très bonnevoie, et la présence annoncée de LucienThiel, Directeur de l'Association desbanques et banquiers, Luxembourg(ABBL), qui devait prononcer le dis-cours d'ouverture de la 2e journée dedébats, dédiée au futur de la Place et auxinnovations 2003, en est un signe sup-plémentaire. On se rappelle que l'annéedernière, l'ABBL, elle même occupée à

l'organisation de son propre salon finan-cier, LuxFinance (qui s'était tenu enoctobre) avait tourné le dos à Farvest.Son soutien, pour cette année, peut s'ap-parenter à un signal fort qu'une concen-tration des énergies vaut certainementmieux qu'une trop grande dispersion.

Près de 2.000 visiteurs avaient étérecensés l'année dernière et l'objectif desorganisateurs était d'atteindre la barredes 3.000 pour cette année avec unerépartition équilibrée entre institution-nels et conseillers financiers. Quelque80 sociétés étaient présentes, la grandemajorité intervenant au travers des work-shops et des conférences. "Le climatéconomique actuel fait que très peu ontsouhaité s'exposer directement à laclientèle au travers de stands" préciseM. Amoretti, qui ne se formalise pasd'une très légère baisse du nombre departicipants pour l'édition 2003 deFinancial One. En France, plusieursmanifestations financières d'ampleur ont

été purement et simplement annulées ence début de printemps et le récent report,pour 2004, du Sipab, le Salon de laPublicité, du Marketing et de laPromotion de Bruxelles, qui en est à sa24e édition, montre combien les tempssont difficiles sur ce créneau de l'événe-ment.

L'année 2004, justement, pourraitbien marquer un tournant pour Farvest etFinancial One. La planification degrands travaux de réfection sur le site deLuxembourg-Congrès et des relationscommerciales au point mort avec les FILfont que le salon pourrait bien choisirl'exil vers Bruxelles. Un déménagementqui cadrerait, de surcroît, parfaitementavec les ambitions européennes deFarvest. �

� Petit Financial One a grandi. Le salon financier,dont la deuxième édition vient de s'achever,est sur la voie de la reconnaissance internationaleTEXTE JEAN-MICHEL GAUDRON PHOTO FRÉDÉRIC DI GIROLAMO (BLITZ)

La finance fait salon

3.000 visiteurs professionnels étaient espéréspour l'édition 2003 de Financial One

actualité

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the service of continuing trai-ning, having provided over3,500 training units in whichalmost 55,000 people haveparticipated.All the same, results for 2002were lukewarm, mainly dueto troubled economic evolu-tion at the national level.Thus, although Olap increa-sed training activity in com-parison with the previousyear (201 training units in2002), it registered a 9.9%decrease in the number ofparticipants, from 1,724 in2001 to 1,553 in 2002.Participation fell for all thetraining courses Olap offers,with the exception of in-com-pany computing workshops,which had 158 participantsattending 22 courses (bestresult since the record year,1999).www.olap.lu

ILR

Nouvelles sanctions prononcéesNew sanctionspronounced

(01/04) L'Institut luxembour-geois de régulation se rappelleau bon souvenir des opéra-teurs mauvais payeurs. Elle aainsi pris des sanctions à l'en-contre de deux d'entre eux,Ixnet UK Ltd. (basé àLondres) et les Néerlandais deVocalis Telekom-DiensteGmbH, pour retard de verse-ment de redevances en dépitde nombreux rappels, misesen demeure et convocationsnon honorées. Dans le premier cas, le litigeporte sur un montant de495,79 Euro et dans le secondcas sur une somme de 371,84Euro. Dans les deux dossiers,l'ILR a, outre un avertissementà l'encontre des deux opéra-teurs, prononcé une interdic-tion d'exploiter tout servicesoumis à déclaration. À noter que Vocalis avait déjàété sanctionné le 17 octobre

Olap

45 ans déjà!45 years already!

(31/03) 45 ans de bons etloyaux services dans ledomaine de la formation: ça sefête (la fête s'est d'ailleursdéroulée le 25 novembre der-nier) mais c'est égalementl'occasion de faire une brèverétrospective de ce long par-cours qui aura permis à l'Olapde dépasser les 3.500 actionsde formation continue aux-quelles près de 55.000 per-sonnes ont participé.Cette asbl aura donc connuune progression constante dunombre de ses actions de for-mation ainsi que des fréquen-tations. Toutefois, les résultatsréalisés en 2002 sont en demi-teinte notamment à cause del'évolution économique diffi-cile sur le plan national. Ainsi,bien que l'Olap ait effectuéune action supplémentaire parrapport à l'année précédente(201 actions en 2002), elle aenregistré une baisse de 9,9%du nombre de participants, quisont passés ainsi de 1.724 en2001 à 1.553 en 2002. Cette baisse s'est généralisée àl'ensemble des actions de for-mations de l'Olap, à l'excep-tion des workshops en infor-matique intra-entreprise quiont été sollicités par 158 parti-cipants au travers de 22 for-mations (meilleur résultataprès l'année record de 1999). A noter enfin, que durant l'an-née 2002, l'Olap a constatéque les formations intra-entre-prises sont de plus en plus usi-tés par les entreprises clientesau point même de se rappro-cher fortement du nombre desformations inter-entreprises(120 formations inter-entre-prises en 2002 contre 81"intra").

(31/03) Having closed itsbooks for 2002, Olap has justcompleted its 45th year in

2002, pour des raisons simi-laires, mais pour un montantbien supérieur (près de 80.000Euro, voir paperjam 12.2002page 043). Les dernières sanctions pro-noncées par l'ILR remontaientà la fin du mois d'octobre 2002et concernaient trois autresopérateurs également en retarddans leurs paiements de rede-vance: les Allemands deEnergis 24 (12.394,68 Euro autitre d'une licence d'exploita-tion d'un réseau de télécom-munications, sans service detéléphonie); les Néerlandais deVersatel Telecom Europe BV(12.407,18 Euro pour le mêmetype de licence) et les Anglaisde Vine Telecom NetworksLtd. (24.789,35 Euro, toujourspour une licence de type B).

(01/04) The Institut luxem-bourgeois de régulation(Luxembourgish regulationinstitute) has imposed penal-ties on two telecommunica-tions-services providers forlate payment of their operatorfees. The culprits are IxnetUK Ltd. (based in London)and Dutch company VocalisTelekom-Dienste GmbH,fined 495.79 euro and 371.84euro respectively. In addition,the two operators were orde-red to suspend their activitiesuntil further notice.Note that Vocalis had alreadybeen penalized, in Octoberlast year, for late payment ofalmost 80,000 euro.

HRC

Les meilleursemployeursluxembourgeois The bestemployers inLuxembourg

(02/04) Qui sont les meilleursemployeurs en Europe et auLuxembourg? Un concours européen tentede répondre partiellement à

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Actualité 029paperJam 06.2003

This engineering consultan-cy is also classed among the100 best employers inEurope. Then come StateStreet Bank Luxembourg(451 employees) and HuskyInjection Molding Systems(625 employees).Here are the other bestemployers, in alphabeticalorder: Cargolux AirlinesInternational SA (1,086

cette question en classifiant,d'après des critères de compa-raison concernant l'attractivi-té des entreprises, les 100meilleurs employeurs des 15états membres. Au Luxembourg, c'est HRC,The Human ResourcesConsultants, qui s'est chargéede l'enquête et de l'organisa-tion du concours sur le plannational.Parmi toutes les entreprisesde plus de 50 salariés invitéesà participer, volontairement etgratuitement à ce concours,20 d'entre elles se sont effecti-vement qualifiées et une listedes 10 meilleurs employeurs afinalement été constituée.Ainsi, arrive en premièreplace, la société GobletLavandier & Associés (117employés), proposant des ser-vices dans le domaine de l'in-génierie. Ce cabinet est égale-ment classé parmi les 100meilleurs employeurs euro-péens. Suit ensuite StateStreet Bank Luxembourg(451 employés) qui sedémarque essentiellement parson "Comité pour la qualitéde vie au travail", son pro-gramme de reconnaissancedes employés et son centre deformation. Enfin sur la der-nière place du podium setrouve la société d'originecanadienne Husky InjectionMolding System (625employés).Voici les autres "meilleursemployeurs", classés parordre alphabétique: CargoluxAirlines International S.A.(Transport, 1086 employés);Ecole de Musique de l'UnionGrand-Duc Adolphe (ONG,150 employés); Happy SnacksSA (Horeca, 395 employés);Massen SA (Commerce, 156employés); Schroeder etAssociés S.A. (Services, 179employés); ServicesGénéraux de Gestion S.A.(Secteur financier, 127employés) et la Ville deLuxembourg (Secteur public,3703 employés).

(02/04) Who are the bestemployers in Europe and inLuxembourg? A Europeancompetition tries to answerthis question by classifyingthe 100 best employers inthe 15 Member States

according to criteria thatenable the attractiveness ofcompanies to be compared. In Luxembourg, the firmassigned to carry out thesurvey and organize thecompetition at the nationallevel is HRC, HumanResources Consultants.Thus, arriving in first placewe have Goblet Lavandier &Associés (117 employees).

employees); Ecole deMusique de l'Union Grand-Duc Adolphe (150employees); Happy SnacksSA (395 employees); MassenSA (156 employees);Schroeder et Associés SA(179 employees); ServicesGénéraux de Gestion SA(127 employees); Ville deLuxembourg (3,703employees).

Groupe Le Foyer

Les fondamentaux restent solidesFundamentals remain solid(04/04) Comme la plupart des dirigeants desociétés financières présentant leur bilan 2002, lasatisfaction est de mise du côté du Groupe d'assu-rances Le Foyer. "Une bonne performance dansun environnement très difficile": tel est le résuméproposé par François Tesch, président du Conseild'administration et Directeur général du groupe."Nous sommes une des seules compagnies enEurope à afficher un résultat positif, en dépitd'importantes corrections de valeurs sur nos por-tefeuilles titres". Pour la troisième année consécutive, Le Foyer a,en effet, du procéder à de conséquents amortisse-ments, qui se sont élevés, en 2002, à près de 28millions d'Euro (après 24,5 millions en 2001). Unmontant qui aide à relativiser le recul de 29,4%constaté au niveau du bénéfice net final (10,31millions contre 14,61 millions un an plus tôt). Demême, les plus-values exceptionnelles de 5,66millions d'Euro réalisées dans la cession d'uneimportante participation financière dans unebanque de la Place n'ont pas été intégrés dans cerésultat.Sur le plan opérationnel, le chiffre d'affaires en"non vie" gagne 4,2% à 191,68 millions d'Euro(+6,3% en faisant abstraction du chiffre d'affairesréalisé en "fronting" – c'est-à-dire les opérationsd'assurance "sous-traitées" à une autre sociétépour des questions de masse critique – alors quele marché affiche une croissance de 5%), alorsque la branche "vie", fortement handicapée parles mauvais résultats à l'international (-33,7% à159 millions d'Euro) en raison du délabrementdes marchés boursiers et de l'incertitude qui alongtemps régné autour des accords sur l'harmo-nisation fiscale, connaît un net recul global (-26,5% à 210 millions d'Euro). Les très bonnesperformances réalisées sur le marché domestique(+12% à 51 millions d'Euro, en particulier grâceau succès des produits de pension 111bis) n'ontdonc pas été suffisantes. François Tesch a donc toutes les raisons de semontrer optimiste pour la suite des opérations,compte tenu, surtout, de la politique de prudenceaffichée ces dernières années: forte réduction despositions du groupe en actions (moins de 10%désormais, contre plus de 25% en 2000); maîtrise

des frais généraux; prudence dans les investisse-ments et les développements technologiques(pour une plate-forme Internet interactive, il fau-dra donc encore patienter...): "Nous sommesdans une situation saine, ayant amorti déjà toutce qu'il était possible d'amortir. Nous ne sommespratiquement plus vulnérables aux effets bour-siers et il n'est pas question d'envisager de faireappel à nouveau à l'argent de nos actionnaires"résume-t-il, en mettant en avant la solidité finan-cière du Foyer, qui affiche un niveau de couver-ture de 350%, "là où la plupart des autres assu-reurs ne dépassent pas les 200%".(04/04) François Tesch, President of the Boardof Directors and CEO of the Assurances LeFoyer group, did not attempt to hide his satis-faction with the company’s 2002 results whenhe claimed his was "one of the few companiesin Europe to post positive results, despitemajor revaluation of the shares in our portfolio".Turnover for non-life insurance products gai-ned 4.2%, to 191.68 million euro. Life productsfell back by 26.5% (210 million euro), due,notably, to poor performance internationally (-33.7%). The domestic market, on the otherhand, was fruitful (up 12%, to 51 million euro)."Our situation is healthy, having already amorti-zed everything that could be amortized. We arenow practically invulnerable to the effects ofthe stock markets and there is no reason toenvisage having to appeal to our shareholdersfor more money", concluded Mr Tesch, under-lining the financial stability of Le Foyer.www.lefoyer.lu

Les investissements Internet du Foyer ont étérepoussés à des jours meilleursLe Foyer’s Internet investments have been post-poned until better days

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ses pouvoirs exorbitants qui"semblent rappeler la périodede l'absolutisme du 17e siècleplutôt que les réalités démo-cratiques et les responsabilitéscollectives du 21e". La CFEP craint, en particulier,que les prochaines échéancesélectorales ne soient sourced'une certaine précipitationqui bâclerait le projet, "en ymélangeant les genres et lesobjectifs". Parmi les griefs for-mulés, celui d'un éclatementdes sites sur trois positionsgéographiques différentes, cequi pose, notamment, des pro-blèmes "d'identification","alors que des considérationspratiques et psychologiquesexigent plutôt d'établir le toutsur un campus unique pourfavoriser l'esprit communau-taire". La Chambre s'interroge égale-ment sur la pertinence de lavolonté d'écarter du projet unegrande partie des enseignantsdu secondaire, ce qu'elleconsidère comme un "coupbas", de nature à envenimersans raison valable les rela-tions entre l'enseignementsupérieur et l'enseignementsecondaire. "L'Université de Luxembourgaux dimensions limitées etaxées sur des domaines biendéterminés représenterait unatout pour notre pays (…)mais un projet multidimen-sionnel englobant desdomaines trop épars et impli-quant des dépenses difficiles àcalculer serait une erreur fata-le" conclut la CFEP.

(03/04) The Chambre desfonctionnaires et employésprivés (CFEP - Chamber offunctionaries and privateemployees) has rendered astrongly critical opinion onthe draft law relating to theUniversity of Luxembourg. Itcastigates the administrativeorganization, which it profilesas having "a rather vauntedadministrative head on arather modest body", theposition of the president/rec-tor and his exorbitant powersthat "are reminiscent of theAbsolutist period of the 17thcentury", the dispersal overthree sites, which is notfavourable for overall cohe-sion, and the exclusion ofmany secondary-school tea-

Immo Croissance

Bilan 2002 positifPositive balance sheet in 2002(10/04) Évalué à 215 millions d'Euro, le patri-moine immobilier d'Immo Croissance a progres-sé de plus de 15% en 2002. Cette croissance estessentiellement imputable à l'intégration du troi-sième immeuble de Strassen, livré à Dexia-BIL le1er novembre 2002, dans le portefeuille d'ImmoCroissance. Ainsi, comme le rappelle FrançoisMoes, président du Comité de Direction d'Immo-Croissance: "Globalement, et à périmètreconstant, le portefeuille est resté stable, voire enlégère augmentation, grâce à des revalorisationsde loyers pour trois de nos immeubles, dont deuxsitués à Luxembourg".La valeur nette d'inventaire a, en revanche, stag-né, d'une année sur l'autre à un peu plus de 130millions d'Euro, alors même que la valeur desactifs a augmenté, s'élevant, fin 2002, à près de235 millions d'Euro. Ceci s'explique, en fait, parune augmentation du passif (104 millions d'Euro)et tout particulièrement des emprunts bancairesqui sont passés à plus de 98 millions d'Euro.Ainsi, la valeur nette d'inventaire par action s'éta-blit, au 31 décembre 2002, à 325,03 Euro pour lesactions de distribution et à 659,64 Euro pour lesactions de capitalisation. Compte tenu de cesrésultats, François Moes estime que: "la décotepar rapport au cours de la bourse ne se justifiepas, elle est injuste et exagérée!". Fin décembre,en effet, les deux actions cotaient en Bourse 230Euro, respectivement 447 Euro, soit un "gap" deprès de 30%. À propos des revenus de l'exercice, FrançoisMoes constate avec satisfaction que ceux-ci ontaugmenté de plus de 7% pour atteindre plus de 15millions d'Euro. Sur ce point, Michel Delain,directeur administratif et financier explique que:"La prise en location des immeubles de Strassenpar la Dexia-Bil ainsi que l'augmentation desloyers suite à la renégociation de certains bauxont contribué notoirement à l'augmentation denos revenus". D'un autre côté, les frais ont égale-ment augmenté passant ainsi à près de 8,6 mil-lions d'Euro. À cela, Michel Delain y voit deux

raisons principales: "d'une part les frais finan-ciers ont augmenté, suite à notre politique d'in-vestissements et d'autre part, nous avons consti-tué des provisions substantielles de plus d'1,3million d'Euro".Ainsi, compte tenu de tous ces résultats,l'Assemblée Générale des actionnaires d'ImmoCroissance a pris l'initiative de distribuer undividende de 17,5 Euro contre 17 Euro lors del'exercice précédent.Enfin pour 2003, François Moes se veut "modé-rément optimiste pour l'année en cours car il n'ya pas de bail arrivant à échéance. En 2003 nouspoursuivrons donc notre programme d'investis-sement afin de maintenir la rentabilité de notreportefeuille".(10/04) Immo Croissance, the real-estateSicav operated by Dexia-BIL, made a pro-gress of 15% in 2002, to be valued at 215 mil-lion euro. On the down side, the net value ofinventory remained more or less stagnant atslightly higher than 130 million euro, despitean increase in the value of assets to almost235 million euro at the end of 2002. Thus, thenet inventory value last 31 December was325.03 euro for distribution shares and 659.64euro for capitalization shares. Revenues forthe year reached 15 million euro, an increaseof 7%. Costs, on the other hand, jumped too,to 8.6 million euro. Taking all these figures intoaccount, Immo Croissance's shareholdersGeneral Assembly decided to distribute divi-dends of 17.5 euro, as compared with 17 eurofor the previous year.

Le parc immobilier de la Sicav Immo-Croissance s'est enrichi à StrassenSicav Immo-Croissance’s expanded real-estatein Strassen

CFEP

Non à une universitéhypertrophiée"No" to a vaunted university(03/04) Dans son avis rendusur le projet de Loi portantcréation de l'Université deLuxembourg, la Chambre desfonctionnaires et employéspublics (CFEP) ne s'est embar-

rassée d'aucun complexe pourciter, en exergue, un passagede… l'évangile selon Saint-Marc: "Personne ne met… du

vin nouveau dans de vieillesoutres; autrement, le vin feraéclater les outres, et le vin

perdu aussi bien que lesoutres. Mais à vin nouveau,outres neuves!" Tout y est dit,ou presque...La CFEP ne se montre en effetguère enthousiaste devant unprojet de texte qui lui donnel'impression "que l'Universitéde Luxembourg, sur un corpsencore modeste au début,semble avoir fixé une têteadministrative plutôt hypertro-phiée", reprochant, notam-ment, le mode de désignationdu président/recteur ainsi que

Actualité

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Statec

Des prix qui grimpent, qui grimpent,…Prices are climbing, climbing…(08/04) Au 1er mars, l'indicedes prix à la consommation,établi par le Statec, a sensi-blement augmenté de 0,28%.L'inflation, à cette mêmedate, atteint donc 2,66%. Aupremier février, le taux d'in-flation était de 2,45%.

(04/04) Banque PrivéeEdmond de RothschildLuxembourg (active in priva-te banking, asset manage-ment, financial engineeringand fund administration)registered a 16% profit hikein 2002, to 16.4 million euro.So far in 2003, the bank haswitnessed two major events:the opening of a branch inBrussels, in April, and thechanging of its official nameto Banque Privée Edmond deRothschild Europe. www.lcf-rothschild.lu/en/luxem-bourg/overview/overview/loca-tions.asp

Cette hausse est essentielle-ment imputable à l'augmenta-tion des prix dans l'immobi-lier, les énergies et les com-bustibles (+0,17 point) maiségalement dans le transport(+0,06) et les biens et servicesdivers (+0,05). À l'inverse, ladivision "Loisirs, spectacleset culture" a connu une baisserelative de l'ordre de 0,01point.Contrairement au mois précé-dent, les produits pétroliersont été un facteur inflation-niste déterminant, leurs prixmarquant du 1er février au 1er

Actualité 031paperJam 06.2003

chers from the project. "AUniversity of Luxembourg oflimited size and an orientationaround well-defined subjectswould represent a bonus forour country (…) but a multidi-mensional project whosesubjects are too diversifiedand involving expenses toodifficult to calculate would bea fatal error", concludes theCFEP.

Banque PrivéeEdmond de Rotschild

Bénéfice en hausse pour 2002Profits up for 2002

(04/04) Certaines banques, endépit d'un climat économiquedéfavorable, ont réussi à affi-cher un bénéfice en haussepour le compte de l'exercice2002. C'est le cas de la BanquePrivée Edmond de RothschildLuxembourg, active dansquatre métiers: la banque pri-vée, la gestion de patrimoine,l’ingénierie financière ainsique l’administration de fonds. Son bénéfice net est ainsipassé à 16,4 millions d'Euro(+16% par rapport à 2001),encore loin, néanmoins, dessommets de 2000 (21,85 mil-lions d'Euro). La spécialisation et larecherche de l’excellence dansses métiers de base sont, selonFrédéric Otto, Président duComité Exécutif, les raisonsde cette performance pour labanque, qui a enregistré uneaugmentation sensible desactifs gérés et administrés. À noter que la banque a chan-gé de nom en ce début de prin-temps pour s'appeler désor-mais Banque Privée Edmondde Rothschild Europe. Unenouvelle raison sociale quiillustre la volonté d'expansionà l'international d'un groupeégalement présent enEspagne, au Portugal, enIsraël et, depuis le mois d'avril2003, en Belgique.

Banque Centrale du Luxembourg

A quand le bout du tunnel?Light at the end of the tunnel?(10/04) Un contexte international difficile, uneéconomie en berne, une confiance qui tarde àrevenir: tout ceci laisse augurer une faible crois-sance pour 2003 et même 2004. D'ailleurs lesdernières estimations des instances internatio-nales vont dans le même sens et ont d'ores etdéjà revu la croissance européenne et luxem-bourgeoise à la baisse. La Banque centrale duLuxembourg prend acte…"La situation géopolitique et notamment laguerre en Irak plombe l'économie mondiale",commente, en préambule Yves Mersch, prési-dent de la Banque Centrale du Luxembourg(BCL), qui ajoute: "C'est en partie la raisonpour laquelle les perspectives de croissance ontété revues à la baisse. Cependant, cette situationinternationale n'est qu'un voile derrière lequelse cachent d'autres difficultés économiques". Leton est donné! Et l'euphorie de l'après-guerre nesera certainement pas au rendez-vous.Cependant, Yves Mersch rappelle que: "Nous nesommes pas en récession et même les pires scé-narios ne prévoient pas de récession". Oui bien, mais qu'en est-il dans notre bon petitpays? Les estimations, guère reluisantes, sontégalement revues à la baisse, aussi bien par leFonds monétaire international (FMI) que par laCommission européenne. Ainsi le FMI prévoitpour cette année une croissance de 1,5% tandisque la CE table plutôt sur 1,1% pour 2003 et2,7% en 2004. En parallèle, le taux d'inflationdevrait atteindre 2,0% en 2003 et 1,7% en 2004.Pour ce qui est des effets sur le marché de l'em-ploi et le chômage, Yves Mersch admet que:"L'évolution du chômage est toujours en retardpar rapport à la croissance. Il ne faut donc pass'attendre à ce que la situation de l'emplois'améliore dans les mois à venir. Au contraire, lechômage devrait même s'aggraver encore en2003 et même en 2004".

Enfin, concernant les finances publiques YvesMersch juge que: "L'excédent des dépenses estnettement plus favorable que ce que laissé pré-voir les dernières estimations. Ainsi le gouver-nement ne devrait pas être en déficit, cetteannée. Cette situation plus favorable est en faitdû notamment au très fort rattrapage des arrié-rés des impôts et au ralentissement des investis-sements par rapport à ce qui était initialementprévus. Il faudra tout de même veiller à ce quele secteur public reste excédentaire et à ce quele budget de l'Etat se maintienne en équilibre". Pour conclure, d'un point de vue général, la BCLse veut "d'un optimisme prudent malgré unesituation mondiale où de nombreuses incerti-tudes sont toujours présentes".(10/04) Faced with a still difficult economicsituation, the Banque Centrale duLuxembourg has presented, in its latest annualreport, the international authorities' expecta-tions for European and national growth. Thus,the IMF foresees growth of 1.5% this year forLuxembourg and, for the EU, 1.1% in 2003and 2.7% in 2004. The rate of inflation isexpected to be 2.0% in 2003 and 1.7% in2004.Concerning the job market, however, theunemployment situation is unlikely to improvein 2003, or even in 2004, given the generaltendency for such improvements to followsome time after periods of growth.

Yves Mersch prévoit une agravation du chômagepour 2003 et 2004Yves Mersch foresees worsening unemploymentin 2003 and 2004

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Actualité032 paperJam 06.2003

Conseil Economiqueet Social

Structure adap-tée et élargieStructure adapted andenlarged(10/04) Depuis juillet 1999, leConseil économique et social,institution consultative centra-

mars une hausse de 5,1%.Avec 0,10%, la hausse desprix de l’ensemble des autresbiens et services à été trèsmodérée en mars.

(08/04) On 1 March 2003,the consumer-prices index,established by Statec, wasup by 0.28%. Inflation on thesame day reached 2.66%.On 1 February 2003 the

inflation rate was 2.45%.This increase is essentiallydue to rising prices of realestate, energy and combus-tibles (+0.17 points), butalso of transport (+0.06) andgeneral goods and services(+0.05).www.statec.lu/html_fr/indica-teurs_rapides/index.html

le et permanente du gouverne-ment en matière d'orientationéconomique et sociale, planchesur une réforme de son modede fonctionnement et de sastructure. Fin décembre 2000,le CES avait rendu un avis de63 pages consacré à cetteréforme. Une nouvelle étape aété franchie avec le dépôt d'unprojet de loi concrétisant, dansles textes, l'ensemble desréflexions menées depuis bien-tôt quatre ans.Il ne s'agit, en l'occurrence, nid'une réforme fondamentale nid'une réorientation du rôle del'institution, mais bel et biend'une adaptation aux nouvellesréalités socio-économiques (laloi portant institution du CESdate de 1966 et n'a été modifiéqu'une seule fois, en 1986)doublée d'un recentrage de sonaction sur le dialogue social etune meilleure articulation de laconcertation entre les acteursimpliqués. Actuellement présidé parGaston Reinesch, le Conseiléconomique et social est com-posé de 35 membres, représen-tants des secteurs de la sidérur-gie, de la petite et moyenneindustrie, du commerce, del'artisanat, des banques, desassurances, des professionsindépendantes, de l'agriculture,de la viticulture et du secteurprivé, ainsi que des fonction-naires ou employés du secteurpublic, agent du secteur destransports, quatre membrescooptés et enfin trois membresnommés par le Gouvernement.Le texte prévoit un élargisse-ment à 39 membres (et autantde suppléants), répartis uni-quement en trois catégories: 18représentants patronaux et 18représentants salariaux nom-més par le gouvernement surproposition des organisationsprofessionnelles les plus repré-sentatives sur le plan nationalet 3 représentants jouissantd'une compétence reconnue enmatière économique, sociale etfinancière, nommés directe-ment par le gouvernement.Tous les deux ans, la présiden-ce du CES sera dévolue à cha-cune de ces trois catégories.

(10/04) After four years ofreflection, the Conseil écono-mique et social (CES) willsoon implement its project

ING Luxembourg

Le Crédit européen passe à l'orangeCrédit Européen goes orange(22/04) Il ne faut donc plus dire Crédit européen,mais ING Luxembourg, conséquence logiqued'un processus de fusion engagé en 1997 entre legroupe néerlandais ING (InternationaleNederlanden Group, lui-même né de la fusionentre l'assureur Nationale-Nederlanden et labanque NMB Postbank Groep) et la BanqueBruxelles Lambert en Belgique.Le 22 avril a marqué la date officielle de ce"rebranding", qui implique évidemment tout unchangement progressif d'identité visuelle. Maisdans les faits, le processus est déjà effectif depuisun bon moment: en 2001, par exemple, les activi-tés d'administration de fonds avaient déjà étéregroupées sous une seule et même entité quigère, aujourd'hui, environ 20 milliards d'Eurod'actifs, dont 95% pour compte propre. De même, depuis février 2001, les deux logos deCrédit européen et de ING figuraient côte à côtesur tous les documents officiels. Quant aux sitesInternet existants (www.ing.lu etwww.cebank.lu), ils ne feront plus qu'un à comp-ter du 31 mai, sous l'adresse www.ing.lu.La "nouvelle" entité, qui regroupe sous la mêmebannière, ING Bank Luxembourg et Crédit euro-péen, emploie 900 personnes. "Il était importantd'unifier et d'harmoniser les structures. Cettefusion a un sens économique, puisque les deuxbanques offrent des services et produits iden-tiques en matière de banque privée. Les clientèlessont complémentaires. Quant aux économiesd'échelle que nous allons réaliser, elles neconcernent pas de quelconques réductions depersonnel. Au contraire, les tâches seront réattri-buées afin d'être plus utiles à la clientèle" assureBruno Colmant, Administrateur-délégué de labanque, qui prévoit, dans les années à venir, uneattirance accrue de cette clientèle pour des"marques fortes": "Les clients éprouveront lebesoin de retrouver cette marque quel que soit lepays où ils se trouveront. Désormais, nous nevoulons plus être reconnus en tant que Créditeuropéen, opérateur local, mais bel et bien ING,opérateur global". En 2002, le Crédit européen, qui se base sur unmodèle d'entreprise de banque universelle et de

bancassurance a enregistré une hausse de sonrésultat net de 17% à 72,8 millions d'Euro et unemarge sur intérêts passée de 54,5% à 62%. Aucours des deux dernières années, les dépôtsclients ont, par ailleurs, doublé. "Tous nosmétiers sont en hausse et aucun n'a été sacrifié"assure M. Colmant, qui a rappelé que, dans lecadre d'un accord passé au niveau mondial, INGLuxembourg travaillait avec Bank of New-Yorksur un projet de création d'une structure autono-me d'administration de fonds, qui lui permettraitnotamment d'ouvrir davantage ses services à desfonds de tiers.(22/04) Crédit Européen is gone, here comesING Luxembourg. In the framework of the buy-out of Banque Bruxelles Lambert, in Belgium,by the Dutch insurance banking group ING,the BBL subsidiaries Crédit Européen and INGBank Luxembourg have been operating, since22 April, under the common name of INGLuxembourg.Their union had already been effective sincethe regrouping of their fund-administrationactivities in 2001 (20 billion euro in assetsmanaged, of which 95% for their ownaccount). Also, since February 2002, the logosof Crédit Européen and ING BankLuxembourg had appeared jointly on all officialdocuments. "It was important to unify and harmonize thestructures. This fusion makes sense economi-cally, since the two banks offer identical priva-te-banking services and products. Their clien-tèle are complementary", explains BrunoColmant, the bank's executive director. Crédit Européen had been doing rather well: inthe past two years it registered a doubling ofits client deposits.

900 personnes naviguent désormais àLuxembourg sous pavillon ING900 people now fly the ING flag in Luxembourg

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1/1-Ann-PWC 02.05.2003 23:03 Uhr Seite 1

Actualité034 paperJam 06.2003

nominated by the govern-ment on the recommenda-tions of the major nationaltrade associations, and 3representatives with reco-gnized competence in eco-nomic, social and financialfields, nominated directly bythe government.www.etat.lu/CES

for reforms to adapt to thesocioeconomic changes thathave occurred since 1986,when the institution's opera-tions were last revised. Therewon't be any fundamentalchange or reorientation ofthe institution's rôle, but,rather, an adaptation of itsstructures to refocus on

social dialogue and betterarticulation of the concerta-tion between the partiesinvolved. The most notablemodification concerns thecomposition of the CES,which will now have 39 ins-tead of 35 members: 18employer representatives, 18employee representatives

Gouvernement

Plus d'électricitéverte pour 2010More greenelectricity by 2010

(11/04) En vertu d'une directiveeuropéenne datant de sep-tembre 2001, la Communautéeuropéenne devra consommer,en 2010, 22% d'électricité dire"verte", c'est-à-dire produite àpartir de sources d’énergierenouvelables, afin de respecternotamment les accords deKyoto de 1997 en matière deréduction des émissions des gazà effet de serre. Au Luxembourg, le projet de loirelative à l’organisation du mar-ché de l’électricité, transposantcette directive a été approuvépar le gouvernement luxem-bourgeois. Il prévoit notam-ment que 5,7% de la consom-mation totale d’électricité devraêtre d'origine "renouvelable" àl'horizon 2010. Un taux quin'était que de 2,1% en 1997. Dans cette optique, les régimesde soutien nationaux serontbien sûr préservés en mêmetemps que les procédures admi-nistratives nationales d’autori-sation seront simplifiées. Enfin,le texte prévoit une garantied’accès de l’électricité verteaux réseaux de transport et dedistribution de l’électricité, entoute transparence des prix deproduction.À noter que Cegedel a annoncé,courant avril, la fourniture d'untel "courant vert", baptisé Novanaturstroum, directementimporté d'Allemagne: un "mix"énergétique composé à 90%d'énergie renouvelable.Comparé au mix énergétiquehabituel, il faudra compter unsurcoût, pour le consommateur,de 2,5 centimes par kilowatt-heure.

(11/04) The draft law relatingto the organization of theelectricity market has been

Arcelor

Luxembourg aux manifestants absentsLuxembourgish demonstrators opted out(25/04) En deux occasions, les 17 et 25 avril, lequartier gare de Luxembourg-ville a connu dechaudes heures à l'occasion des manifestationsde sidérurgistes de tous pays, venus exprimerbruyamment leur opposition aux plans derestructuration annoncés par le groupe Arcelor.En dépit de mesures de prévention assez specta-culaires, qui ont notamment isolé le siège dunuméro un mondial de l'acier, certains manifes-tants se sont frottés à des forces de l'ordre peuhabituées à évoluer dans ce genre de climatinsurrectionnel. Le 17 avril, ce sont les seuls métallos liégeois deCockerill-Sambre qui étaient venus défendreleur outil de travail. Une manifestation qui arapidement dégénéré au point que lances à eauet gaz lacrymogènes ont été de sortie. Unesemaine plus tard, la manifestation, prévue delongue date, car coïncidant avec la date de l'as-semblée générale annuelle d'Arcelor, était orga-nisée à l'appel de la Fédération européenne desmétallurgistes. Elle a réuni plusieurs milliers detravailleurs et syndicalistes de la granderégion... exception faite des organisationsluxembourgeoises (sauf déi Lénk), ayant souhai-té rester en retrait, officiellement pour ne pasrisquer de mettre en danger leurs adhérents alorsque d'autres graves incidents - finalementminimes ce jour là - étaient redoutés. JohnCastegnaro, président de l'OGB-L, avait mêmerevendiqué l'annulation pure et simple de cettemanifestation. Rappelons qu'il est égalementmembre du Conseil d'Administration d'Arcelor,représentant des salariés de Luxembourg…Pendant ce temps là, lors de cette AGE, JosephKinsch, Président du Conseil d'administration,constatait que "les performances opération-nelles de notre Groupe sont à la hauteur de nosambitions et de nos attentes", le groupe ayantmême dépassé certains des objectifs de synergiefixés pour 2002 et affiché un résultat brut opé-rationnel de 1,38 milliard d'Euro supérieur auxprévisions. Rappelons que l'année écoulée aconstitué le premier exercice complet d'Arcelor,dont la création avait été validée le 22 novembre2001 par la Commission européenne. Guy Dollé, président de la Direction générale, arappelé pour sa part que les réflexions straté-giques menées pour chaque secteur opérationnel

– et qui sont, pour beaucoup, à l'origine desmanifestations que l'on sait - "ont pour objectifclair de mettre chaque activité au meilleurniveau de performance afin d'atteindre nosobjectifs de création de valeur". (25/04) For a long time to come, LuxembourgCity will remember those two days of demons-trations by European iron and steel industryworkers who came to express their anger withthe Arcelor group. On the 16th, first of all, themetallurgists from the Cockerill-Sambre worksin Liège fought violently against theLuxembourgish police force, which respondedwith water cannon and tear gas. The 25th, fortunately, was a calmer day, with agathering organized by the EuropeanFederation of Metallurgists that brought outseveral thousand workers and unionists fromthe Greater Region onto the streets. TheLuxembourgish organizations, however, withthe exception of déi Lénk, decided not to takepart, officially because they didn't want to beseen as being responsible for any eventualdamage (which turned out to be minimal).John Castegnaro, President of OGB-L, evencalled for the outright cancelling of thedemonstration. Let us recall that he is also onArcelor's Board of Directors...During Arcelor's extraordinary general assem-bly, held on 25 April, Guy Dollé, President ofthe Management Board, reiterated that thegroup's strategic restructuring - which is theroot cause of the demonstrations - "has theclear objective of raising each activity to anoptimal level of performance in order to achie-ve our aims of creating greater value."www.arcelor.com

Le siège social d'Arcelor, transformé en campretranché dans l'attente des manifestations dessidérurgistes européensArcelor’s headquarters ‘dug in’ in anticipationof demonstrating European metalworkers

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Actualité 035paperJam 06.2003

Statec

4.250 habitantsde plus auLuxembourgLuxembourghas 4,250 moreinhabitants

(14/04) Au 1er janvier 2003 etd'après les derniers calculs duStatec, le Grand-Duché comp-tait 448.300 résidants, soit4.250 personnes de plus qu'au1er janvier 2002. Cependant, cette légère aug-mentation du nombre de rési-dants masque un taux de nata-lité en baisse de 2,1% (lenombre de naissance passantde 5.459 en 2001 à 5.345 en2002) et une légère hausse dutaux de mortalité (3.744décès) notamment chez lesétrangers. Ainsi, le solde naturel, commeen 2001, poursuit sa baisse,passant de +1.740 en 2001 à+1.601 en 2002 (chiffre toute-fois dopé par le solde natureldes étrangers qui est de+2.025 alors que celui desnationaux restent tristement endessous de zéro avec –424).Seule augmentation tangible,le nombre de mariages, quipasse de 1.983 en 2001 à2.022 en 2002.En fait, seul le flux migratoirefait état d'une évolution positi-ve avec 12.201 entrants contre9.452 sortants, soit un solde de+2.649.

(14/04) On 1 January 2003,according to the latest calcu-lations by Statec, the GrandDuchy had 448,300 resi-dents, or 4,250 more than on1 January 2002. However,this slight increase in thenumber of residents masks a2.1% decrease in the rate ofbirths (5,459 births in 2001;5,345 in 2002) and a slightrise in mortality rate (3,744deaths). Thus, the naturalpopulation increase conti-nues to fall, from +1,740 in2001 to +1,601 in 2002.Actually, the figure for total

approved by the govern-ment. It foresees that, by2010, 5.7% of total electricityconsumed will be producedfrom renewable energysources. In 1997 the figurewas only 2.1%. In order torespect the Kyoto agreementof 1997, no less than 22% ofthe electricity the EuropeanUnion consumes needs to be'green' by the time we reach2010.Note that Cegedel is nowdelivering a "greenelectricity", imported fromGermany, which is 2,5 centsmore expensive than traditio-nal electricity. www.cegedel.lu

Statec

Arbedtoujourspremieremployeur ARBEDgroupstill biggestemployer inLuxembourg

(14/04) Bon an mal an, legroupe Arbed maintient sonrang de premier employeurdu Grand-Duché avecquelque 6.770 salariés réper-toriés au 1er janvier 2003, sil'on se réfère à la dernièreclassification établie par leStatec. Cependant, compara-tivement au 1er janvier 2002,le groupe sidérurgique a toutde même enregistré une pertede ses effectifs de l'ordre de250 unités. Suivent ensuite le groupeCactus (3.610 employés),Goodyear Luxembourg(3.530) et les CFL (3.270).La première banque, DexiaBIL pointe à la cinquièmeplace avec 2.990 unités. Anoter que parmi ces cinqemployeurs, seuls les CFLont vu leur effectif augmenter(+50 employés) Dans l'ensemble, le Top 20des principaux employeurs

est quasiment inchangée parrapport à l'année dernière.Seule l'entrepriseCourthéoux disparaît, consé-quence prévisible du plansocial de fin 2002) tandis queSecuricor y fait son appari-tion au 19e rang (950employés) et cela malgré unebaisse de ses effectifs de 10unités. La moitié de ces vingtemployeurs a connu une bais-se du nombre de sesemployés, par rapport au pre-mier jour de l'année 2002. Parmi les dix autres qui ontvu grossir leurs effectifs, unemention toute particulière estdonnée à la Banque et Caissed'Epargne de l'Etat (+80 per-sonnes) et au groupeGuardian (+60).Précision: cette liste portesur les établissements ougroupes d'entreprises d'aumoins 90 personnes, soit 353unités comprenant plus de124.000 salariés.

(14/04) Good times or badtimes, the Arbed groupmaintains its rank as thenumber-one employer in theGrand Duchy, with 6,770employees as of 1 January2003, according to thelatest list of the 20 largestemployers in Luxembourgpublished by Statec.Compared with 1 January2002, Arbed's employmentfigure is down, however, bysome 250 units. Next on the list come theCactus group (3,610employees), GoodyearLuxembourg (3,530) andCFL (3,270).On the whole, the listremains largely unchangedcompared to that of the pre-vious year, with onlyCourthéoux not making thelist this time around, as aresult of its corporaterestructuring at the end of2002, and Securicor makingan appearance in 19th place(950 employees).In drawing up the list,Statec looks at establish-ments or groups of compa-nies that employ at least 90personnel, of which thereare 353 in Luxembourg,employing a total of124,000 people.www.statec.lu

number of inhabitants ishigher only thanks to migra-tory flux, with 12,201 immi-grants compared to 9,452emigrants, or a balance of+2,649.www.statec.lu

Ventos

Les dettes dans le viseurDebts in the sight

(22/04) Après une année 2001qui avait été qualifiée "d'ex-ceptionnellement positive", lasociété d'investissementsVentos, cotée en Bourse deLuxembourg, est redescenduesur terre pour le compte del'exercice 2002. À un bénéficenet de 4,07 millions d'Eurosuccède ainsi une perte conso-lidée limitée à 61.047 Euro, lasociété ayant notamment dûprocéder à des corrections devaleur de quelque 2,5 millionsd'Euro. Les produits de l'ensemble desparticipations de la société(engagée dans le bancaire,l'immobilier, l'énergie, l'agro-alimentaire et l'informatique)se sont élevés à 5,9 millionsd'Euro, soit 23% de mois qu'en2001. Du coup, les actionnaires n'au-ront pas droit, cette fois ci, àun dividende alors que lasociété avait mis en paiementun montant net de 1,32 Europar action au titre de l'exerciceprécédent. Cela n'a pas empêché Ventosde procéder, en 2002, àquelque 11 millions d'Eurod'investissements dont 9 mil-lions consacrés aux secteursde la banque (dont le ‘poids’est passé de 52,4% en 2001 à58% en 2002), de l'immobilier(passé de 9,4% à 14%) et del'énergie (qui recule, en pro-portion, de 10,5% à 9%). Les 2 millions restants ont étéaffectés à de nouvelles prisesde participation dans le domai-

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Actualité036 paperJam 06.2003

Conjoncture, meeting on 22April 2003, assessed the evo-lution of the job market. On31 March 2003, the totalnumber of persons registeredwith the placement servicesof the Administration del’Emploi (ADEM) was 7,300,whereas at the end ofFebruary 2003 the number ofjob seekers had been 7,545.This represents a decrease of245 units, or 3.2%. Theunemployment rate has fallenfrom 3.8% to 3.7%.With 7,300 people on theADEM's lists, unemploymentis up by 1,895 units (35.1%)on the jobless populationregistered on 31 March 2002(5,405).www.gouvernement.lu

SES Astra

Contrats avec la VRTContracts with VRT

(23/04) La radio-télévisionpublique flamande VRT aconclu avec SES Astra unaccord pour la couverture deses besoins en "Satellite NewsGathering (SNG)". Il s'agit,concrètement, de la fournitured'une capacité à plein tempsde 9 MHz sur le satellite Astra1A à 5,2° Est, pour la trans-mission de "news feeds",reportages, et autres pro-grammes entre divers lieuxd’origine européens et les stu-dios de la VRT. Premier satellite de la flotteAstra, lancé en 1988, Astra 1Aa fonctionné, pendant 12 ans,sur la position orbitale "histo-rique" à 19,2°Est, avant d'êtrerepositionné, en 2002, à5,2°Est, une situation quigarantit à l'appareil une visibi-lité optimale en Belgique et enEurope.

(23/04) The Flemish radio-television broadcaster, VRT,has signed a deal with SESAstra to satisfy the need forSatellite News Gathering

ne de l'informatique. Le porte-feuille de la société s'élève, autotal, à 70 millions d'Euro. Conséquence directe des der-nières opérations réalisées:l'endettement de Ventos a aug-menté de 40% à 19,9 millionsd'Euro. L'objectif avoué pour2003 est une réduction de cetendettement en vue de repartirsur des bases plus saines. Notons, enfin, que la société aprocédé, en septembre, à uneaugmentation de son capitalsocial de 2,11 millions supplé-mentaires à 29,75 millions, viala prise de contrôle à 100% deGuineu Immobles Suisse S.A..

(22/04) After qualifying 2001as an "exceptionally positive"year, Ventos S.A. had less tocelebrate in 2002. TheBourse de Luxembourg-lis-ted company posted aconsolidated loss of 61,047euro, compared with profitsof 4.07 million one year ear-lier, the unfavourable econo-mic climate having forced itto revise its value down to 2.5million euro. Ventos' sharesincome fell 23% to 5.9 millioneuro. As a result, the compa-ny will not be distributingdividends for 2002 (the divi-dend was 1.23 euro pershare in 2001). Ventos' portfolio is now at 70million euro having been enri-ched by 11 million in supple-mentary investments, espe-cially in the banking sector,which is by far its most repre-sented (58% against 52.4%one year earlier). Note, finally, that inSeptember 2002 the compa-ny increased its share capitalfrom 2.11 million to 29.75million euro.www.ventos.lu

Millicom InternationalCellular

Cousin laotienpour TangoLaotian cousinfor Tango(22/04) L'opérateur de télé-phonie mobile MillicomInternational Cellular ajouteune nouvelle corde à son arcTango. Après Luxembourg etLiechtenstein, c'est désormaisau Laos que la marque opère,en tant que quatrième opéra-teur du pays, avec une licence

d'une durée de 20 ans. Tango annonce déjà lameilleure couverture sur lacapitale, Vientiane, et sur ladeuxième ville du pays,Savannakhet. La couverturedes principales zones touris-tiques de Luang Prabang estprogrammée d'ici à la fin dupremier semestre.

(22/04) Millicom Internatio-nal Cellular has launched anew mobile phone service inLaos, where the operatorholds a licence for 20 years.It already claims the bestcoverage in the capital,Vientiane, and the country'ssecond city, Savannakhet.Coverage for the main touristdestination of LuangPrabang is planned for theend of the first quarter.www.millicom.com

Comité de conjoncture

Chômage: enfinune éclaircieLower unemploymentin March(22/04) A force de voir inéluc-tablement le taux de chômagemonter, mois après mois, etdevant des discours peu opti-mistes quant à l'évolution àcourt et moyen termes du mar-ché du travail, les derniersrésultats analysés par le comi-té de conjoncture arriventcomme une réelle boufféed'oxygène, au risque de n'êtrequ'une embellie. Effectivement, les dernièresdonnées statistiques élaboréespar l'ADEM, le CEPS/INS-TEAD et le STATEC font étatd'une diminution de 3,2% dutaux de chômage au 31 mars2003. L'effectif total desdemandeurs d'emploi sechiffre donc à 7.300 unitéssoit 245 personnes de moinsque fin février. Ainsi, le tauxde chômage passe de 3,8 à3,7%.Toutefois, si l'on compare ceschiffres à ceux de mars 2002,on constate une augmentationnotable du nombre de chô-meurs de quelque 1.895 uni-tés, soit une hausse de 35,1%.

(22/04) The Comité de

(SNG). Transmission will bevia Astra 1A, the very firstsatellite launched by SESAstra, back in 1988, whosecurrent orbital position is5.5°East. www.ses-global.com, www.ses-astra.com

APFM

Un an pour sefaire connaîtreA year in which tobecome known

(24/04) Après une annéed'existence, l'APFM(Association des Profession-nels des Foires et Marchés) atenu sa première assembléegénérale, le 24 avril dernier.L'occasion a donc été donnéede faire un bref récapitulatifdes actions passées dont lesobjectifs étaient essentielle-ment la relance de grands mar-chés dans de nombreuses com-munes du pays, l'intensifica-tion des relations avec lesdiverses unions commercialeset la fortification de sespropres structures. Ainsi, cette asbl. a-t-ellerenoué de nombreux contactsavec les communes deClervaux, Differdange,Dudelange, Esch-sur-Alzette,Pétange et Steinfort afin derelancer l'organisation degrands marchés. L'APFM s'est également atta-ché à prendre contact avec laville de Luxembourg dansl'optique de relancer unevieille tradition perdue depuisplus de 40 ans: le marché destextiles. De ce fait, il n'est pasimpossible que ce marché"traditionnel" connaisse uneseconde jeunesse dès cet été.Pour l'année à venir, l'associa-tion va donc s'attacher à inten-sifier ses contacts auprès d'unnombre toujours plus impor-tant de communes ainsi qu'au-près de diverses unions com-merciales... et, bien sûr cher-cher à regrouper un nombrecroissant de membres.

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Actualité 037paperJam 06.2003

(24/04) After one year ofexistence, the APFM(Association des Profession-nels des Foires et Marchés)held its first general assem-bly, on 24 April. It was anoccasion to review theactions it had undertaken sofar. The association's aims are tore-establish large market-places in many of the coun-try's communes, strengthenrelations with the variouscommercial unions andstrengthen its own structure. The APFM is also keen totake up talks with the Ville deLuxembourg in an attempt torenew a tradition that hasbeen dead for over 40 years:the textile market.The association's plans forthe coming year, thus, inclu-de consolidating its relationswith the communes and see-king the participation of newmembers.www.clc.lu

Chambre des Métiers

Du bon et du moins bonpour l'artisanaten 2002Some ups,some downs for skilledtrades in 2002

(24/04) Avec plus de 57.000personnes occupées (dont42.500 ouvriers, et 10.000employés), le secteur de l'arti-sanat représente le plus impor-tant employeur du pays.Courant 2002, ce sont pasmoins de 2.700 emplois netsqui ont été créés, soit une pro-gression du secteur de 5%, unpeu inférieure aux 7% consta-tés en 2001. Mais ces chiffres sont toutrelatifs, car arrêtés au 30 juin2002. "Or la situationconjoncturelle a connu unrevirement lors du 3e

trimestre" tient à tempérerNorry Dondelinger, Conseiller

FIL

Vers un changement decap progressifA new head for the FIL(25/04) Comme précisé dans la partie People (page044), les Foires Internationales à Luxembourg ontun nouveau Directeur, en la personne de Jean-Michel Collignon, remplaçant Mathias Treinen quia fait valoir ses droits à la retraite. Ceci dans uncontexte un peu houleux, alors que RTL annonçaitque les pertes cumulées des FIL sur les 10 der-nières années seraient proches de 3,7 millionsd'Euro (une assemblée générale extraordinaire estd’ailleurs prévue d’être convoquée pour le 16 mai,afin de décider de la poursuite des activités de lasociété). Première prise de contact avec le nouveauresponsable:Avant les derniers développements, quel devaitêtre votre rôle au sein des FIL?Mon rôle au sein de la société des Foires resteinchangé: il s'agit d'assumer la direction de l'en-semble des activités, dans leurs aspects opération-nels et stratégiques. L'activité de la FIL est com-plexe, recouvre de très nombreux aspects, et il vade soi que ma mission ne peut s'envisager qu'enétroite concertation avec la Présidence et le Conseild'Administration. Quels sont les projets que vous avez pour lesFIL? Continuité, changement en douceur, ouchangement radical?En dépit des questions que d'aucuns pourraient for-muler à l'égard des Foires, le développement de sesactivités durant les dernières années est incontes-table. Je n'entends nullement remettre en questioncet acquis essentiel. Cependant, nous sommesplongés dans une économie en évolution rapide:partant d'un monopole de fait, les Foires se trou-vent aujourd'hui concurrencées par d'autresmoyens de communication. Nous devons parconséquent nous adapter à cette nouvelle donne, ettirer parti de situations nouvelles.A plusieurs reprises dans ma carrière, j'ai assisté,lors de changements de direction, à des change-ments radicaux dans l'entreprise. Cela a imman-quablement mené à des déboires, tant économiquesque financiers. Je plaide par conséquent pour unchangement de cap progressif. Conformément auxdécisions stratégiques du Conseil d'Administrationdes Foires, nous prévoyons l'introduction de nou-velles manifestations, plus ciblées, avec un caractè-re B2B prononcé.Les Foires sont-elles concernées par le ralentis-sement économique? Quelles stratégies peuventêtre développées pour augmenter le succès desmanifestation?L'impact du ralentissement économique se faitcertes ressentir sur l'activité des foires et salons, etce phénomène est mondial. Malheureusement cettetendance se trouve accentuée par d'autres facteurs,notamment la situation internationale tendue enraison du conflit en Irak, ou les craintes liées àl'épidémie de pneumopathie atypique. Face à cesmenaces, la FIL entend accroître sa communica-tion envers ses clients traditionnels, tant exposantsque visiteurs, et mettre en avant l'opportunité

inégalée que représentent les contacts en direct

lors de nos manifestations. L'homme d'affaires

averti sait que c'est dans l'adversité qu'il

convient de renforcer ses budgets de communi-

cation. Dans ce sens, les Foires constituent un

moyen unique de toucher un vaste public, ciblé

et intéressé. C'est l'essentiel du message que

nous entendons transmettre à nos exposants.

Par ailleurs, les risques susmentionnés ne pèsent

pas de manière égale sur les divers types de

manifestations. Aussi la FIL souhaite-t-elle

diversifier son offre, en termes de segmentation

thématique, géographique et des visiteurs. Nous

restons confiants sur le rôle que la FIL jouera à

l'avenir au sein de l'économie grand-ducale.

(25/04) Jean-Michel Collignon has becomethe new Director of the Foires Internationales àLuxembourg (FIL), the trade-fair organizer thathas lost close to 3.7 million euro over the past10 years. Answering our questions, MrCollignon stated that he had to direct all Fillactivities, covering both the operational andstrategic aspects. Concerning the question ofthe plans he had concerning the future of theFIL, he underlined how muche the "activities ofthe Foires have really developed in recentyears, and I have no intention to undo that.However, whereas the FIL once held themonopoly in this country, we now have com-petition. We therefore have to adapt to thenew situation and take advantage where wecan. Several times in my career, I have beeninvolved in companies that undertook radicalchanges. It always led to disappointment, botheconomically and financially. I am, therefore, infavour of progressive, step-by-step reform."One example? "More targeted events, with adefinite B2B flavour". The impact of the eco-nomic slowdown has been felt by the FIL. MrCollignon aims at highlighting the uniquechance to directly meet a targeted and inter-ested client; "also, the FIL wishes to diversify,in terms of thematic, geographic and visitorsegmentation. We continue to be confident inthe rôle the FIL will play in the future of theGrand Duchy's economy."www.fil.lu

Les Foires Internationales à Luxembourg arri-vent à un tournant de leur existenceTurning point for the Foires Internationales àLuxembourg

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Actualité038 paperJam 06.2003

cas particulier du secteur del'alimentation, dont le nombred'entreprises baisse en raisond'un mouvement prononcé deconcentration.Près de la moitié des entre-prises artisanales luxembour-geoises (47% exactement) sontactives dans le secteur de laconstruction et emploient àelles seules près de 70% del'ensemble des salariés. Pour ce qui est de ces salariés,

de direction à la Chambre desMétiers, qui confirme que leschiffres issus d’enquêtes men-suelles montrent un ralentisse-ment significatif de la créationd’emplois pendant le deuxiè-me semestre 2002 et laisseaugurer un prolongement decette tendance pour le début del'année 2003. Ce revirement de conjoncturea notamment touché le secteurde la construction, qui a connu

un net ralentissement lors dusecond semestre (1,8% contre3,8% pour la même période deréférence entre 2000 et 2001). Au Luxembourg, le nombred'entreprises artisanales s'élè-ve à 4.355, ce qui est le plusimportant total jamais enre-gistré dans le secteur. La haus-se constatée de 2% s'expliquenotamment par l'augmentationdu nombre de succursales.Mais il convient de noter le

justement, 82% d'entre euxsont d'origine étrangère, lesressortissants portugais (36%)et français (30%) constituantla grande majorité de cettetranche de population. À noter encore que près de40% de l'ensemble des salariésdu secteur de l'artisanatluxembourgeois sont des tra-vailleurs frontaliers.

(24/04) The skilled-tradesindustry is Luxembourg's lar-gest employment sector,occupying over 57,000people (of which 42,500 arelabourers and 10,000 areemployees). By 30 June2002, the most recent censusdate, no fewer than 2,700new jobs had been created,but the economic downturnin the 3rd quarter provoked asignificant decline in jobcreation, which has conti-nued into 2003. Theconstruction sector has beenthe hardest hit. In Luxembourg, there are4,355 skilled-trade enter-prises, of which 47% areinvolved in construction,which accounts for almost70% of the total skilled-trades workforce. The majori-ty of this population segmentare foreigners (82%), with thePortuguese (36%) and theFrench (30%) constituting thelargest groups. www.cdm.lu

Dresdner Bank

Vers un apurement des pertes Defraying its losses (25/04) Deuxième banque dela place en 2001 en matière derésultats, Dresdner BankLuxembourg n'aura pas cemême honneur pour le comptede l'exercice 2002, clôturé surune perte après impôts de 41,6millions d'Euro (contre unbénéfice de 277,8 millionsd'Euro un an plus tôt). L'établissement pourra seconsoler en constatant que sonrésultat d'exploitation de 180,4millions d'Euro a été positif,quoiqu'en recul de 15% parrapport à 2001. Néanmoins, lesrésultats affichés par les pro-duits d'intérêt (-11% à 199 mil-

TNT / Entreprise des P&T

L'expédition express pourle grand public Express delivery for thegeneral public(25/04) Global Express Prepaid: c'est le nom dunouveau service proposé conjointement parl'Entreprise des P&T Luxembourg et TNTExpress Luxembourg (dont les P&T détiennent50%): un produit d'expédition simplifié qui visedirectement une clientèle grand public. Si, traditionnellement, les services de courriers"express" sont essentiellement utilisés par desentreprises pour acheminer, n'importe où dans lemonde, et dans des délais les plus réduits, touttype de documents ou matériels, la clientèle"privée" désireuse d'en faire de même, n'avaitpas forcément le réflexe de faire appel à de telsprestataires de services, se contentant, générale-ment, de la gamme – déjà très large – de ser-vices offerts par les P&T. Désormais, il est possible à n'importe qui defaire appel au réseau de distribution du groupeTNT, leader européen dans le domaine de la dis-tribution express (plus de 187.000 envois repré-sentant 3,3 tonnes de fret en 2002 et un réseauaérien propre riche de 43 avions), par le biaisd'enveloppes prépayées, vendues par paquet detrois dans tous les guichets de La Poste. Il s'agit d'enveloppes au format unique (24x32cm), sur lesquelles il suffit d'apposer le borde-reau d'expédition fourni et un timbre autocollantprécisant la zone géographique de destination.Le prix du set de 3 enveloppes est évidemmentfonction de cette zone d'envoi: 59,85 Euro pourla Zone 1 (Benelux); 63,75 Euro pour la Zone 2(Union européenne, plus Liechtenstein, Monacoet Suisse); 67,80 Euro pour la Zone 3 (reste del'Europe, Etats-Unis, et Turquie) et 74,10 Europour la Zone 4 (reste du monde). Soit un prixpar enveloppe allant de 19,95 Euro à 24,70 Euroselon les zones. Ces enveloppes peuvent être utilisés sans res-triction de poids. Seul le contenu est strictementlimité aux seuls documents, excluant toute autremarchandise, argent liquide ou chèque. Une fois l'enveloppe cachetée, il existe quatremoyens de la déposer: auprès d'un guichet de laPoste; dans une boite aux lettres "classique"; enla donnant à son facteur quand il passe livrer lecourrier du jour ou bien en demandant à un

chauffeur de TNT de venir la récupérer surplace, sur un simple appel téléphonique (800221 21) avant 15h00 et moins de deux heuresavant l'heure d'enlèvement désiré. "Notre objectif est double commente Phillip VanGijsel, Directeur général de TNT ExpressLuxembourg: offrir une nouvelle facilité d'expé-dition et proposer une meilleure convivialitéd'utilisation. Ce produit combine deux atoutsmajeurs: notre puissance en tant que leaderinternational dans le secteur du transportexpress et la couverture inégalée du marchéeluxembourgeois par les P&T".(25/04) Global Express Prepaid: that’s thename of the new service proposed jointly bythe Entreprise des P&T Luxembourg and TNTExpress Luxembourg (in which P&T holds a50% stake), a simplified delivery service thatappeals directly to the general public.Sets of 3 prepaid envelopes (format 24x32 cm)will be sold at post office counters, to whichyou simply affix the dispatch form providedand a self-adhesive stamp, indicating the geo-graphic zone of the destination. The price ofthe set depends on the zone you’ll be dispat-ching to: from 59.85 euro for Zone 1 (Benelux),or 19.95 euro per envelope, up to 74.10 eurofor Zone 4 (rest of the world, excluding Europeand the United States), or 24.70 euro perenvelope. These envelopes are not subject to any weightrestriction, but they may only contain docu-ments, and not any merchandise, cash orcheques. Once the envelope is stamped, itcan be dispatched by traditional means or bycalling a TNT driver (800 221 21) who willcome to collect it on-site, providing you callbefore 15.00 and at least two hours in advance.

Le courrier express à portée de tous: il en coûteentre 19,95 Euro et 24.70 Euro par envoi Express delivery for everyone. It costs between19.95 euro and 24.70 euro per envelope

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Actualité 039paperJam 06.2003

comme dépositaire et adminis-trateur de fonds privilégiépour sa gamme de fonds com-muns de placement àLuxembourg, représentant 3milliards d'Euro d'actifs sup-plémentaires. DFS assure déjà des servicespour le compte de Julius Bär àLuxembourg et en Suisse pourdes fonds gérant 15 milliardsd'Euro d'actifs.

(25/04) Julius BärInvestment Funds Serviceshas designated Dexia FundServices (DFS) as depositaryand administrator for itsseries of mutual funds inLuxembourg, representing 3billion euro worth of additio-nal assets. DFS is alreadyactive on behalf of Julius Bärin Luxembourg and inSwitzerland, managingassets worth 15 billion euro.www.dexia.com

SES Astra

Sat@Once v.2.0Sat@Once v.2.0(28/04) Il y a un an, SES Astralançait Sat@Once powered byAstra, un service multimédiagratuit de diffusion de conte-nus Internet par satellite. Le produit, enregistré auprèsde 40.000 utilisateurs, a biengrandi et voici la version 2.0développée et distribuéeconjointement avec le Centrede recherche CSP à Turin(Italie). Nouveautés: l'ajout d'un servi-ce de “mailcasting” (c'est-à-dire la diffusion de groupes decourrier électronique), et l'in-troduction d'un outil de “vote”permettant d’afficher desvéritables spots publicitairesvidéo au lieu de simples ban-nières. Les concepteurs de ce servicey voient un attrait à tous lesniveaux: pour les annonceursWeb, une plus grande attracti-vité via un affichage plus fré-quent et plus rapide; et pourl'utilisateur, un serviceInternet jugé "plus divertis-sant" et adapté aux goûts dechacun. Reste encore à démontrer quel'avalanche d'annonces publi-citaires, même sous un formatplus dynamique que desimples bannières, trouvera

lions d'Euro) et les opérationsfinancières (en perte de 9 mil-lions d'Euro, en raison, essen-tiellement, de la crise argenti-ne) ont de quoi tempérer l'en-thousiasme. De même le résultat net 2002des commissions (60,5 mil-lions d'Euro) est inférieur de19% à celui de 2001. Au chapitre des chiffres "posi-tifs", on note l'augmentationdes dépôts de la clientèle (+7%à 6,02 milliards d'Euro) et lacroissance de 14% des fondspropres, qui dépassent désor-mais le milliard d'Euro. La réduction des frais adminis-tratifs (-7% à 66 milliardsd'Euro) reflète, quant à elle,l'impact des mesures derestructuration et de rationali-sation mises en œuvre, via,notamment, un plan social quia touché une cinquantained'employés en fin d'année der-nière. "Grâce à cette réorientation,la banque est persuadéed'avoir créé les conditionsnécessaires à la base du suc-cès de ses activités ultérieures"précise-t-on à la Dresdner, quiannonce son intention d'apurerla perte cumulée de 40,5 mil-lions d'Euro subsistante, enprocédant à un prélèvementsur les réserves facultatives.

(25/04) The year 2002 was adifficult one for DresdnerBank Luxembourg, whichposted an after-tax loss of41.6 million euro, in contrastto the 277.8 million euro pro-fit it made the previous year,which had made it the bankwith the second-best perfor-mance in Luxembourg. There are a few consolations,however: an operating profitof 180.4 million euro (15%down on 2001) and adminis-trative costs cut by 7% to 66billion euro, following restruc-turing and streamlining mea-sures, including, notably, thecutting of some 50 jobstowards the end of last year.Other reasons to be satisfied:an increase in client deposits(up 7%, to 6.02 billion euro)and equity growth of 14%, tomore than 1 billion euro. The next extraordinary gene-ral meeting will attempt totackle the defrayment of 40.5million euro in losses by dra-wing on optional reserves.www.dresdner-bank.lu

ReperesCommunication

Encore plus à l'aise! More at ease…

(25/04) L'agence ReperesCommunication a mis à profitce printemps 2003 pour sedonner un peu d'air. Agenceindépendante et active depuis14 ans à Luxembourg,Repères a en effet pris le partide commencer l'année en don-nant plus d’espace à ses idées. Ainsi, l’agence s’est-elle miseà l’aise dans ses nouveauxbureaux à Sandweiler (au 69rue d'Itzig), une mise au vert àun jet de pierre du centre deLuxembourg. De nouveaux espaces pra-tiques et lumineux pour les 19membres de l’agence pourmieux accueillir et servir leurspartenaires.Prochaine étape: la mise enligne du site Internetwww.reperes.lu – actuelle-ment encore en construction –annoncée pour fin mai, débutjuin.

(25/04) The agency ReperesCommunication has movedinto larger premises, at 69,rue d'Itzig, in Sandweiler.This gives the 19-memberteam more space and better-lit offices in which to welco-me and serve their clients. They're still hoping to gettheir website,www.reperes.lu, online forthe end of May/beginning ofJune.

Dexia Fund Services

Julius Bär renforce sa collaborationJulius Bär reinforces itscollaboration(25/04) Julius Bär InvestmentFunds Services a désignéDexia Fund Services (DFS)

grâce aux yeux des utilisa-teurs. Le système de vote accessibleaux utilisateurs de Sat@Oncesert à mesurer la popularitédes contenus. L’ordinateurindividuel local détermine etfiltre automatiquement ce quiintéresse son propriétaire entoute confidentialité, parmi lagrande quantité d’informationenvoyée (20 Go par jour).

(28/04) SES Astra, in part-nership with the CSP resear-ch centre in Turin (Italy), hasjust launched version 2.0 ofSat@Once, its free multime-dia service for the distribu-tion of Internet content viasatellite, which already has40,000 registered users.New functionality includes a‘mailcasting’ service and a‘vote’ system whereby thepopularity of content can bemeasured. Currently, over 20gigabytes of information aretransmitted per [email protected]

Banque Centrale deLuxembourg

Regain d'optimismeRenewed optimism(28/04) Selon l'indicateur deconfiance établi mensuelle-ment par la Banque Centralede Luxembourg, la confiancedes consommateurs est enlégère hausse avec l'arrivée duprintemps: de –3 en mars, cetindicateur a en effet progresséà –2 un mois plus tard. "Ce léger regain d’optimismes’explique essentiellement parl’amélioration de deux com-posantes de l’indicateur, àsavoir l’évolution attendue aucours des douze prochainsmois de la situation financièredes ménages et de la situationéconomique générale" com-mente la BCL qui constate,par ailleurs, que la perceptionde l’évolution du chômage n’apas eu d’influence notable.Seule détérioration notée:celle de la perception del’évolution de la capacitéd’épargner, passée d'un niveau53 en mars à 47 en avril.

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Actualité040 paperJam 06.2003

Promoculture

La déclarationd'impôt, édition 2003La déclarationd'impôt, 2003 edition

(30/04) Remplir sa déclara-tion d'impôt, peut sembler apriori être un geste bien fasti-dieux. Toutefois, cette déclarationannuelle permet à bien descontribuables de revoir auplus juste (et souvent à labaisse) les impôts qu'ils doi-vent réellement payer. Elaborépar Jeannot Krecké et Mars DiBartolomeo, ce livre, intitulé"La déclaration d'impôt", suitle formulaire de la déclarationd'impôt sur le revenu et traiteen détail des facultés d'exoné-ration, les dépenses spécialeset les abattements auquel peutprétendre chaque contri-buable. Enfin, un exemple de formu-laire déjà rempli, en annexe,permet de visualiser et desuivre point par point lesexplications données.Cet ouvrage est disponible enlibrairie au prix de 42,80 Euroou directement chez l'éditeur:Les Editions Promoculture,BP 1142, L-1011Luxembourg; Fax: 40 09 50.

(30/04) Written by JeannotKrecké and Mars DiBartolomeo, La déclarationd'impôt is a user-friendlybook as it follows the tax-declaration form section bysection, providing detailedexplanations of the exemp-tions, special expenses andallowances each taxpayer isentitled to. This publicationis available in book shops for42.80 euro or directly fromthe publisher: Les éditionsPromoculture, BP 1142, L-1011 Luxembourg; Fax: 4009 50.www.promoculture.lu

(28/04) From –3 in March,the confidence indicatordetermined monthly by theBanque Centrale deLuxembourg rose to –2 inApril, representing a slightgain in consumer confidence. The positive evolution of hou-sehold finances and the eco-nomy in general anticipatedover the next 12 monthsmight explain this risingconfidence. The indicator showing peo-ple’s perception of their abili-ty to make savings, however,fell from 53 in March to 47 inApril.www.bcl.lu

CSSF

Les OPC en baisseCIUssee theircapital fall(29/04) Selon les dernierschiffres, au 31 mars 2003,rendus public par la CSSF, lepatrimoine global net desorganismes de placement col-lectif s'est élevé à 823,936milliards d'Euro contre833,530 un mois plus tôt. Levolume des actifs nets estdonc en diminution de 1,15%par rapport au mois de févrieret de 14,86% par rapport au31 mars 2002.Le nombre total d'OPC prisen compte au 31 mars 2003est de 1.929 contre 1.950pour le mois précédent, pourun total de 7.731 unitésactives sur la place financière(6.698 compartiments et 733opc à structure classique).

(29/04) According to thelatest CSSF figures, publi-shed on 31 March 2003, thenet global assets of collecti-ve investment undertakings(CIUs) amount to 823.936billion euro, compared with833.530 billion the previousyear. The volume of netassets fell 1.15% in relationto the month of Februaryand 14.86% in relation to 31March 2002. The total num-ber of CIUs taken intoaccount on 31 March 2003was 1,929, compared with1,950 for the previousmonth.www.cssf.lu

1,2,3 Go

Les meilleurscouples "produits-marché" àl'honneurBestproduct/marketcombinationsawarded(29/04) La deuxième remisede prix qui a eu lieu le 29avril dernier au CampusUniversitaire de Liège a mis àl'honneur les meilleures stra-tégies marketing ou plus spé-cifiquement, les meilleurscouples "produit-marché".Neuf lauréats de divers sec-teurs d'activités (télécoms,hygiène, médecine, chimie,biologie, géologie, média,transport, technique de pro-duction) figurent au palmarèset se sont vus octroyer chacunune somme de 1.000 Euro. Parmi ceux-ci se trouvent lesentreprises luxembourgeoisesAlysea (conception, fabrica-tion et vente de terminauxmobiles et des applicationss'y rattachant), Eluris (pro-duit innovant dans le domainede l'hygiène destiné auxfemmes) et Free-BeepMobile (services proposantdes numéros d'appels gratuitsaux utilisateurs de téléphoniemobile).Rappelons que chaque entre-prise peut participer à la troi-sième édition en déposant sonidée sur le site de 1,2,3, Go àtout moment.

(29/04) The second prize-giving ceremony, held on 29April at the University ofLiège, awarded the bestmarketing strategies, or,more specifically, those withthe best product/marketreciprocity. Nine participantswere each awarded the sumof 1,000 euro, among whichwere the Luxembourgishcompanies Alysea, Elurisand Free-Beep Mobile.Remember that any compa-ny can enter this third edi-tion of the interregional busi-ness-plan competition atany time by submitting theiridea via the 1,2,3, Go! web-site.www.123go-networking.org

BCL23.148 employés dans les établissementsde crédits23,148employees in credit institutions

(30/04) Selon les dernières esti-mations, encore provisoires, dela Banque Centrale deLuxembourg, le nombre desalariés dans les établissementsde crédit se chiffre, au 31 mars2003, à 23.148. Par rapport au31 décembre, cet effectif adonc baissé de 0,7% soit 152personnes..Sur un an, l'effectif dans lesétablissements de crédits adonc diminué de 503 unités,soit 2,1%. À noter que 178 établissementde crédit officiaient au 31 mars2003 contre 185 au 31 mars2002.

(30/04) According to thelatest provisional figures of theBanque Centrale deLuxembourg, the number ofsalaried employees working incredit institutions, on 31March 2003, was 23,148. Incomparison with 31December 2002, this numberis down by 0.7%, or 152 per-sons. Overall, there are 503less employees in credit insti-tutions than one year earlier -a drop of 2.1%.Note, however, that therewere 178 such institutionsoperating on 31 March 2003,whereas there were 185 on 31March 2002.www.bcl.lu

Statec

Luxembourg-Ville toujoursplus attractifLuxembourgCity still theworkplace ofchoice(30/04) Il y a encore deuxdécennies de cela, le Nord du

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Actualité 041paperJam 06.2003

explique Christophe Pittie,Associé en charge de PwCAcademy. Or l’environnementa clairement une influence surla manière dont les gensapprennent et communi-quent". Abrité dans les locaux dePwC, route d'Esch, cet espacede formation permet égale-ment aux apprenants de sortirdu cadre habituel de leurentreprise, sans compter que

pays échappait encore à l'in-fluence de la capitale, aujour-d'hui il n'en est plus rien. Effectivement, selon les der-niers résultats détaillés durecensement de la populationen 2001 par la Statec, les tra-vailleurs sont toujours plusnombreux à être séduit par la"grande métropole luxem-bourgeoise" et cela quelle quesoit leur commune de prove-nance.Ainsi, toutes les communesdu pays, sans exception,voient-ils au minimum 7,8%de leurs actifs se rendre surleur lieu de travail àLuxembourg-ville. Pourexemple, 27% des actifsd'Esch-sur-Alzette emprein-tent quotidiennement l'auto-route pour se rendre àLuxembourg-ville. En tête des communes danslesquelles sont domiciliés leplus d'actifs travaillant dans lacapitale se trouventRemerschen, Burmerange,Bous et Mondercange.

(30/04) Two decades ago,the north of the country wasstill relatively immune to thelure of the capital, but that'sno longer the case. Thelatest detailed results of the2001 population census,established by Statec, showthat an ever-increasing num-ber of workers are beingdrawn to Luxembourg City,with at least 7.8% of theworkforce of each communeacross the country beingemployed in the capital.www.statec.lu

PwC Academy

Nouveauxlocaux investisNew premises(13/05) L'organisme de for-mation agréé dePricewaterhouse-CoopersLuxembourg est désormaisdans ses murs. Ce nouvelespace de formation devaitêtre inauguré le 13 en présen-ce de la ministre l’Educationnationale, de la Formationprofessionnelle et des Sports,Anne Brasseur.Ces nouveaux espaces offrentquelque 1000 m2 de surfaces,répartis en 13 salles modu-

lables, ayant une capacitémaximale de 250 personnes. Trois environnements dis-tincts ont été imaginés par lesconcepteurs des lieux, enfonction du type de forma-tions dispensées: "Certainesformations sont davantagecentrées sur le développementdes personnes, d’autres surles connaissances à acquérir,d’autres encore visent l’ému-lation au sein d’un groupe,

bon nombre de sociétés nedisposent pas, en interne, de laplace suffisante pour assurer"in house" des formationsefficaces. "Dans notre offre de services,nous avons également tenu àintégrer un accueil de qualitéet un catering innovant carnous sommes convaincus quel’environnement doit suppor-ter le processus d’apprentis-sage" explique M. Pittie.

FONSPA

La production audiovi-suelle au Luxembourg:bilan satisfaisant et ambi-tions raisonnablesAudiovisual production inLuxembourg: satisfactorystatus and reasonableambitions(28/04) Le Fonds national de Soutien à laProduction Audiovisuelle a présenté le 28 avrilson rapport annuel 2002, résumant son actiondes 12 mois de l'année passée. Madame ErnaHennicot-Schoepges, en charge de la Culture,fut la première à s'exprimer, en tant que 'co'-ministre de tutelle – l'autre étant M. FrançoisBiltgen, ministre délégué à la Communication.Un rapport, annuel, c'est un bilan, l'occasion deciter des chiffres. La ministre les aligne: "Il y aeu 36 demandes d'aides au Fonspa. 11 pour l'ai-de à l'écriture, 24 pour l'aide à la production, 1pour l'aide à la distribution. C'est plus que l'an-née précédente, où seulement 23 demandesavaient été déposées."Sur ces 36 demandes, 21 ont bénéficié des aidessélectives du Fonspa, accordées sous formed'avances sur recettes. Le montant total de cesaides se monte à presque 3,9 millions d'Euro, enhausse de presque 70% d'une année à l'autre.Cette augmentation est la conséquence naturellede l'augmentation des moyens du Fonds. Surcette somme, c'est bien entendu l'aide à la pro-duction qui se taille la part du lion, avec plus de3,7 millions d'Euro (96% de la somme totale). Si l'on regroupe les sommes par maison de pro-duction, on peut voir qu'elles sont 8 à avoir reçul'aide de la puissance publique: DeluxProductions pour 35.000 Euro et 1 projet,Hemisphere Films pour 118.277 Euro et 2 pro-jets, Iris Production pour 591.973 Euro et 4 pro-jets, Oniria Production 495.787 Euro pour 1projet, Rattlesnake Pictures 116.162 Euro pour1 projet, Samsa Film 1.891.077,04 Euro pour 10projets, Tarantula Luxembourg 493.315 Europour 3 projets, et enfin Videopress 140.000 Europour 1 projet. À côté de ces aides, le système des Certificatsd'investissement a bénéficié à 15 productionsaudiovisuelles. La valeur de ces certificats (quine sont pas des subsides directs, mais des avan-

tages d'ordre fiscal), s'est élevée à 40,6 millions

d'Euro. La somme, en baisse de presque 30%

d'une année à l'autre reste malgré tout la 2e plus

élevée depuis la création de l'organisme.

Au chapitre projet, l'année 2003 verra le lance-

ment des premiers "Lëtzebuerger Filmpräisser",

conclusion d'une semaine du film luxembour-

geois. La date? Le 10 octobre. Le ministre

Biltgen a présenté cette nouvelle initiative

comme une étape de plus dans la construction

d'une véritable industrie du cinéma au

Luxembourg, en dotant le pays d'un événement

permettant de mettre en avant la production

luxembourgeoise. Affaire à suivre…(28/04) During 2002, the Film FundLuxembourg assisted 21 projects. Total assis-tance amounted to almost 3.9 million euro,some 70% higher than in 2001. In all, 8 pro-duction companies benefited: DeluxProductions (35,000 euro), Hemisphere Films(118,277 euro), Iris Production (591,973 euro),Oniria Production (495,787 euro), RattlesnakePictures (116,162 euro), Samsa Film(1,891,077.04 euro), Tarantula Luxembourg(493,315 euro) and Videopress (140,000 euro).Projects for 2003 include a LuxembourgishFilm Week, concluding with the very first"Lëtzebuerger Filmpräisser" (LuxembourgishFilm Awards), on 10 October.www.filmfund.lu

3,9 millions d'Euro d'aides ont été apportés auxprojets audiovisuels luxembourgeois en 2002Luxembourgish audiovisual projects received3.9 million euro in aid in 2002

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Actualité042 paperJam 06.2003

(13/05) The training unit ofPricewaterhouseCoopersLuxembourg is now housedon the company's site, withits own 1,000 m2 space,divided into 13 modularclassrooms, with a capacityfor 250 people. Three dis-tinct environments havebeen created, to be usedaccording to the type ofcourse given. "The environ-ment clearly has an influenceon the manner in whichpeople learn and communi-cate," explains ChristophePittie, Associate in charge ofPwC Academy. "Our ser-vices offer also integrates ahigh-quality reception andinnovative catering, becausewe're convinced that thesurroundings have to encou-rage the learning process."www.pwcacademy.lu ■

4M

1, 2, 3... go ! 1, 2, 3... Go!(02/05) Régulièrement, nous vous annonçons lenom des projets de création d'entreprise primésdans le cadre du parcours interrégional 1, 2, 3Go de plans d'affaires. Cette fois ci, c'est de lacréation même d'une entreprise dont il est ques-tion, un an après avoir franchi, avec succès, lesdifférentes étapes devant les spécialistes duréseau animé par Business Initiative. Micro-Macro Material Modeling (4M), lauréate en2001-2002, est ainsi passée, en ce début de mai2003, à la phase opérationnelle effective, La société a développé Digimat (DigitalMaterial), un logiciel de simulation numériquemulti-échelle des matériaux composites. Enclair, ce logiciel simule le comportement macro-scopique de n'importe quel matériau composite,en se basant sur les propriétés les plus simplesde chacun des ses composants microscopiques. L'intérêt de Digimat est double: d'une part, aiderles ingénieurs concepteurs à mieux comprendreles phénomènes complexes intervenant dans unmatériau et, ainsi, le tester et l'optimiser numé-riquement et, d'autre part, utiliser un modèle vir-tuel unique pour aboutir à un produit final ayantles caractéristiques et les performances souhai-tées au départ. Le gain de temps et de coût estalors évident. (pour plus de détails, voir aussipaperJam 04.2002 page 072).A l'origine de ce projet devenu réalité: deuxhommes: Roger Assaker, docteur de l’UniversitéCatholique de Louvain (UCL), qui a travailléentre 1997 et 2002 dans la recherche et le déve-loppement de technologies numériques opti-males pour la simulation des performances despneus au centre technique de Goodyear auLuxembourg et M. Issam Doghri, professeur àl'UCL depuis 1994, spécialisé dans la modélisa-tion et la simulation numérique de matériauxnon linéaires notamment aux Etats-Unis. Ces deux associés ont développé le logicielDigimat, jugé suffisamment mature, en 2001,pour justifier de la création d'une "spin-off". Ala suite de quoi le projet a été présenté – avecsuccès – au parcours 1,2,3 Go, puis a été récom-pensé au concours européen de plan d’affaires

"Eurowards" et a reçu, en parallèle, avec l’aidede S.A. Sopartec, le support de la région wal-lonne dans le cadre du programme "First Spin-off". C'est tout naturellement à Louvain que la socié-té 4M a ouvert ses portes. Avec l'objectif d’ac-quérir une dizaine de clients d’ici à deux ans etde travailler en partenariat avec de grandesentreprises. D'ici à 2008, 4M entend égalementnégocier des contrats de distribution avec dessociétés de développement et de commercialisa-tion de logiciels de simulation numérique. "Sitout se passe bien, la société 4M comptera unequinzaine de personnes d’ici à 5 ans, pour unchiffre d’affaires estimé à 2 millions d’Euro"calcule M. Assaker.(02/05) Micro-Macro Material Modeling (4M),winner of the 2001-2002 '1, 2, 3, Go!' interre-gional business-plan competition, has in May2003 gone operational, in Louvain, Belgium. 4M specializes in the development and com-mercialization of Digimat (Digital Material), amulti-level digital simulation software pro-gramme that creates a preview of the macro-scopic behaviour of any composite material,based on the simplest properties of each ofthe microscopic componants. This enablessignificant savings to be made, both in timeand money, during the development of newmaterials.Besides 1,2,3, Go!, the project was also rewar-ded in the 'Eurowards' European business-plan competition and received support fromthe regional government of Wallonie. "If allgoes well, 4M will have some 15 personnelwithin the next 5 years and a business turnoverestimated at 2 million euro", calculates RogerAssaker, doctor at UCL, Louvain, and one ofthe associate founders, with professor IssamDoghri, also at UCL.

La modélisation informatique des matériaux per-met de mieux en comprendre leurs comportementsDigital modelling of materials affords a betterunderstanding of their behaviour

pj_1_actu.qxd 06.05.2003 16:26 Uhr Seite 042

À la maison, nos parents trient leurs déchets d’emballages. Et nous, on continue

à leur laisser croire que ce sont eux qui nous ont appris, comme ils disent :

« ces gestes simples et importants de la vie quotidienne » !

Le tri sélectif et la collecte des emballages sont entrés

dans notre vie. Ce qui devient jour après jour une

habitude est une contribution précieuse à la

préservation de la qualité de notre environnement.

Ensemble, nous faisons de mieux en mieux au quotidien.

LE TRI,

ÇA FAIT

PARTIE DE

NOTRE VIE !

Ligne spéciale communes: 37 00 06-20 Fax: 37 11 37 e-mail: [email protected] http://www.valorlux.lu

Le recyclage nous concerne tous.

VALORLUX-PJ 28/04/03 19:38 Seite 1

Changementde fonction ouchangementd'entreprise?

Adressez-nousun CV accompagnédu descriptif duposte et d’une photo:

par e-mail à[email protected]

ou par courrier:paperJamPeopleBP 728L-2017 Luxembourg

People044 paperJam 06.2003

peop

le VIVIANE BIVORT (TRANSCOM WORLDWIDE)Viviane Bivort, à 36 ans, vient renforcer l’équi-

pe Transcom WorldWide, en tant que Business

Development Manager. Sa nouvelle mission est de présenter les

services de Transcom au marché luxembourgeois.

Depuis 1986 elle a occupé de multiples fonctions dans le domai-

ne du service clientèle au sein de prestigieux instituts financiers.

MARC CLEES(DTZ CONSULTING)La fonction d’Administrateur Délégué de DTZ

Consulting, que Jean-Pierre Lequeux remplis-

sait depuis 1999, a été reprise le 1er mars 2003 par Marc Clees.

Architecte de formation, M. Clees a tout d’abord collaboré pour

plusieurs cabinets d’architecture en France, mené divers projets

pour une compagnie aérienne de Luxembourg, avant de rejoindre

l’équipe de DTZ Consulting en septembre 2001.

JEAN-MICHEL COLLIGNON(SOCIÉTÉ DES FOIRESINTERNATIONALES DELUXEMBOURG)

Pour remplacer Mathias Treinen (voir plus loin), le Conseil

d'Administration de la Société des Foires Internationales de

Luxembourg a conféré à Jean-Michel Collignon le mandat de

directeur de la Société. Il a pris ses fonctions le 1er mai dernier. M.

Collignon, âgé de 45 ans, est ingénieur diplômé et avait rejoint la

société en novembre 2002 en tant que directeur Marketing et

Relations publiques. Sa carrière professionnelle l'avait précédem-

ment mené dans le secteur des médias et de la technologie, notam-

ment au sein du groupe RTL (voir aussi son interview page 037).

PATRICK CRASSON(UNISYS)Unisys vient de nommer, début avril, Patrick

Crasson en tant que Partner Global

Transformation. À 40 ans, ce diplômé de l'ICHEC (diplôme �

pj_1_actu.qxd 06.05.2003 16:26 Uhr Seite 044

People 045paperJam 06.2003

� spécial en Infomation Systems Engineering et Advanced

Business Management) occupait, tout récemment, les fonctions

de directeur de la division Consulting & Integration de HP

Services Belux. Auparavant, il avait occupé, pendant plus d'un

an, le poste de directeur général Professional Services de la divi-

sion Global Services de Compaq Belgique-Luxembourg.

ISABEL GALIANO(ELDORADIO)Eldoradio vient d'engager sa nouvelle directri-

ce en la personne d'Isabel Galiano, entrée en

fonction le 2 mai dernier. Agée de 29 ans, Isabel Galiano occu-

pait, auparavant, la fonction de directeur marketing et communi-

cation auprès de feu l'hebdomadaire jobs.lu. Elle remplace

Claude Muller, en partance pour Comed.

RONALD HUBER(SIEBEL SYSTEMS)Siebel Systems vient de désigner Ronald Huber en qualité de

general manager Benelux. Attaché à Siebel Systems depuis 2000,

Ronald Huber est actif dans le secteur ICT depuis 1985 et a occu-

pé, avant de rejoindre Siebel Systems, différentes fonctions chez

IBM dont, en dernier lieu, celle de Business Unit Manager.

JEAN-PIERRE LEQUEUX(DTZ WINSSINGER TIE LEUNGLUXEMBOURG)Jean-Pierre Lequeux a été nommé

Administrateur Délégué de DTZ Winssinger Tie Leung

Luxembourg, le 1er mars 2003 et assure la gestion de la société

aux côtés de Claude Mack, qui en est l’Administrateur Délégué

depuis sa création en octobre 1995. Ingénieur Industriel de for-

mation, M. Lequeux fut à l’origine de la création du bureau

Amadeus consultants (devenu par la suite DTZ Consulting) dont

il occupait la fonction d’Administrateur Délégué. Il était aupara-

vant Directeur et Administrateur Délégué de la société Argest à

Luxembourg après avoir démarré sa carrière à la fonderie

Magolux en Belgique. �

Depuis 1995 Design Luxembourg est la fédération luxembourgeoise

regroupant les indépendants travaillant, seuls ou en studios, dans dif-

férents domaines de la communication visuelle et du design. Cette

association, affiliée à la Confédération luxembourgeoise du com-

merce, se veut une plate-forme de rencontre et d'échange d'idées

dont le but est la divulgation des valeurs culturelles et sociales du

design en général, mais aussi un outil de travail permettant aux créa-

tifs de se positionner vis-à-vis de leurs clients en faisant reconnaître

leur professionnalisme et en propageant les méthodes et les condi-

tions de travail de chacun.

Composée actuellement de 17 membres, l'association qui revendique

une position en tant qu'acteur important du langage créatif dans le

monde de la communication au Luxembourg, vient d'élire un nou-

veau comité de direction, fort de 10 personnes.

Photo: en haut et de gauche à droite: Tom Gloesener (de Vidale-

Gloesener, Vice-Président; Guido Wolff (indépendant, Secrétaire);

Jaco Diederich (Salt&Pepper by Jaco); Silvano Vidale (Vidale-

Gloesener) et Jeff Bentz (de Salt&Pepper by Jaco, Trésorier).

En bas de gauche à droite: Jacques Welter (Cropmark); Fern

Rollinger ( indépendant); Maurice Lentz (de Format, Président) et

Andrée Pundel (indépendante).

Manque: Marc Wagner (de Format, ancien président de la F/P/C/).

UN NOUVEAU COMITÉ POUR DESIGN LUXEMBOURG

pj_1_actu.qxd 06.05.2003 16:26 Uhr Seite 045

People046 paperJam 06.2003

PIERRE MORES(CONSEIL D'ETAT) Pierre Mores vient d'être nommé, par le gouvernement, nouveau

président du Conseil d'Etat. Licencié en droit, diplômé d'études

supérieures européennes et président de la Caisse de pension des

employés privés, Pierre Mores, 53 ans, était, depuis le 14 janvier

2000, vice-président du Conseil d'Etat.

ANNE POTEMANS(RENAULT BELGIQUELUXEMBOURG)Depuis le 28 avril dernier, Renault Belgique

Luxembourg compte une nouvelle collaboratrice en la personne

de Anne Potemans qui occupe dorénavant la fonction de res-

ponsable du service presse à la direction des relations exté-

rieures.

Mlle Potemans est issue du secteur pharmaceutique dans lequel

elle a acquis une vaste expérience dans le domaine des relations

publiques.

NATHALIE SCAILLET-RECKINGER (COMMISSION DEPROMOTION DES VINS ETCRÉMANTS DE LUXEMBOURG)

La Commission de promotion des vins et crémants de

Luxembourg s'est attaché les services de Nathalie Scaillet-

Reckinger en tant que responsable marketing et communication.

Auparavant, Nathalie, 33 ans, a occupé différentes fonctions et

notamment celle de directrice des ventes et marketing pour l'hô-

tel Inter-Continental Luxembourg puis pour l'hôtel Hilton

Luxembourg. Elle a également occupé, en dernier lieu, le poste

de directrice Luxembourg pour NCI Luxembourg.

ROMAIN SCHINTGEN (COUR DE JUSTICE EUROPÉENNE)Le gouvernement a décidé de reconduire

Monsieur Romain Schintgen dans ses fonctions de juge à �

� la Cour de Justice européenne. Les mandats en cours des

membres de la juridiction européenne siégeant au Kirchberg

viennent en effet à échéance au début du mois d'octobre 2003.

Agé de 64 ans, Romain Schintgen a également été notamment

administrateur général du ministère du Travail, président du

Conseil économique et social, administrateur de la Société natio-

nal de crédit et d'investissement et de la Société européenne des

satellites.

MATHIAS TREINENLa rumeur était persistante depuis quelques

semaines, elle a été confirmée lors de la

réunion du Conseil d'Administration de la

Société des Foires Internationales de Luxembourg du 24 avril

2003: Mathias Treinen quitte la direction des FIL, faisant valoir

officiellement ses droits à la retraite avec effet au 1er août 2003,

après 30 ans de service à ce poste. Sa position était devenue très

complexe depuis sa récente implication dans une affaire d'abus

de bien sociaux. Le Conseil d'Administration l'a, dans la foulée,

nommé membre du Comité de Patronage qui réunit les anciens

administrateurs de la Société.

ROBERT VAN DE WEG(CARGOLUX)Le 19 mai, le poste de Head of Sales & Marketing, laissé vacant

par Ulrich Ogiermann, le nouveau président et CEO de

Cargolux depuis le début de l'année, devrait être pourvu par

Robert van de Weg. Agé de 37 ans, ce néerlandais d'origine, a

débuté sa carrière, après l'obtention de son graduat en économie

à l'Université de Rotterdam, chez KLM Royal Dutch Airlines

avant d'intégrer, en 2001, Atlas Air qu'il quitte donc pour un

poste au sein de la société Cargolux. ■

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pj_1_actu.qxd 06.05.2003 16:26 Uhr Seite 046

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Fortuna_PrivateBank_PJ 25.04.2003 18:20 Uhr Seite 1

Actualité048 paperJam 06.2003

place financière

L'année 2002 a été dure pour toutle monde, en particulier le secteurfinancier qui, à Luxembourg, a plusou moins bien digéré les consé-quences du marasme économiquegénéral. Mais il faut se faire à l'idéeque l'on est pas prêt de revivre l'eu-phorie des dernières années record,en particulier 2001...

Parmi les principales consé-quences de l'évolution à la baissedes marchés, tant sur le plan natio-nal qu'international: la chute sévèredes opérations sur actifs financiers.La CSSF a ainsi enregistré, en 2002,près de 3,07 millions de déclarationsde transactions sur actifs, soit unebaisse conséquente de 33% par rap-port à l'année 2001.

Au-delà des chiffres, l'annéeécoulée aura également été marquéepar une collaboration plus efficacesur le plan de la surveillance de cestransactions. Ainsi, la Bourse deLuxembourg a-t-elle mis en placeun "Comité de surveillance deMarché" qui a pour objectif d'infor-mer la CSSF en cas de soupçonsrelatifs à une quelconque infractionde la loi. Cette collaboration avec ceComité facilite donc grandement lasurveillance du marché boursierexercée par la CSSF.

Dans un tel contexte, la CSSF aainsi pu mener, l'année dernière, plu-sieurs enquêtes en matière d'infrac-tions boursières, dont notammentdeux enquêtes en matière de délitsd'initiés et une autre en matière demanipulation de cours. En outre,plusieurs requêtes émanant d'uneautorité administrative étrangère ontamené la CSSF à traiter quelque 55requêtes concernant des enquêtes enmatière de délits d'initiés, deuxrequêtes en matière de manipulationde cours et enfin deux requêtes enmatière d'offres publiques fraudu-leuses de valeur mobilières.

Dans le but d'assurer la protectiondes investisseurs et le respect de l'in-tégrité du marché, la CSSF est égale-ment intervenue à dix-neuf reprisesauprès d'établissements financiersafin de les rendre attentifs à leursobligations en matière de déontolo-gie. L'importance accrue de la sur-veillance des marchés d'actifs finan-ciers par la CSSF s'explique d'unepart par la nécessité de rétablir laconfiance des investisseurs dans uncontexte de volatilité importante etde marchés difficiles et d'autre partpar l'importance donnée à l'interven-tion en cas de non-respect des règlesde déontologie dans l'optique d'une

prochaine transposition de la direc-tive européenne "Abus de marché".

Enfin, plus spécifiquement, laCSSF a prononcé, pour la premiè-re fois, quelques sanctions finan-cières à l'encontre de dirigeantsd'établissements en porte-à-fauxavec la législation. Une ‘nouveau-té’ qui intervient alors que s’ache-vait le procès d’un cadre du CréditLyonnais, condamné à 6 ans de pri-son ferme pour abus de confian-ce...

Quatre amendes ont ainsi étéaffligées à des dirigeants debanque, dont deux de 8.000 Europour transmission de renseigne-ments inexacts et deux amendes de1.500 Euro ont visé des respon-sables de la gestion journalière dePSF pour refus de communicationde renseignements relatifs à la luttecontre le blanchiment.

Les plus fortes amendes, elles,ont concerné les dirigeants d'unintermédiaire financier (12.500Euro) coupables, pêle-mêle, decommunication de renseignementsincomplets et de défaillance dansle respect des dispositions relativesà l'organisation interne, des règlesen matière boursière et des règlesde bonne conduite. �

� La surveillance s'est intensifiée dans lesecteur financier. Les sanctions ont suiviTEXTE JEAN-MARC STREIT

CSSF:contrôlesrenforcésen 2002

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Actualité 049paperJam 06.2003

LuxX inside

Depuis le début de l'année, l'actionRTL Group a été la plus performante enBourse de Luxembourg. Alors quel'Indice LuxX reculait, au 30 avril, de5,6%, le titre du leader européen deradio-télévision et de contenu a progres-sé de plus de 16%. "Et si l'on comparenotre performance sur les 12 derniersmois avec les autres acteurs européensdu marché TV et radio, notre titre aperdu 27% alors que le Benchmarkaffiche –47,7%" complète un porte-parole de RTL Group.

Malmenée par "l'affaire" de l'échan-ge d'actions Bertelsmann-GBL faite audétriment des petits porteurs; plombéepar la dégradation de la situation écono-mique mondiale, discréditée par l'annon-ce de la radiation de la cote à Londres etle non-respect de la promesse d'augmen-ter le free-float, handicapée par son illi-quidité et le "phasing-out" de la Loi Rauà Luxembourg, l'action a touché le fondl'automne dernier (22,10 Euro en clôturele 11 octobre). "Ce n’est que récem-ment, suite à l’annonce d’augmentationsdes parts de marché de RTL sur ses mar-chés les plus importants, d’une amélio-ration très nette de la visibilité et de ladiminution de l’endettement de la socié-té, que l’action a pu rebondir constateOlivier Meyers, Senior PortfolioManager chez Fortis InvestmentManagement Luxembourg.

Elle vient de repasser le niveau de savaleur d’inventaire (29 Euro) et coteactuellement aux alentours de 33 Euro."A ces niveaux de prix, le titre est valo-risé largement en-dessous de ses princi-paux concurrents européens, sachantque la valorisation des composantes dugroupe aux chiffres de 2002, qui sont des

chiffres de bas de cycle, donnerait unevaleur de l’action aux alentours de 44Euro" complète-t-il.

Du coup, l'analyste de FIM, comptetenu des bonnes performances en partsde marchés, des prévisions optimistes degénération de free cash-flow (FCF) et dela probable reprise du marché desmédias prévue pour 2004, table sur unevalorisation réelle plus élevée pour letitre.

Du côté de RTL Group, si on se gardebien de commenter directement le déca-lage entre valeur réelle et valeur estimée,on travaille sur la politique de communi-cation, "afin de s'assurer que nos perfor-mances opérationnelles soient parfaite-ment bien comprises par les marchés etpuisse, par la suite, se refléter sur lecours de l'action. Nous sommes persua-dés que nous pouvons continuer àcroître en raison de la solidité de nos

� Le leader européen des médias respireun peu après une période plutôt sombreTEXTE JEAN-MICHEL GAUDRON

Voie ascendantepour RTL Group

Cours de l'action RTL Group en Bourse de Luxembourg (avril 2002-avril 2003)

activités et les résultats 2002 montrentque nous avons raison d'être confiants".

Les actions en justice intentées par les"petits porteurs" lésés dans le cadre del'échange Bertelsmann-GBL de février2001, peuvent-elle avoir un impact sup-plémentaire sur la santé boursière fragiledu titre? "Tout le monde est attentif ausujet confirme le porte-parole de RTLGroup, mais nous ne croyons pas quecela influe sur le cours de l'action, car lemarché s'intéresse surtout aux résultatsopérationnels". Olivier Meyers, lui, voitplus loin que le seul cas RTL Group:"Même s'il n'est pas sûr qu'elles aboutis-sent, ces actions en justice auront aumoins le mérite de forcer, d’une certainemanière, Bertelsmann à revoir sa straté-gie de buy-out des minoritaires. En effet,le marché pourrait pénaliser le mauvaistraitement des minoritaires lors d’uneIPO éventuelle de Bertelsmann".�

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IT& Télécoms050 paperJam 06.2003

neuse (3.000 lumens ANSI).Il s'agit d'un projecteur de table,portatif, qui allie haute qualitéd'image, flexibilité et facilité decommande pour satisfaire àtoutes les exigences imaginablesdans le domaine des présenta-tions. Avec un niveau sonore de35 dB à peine, le projecteur nedérange pas l'assistance. La lumi-nosité exceptionnelle est obtenuepar des panneaux LCD EpsonDream III de 1,0 pouce.Le nouveau modèle dispose defonctions pratiquement indispen-sables dans les entretiens com-merciaux, par exemple la compa-tibilité réseau grâce à EpsonEasyMP.net, les fonctions desécurité, EPSON Preview,EPSON Quick Corner (voir aussiencadré page XXX), EPSONWall Shot (qui garantit une repro-duction fidèle des couleurs,même si l'image est projetée surun mur coloré) ou la possibilitéd'utiliser des objectifs en option.Quant à la distance de projectionminimale de l'Epson EMP-7800,elle est de 1,6 m à peine, soit laplus petite de tous les projecteursde la marque. L'emploi d'objec-tifs en option pour la projection àmoyenne ou grande distance pré-serve la qualité d'image de cenouveau projecteur XGA dansles locaux de toutes configura-tions.Disponibilité: L'EPSON EMP-7800 est disponible au prix devente conseillé d'environ 6.690Euro.www.epson.be

Hitachi DataSystems / Network Appliance

Vers une consolidationdes environnementsSAN, NAS et DASHitachi Data Systems, filiale d'Hitachi Ltd., et NetworkAppliance introduisent HDSNetApp Enterprise NASGateway, développé conjointe-ment. Avec ce gateway, les utili-sateurs peuvent mettre à profit lesprestations, capacités et disponi-bilités des systèmes HitachiFreedom Storage et des solutionsNetApp-storage pour consoliderdes environnements SAN, NASet DAS séparés. Il en résulte unpool de stockage ouvert qui peutêtre géré avec l'HiCommandManagement Framework. Legateway NAS est fourni exclusi-

D-Link

La visio-conférence à haut débit

La société D-Link, fournisseurde solutions innovantes pourréseaux, commercialise leVideoPhone DVC-1000 i2eye,qui est destiné aux visioconfé-rences. Ce système permet deréaliser aisément des visioconfé-rences au moyen de la télévision.Il suffit aux utilisateurs de bran-cher l'appareil sur un téléviseurnormal et un téléphone. Le systè-me se connecte à Internet par l'in-termédiaire d'une connexion hautdébit standard; les utilisateurspeuvent alors se voir et se parlerpar le biais du téléviseur.L'utilisation du VideoPhoneDVC-1000 i2eye permet de réali-ser de considérables économiesau niveau de la durée et des fraisde déplacement.Le système vidéo peut envoyer etrecevoir 30 cadres par seconde.La télécommande fournie permetde recevoir facilement les appelsentrants. Un contrôle d'identitéintégré empêche toute personnenon autorisée de participer à lavisioconférence.Le VideoPhone DVC-1000 i2eyeen bref : Processeur ARM-9ASIC; Support des normesH.323, H.263, G.711 et G.723;Support PAL et NTSC; Envoi etréception : jusqu'à 30 cadres parseconde; Interface utilisateurpour les participants à la visio-conférence, réponse manuelle ouautomatique, sécurité, contrôled'identité, etc.; Peut égalementêtre utilisé en combinaison avecun routeur haut débit; Prix: 349 Euro T.V.A. non com-prise. www.dlink-benelux.com

Epson

Nouveau projecteur XGAEpson présente le égalementnouvel Epson EMP-7800. Cepuissant projecteur XGA se prêteaux locaux de conférence quinécessitent l'accès à un réseau.L'appareil est destiné aux utilisa-teurs exigeants qui apprécient unprojecteur de forte intensité lumi-

vement par Hitachi Data Systemset ses revendeurs autorisés.Le HDS NetApp Enterprise NASGateway est un serveur NAS spé-cifiquement développé qui peutêtre connecté en direct ou via unFibre Channel SAN aux systèmesexternes Hitachi FreedomStorage. Cette solution maximisele rendement sur investissementdans les infrastructures de stocka-ge et les infrastructures SAN enfournissant une haute disponibili-té et une évolutivité sans pareillespour l'accès des données via lesconnexions ethernet. Le HDSNetApp Enterprise NAS Gatewayest implémentable dans diversesarchitectures de stockage. Les uti-lisateurs profitent d'une utilisa-tion optimale des sources de stoc-kage via la consolidation, et ilsprofitent d'une gestion simplifiéedes environnements de stockagecomplexes pour les applicationstechnologiques et critiques. Disponibilité: Les produits deHDS NetApp Enterprise NASGateway sont repris dans la sériegFiler. Le GF940 et le GF960 (etles versions en grappe) avec unecapacité jusqu'à 48TB, sont àcoupler avec les systèmesFreedom Storage Lightning 9900V Series. Ils sont en outre directe-ment livrables. Le GF825 et laversion en grappe du GF825 ontune capacité qui peut monter jus-qu'à 6 TB et doivent être couplésavec les systèmes Thunder 9500V Series. Le GF825 sera dispo-nible à partir du 30 juin 2003.http://global/hitachi.com

HPUn serveur pour PME

Destiné à l'attention des petites etmoyennes entreprises ou trèspetites entreprises ayant peu deressources informatiques, le nou-veau serveur HP tc2120, le der-nier né de la famille tc2100, sepositionne comme une solutionsimple et performante. Il secaractérise par un monoproces-seur PIV ou Céléron et unChipset serverworks GC-SL. Ilest équipé d'un Bus 533MHz surmodèles SCSI, 400MHz ATA, de3 disques fixes (jusqu'à 109 Gode stockage SCSI ou 240 Go

it &

tél

écom

s pj_1_actu.qxd 06.05.2003 16:26 Uhr Seite 050

IT& Software 051paperJam 06.2003

ATA) et de 256 Mo de base surmodèles SCSI extensibles à 4 Go. Ce nouveau serveur permet éga-lement, dans l'hypothèse d'unecroissance future, de réaliser unetransition aisée et peu coûteusevers la gamme HP ProLiantML300. Disponibilité: le serveur tc2120est disponible au prix de base de689 Euro. http://www.hp.com/products/ser-vers/platforms.

HP

Nouvellessolutions de stockageAutres nouveautés annoncées parHP: l'extension et l'améliorationde sa gamme de solutions destockage EVA (StorageWorksEnterprise Virtual Array), avec,d'une part, l'arrivée du HPStorageWorks eva3000 (pour quiHP revendique une exécution de162.000 I/Os par seconde - (IOPS- soit le double de ce qui se faittraditionnellement en la matière)et, d'autre part, l'accroissementdes capacités et des performancesdes supports externes pour le ser-veurs moyenne gamme HPStorageWorks msl6000 et enter-prise-class esl9000, avec le lec-teur HP StorageWorks Ultrium460, qui permet une sauvegardede 400 Go compressés en moinsde 2 heures. Il lit et écrit la pre-mière génération Ultrium (30%plus rapidement que Ultrium230) ce qui permet de préserveret d’améliorer les investissementsexistants.http://www.hp.com/storage/infrastructure

Toshiba

Une nouvellecarte compacteet économeLa division Computer Systemsde Toshiba Europe GmbH annon-ce la disponibilité d'une nouvellecarte SDIO Bluetooth˙ qui confè-re un potentiel de communica-tions sans-fil aux équipementsmobiles. La nouvelle carte estconforme aux spécificationsSDIO Card de type B et

Bluetooth˙ version 1.1.La nouvelle carte supporte descommunications numériquessans-fil entre des produits équi-pés d'un accès Secure Digital(SD˙). Elle devrait être utiliséecomme équipement optionnelapte à doter les notebooks etPocket PC Toshiba existantsd'une mise à niveau Bluetooth˙.D'installation très simple, ellepermet désormais aux profes-sionnels et aux simples consom-mateurs de bénéficier de poten-tiels enrichis, tels que des accèsinstantanés à Internet via télé-phone mobile, des fonctions departage de fichiers et un potentield'impression sans-fil.La première carte SD˙ Bluetooth˙de Toshiba a fait son apparitionsur le Pocket PC série e310, letrès populaire Pocket PC deToshiba qui a été annoncé enavril 2002. La nouvelle carte pro-pose des spécifications évoluées,en ce compris un gain deconsommation d'énergie allantjusqu'à 50%, un profil plat et desdimensions réduites de 9 mm. Lacarte est dotée d'un nouveau logi-ciel Bluetooth˙ qui présente, luiaussi, diverses améliorationstelles qu‚un support plus poussédu système d'exploitationMicrosoft (versions Windows etPocket PC), un support améliorépour divers équipements et pro-fils, une connexion et une instal-lation aisées via recours auxparamètres de configurationBluetooth, une gestion de péri-phériques simplifiée, et uneinterface utilisateur graphiqueaméliorée.www.toshiba.be

Trend Micro

Une solutiond'antivirus pourdesktopsTrend Micro, leader du marchédes services et logiciels de sécu-risation de contenu et d'antivirus,lance une offensive pourconvaincre les entreprises de pas-ser à sa solution complète et éco-nomique : OfficeScan. AvecOfficeScan, les gestionnaires ITpeuvent profiter de tous les avan-tages de l'Enterprise Protection

Cisco

Des routeurs multifonctionsCisco Systems a lancé la gamme de routeurs Cisco 3700 pour 10 à 50utilisateurs. Grâce à leur conception modulaire, ils peuvent être adaptésaux besoins des entreprises les plus diverses. En outre, un tel conceptoffre l'espace requis pour évoluer avec l'entreprise et au rythme du pro-grès technologique. La gamme Cisco 3700 offre également d'intéressantes perspectives auxfournisseurs de services. En n'installant qu'un seul appareil chez lesclients, ils peuvent proposer un service complet pour un réseau voix,données et vidéo intégré à faible coût de maintenance.Les appareils de la gamme ne commandent et ne gèrent pas seulementle réseau; ils remplacent aussi le central téléphonique traditionnel. Il estpossible d'y connecter à la fois des téléphones analogiques et des télé-phones IP, ce qui permet aux entreprises de migrer progressivementvers une nouvelle infrastructure téléphonique. Grâce à un module sup-plémentaire, les routeurs Cisco 3700 peuvent alimenter les téléphonesIP en courant, si bien que des prises supplémentaires sont superflues.Le module en question alimente également en courant les points d'ac-cès d'un réseau sans fil, qui peut éventuellement compléter l'installationpour accroître le confort d'utilisation.Dans le cas de la téléphonie IP, le trafic voix passe lui aussi par leréseau informatique. Cela simplifie considérablement la gestion,l'adaptation et l'extension de l'installation téléphonique et en réduitdonc le coût. Les entreprises qui possèdent plusieurs succursales dimi-nuent en outre leur facture de téléphone car les communications quipassent par leur réseau longue distance (WAN) sont gratuites. Pour obtenir une flexibilité et une mobilité poussées, il est aussi parfai-tement possible de combiner la téléphonie IP avec des réseaux sans fil.En principe, une entreprise qui construit son infrastructure en partant dezéro ne doit quasiment plus prévoir de câblage. Grâce aux points d'ac-cès sans fil, aux laptops à antenne intégrée et aux téléphones IP sans fil,on peut doter un bureau d'un réseau téléphonique et informatique com-plet et moderne.Pour garantir la protection du réseau et prévenir tout trafic indésirable,un routeur Cisco 3700 fait office de firewall. De plus, il est possibled'intégrer un IDS (Intrusion Detection System) pour une protection plusdynamique. Un IDS vérifie si aucune anomalie ne se produit au niveaudu trafic réseau et peut déclencher, selon le réglage adopté, une alarme,voire, dans certains cas extrêmes, verrouiller le réseau externe.

www.cisco.be �

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Epson

Un projecteur à la luminosité maximale…Epson a lancé, en avril le nouvel Epson EMP-8300. Avec ses5.200 lumens ANSI, ce nouvel modèle haut de gamme est leprojecteur le plus luineux jamais conçu par la marque japonai-se. Il apporte aux entreprises et aux organismes qui organisentdes événements un des outils de présentation les plus profes-sionnels qui existent actuellement sur le marché high end. L'Epson EMP-8300 garantit des présentations lumineuses etbrillantes jusque dans les grands locaux mal éclairés. Parmi lesaccessoires, l'utilisateur trouvera des objectifs en option pour laprojection en moyen et grand angle, qui permettent d'exploiterl'appareil dans les locaux de toutes les configurations.Les panneaux LCD de 1,4 pouce, avec un contraste de 1.200:1,génèrent par ailleurs des images très nettes et détaillées. Ainsi,l'Epson EMP-8300 crée facilement les conditions d'une présen-tation de haute tenue.Les fonctions Epson EasyMP.net permettent d'exploiter l'EpsonEMP-8300 sans restriction dans les réseaux. Le contrôle du pro-jecteur et la commande des réglages de base passent ainsi par leLAN. L'utilisateur peut activer toutes les fonctions à l'aide dedivers programmes d'application, par exemple SNMP (SimpleNetwork Management Protocol), ENP Network Manager etEMP Monitor. Grâce à la richesse du système, l'utilisateur enréseau peut surveiller ou piloter divers composants du projec-teur, notamment la source d'entrée, la coupure AV ou l'adresseIP.L'Epson EMP-8300 possède un grand nombre de fonctionsutiles. Pour la première fois, par exemple, Epson Quick Cornercorrige l'image pour une restitution parfaitement exacte. Unoutil à l'écran permet de régler l'image horizontalement commeverticalement. L'appareil intègre aussi un système électroniquede contrôle des réglages optiques, via la télécommande.L'utilisateur peut ainsi actionner le zoom, le réglage de nettetéet le changement d'objectif. Quant à la fonction Preview, elleaide l'utilisateur à sélectionner l'entrée en offrant des images deprévisualisation pour tous les canaux d'entrée disponibles.En installation fixe, l'appareil doit aussi pouvoir fonctionnersans difficulté dans un environnement poussiéreux. C'est pour-quoi a été développé un nouveau filtre à air amélioré.Disponibilité: L'EPSON EMP-8300 est commercialisé au prixde vente conseillé d'environ 11.990 Euro.www.epson.be �

Strategy (EPS). Du fait de l'appli-cation de l'approche EPS de TrendMicro, les coûts de sécurisationdiminuent et il faut moins d'em-ployés IT pour mener la politiquede l'entreprise en matière de sécu-risation. Ces avantages sont confir-més par une étude de Gartner faiteen 2002, dont il ressort que les uti-lisateurs de Trend Micro ont mini-mum 2,5 fois moins de coûts pourle nettoyage après une attaque vira-le que les autres. Trend MicroControl Manager (TMCM), uneconsole de gestion centrale, faitpartie d'EPS.La dernière version d'OfficeScanCorporate Edition 5.5 pour desk-tops et systèmes mobiles fait partiede la série de produits complets quioffre une approche spécifique -Outbreak Prevention Policies(OPP) - aux administrateurs ensécurisation en cas d'attaque virale.Cette approche est destinée à tousles réseaux où sont utilisés les pro-duits Trend Micro : des gatewaysInternet et des serveurs de fichiersaux systèmes clients individuels.De cette manière, les administra-teurs peuvent prendre automati-quement des mesures préventivespour bloquer les menaces quipénètrent via le serveur client oufichier. Les Outbreak PreventionPolicies (OPP) sont distribuéesavant que les pattern files ne soientdisponibles. Ceci prévient la pro-pagation de logiciels nuisibles. Enoutre, OPP utilise moins de largeurde bande que les pattern files etcette approche peut donc être rapi-dement appliquée à l'entièreté duréseau, ce qui diminue les chancesd'intrusion du virus.www.trendmicro.co.uk/

Trend Micro

Protection antivirus pourMicrosoftWindowsServer 2003Trend Micro annonce égalementl'introduction de Trend MicroServerProtect version 5.56, unenouvelle solution antivirus pourles serveurs d'applications et defichiers, qui s'oriente complète-ment vers la plate-forme de ges-tion Microsoft Windows Server2003. De ce fait, l'entreprise souligne sastratégie de partenariat avec unefocalisation sur la fourniture desolutions de sécurisation flexibleset intégrées. En outre, les entre-prises qui utiliseront la plate-forme Windows Server 2003 pour-ront profiter de façon optimale des

services de nettoyage et de pré-vention d'intrusion additionnelsde Trend Micro EnterpriseProtection Strategy.Windows Server 2003 est le toutnouveau système d'exploitationde Microsoft. Avec cette nouvel-le édition, les serveurs d'impres-sion et de fichiers, les serveursweb et les serveurs d'applica-tions web sont faciles à installeret à gérer. Il en résulte des infra-structures productives via les-quelles le réseau d'entreprisedevient un moyen de productionstratégique.La version 5.56 deServerProtect contient des élé-ments de la stratégie EnterpriseProtection grâce à laquelle lesutilisateurs de Windows Server2003 peuvent mieux gérer lesconséquences d'intrusionsmixtes. Les clients peuvent faci-lement utiliser des masques denettoyage de serveurs et bloquerles accès au niveau de la lecture,de l'écriture et du partage desfichiers. Tous ces services fontpartie de services coordonnésspécialement développés pourdiminuer les coûts et déterminerles dommages pendant lesattaques.Trend Micro propose une sériecomplète de produits pour lesdifférentes plate-formes etapplications de Microsoft. Cesproduits sont, entre autres:InterScan VirusWall pour uneprotection des gateways Internetbasée sur Windows NT Server4.0; ScanMail pour MicrosoftExchange et Exchange 2000pour une protection des serveursmails; OfficeScan CorporateEdition pour les desktopsmobiles et clients basés surWindows 98/Me/XP/200; et lesversions de ServerProtect pourWindows NT, Windows 2000 etSharePoint Portal Server. Lesproduits Trend Micro pour leserveur mails et le gatewaySMTP sont aussi certifiés pourServer 2003, de telle sortequ'une sécurisation optimale desenvironnements d'entreprise estgarantie.www.trendmicro.co.uk

Unisys

Un serveur spécialementdéveloppéspour WindowsServer 2003Unisys lance sa ligne de produitde serveurs ES7000/500 quidébute avec un système 4-pro-

IT& Télécoms052 paperJam 06.2003

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IT& Télécoms 053paperJam 06.2003

cesseurs à prix bas qui peut faci-lement être étendu à un systèmeavec 8, 16 ou 32 processeurs.Toutes les configurations sontbasées sur la technologie de ser-veur Unisys Cellular Multi-Processing (CMP), connue desserveurs ES7000 précédemmentcommercialisés. Cette technolo-gie mainframe assure de hautesprestations, une fiabilité à touteépreuve et une gestion complète-ment centralisée.Le serveur Unisys ES7000/520avec huit processeurs gère118.381,38 transactions parminute pour EUR5.16/tpmC.C'est pourquoi le nouveau pro-cesseur Intel Xeon MP et la basede données Microsoft SQLServer 2000 Enterprise Editionsont utilisés en combinaisonavec le Windows Server 2003Datacenter Edition. De ce fait, leserveur Unisys ES7000/500 estle serveur avec huit processeursqui a les meilleures prestationsau prix le moins élevé. Le systè-me bat l'HP Proliant DL760-G28P, pourtant arrivé plus tard surle marché. Les prestations sontd'ailleursmeilleures que celle du serveurIBM x440 avec huit processeurs,retiré du Transaction ProcessingPerformance Council.Le noyau de la nouvelle sérieES7000/500 est la 'cellule' CMP,grâce à laquelle des environne-ments fortement modulablespeuvent être créés avec peu d'en-combrement. Chaque cellule estcomposée de quatre à huit pro-cesseurs 32-bit Intel Xeon MPsur une seule carte-mère. Aumaximum 4 cellules peuventêtre liées dans un seul systèmeavec 32 processeurs ou pour laconfiguration de serveurs indé-pendants au sein d'un ES7000.Prix et disponibilité: Avec le lan-cement des modèlesES7000/500, les prix des ser-veurs Unisys ES7000 vont de32.500 euros pour un système àquatre processeurs jusqu'à700.000 euros pour un système à32 processeurs. Les serveurssont directement disponibles etutilisent Windows Server 2003Datacenter Edition.www.unisys.be

YosemiteUn produitde sauvegarde évolutif

Yosemite Technologies, éditeur delogiciels de sauvegarde et de res-tauration multi plates-formes pourWindows, Netware, Linux etUNIX, a introduit la nouvelle ver-sion de sa solution de sauvegardeet de restauration: TapeWare 7.Compatible avec Windows Server2003, TapeWare 7 marque l'arrivéede Yosemite sur le marché de laprotection de données sous UNIX,avec la prise en charge de SunSolaris et FreeBSD UNIX.Tapeware est fournit de façon stan-dard avec les systèmes de backuphardware d'entre autres HP, Dell,Seagate, Freecom et OnStream.TapeWare est une solution logi-cielle de backup indépendante dela plate-forme qui offre aux utilisa-teurs une protection des donnéesau niveau du desktop, du groupede travail ou de l'entreprise.TapeWare 7 propose un modèle delicence simple. Avec celui-ci, dessolutions de protection des don-nées sur mesures peuvent être ras-semblées. Ce modèle flexible estparticulièrement adapté pour lesrevendeurs qui veulent fournir dessolutions de backup qui s'adaptentparfaitement aux besoins budgé-taires et de stockage de leursclients.Les nouveautés de TapeWare 7sont, entre autres:- Un gestionnaire de licences cen-tralisé : offre un pool de licencescentralisé pour chaque zone destockage;- Un New Web Gateway : pour unegestion centrale et à distance desenvironnements avec diversesplate-formes;- Des diagnostics : pour des dia-gnostics indépendants des plate-

formes. �

Intel/Symbian

Un nouveau kit de développement logiciel Symbian Intel Corporation et Symbian ont annoncé aujourd'hui la parti-cipation d'Intel au Programme Platinum Partner de Symbian.Intel proposera également un nouveau kit de développementlogiciel (SDK) incluant Symbian OS version 7.0, qui aidera lesdéveloppeurs à accélérer le processus de conception de télé-phones et d'applications mobiles à fonctionnalités informa-tiques tournant sur des processeurs basés sur la microarchitec-ture Intel XScale. Symbian développe et diffuse sous licenceSymbian OS, le système d'exploitation standard de l'industriedes téléphones mobiles de pointe aux principaux fabricants decombinés, représentant plus de 80% des ventes de téléphonesmobiles dans le monde. Grâce au Programme Platinum Partner, Intel accède à un éven-tail de services commerciaux, ainsi qu'au code source deSymbian OS et à l'assistance technique dédiée aux partenairesde Symbian.Les écosystèmes respectifs supportant les technologies Intel etSymbian fourniront aux intégrateurs système, aux fabricantsd'équipements et de logiciels originaux et aux distributeurs delogiciels indépendants, l'assistance matérielle et logicielle dontils ont besoin pour accélérer la mise sur le marché de leurs pro-duits.Le nouveau SDK sera disponible pour le système de développe-ment Intel DBPXA250, avec le système d'assistance de carteSymbian OS version 7.0, optimisé pour les fabricants de télé-phones mobiles et les développeurs de logiciels élaborant desproduits exploitant les processeurs Intel PXA255 et IntelPXA26x. Les systèmes de développement incluront plusieursoutils de développement optimisés, notamment un compilateuret le débogueur XDB JTAG de la microarchitecture Intel XScalepour OS spécifique pour Symbian OS. Intel propose égalementune assistance pour les technologies mobiles telles queGSM/GPRS, 802.11 et Bluetooth.www.developer.intel.com ; www.symbian.com/developer �

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Actualité054 paperJam 06.2003

ressources humaines

49% Jamais

37% Une fois de temps en temps

7% Une fois par semaine

6% Plusieurs soirs par semaineNombre total de réponses: 291Ce sondage a été réalisé au mois d'avril sur le site www.monster.lu

� Sondage Monster – paperJam,commenté par Emile Lutgen (EFA)

Sortez-vous souventavec vos collègues?

M. Emile Lutgen: " Pour une société, il est très impor-tant qu’il y ait la meilleure entente possible entre col-lègues de travail."Face à ces résultats, M. Lutgen n'est en rien étonné: "Il sedégage du sondage deux blocs de personnes: la moitié desgens qui ont choisi de ne pas passer de temps avec les col-lègues de travail au-delà des heures de bureau et l’autremoitié qui sortent entre collègues de bureau le soir ou leweek-end , mais à degré et intensité variable. Ces réponsesme semblent tout à fait réalistes". Qu'en est-il au sein d'EFA? "Etant donné que la moyenned’âge de notre personnel n’est que de 32 ans et que lenombre de célibataires est élevé, les sorties entre col-lègues sont évidemment d’actualité. N’ayant pas fait desondage au sein de notre entreprise, je ne peux que vousfaire part de ma vue personnelle basée sur des échos offi-cieux reçu de part et d’autre. Pour une société, il est très important qu’il y ait lameilleure entente possible entre collègues de travail. Cecifacilite la communication qui est un élément clé danstoutes les relations. Donc, je suis formel de dire que cessorties entre collègues sont certainement bénéfiques pourl’ambiance de travail. Elles permettent de mieux seconnaître. Néanmoins, je crois que le choix de l’employé de sortir oude ne pas sortir avec ses collègues est un choix personnel

qui dépend de beaucoup de facteurs (temps disponible,lieu de résidence, famille, hobbies …). Je crois que l’em-ployeur ne doit nullement intervenir à ce sujet, ni dans unsens, ni dans un autre. Mais le fait que le collègue de tra-vail soit en même temps ‘ami’ est sûrement une bonnechose pour l’entreprise". Et, l'engouement des employés d'EFA pour ce genre derencontres entre collègues semble important: "Notresociété dispose d’une Amicale du Personnel qui organiseplusieurs fois par année des événements à l’attention denotre personnel en dehors des heures de bureau (SoiréeMountain-bike, Visite de concerts, Soirée de Karting,week-end de ski, etc), et on peut constater que le taux departicipation est élevé. Je crois qu’on peut donc effective-ment affirmer qu’il y a un intérêt de la part de certainespersonnes pour ce genre d’activités".

Emile Lutgen est actuellement Human Resources Director pour EFA(European Fund Administration). Juriste, Maître en Droit desAffaires de l’université d’Aix-en-Provence, ancien avocat-avoué aubarreau de Luxembourg, Emile Lutgen a débuté sa carrière profes-

sionnelle au sein de la Banque Générale du Luxembourg.�

Prochain sondage en ligne: jusqu'au au 26 mai: Qu’est-ce qui vous fait perdre le plus de temps au bureau ?

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Badenoch+Clark 05.05.2003 15:52 Uhr Seite 1

Agenda056 paperJam 06.2003

FORMATIONSSEMINAIRES

BUREAUTIQUE

MS-OFFICEDATES: à partir du 19/05 PUBLIC: tout public CONTENU:Word confirmés (19, 21/05); Excel intermédiaires (le 20 et 22/05);confirmés (21, 23/05); Windows introduction (le 02/06); Accessintroduction (le 02 et 04/06); Excel introduction (le 03 et 05/06);PowerPoint introduction (le 10/06); Access intermédiaire (le 10 et12/06); Excel intermédiaire (le 11 et 13/06); Word introduction (le11 et 13/06); PowerPoint intermédiaire (le 17/06); Word intermé-diaire (le 18 et 20/06); Outlook introduction (le 19/06). ORGANI-SATION: PHM Software Training Center; 46 02 02; www.phm.beLIEU: PHM, 24 rue Jean L'Aveugle - L-1148 Luxembourg INS-CRIPTION: de 200 à 500 Euro selon formations.

FORMATIONS INFORMATIQUES WINDOWS NT4.0 & 2000DATES: à partir du 20/05 PUBLIC: En fonction des formationsCONTENU: Introduction à la sécurité (du 20 au 23/05); Prise encharge d'une infrastructure réseau avec Microsoft Windows 2000(du 02 au 06/06); Gestion d'un environnement réseau MicrosoftWindows 2000 (du 02 au 06/06); Conception d'une infrastructurepour les services d'annuaire Microsoft Windows 2000 (du 10 au12/06); Windows NT 4.0 vers 2000: Actualisation des compé-tences de support technique (du 16 au 20/06); Conception d'unréseau sécurisé (du 24 au 26/06). ORGANISATION: Telindus;53 28 201 (Marie-Christine Henry ou Fabienne François);www.formation.telindus.lu LIEU: Telindus; 2, rue des Mines – L-4244 Esch-sur-Alzette INSCRIPTION: De 960 à 1.600 Euro.

FORMATIONS BUREAUTIQUEDATES: à partir du 20/05 PUBLIC: En fonction des formationsCONTENU: PowerPoint XP (20 et 21/05); Access 2000: Avancé(22 et 23/05); Access XP: Avancé (22 et 23/05); Outlook 2000, XP(le 10/06); PowerPoint 2000 (10 et 11/06); Word 2000: Les bases(12 et 13/06); Word XP: Les bases (12 et 13/06); Visio 2000, 2002(le 13/06); Excel 2000: Avancé (26 et 27/06); Excel XP: Avancé(26 et 27/06); Word 2000, XP: Macros (30/06). ORGANISA-TION: Telindus; 53 28 201 (Marie-Christine Henry ou FabienneFrançois); www.formation.telindus.lu LIEU: Telindus; 2, rue desMines – L-4244 Esch-sur-Alzette INSCRIPTION: De 200 à 400Euro.

FORMATIONS INFORMATIQUES WINDOWS .NET & XPDATES: à partir du 10/06 PUBLIC: En fonction des formationsCONTENU: Administration de Windows.NET Server 2003: sur-veillance et maintenance (du 10 au 12/06); Windows NT 4.0 versWindows .NET: actualisation des compétences de support tech-nique (du 16 au 20/06) ORGANISATION: Telindus; 53 28 201(Marie-Christine Henry ou Fabienne François);www.formation.telindus.lu LIEU: Telindus; 2, rue des Mines –L-4244 Esch-sur-Alzette INSCRIPTION: De 960 à 1.600 Euro.

FORMATIONSSEMINAIRES

Vous organisezune conférence,une formation,un événement?

Envoyez nous unrésumé de la mani-festation, le lieu deson déroulement, lepublic cible et lesconditions d’inscrip-tion:

par e-mail à[email protected]

ou par courrier:paperJamPeopleBP 728L-2017 Luxembourg

agen

da pj_1_actu.qxd 06.05.2003 16:27 Uhr Seite 056

FINANCIAL SERVICES TRAINING COURSESDATES: à partir du 26/05 PUBLIC: en fonction du thème duséminaire CONTENU: New developments in the Luxembourgfinancial market (le 26/05); Customer service in fund administra-tion (le 28/05); Workshop: Investement Funds on the Internet (le11/06) ORGANISATION: fast/IFBL, Robert Bast, 46 50 16,[email protected] LIEU: fast, 34 avenue Victor Hugo, L-1750Luxembourg INSCRIPTION: 200 Euro.

TRÈSORERIE ET GESTION DES FLUX FINANCIERS EN ENTREPRISEDATES: 02 et 03/06 PUBLIC: Trésoriers, comptables, respon-sables financiers en charge de la gestion de trésorerie. CONTE-NU: La trésorerie au sein de l'entreprise, la gestion "dynamique"des flux de trésorerie, la gestion informatisée de la trésorerie, lesprévisions de trésorerie, les intérêts mis à nu, la couverture desrisques sur taux d'intérêt, les fonds propres, les fonds de tiers, lesrelations bancaires. ORGANISATION: Chambre de Commerce ;42 39 39-220; www.cc.lu LIEU: Hôtel Sofitel, Luxembourg-Kirchberg INSCRIPTION: 230 Euro.

AUDIT ET CONTRÔLE DE GESTIONDATES: 17/06 PUBLIC: Dirigeants de PME/PMI, contrôleurs degestion récents dans la fonction, comptables expérimentés.CONTENU: Contrôle de gestion (définition et conception ducontrôle de gestion, définition des instruments de gestion, les ins-truments prévisionnels); Qualité ISO (contexte et concepts de base,types de certificats, les 20 clauses de qualité de ISO 9000); Auditinterne (définition, les normes générales, analyse de trois types demissions possibles); Révision externe (le rapport du réviseur d'en-treprise, true and fair view); Contrôle interne (problèmes causés parles facteurs internes et externes, le rapport COSO, contrôle interne,etc.). ORGANISATION: Chambre de Commerce ; 42 39 39-220;www.cc.lu LIEU: Hôtel Sofitel, Luxembourg-Kirchberg INS-CRIPTION: 140 Euro.

PRATIQUE ET ENJEUX DES ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉSDATES: 30/06 et 01/07 PUBLIC: Ce stage s'adresse à toute per-sonne souhaitant lire et analyser les comptes consolidés d'un grou-pe d'entreprises ainsi qu'aux personnes amenées, dans le cadre deleurs fonctions, à apprécier les documents comptables consolidésou à travailler en relation avec le service de consolidation.CONTENU: Sensibiliser les participants sur les exigences de qua-lité et de fiabilité auxquelles doivent répondre les informationsfinancières et comptables consolidées; Présenter la consolidationcomme un outil essentiel de gestion interne, de contrôle externe etde communication; Permettre aux participants d'approfondir leursconnaissances sur les méthodes et techniques de consolidation et deconfronter leurs pratiques en la matière. ORGANISATION:OLAP, Office Luxembourgeois pour l'Accroissement de laProductivité a.s.b.l.; 48 98 48-1; [email protected];www.olap.lu LIEU: OLAP; 17, boulevard Royal; LuxembourgINSCRIPTION: 320 Euro.

FORMATIONS APPLEDATES: à partir du 10/06 PUBLIC: En fonction des formationsCONTENU: PowerPoint X (le 10 et 11/06); Word X: les bases (le 12et 13/06); Excel X: avancé (le 26 et 27/06) ORGANISATION:Telindus; 53 28 201 (Marie-Christine Henry ou Fabienne François);www.formation.telindus.lu LIEU: Telindus; 2, rue des Mines – L-4244 Esch-sur-Alzette INSCRIPTION: 400 Euro.

ET FINANCES

ECONOMIE ET FINANCESDATES: à partir du 20/05 PUBLIC: en fonction du thème du sémi-naire CONTENU: Introduction aux normes comptables internatio-nales, les normes IAS, 1ère session (20/05); Indicateurs économiqueset taux d'intérêts, 1ère session (le 05/06); Les options: fondements etutilisation (le 13/06). ORGANISATION: Chambre des EmployésPrivés, 44 01 91-600; www.cepl.lu LIEU: Chambre des EmployésPrivés, 13 rue de Bragance - L-1255 Luxembourg INSCRIPTION:125 et 200 Euro.

FORMATIONS TECHNIQUES "FINANCES" INTER-ENTREPRISESDATES: à partir du 20/05 PUBLIC: En fonction du thème du sémi-naire. CONTENU: TVA sur la circulation des biens (TVA commer-ciale) (20/05); Comptes consolidés (20/05); Aspects opérationnels dela gestion de sociétés holding et de SOPARFI (22 et 23/05); Respectdes restrictions d'investissement (le 03 et 04/06); Analyse et attribu-tion de performance de fonds d'investissement (04/06) Directive euro-péenne "UCITS III": vue d'ensemble et implications pratiques(19/06). ORGANISATION: PwC Academy, 49 48 48-4040; [email protected]; www.pwcacademy.lu LIEU:PricewaterhouseCoopers Luxembourg, 400, route d'Esch, L-1471Luxembourg INSCRIPTION: entre 320 et 1.080 Euro HTVA selonformation.

FORMATIONS "FINANCE"DATES: à partir du 23/05 PUBLIC: en fonction de la formationCONTENU: Introduction à la fiscalité bancaire (23/05);Introduction aux aspects légaux des Ressources Humaines (le 02 et03/06); Comment pérenniser son patrimoine européen? (le 05/06);Spécificités comptables des OPC (le 10, 11 et 12/06); TVA et spéci-ficités automobiles (le 12/06); La comptabilité bancaire: module 1 (le12 et 13/06); Introduction aux aspects sociaux et fiscaux desRessources Humaines (le 16 et 17/06); Politique et restrictions d'in-vestissement en matière d'OPC (le 17/06); Les hedge funds (le 26 et27/06). ORGANISATION: Deloitte & Touche DevelopmentCentre, 451 452 556 (Stéphanie Soares) [email protected]; www.deloitte.lu LIEU: Communiqué cinq jours ouvrablesavant le début de la formation. INSCRIPTION: de 550 à 1.320 Euro.

Agenda 057paperJam 06.2003

FORMATIONSSEMINAIRESCOMPTABILITE

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DIVERS

L'ACHAT DE FORMATIONDATES: 19 et 20/05 PUBLIC: Responsables formation, DRH oucollaborateurs chargés d'achat. CONTENU: Ce stage permet defaire le point sur l'ensemble des outils qui doivent être à la disposi-tion du responsable formation pour respecter l'ISO ou, sansrecherche de certification, pour pouvoir assurer les achats de for-mation avec un bon grade de qualité. ORGANISATION:Chambre de Commerce ; 42 39 39-220; www.cc.lu LIEU: HôtelSofitel, Luxembourg-Kirchberg INSCRIPTION: 230 Euro.

LE LANGAGE NON VERBALDATE: 19/05 PUBLIC: "Monsieur et Madame Tout le Monde"en société, au vendeur… et au client, à ceux qui mènent desréunions… bref, à tous le monde. CONTENU: Importance dulangage non verbal; Le contexte, la culture, notions de kinésique etde proxémique; Le territoire, les contacts; Le look; Les gestes, lessignes; etc. ORGANISATION: OLAP, Office Luxembourgeoispour l'Accroissement de la Productivité a.s.b.l.; 48 98 48-1;[email protected]; www.olap.lu LIEU: OLAP; 17, boule-vard Royal; Luxembourg INSCRIPTION: 160 Euro.

AFFIRMEZ-VOUS AU QUOTIDIENDATES: 19 et 20/05 PUBLIC: Toute personne désireuse de sedonner le choix dans ses comportements. CONTENU: Ce sémi-naire a pour objectifs de vous affirmer en toutes occasions, d'éta-blir des relations positives avec votre environnement, de faire faceaux comportements négatifs et de traiter efficacement les désac-cords. ORGANISATION: OLAP, Office Luxembourgeois pourl'Accroissement de la Productivité a.s.b.l.; 48 98 48-1; [email protected]; www.olap.lu LIEU: OLAP; 17, boulevard Royal;Luxembourg INSCRIPTION: 320 Euro.

DÉVELOPPEMENT PERSONNEL ET PROFESSIONNELDATES: à partir du 19/05 PUBLIC: en fonction du thème duséminaire CONTENU: Espérer dans l'homme – Améliorer votrecréativité (du 19 au 21/05); Sicheres Auftreten auf glattem Parkett(le 03 et 04/06); La conduite de réunion (le 11 et 12/06); Rhetorik– sprechen, vortragen, überzeugen (le 27/06) ORGANISATION:Chambre des Employés Privés, 44 01 91-600; www.cepl.lu LIEU:Chambre des Employés Privés, 13 rue de Bragance - L-1255Luxembourg INSCRIPTION: de 80 à 400 Euro.

LE HARCÈLEMENT MORAL EN ENTREPRISEDATES: 21/05 PUBLIC: Managers, responsables desRessources Humaines. CONTENU: Les différentes formes deharcèlement; les moyens utilisés lors du harcèlement; les consé-quences du harcèlement sur un salarié; la législation et la jurispru-dence; le management et le harcèlement. ORGANISATION:OLAP, Office Luxembourgeois pour l'Accroissement de laProductivité a.s.b.l.; 48 98 48-1; [email protected];www.olap.lu LIEU: OLAP; 17, boulevard Royal; LuxembourgINSCRIPTION: 1000 Euro.

Agenda058 paperJam 06.2003

EXTERNES UND INTERNESBRANDSCHUTZ MANAGEMENT (TERMIN I)DATE: 04/06 PUBLIC: Alle Unternehmen und Institutionen.

CONTENU: Allgemeine Grundlagen zu Bränden und

Explosionen; Vorgaben der Luxemburger Feuerwehren; Rechtliche

Hintergründe zur Erstellung solcher Pläne; Gründe zur Erstellung

der diversen Pläne; Zu erstellende Pläne und jeweilige Planinhalte;

Vorgaben zur Erstellung und Verteilung solcher Pläne; Beispiele.

ORGANISATION: Chambre de Commerce ; 42 39 39-220;

www.cc.lu LIEU: Hôtel Sofitel, Luxembourg-Kirchberg INS-CRIPTION: 140 Euro.

GESTION DU TEMPSDATEs: 12 et 13/06 PUBLIC: Managers, cadres, chefs de projets,

experts techniques, commerciaux ou administratifs. CONTENU:Notions en relation avec la gestion du temps; augmenter sa perfor-

mance par une meilleure organisation du temps; hiérarchiser ses

priorités – Urgence et importance; des idées pour gagner du temps;

le plan d'action personnel. ORGANISATION: Chambre de

Commerce ; 42 39 39-220; www.cc.lu LIEU: Hôtel Sofitel,

Luxembourg-Kirchberg INSCRIPTION: 230 Euro.

TECHNIQUES DE PRÉSENTATIONDATE: 12 et 13/06 PUBLIC: Managers, cadres, chefs de projets.

CONTENU: Les étapes de la préparation d'un discours (le sujet, le

public et l'objectif visé; choix des arguments et des supports visuels;

introduction, corps du discours et conclusion); Présentation du dis-

cours selon sa nature et ses objectifs (les types de discours; les

modes de présentation); S'exprimer face à son public (les facteurs

verbaux; le comportement non verbal); Comment remédier au trac?

ORGANISATION: Chambre de Commerce ; 42 39 39-220;

www.cc.lu LIEU: Hôtel Sofitel, Luxembourg-Kirchberg INS-CRIPTION: 230 Euro.

LA RÉDACTION GRAPHIQUE DES PROCÉDURESDATE: 13/06 PUBLIC: Responsables Qualité, responsables de

processus. CONTENU: Apprendre à rédiger des documents adap-

tés; savoir organiser le système documentaire; obtenir une vision

synthétique, claire et cohérente des procédures de l'entreprise;

visualiser les relations des clients-fournisseurs internes et externes.

ORGANISATION: OLAP, Office Luxembourgeois pour

l'Accroissement de la Productivité a.s.b.l.; 48 98 48-1; form.conti-

[email protected]; www.olap.lu LIEU: OLAP; 17, boulevard Royal;

Luxembourg INSCRIPTION: 160 Euro.

LA RECONNAISSANCE: POUR UNEMEILLEURE MOTIVATION DE VOS COLLABORATEURSDATE: Le 16/06 PUBLIC: Managers. CONTENU: Etre capable

de communiquer efficacement avec ses collaborateurs;

Comprendre l'impact de l'envoi de signes de reconnaissance sur la

motivation de ses collaborateurs. ORGANISATION: OLAP,

Office Luxembourgeois pour l'Accroissement de la Productivité

a.s.b.l.; 48 98 48-1; [email protected]; www.olap.lu LIEU:OLAP; 17, boulevard Royal; Luxembourg INSCRIPTION: 160

Euro.

FORMATIONSSEMINAIRES

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Agenda060 paperJam 06.2003

GESTION EFFICACE DU PROCESSUS D'ÉVALUATION DES PERFORMANCESDATE: 17 et 18/06 PUBLIC: Cadre perçu comme un acteur clé dansun projet d'entreprise. CONTENU: Stratégie et valeur (éthique); rôleset responsabilités; politiques, processus et procédures; relations inter-personnelles. ORGANISATION: PwC Academy, 49 48 48-4040;[email protected]; www.pwcacademy.lu LIEU:PricewaterhouseCoopers Luxembourg, 400, route d'Esch, L-1471Luxembourg INSCRIPTION: 735 Euro HTVA.

LE TRAITEMENT DES PLAINTES DANS LA RELATION À LA CLIENTÈLEDATES: 24 et 25/06 PUBLIC: Tout membre du personnel suscep-tible d'être en contact direct avec la clientèle et dont le savoir-être peutcontribuer à l'image de marque et de professionnalisme de l'entrepri-se. CONTENU: L'analyse des facteurs influençant le traitement desplaintes; L'inventaire des causes d'insatisfaction de la clientèle; Savoirgérer les différentes formes de réparation d'un préjudice; Savoir être àl'écoute des faits et être emphatique; Le logigramme de l'intervention,quelle action, qui la coordonne, qui l'exécute; La confiance en soi etla connaissance du produit pour une maîtrise de la situation. ORGA-NISATION: OLAP, Office Luxembourgeois pour l'Accroissementde la Productivité a.s.b.l.; 48 98 48-1; [email protected];www.olap.lu LIEU: OLAP; 17, boulevard Royal; Luxembourg INS-CRIPTION: 320 Euro.

IT

FORMATIONS INFORMATIQUES MICROSOFTLANGAGES & DEVELOPMENTDATES: à partir du 19/05 PUBLIC: En fonction des formationsCONTENU: Microsoft Visual Basic.NET pour les développeursVisual Basic (du 19 au 23/05); Programmation Microsoft Access2002 (du 26 au 28/05); Programmation XML dans l'environnementMicrosoft.NET Framework (du 26 au 28/05); Développement d'ap-plications Microsoft.NET pour Windows (Visual Basic .NET) (du 26au 28/05); Programmation en C# (du 02 au 06/06); Création d'appli-cations pour le Web XML (du 02 au 06/06); Développement de ser-vices Web avec Microsoft Visual Studio.NET (du 10 au 12/06);Programmation de Microsoft .NET Framework avec Visual Basic.NET (du 16 au 20/06); Développement d'applications Web MicrosoftASP.NET à l'aide de Visual Studio.NET (du 16 au 20/06);Développement de solutions Microsoft Office 2000: spécialisation(du 30/06 au 04/07). ORGANISATION: Telindus; 53 28 201(Marie-Christine Henry ou Fabienne François); www.formation.telin-dus.lu LIEU: Telindus, 2, rue des Mines - L-4244 Esch/Alzette INS-CRIPTION: de 960 à 1.600 Euro.

NOUVELLES TECHNOLOGIES DE L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATIONDATES: à partir du 19/05 PUBLIC: en fonction du thème du sémi-naire CONTENU: Elaborez vos documents avec Publisher (19 et20/05); Calculs multi-feuilles et multi-fichiers dans Excel (le 03/06);Initiation à Microsoft Project (le 30/06 et le 01/07). ORGANISA-TION: Chambre des Employés Privés, 44 01 91-600; www.cepl.luLIEU: Chambre des Employés Privés, 13 rue de Bragance - L-1255Luxembourg INSCRIPTION: 125 et 250 Euro.

GESTERN MITARBEITER – HEUTE FÜHRUNGSKRAFT (TERMIN I)DATE: 19 und 20/06 PUBLIC: Mitarbeiter, die auf eineFührungsaufgabe vorbereitet werden sollen, sowie Führungskraft,die ihr Führungsinstrumentarium überprüfen wollen. CONTENU:Die Ziele des Unternehmens im Markt von heute und morgen;Führen heute; Führungsqualifikation; Sich selbst führen: Ziele undPlanung; Instrument der Führung. ORGANISATION: Chambrede Commerce ; 42 39 39-220; www.cc.lu LIEU: Hôtel Sofitel,Luxembourg-Kirchberg INSCRIPTION: 230 Euro.

TECHNIQUES DE LECTURE RAPIDEDATE: 19 et 20/06 PUBLIC: Tout public. CONTENU:Comment lire plus vite et retenir ce qu'on dit?; La perception dutexte: le mot, le champ de vision, l'habileté visuelle; Les obstaclesà la lecture rapide, à la compréhension et à la mémorisation;Adapter sa lecture à la nature du document; Les stratégies de lec-tures; Les critères de maturité dans la lecture; L'entraînement inten-sif. ORGANISATION: Chambre de Commerce ; 42 39 39-220;www.cc.lu LIEU: Hôtel Sofitel, Luxembourg-Kirchberg INS-CRIPTION: 230 Euro.

SECRÉTAIRES D'AUJOURD'HUIDATES: 21, 22 et 23/05 PUBLIC: Personnes travaillant dans unsecrétariat: Assistant(e)s, secrétaires de direction,collaboratrices/eurs de dirigeants et cadres dirigeants. CONTENU:Rôle et fonction de la/du secrétaire; Efficacité personnelle de la/dusecrétaire; Attitudes et comportement de la/du secrétaire dans l'en-treprise; La/le secrétaire et les relations extérieures. ORGANISA-TION: OLAP, Office Luxembourgeois pour l'Accroissement de laProductivité a.s.b.l.; 48 98 48-1; [email protected];www.olap.lu LIEU: OLAP; 17, boulevard Royal; LuxembourgINSCRIPTION: 480 Euro.

ASSISTANTES DE DIRECTION: MAÎTRISEZAVEC AISANCE LA DIVERSITÉ DE VOTREFONCTION (SESSION I)DATE: 05, 06 et 27/06 PUBLIC: Secrétaires et assistant(e)s dedirection assurant le secrétariat d'un dirigeant, d'un cadre de direc-tion opérationnelle ou fonctionnelle ou auprès d'un directeur d'en-treprise. CONTENU: L'importance du rôle de la/du secrétaire dedirection et les conséquences de ses actions; analyse de la façon decommuniquer et d'aborder les différentes approches relationnelles;organisation par rapport à l'emploi du temps et la gestion des prio-rités; management d'une équipe dont on n'est pas toujours respon-sable. ORGANISATION: Chambre de Commerce ; 42 39 39-220;www.cc.lu LIEU: Hôtel Sofitel, Luxembourg-Kirchberg INS-CRIPTION: 350 Euro.

GESTION EFFICACE DU PROCESSUS D'ÉVALUATION DES PERFORMANCESDATE: 06/06 PUBLIC: Cadre ou collaborateur amené à prendrerégulièrement la parole au cours de réunions, présentations, comi-tés de direction, conseils d'administration, cocktails,... CONTE-NU: Identification et maîtrise des tics verbaux et comportemen-taux; utilisation efficace de supports; travail de la gestuelle et del'élocution; gestion de la donnée "temps"; renforcement de l'imagede soi; etc.. ORGANISATION: PwC Academy, 49 48 48-4040;[email protected]; www.pwcacademy.lu LIEU:PricewaterhouseCoopers Luxembourg, 400, route d'Esch, L-1471Luxembourg INSCRIPTION: 490 Euro HTVA.

FORMATIONSSEMINAIRES

pj_1_actu.qxd 06.05.2003 16:27 Uhr Seite 060

FORMATIONS INFORMATIQUESLOTUS NOTESDATES: à partir du 19/05 PUBLIC: selon formation CONTE-NU: Lotus Notes 5: utilisateurs (19/05); Maintenance d'une infra-structure serveur et utilisateurs Domino v.5 (du 02 au 06/06);Principes de base de Domino Designer 6 (du 10 au 13/06);Principes de base de Domino Designer, Sécurité, Workflow dansles applications Domino v.5 (du 16 au 20/06); Explorer les nou-velles fonctionnalités d'administration de Lotus Domino 6 (le 24 et25/06); Implémentation et maintenance d'une infrastructureDomino v.5 (du 30/06 au 04/07). ORGANISATION: Telindus; 5328 201 (Marie-Christine Henry ou Fabienne François); www.for-mation.telindus.lu LIEU: Telindus, 2, rue des Mines - L-4244Esch/Alzette INSCRIPTION: de 200 à 1.750 Euro.

FORMATIONS INFORMATIQUES MICROSOFT BACK OFFICEDATES: à partir du 19/05 PUBLIC: selon formation CONTE-NU: Implémentation et gestion de Microsoft Exchange 2000 (du19 au 23/05); Conception de solutions de gestion des connaissancesavec SharePoint Portal Server (du 20 au 22/05); Création d'applica-tions XML avec Microsoft SQL 2000 (du 02 au 04/06);Programmation d'une base de données SQL Server 2000 (du 02 au06/06); Déploiement et gestion de Microsoft ISA (Internet SecurityAcceleration) Serveur 2000 (du 04 au 06/06); Conception etimplémentation de solutions OLAP à l'aide de SQL Server 2000(du 16 au 20/06); Conception et remplissage d'un Data Warehouseavec Microsoft SQL 2000 Server 2000 (du 16 au 20/06); SQLServer 2000: administration (du 30/06 au 04/07). ORGANISA-TION: Telindus; 53 28 201 (Marie-Christine Henry ou FabienneFrançois); www.formation.telindus.lu LIEU: Telindus, 2, rue desMines - L-4244 Esch/Alzette INSCRIPTION: de 960 à 1.600Euro.

FORMATIONS INFORMATIQUES CITRIXDATES: à partir du 19/05 PUBLIC: selon formation CONTE-NU: Metaframe XP administration base, avancée, NFUSE (du 19au 23/05 et du 16 au 20/06) ORGANISATION: Telindus; 53 28201 (Marie-Christine Henry ou Fabienne François); www.forma-tion.telindus.lu LIEU: Telindus, 2, rue des Mines - L-4244Esch/Alzette INSCRIPTION: 1.800 Euro.

FORMATIONS INFORMATIQUES TÉLÉCOMSDATES: à partir du 26/05 PUBLIC: selon formation CONTE-NU: Introduction à la sécurité informatique (26, 27/05); Sécuritéapprofondie des systèmes d'information (les 11 et 12/06); LANessentiel (le 16/06); TCP/IP essentiel (le 17 et 18/06); Etat de l'artde la sécurité des systèmes d'information (le 24 et 25/06); VPNFirewall – 1/Management – ING (du 30/06 au 01/07); BuildingCisco Multilayer Switched Networks (du 30/06 au 04/07). ORGA-NISATION: Telindus; 53 28 201 (Marie-Christine Henry ouFabienne François); www.formation.telindus.lu LIEU: Telindus, 2,rue des Mines - L-4244 Esch/Alzette INSCRIPTION: de 565 à2.300 Euro.

FORMATIONS CRP GABRIEL LIPPMANNDATES: à partir du 19/05 PUBLIC: en fonction des formations

CONTENU: Visual Basic for Applications (VBA) appliqué à

Excel (19 et 20/05); Introduction au Unified Modeling Language

(UML) (21 et 22/05); Introduction à XML (le 12 et 13/06).

ORGANISATION: Centre de Recherche public – Gabriel

Lippmann, 47 02 61-648, [email protected], www.crpgl.lu/for-

mations LIEU: CRP Gabriel Lippmann, 62a avenue de la

Faïencerie, Luxembourg INSCRIPTION: de 137 à 186 Euro en

fonction des formations et du nombre de participants.

FORMATIONS SPIRAL DATES: à partir du 19/05 PUBLIC: en fonction des formations

CONTENU: Processus de gestion de projet: mise en œuvre et

amélioration continue (le 19 et 20/05); Choix stratégiques et

conception d'un business plan (le 22 et 23/05); Contrôle IT (ITIL)

en français plus examen récapitulatif (du 02 au 04/06); Le SPC

(Stastical Process Control) (le 03 et 04/06); Analyse et spécifica-

tion de transactions e-business (le 11 et 12/06); Jeu d'entreprise (le

11, 12, 13 et 30/06); Initialiser une démarche d'amélioration de

processus (le 19/06); Conduire une stratégie informatique (métho-

de CASSIS) (du 24 au 26/06); Critères communs: ISO 15408 (le

25 et 26/06); L'AMDEC (Analyse des Modes de Défaillance et de

leur Effet et de leur Criticité) (le 25 et 26/06) ORGANISATION:CRP Henri Tudor, 42 59 91 350 (Gaëlle Belenchia); spiral@spi-

ral.lu LIEU: CRP Henri Tudor Technoport Schlassgoart à Esch-

sur-Alzette INSCRIPTION: Entre 400 et 1.100 Euro.

FORMATIONS PRISMEDATES: à partir du 19/05 PUBLIC: en fonction des formations

CONTENU: Communication et relations publiques sut Internet

(19/05); Usages et intérêts des outils de gestion de la relation client

(CRM) (20/05); Cyber Marketing: L'email Marketing (02/06);

Gérer un projet e-business (10/06); Stratégie d'entreprise et e-busi-

ness (18/06). ORGANISATION: CRP Henri Tudor 42 59 91-436

(Solange Wirtz), [email protected] LIEU: CRP Henri Tudor,

Technoport Schlassgoart à Esch-sur-Alzette INSCRIPTION: De

100 à 175 Euro selon formation.

FORMATIONS INFORMATIQUES LINUXDATES: à partir du 19/05 PUBLIC: selon formation CONTE-NU: Linux pour utilisateurs (19, 20/05); Administration du réseau

d'entreprise (du 19 au 23/05); Les atouts d'une solution Linux (le

02/06); Linux Essentiel (du 03 au 06/06); Administration de réseau

et de la sécurité (du 10 au 13/06); Administration de serveurs (du

16 au 20/06); Linux administration système (du 16 au 20/06).

ORGANISATION: Telindus; 53 28 201 (Marie-Christine Henry

ou Fabienne François); www.formation.telindus.lu LIEU:Telindus, 2, rue des Mines - L-4244 Esch/Alzette INSCRIP-TION: de 320 à 1.900 Euro.

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ganiser? (le 06/06); La prévention sociale et policière de la crimi-

nalité (le 11 et 12/06); Méthode de résolution de problèmes, M.R.P.

(du 24 et 26/06); La gestion de projet (du 25 au 27/06); Introduction

à l'audit informatique, 1ere session (le 25 et 26/06). ORGANISA-TION: Chambre des Employés Privés, 44 01 91-600; www.cepl.lu

LIEU: Chambre des Employés Privés, 13 rue de Bragance - L-

1255 Luxembourg INSCRIPTION: de 125 à 375 Euro.

MANAGEEMNT TRAINING COURSESDATES: à partir du 19/05 PUBLIC: en fonction du thème du

séminaire CONTENU: Negotiating the Win-Win (le 19 et 20/05);

Finance for non-financial managers (le 05 et 06/06); Personal effec-

tiveness and assertiveness (le 12 et 13/06) ORGANISATION:fast/IFBL, Robert Bast, 46 50 16, [email protected] LIEU: fast, 34 ave-

nue Victor Hugo, L-1750 Luxembourg INSCRIPTION: 400 Euro.

GESTION DES RESSOURCES HUMAINES ET FORMATIONDATES: à partir du 19/05 PUBLIC: en fonction du thème du

séminaire CONTENU: Bildungsmanagement und

Personalentwicklung effizient planen, steuern und kontrollieren (19

et 20/05); Mesurer la création de valeur du capital humain grâce au

tableaux de bord RH, 1ère session (21/05); Der Wunderwuzzi –

Wiefinde und halte ich den/die richtide(n) Mitarbeiter(in) (22 et

23/05); Schon wieder ein Meeting! Besprechungen erfolgreich

moderienen (26 et 27/05); Manager la performance de votre équi-

pe, 2e session (le 03 et 04/06); Formation de formateur occasionnel

(le 04 et 05/06); Réussir la gestion des emplois et le management

par les compétences (le 12 et 13/06) ORGANISATION: Chambre

des Employés Privés, 44 01 91-600; www.cepl.lu LIEU: Chambre

des Employés Privés, 13 rue de Bragance - L-1255 Luxembourg

INSCRIPTION: de 125 à 250 Euro.

INTRODUIRE L'E-LEARNINGCOMME OUTIL DE FORMATIONDANS L'ENTREPRISEDATE: Le 21/05 PUBLIC: Managers et responsables des services

de formation, chargés de mission formation, etc. CONTENU:Avantages et inconvénients de l'e-learning en entreprise; La

démarche d'implantation d'un projet d'e-learning; Les outils e-lear-

ning existants. ORGANISATION: OLAP, Office

Luxembourgeois pour l'Accroissement de la Productivité a.s.b.l.; 48

98 48-1; [email protected]; www.olap.lu LIEU: OLAP; 17,

boulevard Royal; Luxembourg INSCRIPTION: 100 Euro.

COMMENT MANAGER LA QUALITÉ DE LA FORMATION?DATE: 22/05 PUBLIC: Responsables formation, DRH ou colla-

borateurs chargés de la formation CONTENU: Les conditions d'ef-

ficacité de la formation; les postulats de la démarche assurance qua-

lité de la formation; les acteurs de la qualité de la formation; les

ingénieries à développer pour l'attente de la qualité; les différents

types d'objectifs à distinguer en matière de formation; les différents

contrats à prévoir dans une démarche qualité; la mise en place des

modalités de contrôle, la mesure des effets; les indicateurs appro-

priés; les conditions de réussite. ORGANISATION: Chambre de

Commerce ; 42 39 39-220; www.cc.lu LIEU: Hôtel Sofitel,

Luxembourg-Kirchberg INSCRIPTION: 140 Euro.

FORMATIONS INTERNETDATES: à partir du 10/06 PUBLIC: selon formation CONTE-NU: Les technologies XML: notions fondamentales (XML,XSLT; XSD; Xpath; Xpointer, etc.) (du 10 au 13/06); HTML:HTML, XHTML, CSS, etc. (du 24 au 26/06); MacromédiaDreamweaver MX (du 30/06 au 02/07) ORGANISATION:Telindus; 53 28 201 (Marie-Christine Henry ou FabienneFrançois); www.formation.telindus.lu LIEU: Telindus, 2, rue desMines - L-4244 Esch/Alzette INSCRIPTION: de 750 à 1.000Euro.

POLITIQUE DE SÉCURITÉ IT – APPROCHE NORMATIVEDATE: 12/06 PUBLIC: Responsable informatique, responsablesécurité des systèmes d'informations, "Risk managers", auditeursinternes. CONTENU: Introduction aux normes de sécurité (inven-taire des principales normes et références existantes, contexte d'uti-lisation), étapes principales de mise en place d'une politique desécurité (diagnostic de la situation existante, définition de l'éten-due, analyse de risque, sélections des modules à couvrir,etc.).ORGANISATION: PwC Academy, 49 48 48-4040; [email protected]; www.pwcacademy.lu LIEU:PricewaterhouseCoopers Luxembourg, 400, route d'Esch, L-1471Luxembourg INSCRIPTION: 600 Euro HTVA.

FORMATIONS INFORMATIQUES NOVELLDATES: à partir du 16/06 PUBLIC: selon formation CONTE-NU: Netware 5.1: administration (du 16 au 20/06); Mise à jourvers Netware 6 (du 30/06 au 04/07); Netware 5.1: administrationavancée (du 30/06 au 04/07) ORGANISATION: Telindus; 53 28201 (Marie-Christine Henry ou Fabienne François); www.forma-tion.telindus.lu LIEU: Telindus, 2, rue des Mines - L-4244Esch/Alzette INSCRIPTION: 1.900 Euro.

COMMENT RÉUSSIR LA CONCEPTIOND'UN SITE INTERNET QUI FAIT VENDRE?DATES: 17/06 PUBLIC: Responsables du service marketing, dela communication externe et du service commercial. Concepteursde sites web et patrons de PME désireux de concevoir ou de modi-fier leur propre site web. CONTENU: Quelle est la place d'un siteInternet? Comment finir les objectifs d'un site Internet? Commentconstruit-on une arborescence? Comment définir le contenu?Comment rédiger? Quel est l'enjeu du référencement? Commentdévelopper un site? Quid des mises à jour et de l'actualisation dusite?. ORGANISATION: OLAP, Office Luxembourgeois pourl'Accroissement de la Productivité a.s.b.l.; 48 98 48-1; [email protected]; www.olap.lu LIEU: OLAP; 17, boulevard Royal;Luxembourg INSCRIPTION: 160 Euro.

MANAGEMENT

MANAGEMENT ET QUALITÉDATES: à partir du 19/05 PUBLIC: en fonction du thème du

séminaire CONTENU: Evaluer le niveau d'excellence d'une orga-

nisation (19/05); La mesure de satisfaction du personnel (le 04/06);

La communication de crise: comment l'anticiper et comment l'or-

Agenda062 paperJam 06.2003

FORMATIONSSEMINAIRES

pj_1_actu.qxd 07.05.2003 13:24 Uhr Seite 062

48 98 48-1; [email protected]; www.olap.lu LIEU: OLAP;17, boulevard Royal; Luxembourg INSCRIPTION: 320 Euro.

LA CRÉATION ET LA GESTION D'UNEÉQUIPEDATE: Le 02 et 03/06 PUBLIC: Toute personne concernée par lemanagement et l'encadrement d'une équipe. CONTENU:Améliorer la communication (horizontale et verticale); Développerun langage commun et porteur de sens; intégrer les différentsniveaux de développement de l'équipe; Mettre en lumière l'équipeidéale et poser les actions permettant de la vivre; Adhérer au nou-veau management. ORGANISATION: OLAP, OfficeLuxembourgeois pour l'Accroissement de la Productivité a.s.b.l.;48 98 48-1; [email protected]; www.olap.lu LIEU: OLAP;17, boulevard Royal; Luxembourg INSCRIPTION: 320 Euro.

BUSINESS CONTINUITY : L'ANALYSE DES RISQUES DE A À ZDATE : Le 03/06 PUBLIC : Décideurs, ResponsablesInformatiques, Chefs de Projets, Analystes, Développeurs,Auditeurs Internes, Responsables et Chargés de SécuritéInformatique, Responsables de la Continuité des AffairesCONTENU : Les objectifs stratégiques de l’entreprise dépendentde la fiabilité des systèmes d’information et de la maîtrise de lasécurité. Une étape fondamentale doit être franchie avant d’at-teindre ce cap : l’analyse des risques. Cette démarche permet audécideur non seulement de justifier ses investissements en matièrede sécurité mais aussi de concevoir une solution optimale et per-formante. Ce cour dresse un inventaire complet de la démarched’analyse des risques, des concepts fondamentaux aux méthodesélaborées de Risk Management, de la mise en place des moyens degestion du risques et des outils (Mehari, Cramm, eBIOS,…).ORGANISATION : eBRC, e-Business & Recovery Centre,Christelle Amodio, 26 06 21 13, [email protected],www.e-training.lu www.e-training.lu LIEU : eBRC, 5 rue EugèneRuppert, L-2453 Luxembourg INSCRIPTION : 550 Euro.

MISE EN PLACE D'UNE POLITIQUE DE SECURITE EFFICACE DATE : Le 19/06 PUBLIC : Les responsables de la sécurité dessystèmes d’information, Les responsables informatique en chargede la sécurité informatique, Les auditeurs CONTENU : La poli-tique de sécurité est la pierre angulaire de toute démarche straté-gique en matière de sécurité. Elle définie les lignes directrices et lesstandards de référence qui guideront l’entreprise vers un déploie-ment efficace et cohérent de la sécurité. L'objectif de ce cours estd'apprendre à gérer toutes les notions liées à la sécurité des sys-tèmes d’information et à leur mise en œuvre dans l’organisation autravers des politiques de sécurité. ORGANISATION : eBRC, e-Business & Recovery Centre, Christelle Amodio, 26 06 21 13,[email protected], www.e-training.lu LIEU : eBRC, 5 rueEugène Ruppert, L-2453 Luxembourg INSCRIPTION : 550Euro.

CONTINUITÉ DES AFFAIRESDATES: à partir du 22/05. PUBLIC: en fonction du thème duséminaire. CONTENU: Developping & Implementing a BusinessContinuity Strategy (du 22 au 23/05); Petit déjeuner: Gérer lessituations de crises avec les autorités. ORGANISATION: eBRC,Christelle Amodio, 26 06 21 13, www.e-training.lu LIEU: eBRC,5 rue Eugène Ruppert, L-2453 Luxembourg INSCRIPTION:550 Euro par jour, tarif dégressif pour les participants d'une mêmeentreprise.

GESTION EFFICACE DU PROCESSUS D'ÉVALUATION DES PERFORMANCESDATE: 02/06 PUBLIC: Responsable ou membre du départementdes ressources humaines; cadre ou collaborateur occupant unefonction d'encadrement d'équipe. CONTENU: Questionnementsur la pertinence du processus; définition des "workflows"; défini-tion des critères retenus pour l'évaluation des performances; ges-tion des entretiens d'évaluation; simulation.ORGANISATION:PwC Academy, 49 48 48-4040; [email protected];www.pwcacademy.lu LIEU: PricewaterhouseCoopersLuxembourg, 400, route d'Esch, L-1471 Luxembourg INSCRIP-TION: 570 Euro HTVA.

FORMATIONS MANAGEMENT DANS LESPMEDATE: à partir du 02/06 PUBLIC: en fonction du thème de laformation CONTENU: Gestion des conflits (le 02/06);Retravailler = favoriser l'accès des femmes à l'emploi (le 02, 03 et04/06); Le téléphone sonne, il n'y a jamais personne quirépond…Téléphoner pour le bien de l'image de l'entreprise (le 05et 06/06); Les nouveaux rôles du manager (le 10 et 11/06 et le 07et 08/07); Droit contractuel (le 17 et 19/06); Comprendre etdéclencher la motivation (le 30/06, le 01 et le 08/07) ORGANI-SATION: Chambre des Métiers, 2, circuit de la FoireInternationale Luxembourg-Kirchberg, 42 67 67-1,[email protected], www.cdm.lu LIEU: Centre deFormation de la Chambre des Métiers INSCRIPTION: de 75 à200 Euro.

PERSONAL GEZIELT UND EFFIZIENT ENTWICKELNDATE: Le 02 et 03/06 PUBLIC: Leitende Mitarbeiter,Personalverantwortliche, Betriebsinhaber. CONTENU:Kontextanalyse: Bildungsbedarf aus dem Umfeld ableiten;Betriebsanalyse: Arbeitsplatzbeschreibung und Kompetenzenabgleichen; Überblick: Methoden der Bedarfsermittlung;Auswertung der Analyse und Umsetzung in einBildungsprogramm; Bedeutung von Lernkultur und lernenderOrganisation; Systemischer Blickwinkel: Personal- undOrganisationsentwicklung; Interne Kommunikation: Angebot undNachfrage steuern; Evaluation von Bildungsprozessen einrichten -Bildungscontrolling. ORGANISATION: OLAP, OfficeLuxembourgeois pour l'Accroissement de la Productivité a.s.b.l.;

Agenda 063paperJam 06.2003

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Agenda064 paperJam 06.2003

LA GESTION DE PROJETDATE: Le 19 et 20/06 PUBLIC: Managers, professions libérales,commerçants, vendeurs, délégués commerciaux, créateurs et tousresponsables d'entreprise. CONTENU: Approche théorique: lagestion de projet, le management de demain; présupposés et fina-lités de la gestion de projet; difficultés de la mise en place d'unegestion participative; redéfinition de la relation hiérarchique;accentuer le rapport client-fournisseur; critères et missions person-nels; étapes de la gestion de projet; dimensions managériales d'unprojet – approche pratique: mise en situation et conduite d'un mini-projet durant le séminaire; plan d'action individualisé à chaque par-ticipant. ORGANISATION: OLAP, Office Luxembourgeoispour l'Accroissement de la Productivité a.s.b.l.; 48 98 48-1;[email protected]; www.olap.lu LIEU: OLAP; 17, boule-vard Royal; Luxembourg INSCRIPTION: 320 Euro.

COMMENT RECRUTER DES COLLABORATEURS EFFICACESDATE: Le 24 et 25/06 PUBLIC: Chefs d'entreprises, cadres diri-geants, responsables et collaborateurs du Service du Personnel /Gestion des ressources humaines. CONTENU: La préparation(L’analyse des différents systèmes et techniques de recrutement; Ladescription et spécification du profil et du poste); Les sources derecrutement (Les sources intérieures; Les sources extérieures; Lesréférences); La sélection (La lettre d’accompagnement et le curri-culum vitae; L’entretien de la sélection; Les tests psychotech-niques; La discussion de groupe; La sélection médicale);L'engagement (Le contrat à l’essai et son évolution; L’accueil, lesuivi, la formation, dès l’engagement,...); Exercices (La rédactionet l’interprétation d’annonces-presse; L’interprétation du CV et dela lettre d’accompagnement); Les entretiens de sélection. ORGA-NISATION: OLAP, Office Luxembourgeois pourl'Accroissement de la Productivité a.s.b.l.; 48 98 48-1; [email protected]; www.olap.lu LIEU: OLAP; 17, boulevard Royal;Luxembourg INSCRIPTION: 320 Euro.

CURSUS PMI/PMP : MANAGER LES PROJETS DATE: du 25 au 27/06 PUBLIC: Chefs de Projets, ResponsablesProjets ou toute partie prenante d'un projet CONTENU: Cette for-mation, produit phare du programme PMP, couvre les domaines deconnaissance du management du PMBOK (Project ManagementBody of Knowledge) et permet aux participants de bien com-prendre les méthodes de management de projet et d'acquérir lesconnaissances fondamentales, l'expérience, les techniques et lesoutils nécessaires pour manager un projet tout au long de son cyclede vie. Cette session introduit aux techniques de mise en oeuvre deprojet les efficaces. ORGANISATION: eBRC/PMGS, ChristelleAmodio, 26 06 21 13, [email protected], www.e-trai-ning.lu LIEU: eBRC, 5 rue Eugène Ruppert, L-2453 LuxembourgINSCRIPTION: 1800 Euro.

KONFLIKTMANAGEMENT IMUNTERNEHMENSALLTAGDATE: Le 26/06 PUBLIC: Fach- und Führungskräfte allerUnternehmensbereiche, die durch angemessene Einstellungen undVerhaltensweisen selbstbewusst, reibungsarm und konstruktiv mitKunden, Mitarbeitern, Kollegen und Vorgesetzten zusammenar-beiten wollen. CONTENU: Konflikt-Angst: Ursachen undAuswirkungen; Konfliktbewältigungsstrategien; Dauerhafte

Konfliktlösung durch Konsens ("Win-Win-Strategie");Wirkungsweise; Erforderliche Grundeinstellungen; Bausteine zurRealisierung; Zwischen Person und Sache unterscheiden;Vorgehensziele und –schritte vereinbaren; Zuerst über Interessenstatt über Positionen verhandeln; Durch veränderteWahrnehmungspositionen den Blickwinkel variieren; "Verstehengeht vor Verstandenwerden"; Lösungsoptionen erarbeiten;Gesprächstechniken: Fragen, zuhören, "spiegeln",Argumentationstechniken zur überzeugenden Darstellung dereigenen Position. ORGANISATION: OLAP, OfficeLuxembourgeois pour l'Accroissement de la Productivité a.s.b.l.;48 98 48-1; [email protected]; www.olap.lu LIEU: OLAP;17, boulevard Royal; Luxembourg INSCRIPTION: 160 Euro.

CONFERENCES FORUM

FINANCES

INTÉGREZ LES NOUVEAUX ENJEUX DESNORMES IASDATE: Du 20 au 22/05 PUBLIC: Directeurs comptables, finan-ciers, fiscaux, juridiques, administratifs, généraux, conseillers fis-caux, responsables communication financière, comptables etexperts-comptables CONTENU: Maîtriser les conséquences dunouveau référentiel sur votre communication financière;Comprendre la logique du dispositif des IAS; Réussir votre pro-cessus de conversion; Bénéficier d'une étude pratique et interacti-ve des normes IAS; Intégrer les différentes évolutions susceptiblesd'être votées au cours de l'année 2003; Interpréter concrètement leschangements de règles comptables. ORGANISATION: IIR –(0032)2 776 04 00 – Fax: (0032)2 772 66 84 – e-mail: [email protected] – www.iir.be LIEU: Novotel Luxembourg – Plateaudu Kirchberg – 6, rue du Fort Niedergrünewald INSCRIPTION:1.995 Euro HTVA.

FISCALITÉ DE L'ÉPARGNE EN EUROPEDATE: Le 11 et 12/06 PUBLIC: Directeur financier, fiscal, juri-dique; compliance officer; responsable de fonds d'investissements;responsable de gestion de portefeuille; gestionnaire de fortune;ingénieur de patrimoine; fiscaliste; réviseur d'entreprise; consul-tant; avocat; etc. CONTENU: Bénéficiez du point de vue et del'expérience de différents experts reconnus internationalement;Evaluez l'impact fiscal de la directive sur la rentabilité de vos dif-férents produits d'épargne; Etablissez les procédures internesnécessaires au mécanisme de retenue à la source; Découvrezquelles solutions imaginatives proposer à vos clients après la miseen application de la directive; Prémunissez-vous contre les sanc-tions en cas de non-respect de la directive; Intégrz vos nouvellesresponsabilités en matière de fraude fiscale; Agissez proactive-ment contre le rapatriement des capitaux. ORGANISATION: IIR– (0032)2 776 04 00 – Fax: (0032)2 772 66 84 – e-mail: [email protected] – www.iir.be LIEU: Novotel Luxembourg – Plateaudu Kirchberg – 6, rue du Fort Niedergrünewald INSCRIPTION:1.595 Euro HTVA.

CONFERENCESFORUMCOMPTABILITE ET

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espace concept_03.qxd 02.05.2003 14:01 Uhr Seite 1

Agenda066 paperJam 06.2003

IT

IT SECURITY MANAGERDATE: Du 19 au 23/05 PUBLIC: ICT manager; Security mana-ger; Security officer; Network manager; System manager; EDPmanager; E-business manager. CONTENU: By attending thiscourse you will be able to: Integrate IT security in your businessprocesses; Establish a security policy for your business; Find acompromise between security requirements of your companyand the needs of your business partners; Ensure that your securi-ty policy is not just a piece of paper but a respected part of yourbusiness culture. ORGANISATION: IIR – (0032)2 776 04 00 –Fax: (0032)2 772 66 84 – e-mail: [email protected] –www.iir.be LIEU: Novotel Luxembourg – Plateau du Kirchberg– 6, rue du Fort Niedergrünewald INSCRIPTION: 2.995 EuroHTVA.

QUALITÉ, SÉCURITÉ ET AUDIT INFORMA-TIQUE: LE MONDE DE LA NORMALISA-TION, UNE SOURCE DE CONNAISSANCE?DATE: 23/05 de 14h00 à 19h00 PUBLIC: tout publicCONTENU: Familiarisation avec la normalisation; les normesde sécurité informatique: contenu, intérêts et modes d'utilisation;débat sur le futur de la normalisation au Luxembourg. ORGA-NISATION: Clussil, 42 59 91 206 (Anne Gaspard), [email protected] LIEU: Chambre de Commerce, 31, boulevardKonrad Adenauer, L-2981 Luxembourg INSCRIPTION: 50Euro; gratuite pour les membres du Clussil; 25 Euro pour lesmembres SPIRAL, Mouvement Luxembourgeois de la Qualité etISACA.

CONFÉRENCES SPIRAL DU 12 ET 13 JUIN2003(Voir encadré)

IT LAWDATE: Le 24 et 25/06 PUBLIC: It manager, directeur informa-tique, expert informatique, responsable des systèmes d'informa-tion, informaticien, responsable technique, ICT/IT project mana-ger, directeur juridique, juriste d'entreprise, avocat, chef d'entre-prise, directeur administratif, directeur financier, responsablecommercial…. CONTENU: Négociez et choisissez le contratIT adapté à vos besoins en intégrant les mentions juridiquesindispensables dès la rédaction de votre cahier des charges et devotre appel d'offres; Identifiez les clauses délicates des contratsIT et rédigez-les de manière à verrouiller et sécuriser voscontrats; Mesurez l'étendue de vos droits et responsabilités demême que celle de votre co-contractant; Anticipez les éventuelsproblèmes de preuve pour vos contrats informatiques; Délimitezvotre champ de contrôle en matière de cybersurveillance de vosemployés; Appréhendez les dernières évolutions en matière designature électronique et de certification. ORGANISATION:IIR – (0032)2 776 04 00 – Fax: (0032)2 772 66 84 – e-mail:[email protected] – www.iir.be LIEU: Novotel Luxembourg –Plateau du Kirchberg – 6, rue du Fort Niedergrünewald INS-CRIPTION: 1.525 Euro HTVA.

SALONS ET FOIRESEXPO TECHDATE: le 22/05 de 11h00 à 20h00 PUBLIC: tout publicCONTENU: Au-delà de 80 exposants, fabricants, importa-teurs et distributeurs d'Instrumentation de Mesure et deRégulation, Factory Automation et Hydro/Pneumatique, yexposent leurs produits et leurs services. ORGANISATION:Fairtec SA, Steven Duytschaever, Tél.: +32 (0)3 355 10 97 -Fax: +32 (0)3 354 08 10 - E-mail: [email protected] -www.expotech.lu. LIEU: Parc des expositions de Luxembourgà Luxembourg-Kirchberg �

CONFÉRENCES SPIRAL LES 12 ET 13 JUIN 2003

12/06 EAI & Web Services: les enjeux et perspectives

de l'interopérabilité

La journée du 12 juin met l'interopérabilité à l'honneur, avec un

tour d'horizon des EAI et Services Web. Loin de la polémique, le

programme vise à donner aux professionnels un état de l'art de

chaque domaine et des retours d'expériences qui démontrent que la

solution choisie reste intimement liée au cahier des charges de l'en-

treprise. En clôture de cette première journée, les professionnels

découvriront un nouveau concept : le Semantic Web.

Des stands de professionnels seront en accès libre toute la journée.

13/06 Un pays connecté est-il un pays piraté ?

A l’heure d’une Europe connectée, prônant l’Internet pour tous, les

citoyens comme les entreprises sont de plus en plus reliés à Internet

en permanence, offrant aux "hackers" du monde entier des oppor-

tunités multiples d’intrusion. Quelles menaces représentent ces fai-

blesses pour une nation et quelles mesures pourraient être prises

pour éviter de faire d’un pays connecté un pays piraté ? La matinée

permettra, par une approche technique et législative, de dresser le

tableau des menaces réelles à l'aide de cas pratiques. L'après-midi

s'adressera au grand public, afin de sensibiliser le citoyen à la

nécessité d'une sécurité informatique, et de l'aider à mieux appré-

hender les phénomènes les plus courants de l'Internet : “100% des

PC piratés étaient connectés. Et le vôtre?“

Les conférences Spiral 2003 se dérouleront dans le bâtiment flam-

bant neuf du CRP Henri Tudor 29, avenue John F. Kennedy à

Luxembourg-Kirchberg.

Tarifs et Inscription:

Tarif du 12/06: 400 Euro non membres et 300 Euro pour les

membres du réseaux Spiral, Clussil, MLQ.

Tarif matinée du 13/06: 275 Euro non membres et 225 Euro pour

les membres du Clussil. – Après midi gratuite.

Inscription obligatoire au moyen du bulletin d'inscription à

demander à Marylène Martin 42 59 91 246 ou [email protected]. �

CONFERENCESFORUM

pj_1_actu.qxd 06.05.2003 16:27 Uhr Seite 066

sunmicrosystems2 08.05.2003 14:18 Uhr Seite 1

cdm.lu

La Chambre des Métiers a profitéde la présentation des chiffres2002 de l'artisanat (voir page037) pour dévoiler son nouveausite Internet, plus interactif que laprécédente version. Une inscrip-tion en ligne permet ainsi de rece-voir une newsletter contenant desinformations sur des thèmes quel'on définit soi-même, et d'accé-der à un certain nombre d'autresrubriques (les clauses contrac-tuelles et techniques élaboréespar le CRTI-B; les guides d'utili-sation et de formulaires dedemande-type relatifs aux établis-sements classés, les avis, les com-muniqués de presse et les publica-tions.Un lien est également actif versl'Espace Créatique de la Chambredes métiers à Bourglinster

culture-routes.lu

Dès la première page de ce siteouverte, c'est une multitude (peut-être trop!) d'informations quis'offre au visiteur. Un conseil, cli-quez sur "Carte du site" pourouvrir la page de renseignementpratique permettant une naviga-tion optimisée sur le site del'Institut européen des itinérairesculturels (institut qui a notam-ment pour rôle de s'occuper dudéveloppement du programmedes itinéraires culturels duConseil de l'Europe). Après s'être familiarisé avec lanavigation, vous pourrez à loisirsvous renseigner, au travers deneuf rubriques majeures, entreautres sur le rôle de l'Institut, sespartenaires, les diverses et nom-breuses destinations culturelles ettouristiques d'Europe et la liste de22 itinéraires proposés par leConseil de l'Europe. En haut depage, vous trouverez égalementplusieurs listes chronologiquestraitant des événements, de l'ac-tualité, des articles, des docu-ments, des services, etc. relatifsaux itinéraires culturels. Enfin, ilest possible de commander deslivres et des brochures au traversde la rubrique boutique.

Business Web Directory068 paperJam 06.2003

acaie.lu

L'association des commer-çants, artisans et industriels dela ville d'Esch-sur-Alzette, encréant son nouveau siteInternet, mise sur le Web pourcommuniquer et informer surses activités, ses manifesta-tions et ses membres. C'estdonc au travers de sixrubriques clairement structu-rées que le visiteur peut sefamiliariser avec cette asbl etse renseigner notamment surses membres au travers de larubrique "Nos commerçants".Elle permet une recherche parnom, par adresse (rue) ou parsecteur d'activité. Mais, avantque d'entrer dans le vif dusujet, un petit retour vers lapage d'accueil s'impose.Effectivement, cette homepage propose un défilement dephotos représentant les diffé-rentes artères commercialesde la ville. Un simple clic desouris permet de visualiser lescoordonnées des commerçantsde ces mêmes rues.

alc.arcelor.com

Le groupe sidérurgiqueArcelor, numéro un mondialde l'acier, dispose de nom-breuses cordes à son arc.L'une d'entre elles s'appelleArcelor Long Commercial,organisation "sales & marke-ting" pour les produits longs.Elle dispose d'un site claire-ment orienté B2B, sur lequelles professionnels de laconstruction et du génie civilpeuvent consulter toutes lescaractéristiques techniques etles références de prix pour lespoutrelles, les profilés et lesaciers marchands. Réalisation: Mikado Online

bwd

busi

ness

web

direc

tory Les nouveautés

du Webluxembourgeois

Vous venez de lancerun nouveau siteInternet ou bien unenouvelle version d’unsite existant?

Envoyez nous l’URLdu nouveau site avecun bref descriptif deson contenu:

par e-mail à[email protected]

ou par courrier:paperJamPeopleBP 728L-2017 Luxembourg

pj_1_actu.qxd 07.05.2003 15:35 Uhr Seite 068

Le site du mois

satlynx.comLa joint-venture entre SES Global, Gilat SatelliteNetworks et Alcatel Skybridge, spécialisée dans lafourniture de services de communication bi-direction-nels large bande par satellite aux entreprises, maisaussi aux collectivités locales et aux PME, disposedésormais de son site Internet. En version flash ou HTML et rédigé, pour l'heure, uni-quement en langue anglaise, le site est le prototype par-fait du support d'information sobre qui se veut le plusexhaustif possible, le tout rehaussé visuellement pardes photos signées Blitz Agency. A noter la possibilité, originale, de télécharger troisfonds d'écran un rien futuristes et visuellement trèsréussis, et un glossaire de termes techniques souvent luou entendus ça et là, mais dont il est parfois bien diffi-cile de donner une définition précise!Réalisation: CMi Creative Communication �

espacessaveurs.lu

Quatre restaurants se sont unis,La Mirabelle, Goethe Stuff,Come Prima et SaveursComplices autour d'une enseignecommune, Espaces Saveurs afinde promouvoir l'art culinaire autravers d'un petit itinéraire enquatre étapes gourmandes. Acette occasion, ces quatre restau-rants se présentent par l'intermé-diaire d'un nouveau site Internetet affichent surtout leur vastechoix de menu, de vin et de ser-vices. Outre cette présentation détaillée,il est également possible, via leForum, de lire et d'écrire des com-mentaires divers et variés au gréde vos envies. Ces messieursdames sont servis…Réalisation: Sit-Net

in-visible.lu/hugo/

A l'heure où les études PISAmettent en cause le niveau d'édu-cation des jeunes luxembour-geois, plusieurs classes du Lycéede Bonnevoie mettent à profit lestechnologies modernes dans uncadre pédagogique, via un sitequi permet de suivre, en direct, lavie... d'un couple de faucons cré-cerelles. L'un des grands intérêts du siteréside dans sa réalisation tech-nique: streaming unicast24h/24h, en trois niveaux decompressions simultanées, 25images par seconde, enMicrosoft Windows Media 8:une petite démonstration de cequi, aujourd’hui, ne demandeplus techniquement des moyensdémesurés.Il ne reste plus qu'à ces char-mants bambins de sauvegarderdes snap-shots de scènes de lavie quotidienne de ces charmantsvolatiles en vue de créer un jour-nal destiné à être analysé et com-menté par des spécialistes. Ondoit la réalisation de ce site, hélasexclusivement germanophone, àIn-visible, aux P&T, et à Sony.

Business Web Directory 069paperJam 06.2003

manhattan.lu

Un nouveau restaurant-bar-dis-cothèque, le Manhattan ouvreses portes à Diekirch et s'affichesur le Net, au travers de son nou-veau site, conçu et réalisé parSit-Net. Tout de bleu vêtu, celui-ci offre une présentationdétaillée de la partie restaura-tion, bar-cocktail et discothèque,avec une liste de prix et un choixde menu très intéressant pour quisouhaite s'offrir une petite sortieavec une idée définie de sonbudget, du menu qu'il aura choi-si et des vins proposés. Et pourles indécis, laissez-vous tenterpar les suggestions du chef… Enfin, cerise sur le gâteau, il estpossible de réserver directementsa table via la sous-rubriqueréservation. Convivial et clair, cesite permet réellement de se faireune idée assez précise de ce nou-veau lieu de rencontre du Norddu Grand-Duché. À noter que lesite a été primé, en avril, par leGolden Web Award qui récom-pensem chaque mois, les 100meilleurs sites mondiaux.

microfinance.lu

ADA (Appui au DéveloppementAutonome), ONG luxembour-geoise, vient de mettre en lignela base de données bibliogra-phiques du Centre deDocumentation du CEREM surson site Internet dédié à la micro-financeDéveloppée depuis plus de huitans par ADA, cette base de don-nées bibliographiques contientplus de 2.000 références d'ou-vrages, d'articles et de docu-ments. sur ce thème. Toutes lesréférences listées peuvent êtreconsultées à la bibliothèque duCEREM située à Luxembourg-ville (15, bd. Grande-DuchesseCharlotte, L-1331 Luxembourg).Créé en 1997 à l'initiativeconjointe du Ministère desAffaires ÉtrangèresLuxembourgeois et de ADA, leCEREM ou Centre deDocumentation et de Rechercheen Microfinance s'adresse à

toutes les personnes ou organisa-tions spécialisées ou intéresséespar le secteur de la microfinancetelles que les ONG, les agencesde développement, les universi-tés, et même les particuliers. Réalisation: Bizart

weckbecker.lu

Weckbecker est la plus ancien-ne agence immobilière du

Luxembourg et elle vient dedéménager de Limpertsberg àBelair, Avenue du XSeptembre.Weckbecker a ainsi profité decette occasion pour refaire sacharte graphique et créer sonsite Internet. Sobre à l'extrême,ce site est avant tout informatif.Point de fioritures, seulesquelques lignes pour décrirel'agence, en page d'accueil, ettrois rubriques permettant,pour deux d'entre elles, deconsulter les offres de vente etde location selon divers cri-tères de sélection et pour ladernière de prendre contactavec le personnel de l'agence.Réalisation: Mikado-Online �

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com

mun

icat

ion

Communication070 paperJam 06.2003

Commechaquemois, retrouvezles nouvellescampagnes,communiquéespar les agences,dans paperJam.

Agences,n'hésitez pasà nous lesenvoyer,accompagnéesde leur fichetechnique,à[email protected]

CMI Creative Communication

Satlynx

CLIENT: Satlynx; SUPPORT: Presse;CONCEPTEUR-GRAPHISTE: DavidMeier; PHOTOGRAPHE: FabriceMariscotti (Blitz); COPYWRITER:Karine Touati

Everest

Coljon

CLIENT: Coljon SUPPORT: presse

Mikado Publicis

Optic Shop

CLIENT: Optic Shop; SUPPORT:Affiche; ACCOUNT MANAGER:Simone Steimetz; ART DIRECTOR:Didier Leclercq; COPYWRITER:Frédéric Thill; PHOTOGRAPHE:Frank Weber; INFOGRAPHISTE:Olivier Debuys

Mikado Publicis

City Night Bus

CLIENT: Ville de Luxembourg; SUP-PORT: Presse; ACCOUNT MANA-GER: Vanessa Buquet; GRAPHICDESIGNER: Maxime Lorenzini;ILLUSTRATEUR: Maxime Lorenzini

pj_1_actu.qxd 06.05.2003 16:27 Uhr Seite 070

Mikado Publicis

Battin

CLIENT: Battin; SUPPORT: Presse;ACCOUNT MANAGER: VanessaBuquet; ART DIRECTOR: DidierLeclercq; COPYWRITER: FrédéricThill; PHOTOGRAPHE: PascalHabousha, Bertrand Castay, stock;ILLUSTRATEUR: Vincent Mertz;Michelangelo; INFOGRAPHISTE:Olivier Debuys

Mikado Publicis

Pizza Hut

CLIENT: Pizza Hut; SUPPORT:Affiche; ACCOUNT MANAGER:Nadia Van de Berg; ART DIRECTOR:Stéphane Joiris; COPYWRITER:Stéphane Lefebvre; PHOTO-GRAPHE: stock; INFOGRAPHISTE:Olivier Debuys

Mikado Publicis

P&T

CLIENT: P&T; SUPPORT: Presse;ACCOUNT MANAGER: CamilleGroff; ART DIRECTOR: DidierLeclercq; COPYWRITER: FrédéricThill; PHOTOGRAPHE: Stan Huaux;INFOGRAPHISTE: Olivier Debuys

M&V Concept

Bijouterie Hoffmann

CLIENT: Bijouterie Hoffmann; SUPPORT: Magazine Culturel“Rendez-vous Luxembourg”; DIRECTEUR DE CREATION: Marc Devresse; GRAPHISTE:Pascale Rigaux; PHOTOGRAPHE:Christof Weber

M&V Concept

Bijouterie Hoffmann

CLIENT: Bijouterie Hoffmann;SUPPORT: Magazine Culturel“Rendez-vous Luxembourg”; DIRECTEUR DE CREATION: Alain Joachim; GRAPHISTE: PascaleRigaux; PHOTOGRAPHE: ChristofWeber

Communication 071paperJam 06.2003

pj_1_actu.qxd 06.05.2003 16:28 Uhr Seite 071

L’important pour nous est de répondre aux objectifs fixés par nos clients, en développant des projets qui s’inscrivent parfaitement dans la stratégie de leur communication.

Comme pour AXA Luxembourg, l’essentiel sera pour nous d’assurer votre succès !( )

Ann-REPERES_PJ06 30.04.2003 23:39 Uhr Seite 1

(Repères)

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Ann-REPERES_PJ06 30.04.2003 23:39 Uhr Seite 2

Luxlait, leader sur le marché luxem-

bourgeois des produits laitiers, doit

solidifier son positionnement, com-

muniquer plus et mieux sur de nou-

veaux segments de marché et refléter

une image globale de qualité, fraî-

cheur et de santé.

Luxlait prévoit d'organiser un jeu

qui devrait attirer les visiteurs sur son

stand à l'occasion de la Foire de

Printemps. Il y a possibilité d'interagir

avec des partenaires média tels RTL,

présent sur le stand. Luxlait annonce

par la même occasion qu'elle va lan-

cer un projet d'étiquetage de ses

emballages de lait et que ce support

communicationnel peut servir à infor-

mer le public du jeu.

Pol Paquet, responsablemarketing chez Luxlait

"Une approche plusdynamique et plusagressive"Cette opération de communicationdétonne par rapport aux cam-pagnes traditionnelles de Luxlait,est-ce un coup d'essai?

Par le passé, Luxlait s'est toujoursconcentré sur sa cible principalec'est-à-dire les familles avec enfants.Sans pourtant négliger les autres!Nous avions en fait essayé de réali-ser des campagnes 'passe-partout'.Pour 2003 nous avons décidé, pourplusieurs raisons, de changer notreapproche communicationnelle. Toutd'abord, vu l'évolution démogra-phique du Grand-Duché, nous noustrouvons dans une situation où il y ade plus en plus de résidents étran-gers, qui souvent ne connaissent pas

encore nos produits et qui, par habi-tude, achètent plutôt les produits dela concurrence. Ensuite, l’expérien-ce nous a montré qu’il est très diffi-cile de toucher les jeunes (12-18ans) par les médias traditionnels.

Nous avons donc décidé d’adop-ter en 2003 une approche communi-cationnelle plus dynamique et plusagressive. Nous voulions lancer unconcours, qui a comme cible lesjeunes (luxembourgeois et étran-gers), par le biais des nouveauxmédias (Internet, SMS, etc).

Comment votre choix de prestatai-re s'est-il effectué?

Pour organiser ce concours il nousfallait un partenaire spécialisé dansle domaine des nouveaux médiasafin de mettre sur pied un conceptefficace et persévérant. Les proposi-tions de Concept Factory, quantau déroulement du concours,�

Actualité074 paperJam 06.2003

Luxlait & Concept Factory:

attirerles jeunes

business case communication

Voici une nouvelle rubrique. Chaquemois, une agence et un client détaillerontcomment ils ont mis en œuvre uneopération de communication. Pour plusde renseignements concernant ces pages,une seule adresse: [email protected]

Claude Steinmetz (Directeur , Luxlait),Pol Paquet (Responsable marketing, Luxlait) et Daniel Eischen (Directeur adjoint, Concept Factory)

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� nous ont semblé très intéres-santes et c’est ainsi que nous avonsdécidé de travailler avec eux.

Si le briefing initial était léger, ilfallait cependant choisir dans lespropositions faites par l'agence

Les seules "contraintes" étaientde faire un concours par le biais desnouveaux médias. Nous avonsvolontairement laissé toutes leslibertés à l’agence afin de ne pas leslimiter dans leurs propositions.Ensemble nous avons fait une sélec-tion afin d’établir un concept effi-cace.

Qu'attendez-vous de cette cam-pagne?

Tout d’abord renforcer l’image demarque surtout parmi notre cible.Ensuite donner un renouveau à notremarque. Troisièmement faire passerles messages bien déterminés. Enfinfidéliser de nouveaux clients.

Que représente cette campagnedans votre communication annuel-le? Est-elle budgétairement consé-quente?

La période de la Foire dePrintemps est pour Luxlait la pério-de communicationnelle la plusintensive. Nous faisons générale-ment beaucoup de publicité autourde l’évènement FIL, qui constituepour nous un excellent moyen deprésenter nos produits et d’être encontact direct avec nos clients,revendeurs, partenaires, etc.

C’est dans cette optique que nousavons choisi le timing pour lancer ceconcours qui va également englobernotre présence à la Foire. Il est évi-dent que le "spring game" va consti-tuer une enveloppe budgétaireimportante de notre budget de com-munication, bien que nous ayonsencore d'autres événements prévusau cours de 2003.

Daniel Eischen, Directeuradjoint, Concept Factory

"Solidifier le positionnement à long terme"Un briefing 'léger' d'un client est-il plus compliqué pour une agencequ'un briefing très précis?

Tout dépend de l'envergure ponc-tuelle du projet, de même que de sondésir d'implication dans une straté-gie de communication à plus longterme. Développer une simple idéede "jeu concours" permettant dedrainer du monde vers un stand n'estpas chose compliquée à faire. Il suf-fit d'une bonne idée et d'une exécu-tion correcte. Le désir plus global dela société Luxlait de vouloir commu-niquer, diversifier ses produits, élar-gir sa base de clientèle, initier unecommunication plus dynamique etinformative, le tout découlant sur unrenforcement de l'image de marqueLuxlait, fait qu'un briefing 'léger'doit être complété par une recherchepro-active de l'agence. Il faut soule-ver les non-dits, analyser le contextestratégique général, chercher à com-prendre toutes les implications duprojet et pré-visualiser des déclinai-sons et le suivi du projet.

En quoi l'approche créative est-elle changée?

Il faut bien comprendre ce que leclient a fait au cours des années pas-sées, entrevoir son approche et salogique de positionnement. La per-ception d'un projet spécifique,même d'un petit jeu-concours, estassimilée à la vision générale quel'on a de la marque. Luxlait veutdynamiser son positionnement et sacommunication. Raison de plusd'être très prudent quand il en vient àcréer des messages et à interagiravec sa clientèle.

Comment est venu cette envie demixer tous les supports?

Nous sommes partis de l'identifi-cation de la cible et de ses habitudesde consommation. Le style de vie aégalement joué un grand rôle.Ensuite nous nous sommes basé surdes recherches récentes effectuéesau niveau de la fidélisation de clien-tèle et du "brand building". Il en res-sort que, contrairement à la commu-nication à haut budget du styleTV/Cinéma, la communicationmobile offre un gigantesque paneld'outils permettant d'établir uneinteraction personnalisée avec saclientèle.

De plus, Interact vient de mettreen place un centre de ressourcespour le développement de solutions

en marketing mobile. ConceptFactory - Interact veulent devenir lepremier acteur de conseil spécialiséen matière de marketing mobile surle Luxembourg. Après avoir innovéau Luxembourg en lançant en 1998le concept de cross-médias, laFactory s'oriente aujourd'hui versune approche de "Communicationintégrée" qui en dehors de l'alliance"médias classiques" et "nouvellestechnologies", intègre le monde destélécommunications dans les straté-gies développées pour ses clients.

Un jeu "multi-axes" et "multi-médias" semblait donc permettre derevitaliser l'image de marque deLuxlait, tout en parlant à la clientèleau moment, de la façon et par lecanal qu'elle préférait. Le jeu fonc-tionnera par le biais des SMS, des e-mails, de l'Internet et par les colla-borations médias ponctuelles quisont à mettre en place. Le participantjoue, est informé, est distrait etamusé, est sensibilisé par rapportaux valeurs clés de Luxlait et onconstruit la base pour une relationqui dépasse le cadre du simple jeu.Luxlait pourra continuer à commu-niquer d'une façon pro-active etdiversifier l'ensemble de sa politiquecommunicationnelle.

Luxlait est une marque 'installée'sur le marché luxembourgeois. Lesmoyens de promotion jouent sur lamodernité. Faire coïncider cetteimage 'traditionnelle' et 'moderne'est-elle compliquée?

On en a parlé plus haut. Oui, il estcompliqué parce que l'on ne peut pasy aller à moitié. Le client n'est pasdupe et on joue son fonds de com-merce. Le message doit être sincère,compatible, cohérent et il doit serefléter dans toute une série d'actionsqui solidifient le positionnement àlong terme. A la base, tout est pos-sible et l'image "traditionnelle" de lamarque offre même une ressource decontraste qui peut faciliter un chan-gement de cap au niveau du dyna-misme communiqué. �

Retrouvez plus d'informationsdétaillées au travers de l'intégralitédes réponses de Pol Paquetet Daniel Eischen sur www.paperjam.lu/archives.html?quicklink=Business_Case_0306_Luxlait

Actualité 075paperJam 06.2003

business case communication

pj_1_actu.qxd 06.05.2003 16:28 Uhr Seite 075

Wéi engSproochshould youutiliser dans laluxemburgischeWerbung?

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actualité

Actualité076 paperJam 06.2003

pj_1_actu.qxd 06.05.2003 16:28 Uhr Seite 076

actualité

Dans ce style magique qui était le sien, Baudelaireécrivait dans L’Art Romantique que “manier savammentune langue, c’est pratiquer une sorte de sorcellerie évo-catoire“. Ça tombe plutôt bien, c’est exactement ce quel’on recherche en publicité. Oui mais quelle langue faut-il utiliser lorsqu’on communique au Luxembourg? Voilàune belle occasion de la tourner 7 fois dans sa boucheavant de répondre.

Ce dilemme, chaque annonceur y est confronté régu-lièrement lorsqu’il communique sur son enseigne, sesproduits ou ses services. Et c’est à juste titre qu’il attendde son agence de publicité la réponse qui sert le mieuxses objectifs.

Dans la pratique, l’agence en question gère la situa-tion sans la moindre difficulté. Avec une maestriadéconcertante, elle choisit avec l’annonceur LA languequ’il faut. Au besoin, c’est un savant dosage de languesdifférentes qui constituera le cocktail le plus détonnant.Pourtant, confronté aux médias nationaux, un consom-mateur non averti risque parfois d’y perdre son latin.

Notre brave homme, en toute logique, s’attend à voirou entendre de la publicité dans la langue du médiaconsommé : du luxembourgeois pour RTL, de l’alle-mand dans le Wort et du français dans le Quotidien oudans paperJam (restons courtois). Jusque-là, il doit êtrepossible de s’entendre pour parler de bon sens.

Hélas, il lui suffit d’allumer sa télévision pourentendre à l’occasion un spot au moins partiellement enfrançais sur RTL ou de tourner les pages du Wort pourretrouver des publicités en allemand bien sûr, mais aussien français, en anglais et en luxembourgeois. Bigre, celase complique. En la matière, il est décidément difficilede séparer les pommes et les poires... au risque de finirpar se mettre au macédonien, ce qui compliquerait vrai-ment trop le propos.

Oublions notre lambda désemparé et tâchons d’ex-plorer plus avant cette énigme. Rédacteurs de tout lepays, ralliez-vous à mon panache blanc et pourfendonsensemble les ténèbres qui obscurcissent la communica-tion de nos bien-aimés clients. Car enfin il doit bien yavoir une logique qui permet d’y voir clair. Une formu-le gagnante à tous les coups.

Plongé dans mes réflexions d’ordre métaphysique,voire pataphysique, je croise au détour d’un bureau malrangé une collègue spécialisée en mediaplanning. Elleme trouve bien préoccupé et demande une explication.Étant au bord du gouffre, je décide de tout déballer:Voltaire, Goethe, mon lambda désespéré, le macédonienet même ma position sur la migration des oursins d’eaudouce.

Sur un ton narquois, moqueur presque, elle me signi-fie que l’usage des langues dépend tout simplement de

la cible que l’on cherche à atteindre et de l'identité del’enseigne qui communique.

Le français est la langue que presque tout le mondecomprend, suivi par l'allemand. Dans un pays comme leLuxembourg qui est très ouvert sur l'international, l'an-glais s’avère être souvent un choix judicieux au niveaude la communication business-to-business. Par ailleurs,62% de la population considère le luxembourgeoiscomme sa langue maternelle. Mais attention. Choisircette langue pour communiquer implique de n’être com-pris que par ces 62%, ce qui n’est pas le cas du françaisou de l’allemand.

Enfin, le choix du média se fait en fonction de sesperformances d’abord, de la langue qu'il utilise parfois...principalement lorsqu’il est question de toucher les58.000 Portugais qui résident au Luxembourg.

Rage et désespoir, serai-je passé à côté d’une éviden-ce aussi élémentaire? Quel soufflet (non, ce n’est pasune sorte de gratin)! Les bras m’en tombent commedisait la Vénus de Milo. Et puis quoi... c’est tout?

Pas vraiment, me répond-elle. Dans la grande majori-té des cas c’est l’annonceur qui, connaissant ses ciblesprioritaires, détermine la ou les langues qu’il conviendrad’utiliser dans sa communication. Sur cette base, etselon les objectifs dégagés, c'est l’agence qui sélection-nera alors les médias les plus appropriés. Avec cepen-dant une restriction de taille: les spots TV.

En effet, il faut savoir qu’une de nos très nombreuseschaînes nationales (vous ne devinerez jamais de qui jeparle) n'accepte que des spots TV en luxembourgeois, àtout le moins avec le minimum de termes en langueétrangère. Les mauvaises langues prétendent que c’estparce que ladite chaîne récupère la quasi totalité desdoublages de spots réalisés dans d’autres langues.Allons, pas de mauvais esprit, c’est sûrement une ques-tion de différence culturelle... d’autant qu’il y a de trèsnombreuses exceptions à cette règle, mais pas d’expli-cation pour ces exceptions. Les mêmes mauvaiseslangues parleraient volontiers de copinage... nous préfé-rerons le terme de stratégie commerciale.

Un peu étourdi par cette logorrhée de missMediaplanning, j’essaie de reprendre mes esprits. Je nesuis pas certain d’avoir tout compris, mais une chose estcertaine: le Luxembourg est un petit pays qui génère degros soucis pour les annonceurs. Une seule solution:confier sa communication à des spécialistes qui connais-sent le marché et qui, contrairement à moi, maîtrise par-faitement le mediaplanning.

À la question “Wéi eng Sprooch should you utiliserdans la luxemburgische Werbung?“, je réponds donc “itall depend de votre identité d’annonceur a vund’Zielgruppe you voulez erreichen“. �

Actualité 077paperJam 06.2003

� Tribune par Michaël Mertens, Concepteur-rédacteurdu groupe Advantage communication Partners

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Actualité078 paperJam 06.2003

� Plus que quelques jours avantque ne se lève le voile sur la7e nuit des Trophées F/P/C TEXTE JEAN-MICHEL GAUDRON ILLUSTRATIONS FOURNIES PAR LES AGENCES NOMINÉES

TrophéesF/P/C:faites-vosjeux !

La tension monte, les cœurs battent plus vite, le grand soir approche... C'est vendredi 23 mai que se

tiendra, à la Kulturfabrik d'Esch-sur-Alzette, la 7e nuit des Trophées de la Fédération des profes-

sionnels de la communication, la grand messe de la créativité publicitaire luxembourgeoise. Trophées

"Gold et "Silver" pleuvront sur la cité eschoise avec, comme nouveauté pour cette année, un prix remis

par le public présent pour cette soirée prestigieuse, et qui pourra se prononcer sur son "coup de cœur",

indépendamment de toute catégorie.

Pour cette édition 2003, tout comme l'année dernière, 11 catégories ont été retenues. Mais à la dif-

férence de l'année dernière, la F/P/C, qui a reçu plus de 360 projets "candidats" a été en mesure de

sélectionner cinq prétendants par catégorie, soit un total de 55 réalisations en provenance de 16 agen-

ces, contre 41 pour l'édition 2002 (pour 15 agences).

Les agences les plus représentées sont Mikado Publicis (13 nominations, auxquelles il faut ajouter

3 nominations pour Mikado Online), Binsfeld Communication (8), Concept Factory (8) et Vidale

Gloesener (7). Par rapport à l'année dernière, 5 "nouvelles" agences apparaissent dans la liste des pré-

tendants: Advantage (1 nomination), Basic Consulting (1), Grey Worldwide Luxembourg (1), IPL (1)

et Rose de Claire (1).

Disparaissent, en revanche, de cette liste, Intercommunication (2 nominations en 2002 pour un

Trophée Silver), Kreutz&Friends (2 et 1 Trophée Silver), Neofacto (2 et 1 Trophée Silver) et, bien évi-

demment, feue MBS (4 nominations et 2 Trophées Silver).

Pour mémoire, les grands vainqueurs de 2002 (palmarès complet sur www.fpc.lu, dans notre éditi-

on paperJam 06.2002 ou bien sur notre site www.paperjam.lu) avaient été Mikado Publicis (2 Gold et

3 Silver) et Binsfeld Communication (2 Gold et 2 Silver).

Voici, pour l'édition 2003, la liste des nominés par catégorie:

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Actualité 079paperJam 06.2003

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CATÉGORIE 1______________________________

PRESSEQUOTIDIENNE /MAGAZINE -ANNONCE ISOLÉE______________________________

Mikado PublicisOptique MoïtzheimAnnonce fin d’année "Noël"

AdvantageCometSchwan

Binsfeld communicationSources Rosport/VivaSpaghetti

Mikado PublicisRestaurant Bice Gëlle Fra

AdvantageAdvantageL’art de faire vendre

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CATÉGORIE 2______________________________

PRESSE QUOTIDIENNE /MAGAZINE –CAMPAGNE COMPLÈTE______________________________

AdvantageEditus Annuaire professionnel

Orbite conseilLuxemburger WortFruits

Mikado PublicisMobiluxTant que le monde vous surprendra

ComedBofferdingLe savoureux secret du Luxembourg

Mikado PublicisProsun solariumL’Art du bronzage �

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CATÉGORIE 3______________________________

CAMPAGNEAFFICHAGE______________________________

Vidale-GloesenerMusée national d’Histoire et d’ArtCampagnes d’ouverture du musée

Vidale-GloesenerCEPA asblSummerakademie 2002

Mikado PublicisProsun solarium Abribus Noël

Mikado PublicisVittelSaint-Valentin

Concept Factory TangoTVCampagne de lancement

______________________________

CATÉGORIE 4______________________________

CAMPAGNETV/CINEMA______________________________

Mikado PublicisP&TClassic Cube Internet 2002 (2ème spot)

Mikado PublicisMobiluxTant que le monde vous surprendra

Concept factoryTango TV Tango 8,2°

AdvantageCrédit Européen/INGweb-banking

Mikado PublicisBGLBanque privée

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CATÉGORIE 5______________________________

CAMPAGNERADIO______________________________

Binsfeld communicationSources RosportDen nächsten Duuschtkennt bestemmt (spots "casting" et "Krankekés") �

Actualité080 paperJam 06.2003

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12/06 & 13/06

Dans le bâtiment flambant neuf duCRP Henri Tudor au Kirchberg.

12/06 EAI & WEB SERVICES :

Les enjeux et perspectives de l'interopérabilité(stands à louer : info Marylène MARTIN au 42 59 91-246)

13/06 APRES-MIDI GRATUITE

100% des PC piratés étaient connectés. Et le vôtre ?

P R O G R A M M E C O M P L E T E T I N S C R I P T I O N E NL I G N E S U R W W W. S P I R A L . L U

13/06 MATIN

Un pays connecté est-il un pays piraté ?

avec le soutien du Fonds Social Européen

Anzeige_0403 30.04.2003 0:00 Uhr Seite 1

Binsfeld communicationCetrelMinicash, campagne "cash an d’Täsch"

ID PRODID PROD/IPautopromo spot "Keine Werbung unter dieser Nummer"

Binsfeld communicationSanichaufer Toitures "Artour"

Mikado PublicisP&TClassic Cube Internet 2002 promo Noël

______________________________

CATÉGORIE 6______________________________

TRAVAUX D’EDITIONà vocation publicitaire et/ou RPcommandités par un tiers et dis-tribués gratuitement______________________________

Concept FactoryLux-DevelopmentRapport annuel

Concept FactoryAtelier KronwitterBrochure "savoir-faire"

Concept Factory Xpectis Brochure "as close as we can get"

Mikado PublicisF/P/C Invitation "Nuit des Trophées 2002"

Binsfeld communicationCFL Sécurité

______________________________

CATÉGORIE 7______________________________

CORPORATE DESIGN______________________________

Vidale-GloesenerLes Amis des Muséesd’Histoire et d’ArtLes Amis des Musées

Mikado PublicisPharmacie Engel°

Vidale-GloesenerMusée National d’Histoire et d’ArtMNHA �

Actualité082 paperJam 06.2003

pj_1_actu.qxd 06.05.2003 16:28 Uhr Seite 082

Mikado Publicis Commune de Pétange

Concept FactoryCegecom/BambooBranding Bamboo

______________________________

CATÉGORIE 8______________________________

SITE INTERNETinstitutionnel, sans but lucratif,commercial______________________________

Mikado onlineMikadowww.mikado.lu

Binsfeld communicationBinsfeld communicationwww.binsfeld.lu

BizartTailormadewww.tailormade.lu

Basic consultingLes Domaines de Vinsmosellewww.vinsmoselle.lu

Mikado onlineMusée d’Histoire de la Ville de Luxembourgwww.musee-hist.lu

______________________________

CATÉGORIE 9______________________________

CAMPAGNE DE COMMUNICATIONON LINE / INTERACTIVE bandeaux de publicité, mini-sitespublicitaires, pop-up, interstitielset publi-informations en ligne,campagnes de e-mail marketing______________________________

Cropmark Cactus www.yuppiland.lu

IPLLoterie NationalePiccobello

Concept Factory TangoTV Join the free world (campagneteasing + branding Tango TV)

Concept Factory Tango Jeu Enigmania

Mikado onlineInternaxx www.internaxx.lu �

Actualité 083paperJam 06.2003

pj_1_actu.qxd 07.05.2003 15:37 Uhr Seite 083

Actualité084 paperJam 06.2003

______________________________

CATÉGORIE 10______________________________

PACKAGINGproduits de consommation à grande diffusion______________________________

Vidale-GloesenerDistillerie Zeimet-LindenEau de vie Zeimet-Linden

Bizart Bizart cadeaux de fin d’année

Dété PublicitéBofferding Grengen Antigel

Binsfeld communicationLes Domaines de VinsmoselleArt et Vin 16

Rose de ClaireCentre National de Littérature"Rénert oder de Fuss am Frackan a Mansgreisst/MichelRodange"

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CATÉGORIE 11______________________________

HORS CATEGORIESPLV, stands expo, direct marketing, événementiel, B2B______________________________

OxygenLuxairFamily day

Vidale-GloesenerAlexandre de Dijon et Nadine de LuxembourgMoutarde

Binsfeld communicationBinsfeld communication carte de vœux "joker"

Grey Worldwide LuxembourgCenter Al-StadCircuit culturel du Moulin à Asselborn

Vidale-Gloesener Fiduciaire Jean-Marc Faber Déménagement �

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LOSCH/AUDI-PJ 06.05.2003 17:24 Uhr Seite 1

"Dei meecht Staater warennach nie zu Esch. Et ass alsoiwwerhappt nët verwonnerlech,dass en Escher nach nie an derStaad war. Wien sou eppesKomesches seet, kann nëmmenaus der Staad sinn"(1) écrivaitGuy Rewening dans son livre"Mass mat dräi Hären". Qu'enpensez-vous?

Il est vrai qu'il y a plus d'habi-tants de Luxembourg qui ne sontjamais venus à Esch que le contrai-re… Quelques-uns se demandent cequ'ils pourraient bien venir y faire,une ville qu'ils pensent grise, sidé-rurgique. Je regrette cette situation,mais je ne suis pas résignée! Deplus en plus de personnes que jerencontre me disent qu'effective-

ment ils n'étaient jamais venus visi-ter la ville et qu'un jour, invité par unami, ils y vont et se rendent comptentqu'il y a des choses à y faire et à voir.

Esch est la 2e ville du pays.Après lacrise de la sidérurgie qui l'a dure-ment frappé, la ville sembleaujourd'hui repartie de l'avant. Iln'y a pas que les friches, il y a la�

Coverstory086 paperJam 06.2003

� La ville d'Esch-sur-Alzettebouillonne. Que ce soit dans lesdomaines de la culture ou del'économie, elle se positionne deplus en plus comme une alternativeà Luxembourg-ville. Rencontre avecLydia Mutsch, la bourgmestre.ENTRETIEN VINCENT RUCK PHOTOS FREDERIC DI GIROLAMO (BLITZ) ILLUSTRATION H!

coverstory

New!English Text

Includedfrom page 089

Esch-sur-Alzettestrikes back!

pj_1_actu.qxd 06.05.2003 16:28 Uhr Seite 086

tures de base. En premier lieu,l'augmentation des espaces sco-laires. La population de la ville estpassée en quelques années d'envi-ron 24 à 27.000 habitants. Ce quisignifie qu'il y a de plus en plusd'enfants. Et que donc il faut créer,pour eux, ces espaces. Ensuite, ilfaut mettre en place des infrastruc-tures pour l'accueil précoce, tout au

long de la journée. Il y a le chantierdes infrastructures routières.Ensuite, il y a tout simplement l'em-bellissement général de la ville, quis'attache à améliorer la qualité devie.

Enfin il y a le logement. Nousavons pour le moment 400 loge-ments sociaux. Nous avons lancé unplan de rénovation pour améliorer�

Coverstory 087paperJam 06.2003

coverstory

� ville elle-même qui se transfor-me: rénovation de la rue de l'Alzette,rénovation du théâtre municipal,(ré)ouverture de la Kulturfabrik,accueil du Technoport Schlass-goart… Quels sont encore les projetsen cours dans la ville?

Je veux véritablement mettre l'ac-cent sur ce que j'appelle les infrastruc-

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� l'image de ces habitations. Il fautfaire attention dans ce domaine etne pas créer des espèces de ghettosattirant toute la misère du monde.C'est pourquoi nous explorons lapiste de logements sociauxconstruits sur la base d'un partena-riat entre le privé et le public. Leministère et des investisseurs ont étécontactés pour augmenter l'offre delogements disponibles, tout en assu-rant une mixité sociale. Il ne fautpas renforcer un schéma d'unicitésociale des quartiers! Il y a parexemple le projet desNonnenwiesen, à côté de Esch-Belval, sur 37 hectares. C'est ungrand projet, un nouveau concept delogements, innovants sur le plan del'énergie, de l'architecture, du res-pect de l'environnement… et ceserait jusqu'à 2.500 personnes quipourraient y loger.

Longtemps la situation budgétai-re de la ville a été délicate.Aujourd'hui, nous retrouvons desmarges de manœuvre, même sinous ne sommes toujours pasriches. Nous pouvons à nouveauinvestir.

Quels sont les principaux défisque doit aujourd'hui relever laville de Esch?

Je parlerais plus de chances quede défis! Le sud est en pleinerestructuration. C'est une occasionunique pour aller de l'avant. C'estl'occasion pour une région de s'ai-der elle-même. Le nouveau Eschest de retour et doit faire valoir sesdroits. Certains hommes politiquesconsidèrent les grands investisse-ments en cours dans notre commu-ne et dans les environs comme de

'l'aide au développement', alorsqu'il s'agit plus simplement dedécentralisation et de la recon-naissance des mérites que nousavons. Pour revenir sur le défidéjà abordé plus haut, la mixitésociale en est un! C'est une tradi-tion socialiste positive. Il faut enfait réussir à créer un cercle ver-tueux: attirer à la fois les investis-seurs privés, les entreprises, et denouveaux habitants. Il faut queceux qui ont du travail, qui bou-gent, viennent s'installer cheznous, et que de notre côté nousréussissions à réinvestir dans laqualité de vie.

Il n'est pas normal qu'il y ait detels déplacements entre Esch etLuxembourg-ville. Un des objec-tifs de Belval, c'est de permettreaux jeunes qui travaillent dansnotre région de s'y retrouveraprès le travail. Aujourd'hui, ilshabitent ici et remontent vers leCentre pour les loisirs. Il fautqu'ils s'amusent et qu'ils tra-vaillent ici, près de chez nous.C'est également pour cela que lapolitique culturelle de la villesoigne à la fois des organismes'permanents', comme la biblio-thèque et le conservatoire, etd'autres plus exceptionnels,comme les festivals de rock. Ilssont essentiels à l'amélioration del'image de marque d'une ville,permettent d'attirer entreprises ethabitants. Nous n'avons jamaisarrêté d'investir dans la culture,même aux moments plus diffi-ciles.

Esch-Belval est certainement lechantier à la fois le plus symbo-lique et le plus signifiant pourl'avenir. Les problèmes soulevéssont nationaux, pas uniquementcommunaux. Quel rôle l'Etatjoue-t-il dans ce domaine?

Belval est condamné à être unsuccès. C'est un projet modèle, neserait-ce que dans la manièredont il a été élaboré. LeMasterplan a été ainsi fait encoopération avec les communesde Esch et de Sanem, sur les-quelles s'étend le site. Mais atten-tion! La nouveauté vient de ce �

Coverstory088 paperJam 06.2003

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“Belval est condamné àêtre un succès”

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� que ces communes représen-taient en fait Prosud, qui est leregroupement des 12 communesdu Sud du Luxembourg. Nousavons participé à l'élaboration duMasterplan, donc, mais égalementau jury qui a choisi le lauréat duconcours. C'est important pourl'acceptation de ce projet par lapopulation. Et pour les autrescommunes, c'est l'occasion de voircomment ce site se développe, enattendant que les projets inscritssur leurs territoires soient lancés àleur tour. En fait, ce projet aquelque part vocation à fairerenaître la 'gloire' d'une région quia fait par le passé la richesse dupays.

Du côté du Gouvernement, il ya la volonté d'établir un vrai parte-nariat, qui réussit à surmonter lesobstacles politiques. Le ministrede l'Intérieur, Michel Wolter, s'estpersonnellement engagé dans leprojet, dans la continuité du précé-dent Gouvernement. Il estmembre du comité de concerta-tion, il a suivi les travaux et leconcours.

Il a également été possible devoter une loi permettant le voted'une loi de financement faisantentrer l'État dans la société d'amé-nagement du site… C'est près de1,5 milliard d'Euro qui sera inves-ti sur le site, y incluantl'Université de Luxembourg, desadministrations, la Cité dessciences, des structures d'accueilpour les jeunes pousses, le Centredes Musiques Amplifiées… LeGouvernement a la volonté des'engager dans cette région.

Cet intérêt pour le Sud n'estbien évidemment pas partagé partous les acteurs, notamment dansla région centre. La Ville deLuxembourg a réagi, car nous pro-poserons, nous aussi, des surfacesde bureaux, concurrentielles à laCapitale. Le conflit est program-mé, on le sait; nous allons devoirrentabiliser tout cela et le réali-ser… en y gardant toujours unobjectif de mixité: y faire tra-vailler les gens, les y loger, les yfaire étudier, les y faire s'amu-ser… Il est clair que les entre-prises voudront aussi examiner �

"Dei meecht Staater warennach nie zu Esch. Et ass alsoiwwerhappt nët verwonnerle-ch, dass en Escher nach nie ander Staad war. Wien sou eppesKomesches seet, kann nëm-men aus der Staad sinn", wroteGuy Rewening in his book"Mass mat dräi Hären". What'syour reaction?

It's true there are more residentsof Luxembourg City who havenever been to Esch than the otherway around… Some ask them-selves what on earth they'd gothere for, to a town they see asgrey and metallurgic. I regret thissituation, but I'm not resigned to it!More and more people I meet tellme they'd never been to the townuntil, invited by a friend, they'dgone there and seen that therereally are things to see and dothere.

Esch is the country's secondcity. After the crisis of the ironand steel industry, which hitthe town very hard, today itseems to be up and runningagain. It's not just the indus-trial wastelands that areundergoing a transformation,but the town itself: renovationof the rue de l'Alzette, renova-tion of the municipal theatre,(re)opening of the Kulturfabrik,installation of the TechnoportSchlassgoart… What other pro-jects are underway for thetown?

I would really like to placeemphasis on what I call the basicinfrastructures. First off, there'smore school places. The town'spopulation has grown in a few yearsfrom 24,000 to 27,000 inhabitants.That means there are more andmore children, and that, therefore,it's necessary to create moreschool places for them. Also, wemust develop infrastructures totake care of preschool childrenthroughout the day. Then there'sthe road infrastructure. Then, quitesimply, there's the general embel-lishment of the town, which goeshand-in-hand with improving thequality of life.

Finally, there's housing. At pre-sent, we have 400 social housingunits. We've launched a renovationplan to improve the image of thesehouses. One must be careful in thisarea, so as not to create 'ghettos', ifyou will, that attract all the misery ofthe world. That's why we're explo-ring the possibilities of buildingsocial housing on the basis of apartnership between private andpublic sectors. The Ministry andinvestors have been consulted inorder to find a way of making morehousing available while maintaininga good social mix. We must notencourage a scheme that wouldlead to social disharmony amongsectors of the town! For example,there's the Nonnenwiesen project,a 37-hectare site next to Esch-Belval. It's a big project, a newconcept for housing that is inno-vative in terms of energy, of�

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Esch-sur-Alzettestrikes back!

� The town of Esch-sur-Alzette ispositively bubbling. Culturally andeconomically, it's positioning itselfmore and more as a real alternativeto Luxembourg City. Encounter withLydia Mutsch, its bourgmestre.

INTERVIEW VINCENT RUCK PHOTOS ERIC CHENAL (BLITZ) ILLUSTRATION H!

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� architecture, of respect for theenvironment… and it will accom-modate up to 2,500 people.

For a long time, the town's bud-getary situation was precarious.Nowadays, we have some room tomanoeuvre. We're still not 'rich', butwe can begin investing again.

What are the main challengesfacing the town of Esch today?

I'd speak of 'chances' ratherthan 'challenges'! The South isundergoing a complete restructu-ring. It's a unique opportunity tomove forward. It's time for theregion to help itself. Esch is back onthe map and we need to fight for itsrights. Some politicians see thelarge investments being made inour commune and its environs as"development aid", whereas it'ssimply a case of decentralizationand recognition of our merits.

One challenge we mentionedearlier is getting the social mix right.It's a positive socialist tradition. Wemust succeed in creating a virtuouscircle: simultaneously attract privateinvestors, businesses and newinhabitants. Those who are activelyemployed, mobile individuals, needto come and settle with us, and we,for our part, need to successfullyreinvest in the quality of life.

It's not normal for there to be thekinds of commuting we see bet-ween Esch and Luxembourg City.One of the objectives of Belval is toenable young people who work inour region to stay here when theworking day is done. At themoment, they live here but go off tothe City during their leisure time.They need avenues for entertain-ment, as well as employment, righthere with us. It's for that reason toothat the town's cultural policyencourages both 'permanent' ins-tallations, such as the library andthe conservatoire, and other, moretemporary ones, like rock festivals.They are essential to improve theimage of a town, attracting bothbusinesses and inhabitants. Wehave never stopped investing inculture, even when times weretough.

Esch-Belval is certainly themost symbolic and, at the sametime, the most significant buil-ding site for the future. But the

problems encountered arenational, not just communal,ones. What rôle does the Stateplay in this regard?

Belval is bound to be a successstory. It's a model project, even ifonly in the way it's been develo-ped. The 'masterplan' was createdas the result of cooperation bet-ween Esch and Sanem, the twocommunes in which the site islocated. It was developed, howe-ver, with the backing of Prosud, thegrouping of 12 communes in thesouth of Luxembourg. It's impor-tant that we got that backing, towin the support of the local popula-tion. Those other communes,they're following the developmentof this site closely, while waiting forsimilar projects to be launched ontheir own territories. In fact, thisproject is seen as an importantcontribution to the rebirth of the'glory' of the region that, once upona time, gave this country its riches.

Concerning the government,there is a willingness to establish areal partnership that overcomespolitical obstacles. The InteriorMinister, Michel Wolter, is personal-ly engaged in the project, pickingup where the previous governmentleft off. He's a member of theconsultation committee, and hasfollowed the work and the compe-titions closely.

Also, a new law has been votedin that allows the State to participa-te in financing the development ofthe site, so that almost 1.5 billioneuro will be invested in the site,which will include the University ofLuxembourg, administration buil-dings, the Science City, care facili-ties for the young ones, the Centrefor Amplified Music… The govern-ment really has the commitment toengage in this region.

This enthusiasm for the South isobviously not shared by everyone,notably by some people in the cen-tral region. The Ville deLuxembourg has reacted negative-ly because we, too, will be able tooffer office space, in competitionwith the Capital. Conflict is inevi-table, we know; we're going tohave to make all this cost-effective,and carry it through… all the whileconcentrating on the objective ofgetting the mix right: getting peopleto work here, housing them, pro-�

� d'autres zones ne proposant'que' des espaces de bureaux, avecmoins de contraintes urbanis-tiques et écologiques que Esch-Belval.

On a entendu un certainnombre de rumeurs sur l'ajour-nement, voire l'abandon duprojet d'implantation de Dexia-BIL sur le site de Belval. Qu'enest-il?

Il y a simplement un nouveautiming qui a été défini. Le projeta été décalé pour des questions depréparation, et rien d'autre.L'objectif est maintenant l'instal-lation de 800 personnes en 2005-2006. Mais il n'y a pas que le pro-jet de Dexia qui avance! Un cer-tain nombre d'investisseursavaient une attente: que l'État seconfirme comme le plus grosinvestisseur de cette zone, ce quiest chose faite. C'est environ 40%du total des investissements quiseront faits par l'État. Il y a eu unvote unanime à la chambre desDéputé-e-s pour le lancement duprojet de Rockhalle (ou Centredes Musiques Amplifiées). Lesplans vont être finalisés très vite,il reste quelques impératifs à maî-triser avant d'avoir les autorisa-tions définitives, comme le res-pect de certaines normes environ-nementales, la mise en place detransports publics, ainsi que lesliaisons vers les structures déjàexistantes. Mais je reste convain-cue que ce sera là aussi un projetmodèle.

Un des objets de débat, c'est laplace des transports en communsdans Belval. Dans ce domaine, leministère des transports est unpartenaire difficile, mais honnête.Nous voulons qu'il s'engage avecle déploiement du train, maisaussi avec la mise en place d'unconcept Tram + bus. Le problèmevient des contraintes budgétairesqui jouent: le budget est impor-tant, les ambitions sont grandes.En effet, le modèle choisi pour lesite est un 'split' de 40% desdéplacements par transportspublics, alors qu'au niveau natio-nal on vise 25%. D'où une cer- �

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CatPaperJam.prnG:\clients\disc-D\clients\cat\paperjam\CatPaperJam.cdrmercredi 30 avril 2003 15:56:14

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� taine angoisse en termes finan-ciers. Il ne faut pas répéter lesmêmes fautes que pour leKirchberg. Ici, on veut faire mieuxdès le début.

Si le développement de Eschtient ses promesses, son influen-ce sera importante sur la région,sur le pays, mais également surla Grande-Région. Parallèle-ment, Quattropole s'organisepour coordonner les villes deSarrebruck, Luxembourg,Trèves et Metz. N'y aura-t-il paslà une concurrence malsainepour le Luxembourg, Esch cou-rant le risque d'être à nouveau'laissé de côté', loin du 'véritablecentre' de Luxembourg?

Nous sommes en train, à notretour, de créer des liens, de trouverdes alliés. Par exemple, nousnouons une coopération écono-mique avec Trèves, en créant unparc scientifique économique sur2 lieux: le TechnoportSchlassgoart à Esch et l'Universitéà Trèves.

Ensuite, nous cherchons uneassociation avec nos voisins fran-çais, qui sont très intéressés par ledéveloppement des friches… quileur donne en fait beaucoup desoucis: le projet fait peur, ils yvoient un risque d'encore augmen-ter le nombre de frontalier et de'fuite' de l'activité. C'est pourquoinous les rencontrons régulière-ment pour leur expliquer le projetet les rassurer.

Nous savons que nous nesommes pas la capitale, mais nousméritons une 'part du gâteau'. Tousles autres pays ont plusieurs villequi comptent, qui les mettent envaleur. C'est d'ailleurs pour celaque le Gouvernement soutientnotre développement. Il ne fautpas oublier une chose:Luxembourg-ville atteint leslimites de ses infrastructures. Onle voit par les accès et la circula-tion: les possibilités ne sont pasinépuisables. Si l'on veut conser-ver une bonne qualité de vie, ilfaut dire halte et favoriser le trans-fert de certains investissementsdans une autre région. �

the region, the country and evenon the Greater Region.Meanwhile, Quattropole is orga-nizing the coordination of thetowns of Saarbrücken,Luxembourg, Trier and Metz.Won't that create unfair compe-tition for Luxembourg, with Eschrunning the risk of being 'leftbehind' again, far from the 'realcentre' of Luxembourg?

We are making our own efforts toforge relations, to find allies. Forexample, we're tying an economicknot with Trier by creating a scienceand economics park on two sites:the Technoport Schlassgoart in Eschand the University in Trier. Also,we're pursuing relations with ourFrench neighbours, who are veryinterested in the development ofindustrial wastelands… and veryworried too. They fear even greaternumbers of cross-border workersand 'leakage' of activity. That's whywe meet with them regularly - toexplain the project to them and toreassure them.

We know we're not the Capital,but we deserve a 'piece of the pie'.All the other countries have severalmajor towns. Which is why thegovernment is supporting our deve-lopment. Don't forget thatLuxembourg City is reaching thelimits of its infrastructures. You cansee that by looking at its access andtraffic problems. The possibilities arenot inexhaustible. To maintain agood quality of life, you must saystop, and encourage the transfer ofsome investment to other regions.

How do you envisage Esch in2023? Paint us a picture of thetown…

To start with, I see structures thatwelcome all those who want to workhere, including single parents whowant to raise their children and workat the same time. I see the variousredeveloped parts of the town, nolonger clogged with cars, but trans-formed with greenery and recreatio-nal zones. I see a satisfactory reso-lution to traffic problems, with manyCity Buses and with parking zonesat the entrances to the town, with anetwork of cycle paths and foot-paths, and free-flowing circulation. Isee, in town, access to theGalgenbierg park for pedestrians, �

� viding education and entertain-ment facilities for them … It's evi-dent that companies will also belooking at other areas that offermore than just office space, withfewer urban and ecologicalconstraints than Esch-Belval.

There have been rumoursabout the postponement, oreven abandonment, of the pro-ject to establish Dexia-BIL atthe Belval site. What's going onthere?

The timing has simply changed.The project has been moved backfor reasons of preparation, that'sall. The aim now is to install 800personnel in 2005-2006. But there'smore than just the Dexia projectgoing on! A certain number ofinvestors had been waiting for theState to commit itself to becomingthe biggest investor in this zone,which it has now done. Around40% of the total investment will beprovided by the State. There was aunanimous vote at the Chambredes députés to green-light theRockhalle (or Centre for AmplifiedMusic) project. Plans will be finali-zed soon. There are a few obliga-tions to meet before the definitiveauthorization is given, such asconforming to certain environmen-tal norms, putting public transportin place, as well as linking up theexisting structures. But I remainconvinced that this too will be amodel project.

One of the topics being debatedis that of public transport for theBelval site. In this regard, theMinistry of Transport is a difficultpartner, but an honest one. Wewant it to go ahead with plans foraccess by train, but also to imple-ment a tram + bus concept. Theproblem lies with budgetaryconstraints. The model chosen forthe site involves 40% of journeysbeing catered for by public trans-port, whereas at the national levelit's usually 25%, which is why thereare certain financial concerns. Wemust not repeat the mistakes thatwere made with Kirchberg. Here,we want to do better right from thestart.

If the development of Eschlives up to expectations, itsinfluence will be important on

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� Comment voyez-vous Eschen 2023? Faites-nous un por-trait de la ville…

Je vois, pour commencer, desstructures d'accueil pour tousceux qui souhaitent travailler à 2,ou qui élèvent seul(e) leur(s)enfant(s) tout en travaillant. Jevois les différentes places de laville réaménagées, ne laissantplus de place aux voitures, maistransformées en zones de verdureet de récréation. Je vois unconcept de circulation achevé demanière satisfaisante, avec denombreux 'city bus' et des zonesde parking à l'entrée de la ville,un réseau pour les vélos et lespiétons, une circulation fluide.

Je vois, en ville, un accès versle parc Galgenbierg pour les pié-tons via la Gare routière réaména-gée, avec une liaison piétonnepossible vers le Parc du centenai-re. Il faut une autre approcheurbanistique qui fait profiter lescitoyens de ce grand parc.

Sur le plan économique, jevois Belval devenu une adressede premier ordre pour les entre-prises, ainsi qu'un développementdes structures existantes, commela ZARE et le Technoport. Ilsseront confirmés dans le nouveaucontexte: le développement deBelval ne doit pas nuire à ce quiexiste déjà.

Le développement de Esch, telqu'envisagé, pose naturellementdes questions d'urbanisme et decoopération transfrontalière.Dans un entretien récent, cer-tains professionnels de l'immo-bilier parient, à l'horizon de 50ans, que les agglomérations deLuxembourg et de Esch seseront rejointes dans une espècede 'grande mégapole'. Est-ced'après vous crédible? Que cescénario de déroule ou pas, lareconversion du Sud et le boule-versement des équilibres entrecommunes n'engagent-elles pas,à terme, des fusions entre col-lectivités?

La perspective de n'avoirqu'une mégapole entre Luxem-�

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� via a redeveloped route aroundthe train station, with connections tothe Parc du centenaire. We need adifferent approach to urbanism thatenables people to profit from thisgreat park.

At the economic level, I see Belvalbecoming a sought-after address forbusinesses, as well as further deve-lopment of existing structures, likethe ZARE and the Technoport. Theyshall be included in the new context;the development of Belval must notbe a detriment to what already exists.

The development of Esch, asforeseen, naturally poses ques-tions of urbanism and cross-bor-der cooperation. In a recentinterview, some professionalsfrom the real-estate sector wereready to bet that, 50 years fromnow, the urban areas ofLuxembourg City and Esch willhave merged into a sort of'megalopolis'. Is that credible, inyour opinion? Whether that sce-nario emerges or not, won't theconversion of the South and itsattendant shifting of the commu-nal balance necessarily entailsome kind of fusion between thetwo regions?

The prospect of having one largemetropolis straddling the centre andthe south of the country is not, I mustadmit, one that pleases me. As forfusion between the communes,that's possible but it hasn't been dis-cussed yet. The Ministry, it's true,does encourage fusion, as with thesmall communes in the north of thecountry, for example. But the rightattitude is to get into the habit of thin-king regionally. Before groupingtogether, there is a hurdle to overco-me: at present we have no properregional structure that would enableus to create a regional conscious-ness. Look at the industrial waste-lands: it's possible that conflict couldarise between communes that havethem and those that don't. Which iswhy our strength resides in our unity.

That's what Prosud is there for - tostimulate such regional conscious-ness, to make our voices heard by agovernment that concentrates moreon the centre of the country. We haveeconomic and cultural goals that canonly be achieved if we work towardsthem together.

This emerging consciousnesscan be seen, to a certain extent, inthe way that Esch and Sanemhave collaborated. Throughout thecreation of the masterplan forEsch-Belval, we have workedtogether. We have found a com-mon method for dealing withfinancial matters, maintenance,taxes... This shows that real colla-boration between communes ispossible, even when their politicalcolours are different.

With the economic develop-ments that are foreseen, thesociology of Esch is likely tobe altered… Isn't there a riskof clashes between cultures?

Esch has always welcomednewcomers, and they have alwaysadapted well. Even though manyof its inhabitants are notLuxembourgers, even though theeconomic situation is difficult, thetown continues to function. It willbe the same with the industrialwastelands. The fact is, we don'twant to abandon our history, butwe will continue to function as wehave done for decades: we don'tabandon, we integrate.

Being a former mining town,Esch is socialist by tradition.Has its leftist orientation lentanything in particular to theregion?

We have always been on themove. We never wanted to letthings stagnate, although wealways respected the history andtraditions of this open and socialtown. That has been the secret ofour success. During the 70s, thetown's slogan was 'Esch is on themove'. It's a well-known sloganthat speaks the truth: there is nosocial decadence, we have neverabandoned affordable theatre andwe have never neglected our infra-structures. We have always soughtnew challenges! �

(1) "Most City-dwellers have never been toEsch. It's not at all surprising, therefore, tohear of an 'Escher' who's never been to theCity. Whoever thinks it is can only be fromthe City"

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� bourg et Esch, entre le Centredu pays et le Sud, ne me plaîtpas, je dois l'avouer. Pour ce quiest de la fusion entre communes,elle est envisageable mais n'a pasencore été discutée.

Le Ministère, c'est vrai,encourage les fusions, commepar exemple pour les petitescommunes du nord du pays.Mais la bonne habitude, c'estd'abord de s'habituer à penserrégional. Avant le regroupement,il y a cette étape-là: nous n'avonsen effet pas encore de structurerégionale qui nous permette decréer cette conscience de région.

On le voit avec les frichesindustrielles: une oppositionpourrait se créer entre les com-munes 'qui en ont', et celles 'quin'en ont pas'. Or notre force rési-de dans notre unité.

C'est à cela que sert Prosud.C'est veiller à faire émerger cetteconscience commune, à fairevaloir nos droits vis-à-vis d'unGouvernement plus concentrésur le centre du pays. Nous avonsdes objectifs économiques, cul-turels qui sont réalisables uni-quement si nous les faisonsensemble.

Cette région Sud s'annoncequelque part dans la collabora-tion entre Esch et Sanem. Toutau long de la création duMasterplan de Esch-Belval, nousavons travaillé ensemble. Nousavons trouvé une formule com-mune pour les questions finan-cières, l'entretien, les impôts.

C'est en anticipant que l'onpeut faire une vraie collabora-tion de gestion entre deux com-munes, alors même que les cou-leurs politiques ne sont pas for-cément unies.

Avec les évolutions écono-miques qui se dessinent, lasociologie de Esch risque de setransformer… N'y a-t-il pasun risque de choc des cultures?

Esch a toujours accepté lesnouveaux venus, ils se sont tou-jours bien adaptés. Alors quenombre de ses habitants ne sontpas Luxembourgeois, alors que

la situation économique est diffici-le, la ville a continué de fonction-ner. Cela sera la même chose pourles friches. Le fait est que nous nevoulons pas abandonner notre his-toire, mais que nous fonctionnonscomme nous l'avons fait depuis desdécennies: on n'abandonne pas, onintègre.

Ancienne ville des mineurs, Eschest une ville 'traditionnellementsocialiste'. Quel élan particuliera donné cette gestion 'à gauche' àla région?

Nous avons toujours bougé.Nous ne voulions pas rester oùnous étions, tout en respectant

l'histoire et les traditions d'une villeouverte et sociale. C'est cela, larecette du succès. Dans les années70, le slogan de la ville, c'était'Esch bouge'. C'est un slogan connuqui dit la vérité: il n'y a pas dedécadence sociale, nous n'avonsjamais renoncé aux tarifs bon mar-ché du théâtre, nous n'avons jamaisnégligé les infrastructures. Nousavons toujours cherché des nou-veaux challenges! �

(1) "La plupart des habitants deLuxembourg ne se sont jamais rendus àEsch. Ce n'est pas plus surprenant d'en-tendre un Eschois dire qu'il ne s'estjamais rendu à Luxembourg. Celui quis'en étonne ne peut qu'être deLuxembourg"

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“La perspective den’avoir qu’une mégapole

entre Luxembourg etEsch ne me plaît pas”

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� La conjoncture toussotante quenous connaissons actuellement conduitindubitablement chaque acteuréconomique à limiter considérablementses frais. Aussi, pour atteindre le clientpotentiel, le marketing direct semble lasolution la plus appropriéePHOTO DAVID LAURENT (BLITZ)

Pourquoi privilégie-t-onle marketing directen temps de crise?

case study: marketing direct

Alert SMSEric Tormen, Directeur

En cas de ralentissement économique, les entreprisesprivilégient souvent le marketing direct face auxmédias traditionnels. Pourquoi?

L’économie est changeante. Les mutations s’accélè-rent; l’environnement est de plus en plus imprévisibledans un contexte économique porté par les événementspolitiques et sociologiques mondiaux.Dans cette situation, les entreprises doivent intégrer leschangements, comprendre et anticiper les comporte-ments, mais aussi répondre à une logique d’entrepriseoù les acteurs financiers exigent de plus en plus desrésultats à court terme.

Je crois alors que, dans ce contexte, le marketing

direct constitue une démarche complémentaire auxmédias traditionnels, pour répondre à des exigences deréactivité et conduire des actions très opérationnelles,immédiatement rentables.

Mesurer les changements à la source, fidéliser oucapter un client: voilà autant de situations où le marke-ting direct devient un vecteur d’efficacité et une excel-lente solution de support de l’action commerciale.

Quelles sont les dernières innovations du marketingdirect? Les consommateurs sont-ils friands de cetype de promotion des ventes?

La voie postale et l’e-mailing sont les deux moyensles plus courants pour adresser une opération de mar-keting direct. Depuis l’année 2002, le SMS est unesolution qui se développe; elle a déjà intégré de nom-breux programmes de marketing direct et c’est elle�

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case study: marketing direct

� qui enregistre aujourd’hui la plus forte crois-sance.

Cette nouveauté est bien entendu une conséquence dusuccès du SMS lui même, en particulier auprès desjeunes. Ce sont en effet plus de un milliard de SMS quis’échangent tous les jours dans le monde !

Toutes les agences de communication ont aujourd’huiune stratégie SMS et 56% des Directions Marketingenvisagent de conduire une campagne de MarketingMobile d’ici fin 2003 (cf. Forrester Research).Il n’en reste pas moins vrai que le succès d’une opéra-tion de marketing direct dépend toujours de la qualité dela cible et de la pertinence du message. Le consomma-teur réagit directement sur l’intérêt que présente le mes-sage qu’il reçoit, au moment où il le reçoit.

Bien utilisé, le SMS est à ce titre le moyen le pluspercutant !

Buromex S.A.Bearzatto Remo, Responsable Communication

En cas de ralentissement économique, les entreprisesprivilégient souvent le marketing direct face auxmédias traditionnels. Pourquoi?

D'une part, le marketing direct est beaucoup plus ren-table d’un point de vue économique, et ce en particulierà cause de la suppression des intermédiaires. D’autrepart, le marketing direct nous permet de mieux cibler lesprospects contrairement aux medias traditionnels, qui netiennent pas compte des différents paramètres de sélec-tion.

Quelles sont les dernières innovations du marketingdirect? Les consommateurs sont-ils friands de cetype de promotion des ventes?

Tout le panel des produits dérivés d’Internet et de latechnologie GSM De plus en plus, le consommateur sesensibilise à ces nouveaux medias, en particulier les plusjeunes.

Pro forum, event&marketing servicesMarc Kalmus, Administrateur

En cas de ralentissement économique, les entreprisesprivilégient souvent le marketing direct face auxmédias traditionnels. Pourquoi?

Je pense que dans un contexte de ralentissement éco-nomique, le marketing direct est une méthode qui per-met un meilleur ciblage de la clientèle, ciblage qui, d'unautre côté, devient bien plus évident à gérer. En outre, laclientèle semble commencer à adopter de mieux enmieux cette démarche de communication directe.

Enfin, le marketing direct offre la possibilité de réali-ser une communication très personnalisée et donc tou-cher l'entreprise ou la personne visée individuellement.

À noter également que le marketing direct ne se caractéri-se pas seulement par des envois ou mailings. Il englobechaque possibilité (manifestations, incentives, etc.) decommuniquer en direct avec le client.

Quelles sont les dernières innovations du marketingdirect? Les consommateurs sont-ils friands de ce type depromotion des ventes?

Différentes nouvelles méthodes sont utilisées pour lesopérations de marketing direct. Il y a, entre autres, lescadeaux, les bons de réduction, les jeux et les objets interac-tifs. Il faut attirer la curiosité et augmenter le temps consa-cré au message véhiculé par ce même objet. Citons encorele SMS, qui se développe de plus en plus, mais semble toutde même plus adapté aux jeunes.

Toutefois, quelque soit la méthode utilisée, le plus impor-tant est de ne pas inonder le client d'une multitude d'opéra-tions mais plutôt de privilégier la qualité du message et dusupport. Un message personnalisé aura un tout autre impactqu'un envoi standard et anonyme, ce sera donc un des cri-tères essentiels d’un marketing direct efficace.

Transcom WorldWideKirsten Sand, Corporate Marketing Coordinator

En cas de ralentissement économique, les entreprisesprivilégient souvent le marketing direct face aux médiastraditionnels. Pourquoi?

En cas de ralentissement économique deux facteurs pri-ment: relancer l'activité au plus vite et réduire les coûts.Ainsi, l'expérience acquise par Transcom assure une mise enplace rapide et peu coûteuse de ces campagnes de marketingdirect. Le retour sur investissement pour les entreprises quis'orientent vers ses solutions est donc significatif en cettepériode de ralentissement économique. Transcom permetdes gains de productivité, d'efficacité et de flexibilté au seulbénéfice de l'entreprise utilisatrice, en développant des ser-vices aussi divers que les secteurs d'activité sont multiples.

Quelles sont les dernières innovations du marketingdirect? Les consommateurs sont-ils friands de ce type depromotion des ventes?

La technologie dans le domaine du marketing direct esten constante évolution. Les consommateurs sont toujoursplus exigeants et attirés par des solutions apportant gains detemps et efficacité. Transcom innove tout particulièrementdans la mise en place de solutions adaptées et de qualité,permettant une réponse ajustée aux demandes des entre-prises et de leurs clients.

Télévente, helpdesk, gestion des réclamations, fidélisa-tion, télérecouvrement,... autant de missions que Transcomsait réaliser pour satisfaire les clients d'entreprises à larecherche de solutions virtuelles.

La relation clients à distance que développe Transcomconsiste à créer de la proximité sans être obligatoirementproche du client: c'est une réponse adaptée aux besoins desconsommateurs, que ce soit des particuliers ou des profes-sionnels. �

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� Vive les traditions! Tous les 6 mois, paperJam vousprésente les derniers modèles de téléphones disponiblessur le marché. Il est probable qu'avec le lancement del'UMTS et le déploiement du GPRS, nous pourrons vousprésenter de grandes nouveautés pour l'hiver prochain!En attendant, régalez-vous, la qualité est au rendez-vous… TEXTE VINCENT RUCK PHOTO FRÉDÉRIC DI GIROLAMO (BLITZ)

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case study: téléphones

Les derniersmodèles detéléphonesportables…

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AlcatelOneTouch 715Dimensions 116 x 43 x 20 mmPoids 88 gRéseaux GSM 900 / 1800, GPRSAutonomie jusqu'à 250 heures enveille, jusqu'à 6h30 en conversationÉcran 4 niveaux de gris, 100 x 150pixelsSonneries polyphoniquesConnectivité Infrarouges et câbleInternet WAP 1.2.1Messages SMS et EMS.

Si la marque est relativement dis-crète au Luxembourg, elle n'encontinue pas moins de proposer desterminaux intéressants. Premièrechose: l'écran, grand et lisible.L'interface utilise un petit 'joystick'à 5 directions, comme d'autre télé-phones. Il permet d'économiserquelques boutons, mais demandeune certaine 'pratique'.

MotorolaV70Dimensions 94 x 38 x 18.3mmPoids 83 gRéseaux GSM 900 / 1800, GPRSAutonomie jusqu'à 145 heures enveille, jusqu'à 2h35 en communica-tionÉcran Noir sur blancInternet WAPMessages SMS

Il est étonnant, le V70.Esthétiquement, il promet beau-coup. Avec son look hyper hi-tech,on s'attendait à avoir un condenséde technologie dans les mains. Àl'usage, c'est décevant. Le testeurde la rédaction a été déçu par uneinterface pas très intuitive, la limi-tation 'bi-bande' 900-1800, uncomble pour un fabricant améri-cain, et la saisie de SMS fastidieu-se. Du côté positif, on peut citer unecapacité mémoire de 1.000 numé-ros, sa capacité GPRS et son poidsléger.

Nokia3650Dimensions 130 x 57 x 26 mmPoids 130 g (batterie incluse)Réseaux GSM 900 / 1800 / 1900,HSCSD, GPRSAutonomie 2 à 4 heures en com-munication, 150 à 200 heures enveilleÉcran 4096 couleurs, 176 x 208pixelsSonneries Midi, WAVConnectivité Infrarouge, BluetoothInternet e-mail via SMTP, POP3,IMAP4Messages SMS long, MMS Camera Résolution 640 x 480,visée par l'écran du téléphone.

Le look du 3650 est pour le moinsfrappant. Les touches ont été dispo-sées en cercle autour des touchesde fonction, rappelant au passageles 'vieux' téléphones fixes. Il seprend bien en main, la qualité de laconversation est bonne. EtantGPRS, il permet l'échange de MMSet le téléchargement de vidéos à unrythme rapide.

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case study: téléphones

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Nokia 5100Dimensions 108,5 x 49,5 x 22 mmPoids 104 g(batterie incluse)Réseaux GSM 900 / 1900 / 1900,HSCSD, GPRSAutonomie 2 à 5 heures en conver-sation, 150 à 300 heures en veille, Écran 4096 couleurs, 128 x 128pixelsSonneries 21 sonneries polypho-niques MIDI, 10 sonneries mono-phoniquesConnectivité Infrarouge, câbleMessages SMS long, MMS

C'est le dernier 'indesctructible' dechez Nokia: le téléphone se veutimperméable à la poussière et auxchocs. La prise en main est fiable.Des options comme le thermomètreou la lampe torche sont inutiles surun GSM, mais permettent de jouerau baroudeur.

Nokia 9210iCommunicatorDimensions 158 x 56 x 27 mmPoids 244 gRéseaux GSM 900 / 1800, HSCSDAutonomie 4 à 10 heures en com-munication, 80 à 230 heures enveille, Écran 640 x 200Sonneries 30 préinstalléesInternet Web, WAP, e-mail viaPOP3, IMAP4, SMTPConnectivité IrDA, Ir-TranP etcâble (DLR-2L)Messages SMS, fax.Autres caractéristiques supporteentre autres choses les fichiersjoints Wva, HTML, Lotus 1-2-3,Microsoft Excel, MicrosoftPowerpoint, Microsoft Project,Microsoft Word, ZIP, RTF, imagesJpeg, Gif. Mémoire totale de 40Mo. Applications: 16 Mo.

Le Communicator, c'est le premierappareil à avoir proposé la fusionentre l'assistant personnel moderne(on peut écrire, surfer sur Internet,relever ses mails…). Son interfaceest au clavier, point de caméra,point de reconnaissance d'écriture,point de stylet, tout par le clavier etles boutons. Si cette manière degérer ce 'mini-ordinateur' peut ini-tialement surprendre, on s'y habi-tue très vite, pour au bout dequelques temps réussir à manipu-ler la chose à toute vitesse.

Panasonic GD 87Dimensions 97,5 x 48 x 23 mmPoids 103 gRéseaux GSM 800 / 1800 / 1900,GPRSAutonomie de 1h40 à 7h00 enconversation, de 75 à 220 heures enveilleÉcran 65 536 couleurs, 132 x 176pixelsSonneries 20 sonneries polypho-niques 16 canauxConnectivité Infrarouge, modemintégréInternet WAP 1.2.1Messages SMS

En voici un appareil impression-nant. Grand écran, un appareilphoto intégré, des tonnes d'options,une autonomie respectable, dessonneries polyphoniques qui res-semblent à des tubes discos, toutest là pour assurer le succès dumodèle. Il est tellement bien qu'enfait il n'y a plus grand chose àdire…

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case study: téléphones

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Siemens Cl 50Dimensions 73 x 39 x 22 mmPoids 70 gRéseaux GSM 900 / 1800Autonomie jusqu'à 220 heures enveille, jusqu'à 4h30 en conversationÉcran 4 niveaux de grisSonneries 20 sonneries polypho-niquesConnectivitéInternet WAP 1.2.1Messages SMS, EMS

Sur le site Internet, Siemens annon-ce la couleur: "For women only".Le Cl 50 est le poids plume denotre article. Touti rikiki, etpresque maousse. Il assure lesfonctions essentielles que l'ondemande à un téléphone, et ne s'en-combre pas d'options multimédia etde superflu, avec un look attirant.Une limitation, cependant: le cla-pet inspire quelque inquiétude –peut-être injustifiées – et l'on craintpour sa survie à long terme.

Siemens M50Dimensions 109 x 46 x 23Poids 97 gRéseaux GSM 900 / GSM 1800,GPRSAutonomie jusqu'à 6 heures enconversation, jusqu'à 260 heures enveilleÉcran 101 x 64 pixelsSonneries 20 mélodiesConnectivité Internet WAP 1.2.1Messages SMS, EMS

Siemens est une marque surprenan-te dans le domaine du mobile. Sesappareils ont pour la majorité faitle choix de la simplicité, avec uneinterface qui chez d'autres marquesseraient excessivement sobre. Lesterminaux, par contre, sontsimples, compacts, a priori solides,et plutôt esthétiques, version sobreet haut de gamme. Le M50, c'esttout à fait ça! Il a tout, mais il estdiscret et mérite un bon succès.

Siemens S55Dimensions 101 x 42 x 18 mmPoids 85 gRéseaux GSM 900 / 1800 / 1900,GPRSAutonomie jusqu'à 288 heures enveille, jusqu'à 6 heures en conver-sationÉcran couleur, 101 x 80 pixelsSonneries polyphoniques 16 voixConnectivité bluetooth, infrarougeInternet WAP 1.2.1Messages SMS, EMS, MMS

Camera QuickPic Camera IQP-500, 2 résolutions: 160 x 120 pixelsou 640 x 480 pixels, alimentationet stockage des images dans lamémoire du téléphone.Dimensions: 66,2 x 42,8 x 18,3mm. Poids: 35 g, flash embrayable

Histoire de ne pas se laisser décro-cher par les concurrents qui ontdéjà un appareil avec appareilphoto dans leur gamme, Siemenspropose une configuration origina-le: la caméra se branche sur lecorps de l'appareil photo, on n'estpas condamné à la traîner partoutet tout le temps. Le manufacturieren profite pour la doter d'unflash… malin!

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case study: téléphones

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Sony – EricssonP800Dimensions 117 x 59 x 27 mmPoids 158 gRéseaux GSM 900 / 1800 / 1900,HSCSD, GPRSAutonomie jusqu'à 13 heures enutilisation, jusqu'à 400 heures enveilleÉcran 4096 couleurs, 208 x 320pixels (clapet ouvert), 208 x 144pixels (clapet fermé)Sonneries polyphoniquesConnectivité bluetooth, infrarou-ge, câbleInternet POP3, IMAP4, SMTP,HTMLMessages SMS, EMS, MMS

Camera trois résolutions: 640 x480, 320 x 240, 160 x 120, 16 mil-lions de couleur.

C'est dernière digression en dateautour du thème du GSM qui peutfaire PDA en même temps. Sonbonus à lui, c'est qu'il a un appareilphoto en plus. À l'usage, c'est luiqui gagne, devant le Treo et leCommunicator. Son interface,après un petit temps d'adaptation,devient intuitive, cumulant lesavantages d'un clavier et d'unemanipulation par stylet. Stylet: ondirige l'interface quand nécessaire,pour prendre des rendez-vous. Onpeut écrire en dessinant les carac-tères sur l'écran tactile. Mais onpeut également faire s'afficher unclavier virtuel sur le grand écran.Comme ses camarades, il bénéficied'une autonomie impressionnante.

Sony-EricssonT100Dimensions 99 x 43,5 x 17,7 mmPoids 73 gRéseaux GSM 900 / 1800Autonomie 200 heures en veille,4h30 en communicationÉcran 4 niveaux de gris, 101 x 67pixelsSonneries polyphoniquesInternet WAP 1.2.1Messages SMS, EMS

Voici une autre interprétation duGSM "simple mais efficace". Ici,point d'excès technologiques, onfabrique un téléphone. Un vrai.Petit, une bonne autonomie, pastrop de chichis et d'options hasar-deuses. Il trouvera fatalement saplace, il ne faut pas en douter!

Treo 270Dimensions 108 x 71 x 21 mmPoids 153 grammesRéseaux GSM 900 / 1800, mise àjour GPRS possibleAutonomie Jusqu'à 3 heures encommunication, jusqu'à 150 heuresen veilleÉcran 4000 couleursSonneriesConnectivité Infrarouge, câbleInternet HTML, POP3Messages SMS, Autres caractéristiques clavierAzerty, PalmOS 3.5.2H

Le Tréo est une autre dissertationautour du thème Téléphone +Assistant personnnel. Il possèdetoutes les qualités des Palm Pilot,dont il possède le système d'exploi-tation. Ici, la reconnaissanced'écriture a été supprimée, et rem-placée par un petit clavier. Le sty-let et l'écran tactile sont là pournaviguer d'un endroit à un autredans l'appareil. Ceci posé, il n'estpas encore au point.Paradoxalement, on lui préfèreencore le Communicator, pourtantplus encombrant et plus lourd.Mais c'est un point de vue subjec-tif! Car il possède les moyens de sedéfendre, dont une option 'toutebête' mais très intelligente: on peutdébrancher le mode GSM, tout engardant l'appareil allumé, pourprendre des rendez-vous en pleineréunion par exemple… Et l'on peutégalement basculer du mode silen-cieux au mode 'bruyant' par unsimple bouton externe. Malin etrapide. �

B2B Only102 paperJam 06.2003

case study: téléphones

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DELARUE 05.05.2003 20:58 Uhr Seite 1

Sur la place financière luxem-bourgeoise, si les établissements decrédit figurent en première ligne dèsque le sujet du blanchiment d'argentest évoqué, il ne faut évidemment pasnégliger les autres professionnels dusecteur financier. À commencer parles compagnies d'assurance, qui sonttout de même une petite centaine auGrand-Duché, entre les entreprisesde droit luxembourgeois, les succur-sales étrangères et les caisses de pen-sion.

Les chiffres publiés dans le rap-port d'activité pour 2001 et 2002 dela Cellule de renseignement financier(CRF) du Parquet de Luxembourg nemanquent d'ailleurs pas, à ce sujet,

d'un certain intérêt. On y apprend,ainsi, que le nombre de déclarationsd'opération suspecte émanant desentreprises d'assurance duLuxembourg ont été au nombre de49 en 2001 et sont passé à 95 en2002. C'est la deuxième "source" dedéclaration la plus importante aprèsles établissements de crédit (265déclarations en 2001 et 375 en 2002,mais dont la moitié est concentréeauprès de 11 établissements).

Faut-il y voir, dans ce quasi dou-blement des déclarations suspectes,une simple donnée statistique à qui ilest facile de faire dire ce que l’onveut, surtout en période de visited’évaluation du Fonds monétaire

international? Ou bien est-ce le signed’un réel accroissement de la vigi-lance des opérateurs? Sans doute unpeu des deux. Doit-on s’imaginerque la situation est aussi noire queces chiffres pourrait le laisser croire?Certainement pas.

Rappels à l'ordre Que l'assurance vie soit un terrain

propice au recyclage d'argent sale estune chose avérée (voir encadré page107). Que la pratique soit répandueen toute impunité en est une autre."Même le FMI, lors de sa dernièrevisite d'évaluation, a mis en avant leplan d'action en vigueur au �

Dossier104 paperJam 06.2003

� Le secteur des assurancesn’échappe évidemment pas àla lutte contre le blanchiment.Une nouvelle loi est même surle point de la renforcer davantageTEXTE JEAN-MICHEL GAUDRON PHOTO DAVID LAURENT (BLITZ)

Encorepluspropre

dossier: assurances

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� Luxembourg, même s'il a insistépour que les efforts soient soutenus"se réjouit Victor Rod, Directeur duCommissariat aux Assurances luxem-bourgeois, organe de surveillance dusecteur et, par la même, responsablede la mise en œuvre et du contrôle desdispositions de lutte contre le blanchi-ment. "Ces derniers temps, nousavons fait beaucoup d'efforts vis-à-visdes assureurs afin qu'ils se montrentplus vigilants. Il faut bien voir aussique depuis les événements du 11 sep-tembre 2001, le monde n'est claire-ment plus le même. On ne parled’ailleurs plus uniquement de blan-chiment, mais aussi de financementdu terrorisme" rappelle-t-il.

Ainsi, le 30 novembre 2001, leCommissariat aux Assurances émet-tait-il une lettre-circulaire concer-nant l’étendue des obligations pro-fessionnelles en matière de luttecontre le blanchiment et l’utilisationdu secteur des assurances à de tellesfins. Il y était notamment rappelé(étant entendu que les dispositionsétaient dans les textes depuis pas mald'années déjà...) que tout employé oudirigeant d’une entreprise d’assuran-ce vie était tenu d’informer leProcureur d’Etat – ainsi que, parallè-lement, le Commissariat – de toutindice suspect, qu’il y ait eu, ou non,conclusion d’une relation d’affaireeffective.

Ce rappel à l’ordre signifie-t-il queles assureurs agissaient jusque-là aveclégèreté? "Sans doute certains secontentaient-ils d’éconduire d’éven-tuels clients suspects, sans plus" esti-me M. Rod. Une analyse complétéepar celle de Pit Hentgen, PrésidentDirecteur Général du groupe LaLuxembourgeoise : "Jusqu’alors,c’est surtout le bon sens qui avaitprévalu. Sans doute, par la suite, y a-t-il eu quelques excès dans certainesdémarches. Il faut tout de même bienavoir à l’esprit que le secteur finan-cier luxembourgeois a, depuis unequinzaine d’années, une réelle cultu-re anti-blanchiment et que l’on estdéjà allé très loin sur la question". �

Dossier 105paperJam 06.2003

dossier: assurances

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tile, dans un premier temps, à cetélargissement. Cela nous étonnait etnous causait quelques soucis, carnous considérions que faire du blan-chiment en non vie impliquait desartifices énormes. Sans compter quecela ne peut probablement que s’ac-compagner d’une autre infraction: lafraude à l’assurance".

En plaçant la barre suffisammenthaut, le législateur souhaite sansdoute, plus que jamais, montrer auxautres pays que la place financièreluxembourgeoise est à la pointe enmatière de lutte contre l’argent sale ettenter de couper court à toute"attaque" qui irait dans le senscontraire. "Cette idée d'intégrer aussil'assurance non vie s'inscrit parfaite-ment dans cette volonté de donner lameilleur image possible duLuxembourg et de se démarquer parrapport aux autres pays européens. Ils'agira d'une raison de plus pour biennous prendre au sérieux" estime ainsiPierre Mersch, Managing Directord'ASPECTA Assurance InternationalLuxem-bourg qui n'est, certes, pasdirectement concerné par ce voletnon-vie, mais y perçoit l'impact quecela aura sur l'ensemble du secteur.

Mais attention: ne dit-on pas quequi trop embrasse, mal étreint? "Ilfaut ainsi se préserver d’un autredanger, prévient ainsi Pit Hentgen:celui de bloquer complètement lefonctionnement des entreprises parles procédures qui seraient troplourdes et disproportionnées par rap-port à leur finalité. On ne peut toutde même pas envisager d’équipertout notre réseau de photocopieuses!Il faudra donc que les autorités pren-nent soin de ne pas réguler la matiè-re de manière trop excessive".

Il s’agit là, clairement, d’une des

� Et cette volonté de toujours fairemieux est loin d’être en berne, puis-qu’un projet de loi est actuellement encours d’élaboration et va bien plus loinque la seconde directive européenneanti-blanchiment qu’il est censé transpo-ser. Le texte est déjà passé entre lesmains du COPILAB (Comité de pilota-ge pour la lutte contre le blanchiment),l’organe créé à la demande du gouverne-ment, présidé par Jean-Nicolas Schaus,directeur de la Commission de sur-veillance du secteur financier. Le rôle dece comité est de conseiller le gouverne-ment dans la formalisation de sa poli-tique anti-blanchiment et de veiller à ceque cette politique soit mise en œuvredans une approche commune et coor-donnée. À l’heure où nous clôturionscette édition de paperJam, le ministre duTrésor et du Budget, Luc Frieden, étaitsur le point de présenter le projet de loià la Chambre des Députés.

Dans ce texte, les dispositions prisesen matière de lutte contre le blanchimentdans le secteur de l’assurance-vie sontprévues d’être également appliquées ausecteur non-vie. Plus précisément, l’éta-blissement de contrats prévoyant, sousune forme ou une autre, une restitutionde prime, devrait être désormais soumisà une obligation d’identification du pre-neur du contrat, avec obligation d’archi-vage des ces données. Quant auxcontrats d’assurance-vie, l’identificationdevrait s’appliquer également, outre lepreneur, au bénéficiaire du contrat.

Attentionaux excès de zèle

"Les discussions à ce sujet ont ététrès serrées avec le Commissariattémoigne Paul Hammelmann, conseillerjuridique de l’Association des compa-gnies d’assurances à Luxembourg, hos-

principales revendications avancéespar les assureurs, qui ne souhaitent pasque le texte en cours d’élaboration, aitplus d’implications négatives quepositives. Mais aux yeux de certains,cette crainte de "tuer le commerce"n'est pas forcément justifiée."Ponctuellement, il pourra certes arri-ver, dans un ou deux cas, de ne pasconclure de contrat en raison de cettelourdeur note Marc Stevens, Directeurcommercial de VITIS LifeLuxembourg. Mais au final, si notreréputation est celle d'une entrepriserigoureuse qui lutte efficacementcontre tout risque de blanchiment,alors cela constituera une valeur ajou-tée certaine. Et il en va de même pourl'ensemble de la Place".

Cela n'empêche pas PaulHammelmann de rester un rien cir-conspect sur la façon dont serontappliquées les nouvelles obligationslégales en cours d'élaboration: "Il fautbien évidemment que l’assurance restefaisable et ne pas paralyser tout le sys-tème. Il faudra donc procéder selonune approche de bon sens pour quecela fonctionne au mieux, en ayant àl’esprit que nos contrats vie et non-viesont, en règle générale, tout de mêmeparfaitement honnêtes! Dans tous lescas, les assurés ont droit à l’argent quileur est dû de manière rapide etsimple. Tout est, ensuite, une questiond’interprétation des textes".

Du côté des assureurs, on ne voitpas forcément d’un mauvais œil lamise en place de nouvelles disposi-tions, même si tout ne se fera pas dujour au lendemain. "En matière d'as-surance vie, nous avons des standardsrelativement rigoureux et la nouvelleloi telle qu'elle se profile ne devraitpas changer grand chose expliqueBruno Gossart, Compliance Officer�

Dossier106 paperJam 06.2003

dossier: assurances

“Il est nécessaire que nous,les professionnels, jouions le jeu”DIDIER BOSSICART,SWISS LIFE (LUXEMBOURG)

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Typologie

Blanchiment, mode d’emploi

Deux cas particuliers d'opérations douteuses sont mis en avant dansle rapport de la Cellule de renseignement financier (CRF) du Parquetde Luxembourg. Le premier concerne un courtier en assurance quiconvient, avec un client français, de signer, en son nom, un contratd'assurance vie avec une compagnie de la place pour un montant de35.000 Euro. Dans le même temps, ce courtier souscrit, à l'insu deson client, mais toujours en son nom, une police supplémentaire pourun montant similaire, auprès d'une autre compagnie d'assurance, enversant lui-même l'argent pour ce second contrat. Ainsi, ce courtierinjecte des capitaux dans le circuit officiel en utilisant la légitimité desfonds de son client français. Second cas décrit par les spécialistes de la lutte anti-blanchiment:celui d'une compagnie d'assurance vie recevant, sur un compte sous-cripteur, plusieurs millions d'Euro d'un résidant du Sultanat d'Oman.Problème: aucun document justifiant l'opération n'est fournie à lacompagnie d'assurance, laquelle est informée qu'il s'agit, en fait,d'une souscription effectuée pour un tiers et que les justificatifs vontsuivre ultérieurement, ce qui n'a bien évidemment jamais été le cas.Entre temps, le souscripteur demande finalement le remboursementde la mise sur un de ses comptes auprès d'un établissement de cré-dit de la Place. "On peut admettre que les contrats d'assurance vie luxembourgeoisconstituent l'étape finale dans le processus de blanchiment. Lesprimes versées sur les contrats d'assurance vie ouverts auLuxembourg s'élèvent à un montant de 1.000.000 EUR" explique lerapport de la CRF. Une analyse complétée par Victor Rod, directeur du Commissariataux assurances luxembourgeois : "L’assurance peut effectivementêtre un véhicule assez aisé de blanchiment, en particulier au traversdes contrats d’assurance vie. Certains modus operandi ne trompentpas: le rachat impromptu d’un contrat, après seulement quelquesmois d’existence, ou bien un contrat à prime unique plutôt qu’à primesuccessive. Mais cela ne veut évidemment pas dire que de telles opé-rations sont systématiquement douteuses. Elles appellent simplementà plus de vigilance".À noter que pour l'ensemble de la place financière, près d'un quartdes déclaration suspectes effectuées a effectivement débouché surun constat d'opérations frauduleuses relevant d'activités criminelles.Pour le seul secteur de l'assurance, en l'absence de chiffres spéci-fiques, ce même pourcentage de 25% est généralement admis. "Cequi est ennuyeux, c'est qu'à chaque fois qu'il y a déclaration, on nereçoit pas de feed back particulier en provenance du Parquet, qui secontente d'un simple accusé de réception regrette PaulHammelmann. Il serait en effet souhaitable que l'on sache ensuite àquoi nous en tenir: doit-on cesser toute transaction parce que lesoupçon est confirmé? Dans le cas contraire, nous devons respecternos obligations en matière de service au client, sous peine de voirengagée notre responsabilité". �

� chez Fortis Luxembourg Assuran-ces. En revanche, pour la partie non-vie, il va de soi que le timing de traite-ment de chaque dossier sera rallongéde fait. Mais nous sommes une entre-prise multi-réseau et c’est aussi à noscourtiers indépendants et nos parte-naires bancaires de procéder au ren-seignement des dossiers. Nous n'hési-tons d’ailleurs pas à faire pression sureux pour que tous les documents quinous parviennent soient parfaitementexploitables, quitte à refuser de colla-borer avec un intermédiaire qui ne res-pecterait pas ses obligations".

Cet aspect "temporel" est égalementévoqué par Pit Hentgen, alors mêmeque La Luxembourgeoise, à l’instar deses consœurs, s’apprête à redéfinir etréécrire l’ensemble de ses procédureset à en faire part au Commissariat."Mettre en place de nouvelles disposi-tions ne sera pas forcément coûteux,mais c’est, ensuite, plutôt en terme dedélais d'implémentation qu’il faudraraisonner: peut-être devrons nous subirun coût d'opportunité, avec le risque dene pas conclure de contrats parce queles ayants droits auront trop tardé àfournir les pièces justificatives ou bienauront trouvé le formalisme trop exa-géré".

Lutte anti-blanchiment, mode d'emploi

Mais la bonne réputation de la placefinancière est sans doute à ce prix :"Même si le cadre est plutôt contrai-gnant, il constitue une réelle valeurajoutée pour l’ensemble de la Placeestime Didier Bossicart, Sales &Marketing Director chez Swiss Life(Luxembourg). Il est donc nécessaireque nous, les professionnels, jouions lejeu".

Si chaque entreprise d’assurancedispose de ses propres procédures pourlutter contre le blanchiment, les pra-tiques mises en œuvre ne sont pas fon-cièrement très différentes d’un assureurà l’autre. Chez Swiss Life(Luxembourg), par exemple, le contrôles’effectue à trois niveaux, le premierétant celui de l’apporteur d’affaires. "Ilest tenu d'effectuer une vérification surl’identité des parties au contrat ainsique de l'origine des fonds. Cette pre-mière étape se fait indépendamment denotre propre intervention explique �

Dossier 107paperJam 06.2003

dossier: assurances

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� Didier Bossicart. Dans une deuxiè-me étape, nous faisons remplir un for-mulaire ‘Identification de l'ayant droitéconomique’, sur la base d'une vingtai-ne de questions assez précises qui per-met une nouvelle fois de préciser l'origi-ne des fonds. Enfin, le dossier est étudiéau niveau d'un comité d'acceptation".

Swiss Life (Luxembourg) disposed’une cellule anti-blanchiment interne,qui a en charge de traiter tous les dos-siers de déclarations suspectes, lesquelssont ensuite, le cas échéant, transmis auniveau de la direction générale. C’estégalement cette cellule qui assure la for-mation de tout nouvel employé, en luiindiquant les procédures à suivre et enlui demandant de s'engager formelle-ment à respecter toutes ces démarches.

Très souvent, cette première

"couche" d'intermédiaires constitue unvéritable "filtre", un "pare-feu" pour lesassureurs, qui peuvent espérer n'avoirensuite à traiter que des dossiers"propres". Illustration chez VITIS LifeLuxembourg "Nous avons desconsignes très strictes auprès de nosintermédiaires et de nos employésconfirme Marc Stevens. Il est de notrerôle de les responsabiliser au maxi-mum et il nous est d'ailleurs déjà arri-vé de rompre des relations avec cer-tains d'entre eux qui ne voulaient passuivre nos procédures".

Du côté de Fortis LuxembourgAssurances, les questions liées au blan-chiment sont un des domaines de pré-dilection du Compliance Officer,Bruno Gossart, qui intervient en boutde chaîne du processus de contrôle:

"À la base, nous procédons à une identifi-cation systématique du souscripteur d'uncontrat d'assurance vie qui s'appuie surdes produits financiers, quel qu’en soit lemontant, avec copie de sa carte d'identité.Ensuite, nous faisons remplir un rapportconfidentiel de vérification de l'origine desfonds. Il s'agit d'un document de troispages à remplir par le souscripteur et quirenseigne sur ses relations avec le bénéfi-ciaire économique, sur la nature de l'opé-ration, son but et l'origine des fondsapportés".

Ce n’est qu’après cette étape que ledossier complet est transmis à l'entité juri-dique de Fortis Luxembourg Assurances -indépendante de l'entité commerciale - quitraite environ 200 dossiers par mois. "Enmoyenne, nous procédons à une déclara-tion suspecte par an. Mais jusqu'à présent,nous n'avons jamais constaté de suitesjudiciaires particulières à ces déclara-tions" témoigne M. Gossart.

Parmi les moyens de limiter au maxi-mum tout risque d’opération suspecte, il ya le refus de recevoir des versements deprime en espèces. C’est, par exemple, lecas chez ASPECTA AssuranceInternational Luxembourg, qui traitequelque 300 dossiers de souscription parsemaine, et qui est d’autant plus concernéepar le sujet que sa clientèle est presqueexclusivement internationale: "Seuls lesvirements bancaires ou les chèques sontacceptés confirme Pierre Mersch,Managing Director. De même, nous refu-sons à nos courtiers d'accepter de l'argentliquide. Dans une seconde étape, nous pro-cédons, chaque semaine, à une vérificationde nos bases de données client, en lescomparant à la liste des noms des per-sonnes suspectes transmises par leCommissariat aux Assurances, le Parquetde l’Arrondissement du Luxembourg, laCSSF, etc. Nous disposons, en interne,d’un réseau d'archivage électronique quinous simplifie ce contrôle. Ces procéduresne sont pas tellement contraignantes, carelles s'intègrent parfaitement dans notretravail journalier. Nous vérifions systéma-tiquement l’identité de chaque client, quelque soit le montant versé, souscrivant unepolice d’assurance auprès de notre com-pagnie". A noter, enfin, que l’ALCO (l’Associationluxembourgeoise des Compliance Officers),forte de représentants de plus de 60 éta-blissements de la Place, vient de lancerune section propre au secteur de l’assu-rance, dont l’activité s'étend au-delà desfrontières. �

Dossier108 paperJam 06.2003

dossier: assurances

“Le secteur financier luxembourgeois a,depuis une quinzained’années, une réelle culture anti-blanchiment.On est déjà allé très loinsur la question”PIT HENTGEN, LA LUXEMBOURGEOISE

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Dans le grand petit monde de la finance, banquiers etassureurs rivalisent de gigantisme, depuis quelquesannées, afin de constituer des pôles intégrés suscep-tibles d'offrir des services dans ces deux secteurs d'acti-vité, à la fois si proches et si éloignés. Si, pour certains,cette tendance au développement du concept de "ban-cassurance" a été plutôt une réussite (on pense, parexemple, aux plus "anciens" comme Fortis ou bienING), c'est loin d'être le cas pour tout le monde et lessommes englouties dans ces grandes opérations defusion/acquisition ne sont pas prêtes d'être amorties.

"Il est évident qu'il existe des synergies entre les deux

secteurs, mais dans certains cas, elles ont été largementsurpayées, aussi bien lorsque des assureurs ont rachetédes banquiers que le contraire. Les espoirs de rendementont été surestimés et la facture s'en est ressentie enconséquence" constate d'ailleurs François Tesch, prési-dent du Comité de direction du Groupe d'assurances LeFoyer.

Reste que la frontière entre les deux activités est loind'être toujours clairement marquée: "De nos jours, lesproduits d’assurance-vie appliquent également les tech-niques financières déjà utilisées dans les produits ban-caires remarque Marc Stevens, Directeur commercial �

� Produits bancaires et produitsd'assurance: le choix nemanque pas pour l'investisseur,même s'il n'est pas toujours trèsaisé. TEXTE JEAN-MICHEL GAUDRON PHOTO DAVID LAURENT (BLITZ)

Assuranceou banque,que choisir?

dossier: assurances

Dossier110 paperJam 06.2003

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dossier: assurances

Dossier 111paperJam 06.2003

� chez VITIS Life Luxembourg. Peut-être, demain,les investisseurs ne verront plus aussi distinctement dedifférences entre les deux types de produits, mais aurontune vision plus générale de services ou produits finan-ciers qui seront alors distribués par l'un ou l'autre canalde distribution".

Identifier les besoinsL'un des "inventeurs" de l'approche bancassurance

telle qu'on la connaît aujourd'hui, est, donc, ING,Internationale Nederlanden Group, qui est né, dans les

années 80, de la fusion entre l'assureur Nationale-Nederlanden et la banque NMB Postbank Groep. "Celarépond à une certaine logique, puisque les deux pro-duits sont tout de même similaires: avoir un compte enbanque, c'est mettre de l'argent de côté; souscrire unepolice d'assurance, c'est aussi se mettre de l'argent decôté pour ne pas être mis en difficultés expliqueChristian Steeno, Administrateur Délégué d'ING LifeLuxembourg, la société d'assurance-vie adossée augroupe ING Luxembourg (voir aussi page 030) et dontl'activité se concentre sur les produits destinés au réseauintra-groupe. Le but n'est pas de nous substituer à la �

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dossier: assurances

� banque, mais d'offrir une réelle valeur ajoutée auxproduits bancaires. Et on ne peut y parvenir qu'au tra-vers d'une présence directe, sur le terrain. Le vecteurcommercial reste le réseau retail. C'est le réseau ban-caire qui demeure le réseau dominant et qui accueille lesproduits d'assurance".

De l'autre côté de la barrière se trouve le client, l'in-vestisseur, à qui se présente, donc, un choix relativementvaste d'opportunités de placements étant entendu que laréflexion concerne, pour ce qui est de l'assurance, laseule activité "vie". Abondance de biens ne nuit pas,certes, mais il peut, à l'inverse, arriver qu'on ne s'yretrouve plus facilement entre ces deux univers, mêmes'ils sont occasionnellement reliés par des passerellesplus ou moins visibles. "Le principe du one-stop-shop-ping ne peut être qu'une bonne chose pour un client qui,de toute façon, est bien plus mature, bien mieux informéqu'il y a 20 ans" remarque René Van den Bosch,

Directeur général de VITIS Life Luxembourg, qui consta-te que c'est tout le business model qui a évolué au fil desans: d'une relation exclusive entre un courtier (ou agent) etson client, on est ainsi passé à une configuration "multi-channel" qui fait que cette relation n'est plus qu'un moyende communication parmi d'autres. Aujourd'hui, c'est biensouvent le client qui décide de quand et comment il vacommuniquer et avec qui.

"Les deux métiers de banque et d'assurance vont tou-jours rester deux métiers différents tient tout de même àtempérer Pit Hentgen, Président directeur général du grou-pe d'assurances La Luxembourgeoise. Les réseaux de dis-tribution sont parfois les mêmes, mais la finalité de laconsommation de produits bancaires n'a rien à voir aveccelle de produits d'assurance. Maintenant, il est vrai que,spécifiquement, en assurance-vie, on s'approche très clai-rement du métier de banquier, par le biais de la collecte etde la gestion de l'épargne".

Tout démarre donc, évidemment, des besoins réels duclient, mais aussi des contacts plus ou moins privilégiésqu'il entretient avec son banquier ou son assureur. "Lemeilleur confident d'un client reste de toute façon son ges-tionnaire, qu'il soit banquier ou assureur constate Jean-Marc Robinet, Country Manager Benelux, responsabledes partenariats institutionnels pour Fortis LuxembourgAssurances. Il ne faut pas se contenter de vouloir gérerune certaine somme, mais le temps est révolu où l’on pou-vait se contenter de ne parler que de la gestion des actifssous l’angle des performances. Aujourd’hui, le clientattend plus de son gestionnaire. C’est la raison pourlaquelle il convient d’aller plus loin dans l’identificationdes besoins actuels et futurs du client en cultivant leréflexe de l’analyse patrimoniale globale. La personnali-sation du service passe désormais par cette approche. Lelieu de résidence du client, son régime matrimonial, l’en-vironnement fiscal, son souci de transmettre son patrimoi-ne de manière légale et transparente, etc, sont autant deparamètres à intégrer dans la réflexion que le gestionnai-re aura avec son client".

Aux yeux de Marc Stevens (VITIS Life Luxembourg),plus précisément, l'équation à résoudre comprend troisparamètres: "le produit, la distribution et les clients cibles.Le but est de trouver le juste équilibre entre le besoinfinancier initial de la clientèle et les services à valeurajoutée qu'on peut alors lui apporter".

Acheteur ou vendeur?On le sait bien, si le produit bancaire est en général

catalogué en tant que "produit acheteur", c'est-à-dire dési-ré par le client lui-même, les produits d'assurance, eux,sont plutôt "vendeurs": on s'assure par contrainte plus quepar volonté. De ce point de départ radicalement opposéenaît, fatalement, une approche sensiblement différente dela question. "Et puis il ne faut pas oublier que si lesconsommateurs ne rechignent pas à se rendre dans unebanque, il faut en général les convaincre d'engager unerelation avec un assureur. À ce titre, la banque quiaccueille l'assurance est plus optimale que l'assurance quiaccueille la banque" résume Christian Steeno (ING LifeLuxembourg). �

Dossier112 paperJam 06.2003

“Celui qui veutfaire en mêmetemps de labanque et de l'assurance adeux grands défisà relever”FRANÇOIS TESCH, LE FOYER

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dossier: assurances

� Peut-on, pour autant, parler de concurrence réelleentre banquiers et assureurs? Victor Rod, Directeur duCommissariat aux Assurances à Luxembourg, porte sur laquestion, un regard neutre: "Au niveau des réseaux de dis-tribution, oui, il y a clairement concurrence. Et il peutmême arriver que des entreprises d'assurance qui vendentdes produits dans des guichets d'un réseau bancaire fas-sent une concurrence à leur propre réseau d'agents! Pourle reste, je ne pense pas que l'on puisse vraiment parler deconcurrence directe pour ce qui est des activités en elles-mêmes."

A bien y regarder, en effet, il est clair qu'aucune banquene se permet de jouer véritablement à l'assureur, se limi-tant, finalement, à proposer à la vente des produits quisont, ensuite, traités par la compagnie d'assurance parte-naire. De même, aucun assureur ne procèdera directementà la gestion des actifs qui lui sont confiés, ce rôle étantdévolu à une banque ou un gestionnaire spécialisé. "Lechoix n'est donc pas aussi simpliste que cela note Jean-Marc Robinet (Fortis). Nous cherchons à mettre en avantle caractère complémentaire des partenariats entre ban-quiers et assureurs. C’est cette addition des compétencesdu banquier privé et de l’assureur qui justifient le termede 'privatbancassurance'. Il ne s'agit pas d'un produit,mais plus d'un concept dans lequel le client doit retrouverce qu'il attend à la fois d'un banquier privé - une gestionfinancière performante – et d'un assureur - un cadre juri-dique et fiscal sûr-. "

Assurance plus simpleet conviviale?

Cette volonté de complémentarité se retrouve aussidans le discours de Didier Bossicart, Sales & MarketingDirector de Swiss Life Luxembourg même si, dans le casprésent, la compagnie d'origine helvétique ne revendiqueaucun partenariat spécifique avec le secteur bancaire pourla diffusion de ses produits sur le marché luxembourgeois(ce qui n'est pas le cas au niveau international, en libreprestation de services, où elle s'appuie sur la Banque duGothard), au contraire de La Luxembourgeoise (avec laBCEE), de Fortis Assurances (avec la BGL) ou encore duFoyer (avec Banque Raiffeisen). "Chacun dispose claire-ment de forces respectives: les banques, avec leur réseaude distribution bien structuré et les assurances par lamaîtrise de la technicité des produits et leur variété. Auniveau de l'assurance, on se place essentiellement dansdes perspectives à moyen et long terme, alors que lesbanques se situent plutôt dans le court et le moyen terme"explique-t-il.

De même, le cadre légal qui entoure les activités d’as-surance prévoit certaines garanties supplémentaires auxinvestisseurs, comme par exemple le privilège du 1er rang,qui garantit à l'assuré d'être le premier servi en cas defaillite de l'entreprise d'assurance.

L'assurance présente également un avantage au niveaufiscal, pour les dépenses spéciales effectuées dans lecadre des articles 111 (assurance en cas de vie - contrat de10 ans minimum -, de décès, d’invalidité, de maladie oude responsabilité civile et déduction supplémentaire en �

Dossier 113paperJam 06.2003

Surveillance

Une seule autorité?

La question du rapprochement, voire de la fusion entreautorités de surveillance du secteur bancaire, d'une part (laCommission de surveillance du secteur financier) et de celledu secteur des assurances (le commissariat auxAssurances) d'autre part, fait partie des sujets récurrentsqui ont souvent enflammé les débats dans les milieux auto-risés, sans pour autant aboutir à de quelconques décisionsspectaculaires. Le projet de loi qui transforma feu l'Institut monétaireluxembourgeois (IML) en ce qui est aujourd'hui la CSSF futdéposé en 1993, mais ne fut adopté que fin 1998, sanspour autant que la décision finale de regrouper sous unmême toit l'ensemble des autorités de surveillance de laplace financière ne soit alors prise, dans l'attente des élec-tions législatives programmées l'année suivante. On sait ce qu'il en est: si, finalement, l'IML et le commissa-riat aux Bourses ont été regroupé sous l'égide de la CSSF.Le commissariat aux assurances, lui, a conservé son auto-nomie, en dépit de l'avis favorable émis sur le sujet, en sontemps, par la Commission des Finances et du Budget, sebasant, notamment, sur le récent exemple anglais en lamatière. "Que les relations entre les deux autorités de surveillancesoient étroites est une évidence. Mais cela n'implique paspour autant une absolue nécessité de fusion" expliqueVictor Rod, Directeur du commissariat aux Assurances duLuxembourg, qui porte un regard attentif sur ce qui peut sefaire dans les pays voisins: "Il y a plusieurs pays où cesfusions ont été réalisées. Certaines ont fonctionné etd'autres non. On ne peut pas vraiment dire qu'il y ait detoute façon de synergie réelle tant les techniques de sur-veillance sont très différentes. Même si tout était regroupésous une même tutelle, chacun fonctionne différemment del'autre. Dans sa dernière évaluation, le FMI a d'ailleursconstaté le bon travail accompli par les différentes autoritésde tutelle et n'a jamais évoqué le principe d'une fusion ounon. Il s'agit de toute façon d'une décision éminemmentpolitique. Est-ce qu'un jour ou l'autre on y parviendra?Jusqu'à présent, il n'y a en tous les cas aucune initiativeallant dans ce sens. On verra bien ce qu'il en est après lesélections de 2004".Paul Hammelmann, Conseiller juridique de l'Associationdes compagnies d'assurances à Luxembourg, fait partie deceux qui ne sont pas favorables à ce rapprochement forcé."Les règles prudentielles des deux secteurs sont proches,mais le prudentiel de l'assurance est certainement plusconservateur, de sorte qu'il n'y a jamais eu, au Luxembourg,de faillite de compagnie d'assurance. Et puis il faut bien voirqu'une autorité de surveillance ne couvre pas que le seulaspect financier. En matière d'assurance, il y a ainsi denombreux aspects très techniques qui n'ont rien à voir avecle secteur bancaire". �

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dossier: assurances

� cas d’assurance solde restant dû avec une primeunique) et 111bis (prévoyance-vieillesse) même si, encontrepartie d'un montant déductible conséquent, cer-taines contraintes spécifiques doivent être respectées."Mais en faisant l'addition du rendement et de l'avanta-ge fiscal, on obtient un résultat finalement intéressant"calcule M. Bossicart.

Reste que dans un certain nombre de cas, les produitsd'assurance se positionnent avantageusement à destina-tion d'une clientèle plutôt fortunée, dans le cadre d'opé-rations d'ingénierie fiscale patrimoniale. Ils le doiventnotamment à des dispositions très intéressantes enmatière de transmission de patrimoine, puisqu'il n'estpas besoin d'actes notariés particuliers pour établir oumodifier les dispositions en matière de succession. Il estainsi possible, à sa propre convenance, d'établir l'ordredes bénéficiaires.

Une facilité qui plaide donc très largement en faveurdes assureurs. "Incontestablement, nous nous position-nons, sur ce créneau précis, avec un instrument de pluspour le gestionnaire 'family office'. C'est vraiment làque le privatbancassurance prend toute sa significationexplique Jean-Marc Robinet. Il s’agit véritablementd’une alternative intéressante aux structures tradition-nelles que sont le trust ou d’autres structures.L’épargnant a désormais accès en toute légalité et entoute liberté aux produits des différents assureurs-vieeuropéens opérant en libre prestation de service. Dansle respect des directives européennes qui légifèrent l’as-surance-vie, le Grand-Duché du Luxembourg offre denombreux avantages différentiels comme par exempleune législation claire relative aux fonds dédiés, la trans-

parence des actifs sous-jacents, un apport autorisé detitres en guise de prime, … c’est peut-être cela lavision new look du Luxembourg. "

L'accent surla complémentarité

Clairement, la frontière entre banque et assurancen'est pas aussi marquée qu'elle le pourrait (qu'elle ledevrait?) et chacun a tout intérêt à tirer profit des com-pétences et avantages de "l'autre". A charge pour leconsommateur final de ne pas se noyer et de savoirexactement ce qu'il veut et avec qui il le veut. "La ten-dance du marché va vers un développement de produitsdits 'branche 23' en Belgique ou bien 'multisupport' enFrance, qui consistent, sous une enveloppe de contratd'assurance, à proposer une gestion dynamique desactifs par des partenaires financiers spécialisés. Onretombe alors dans le schéma de complémentaritéentre les deux secteurs" résume Didier Bossicart.

Complémentarité, oui, mais pas non plus n'importecomment. "On se dirige clairement vers une plus gran-de spécialisation, car celui qui veut faire en mêmetemps de la banque et de l'assurance a deux grandsdéfis à relever. Vouloir être le numéro un dans les deuxdomaines est assurément un pari très audacieux quinécessite de maîtriser simultanément deux probléma-tiques bien distinctes analyse pour sa part FrançoisTesch. Pour notre part, nous préférons être le numéroun dans ce que nous savons faire, l'assurance, et nousappuyer ensuite sur les compétences de l'autre dansson domaine. Le marché est certainement bien pluspondéré en matière de bancassurance qu'il ne l'a été ily a quelques années".

Le mouvement de rapprochement inéluctable entreles deux activités est, de toute façon, en marche, et onne voit guère ce qui pourrait désormais l'enrayer,même si, à bien y regarder, les bénéfices à en tirer nesont pas nécessairement les mêmes selon le côtéduquel on se place. Constat de Pierre Mersch,Managing Director de ASPECTA AssuranceInternational, f iliale du groupe allemand HDIHaftpflichtverband der Deutschen Industrie V.a.G. (1er

assureur industriel en Allemagne et 3e toutes branchesconfondues), qui a choisi le Luxembourg pour y établirle siège européen de ses activités "vie": "Tant que labanque se contente de rester dans le créneau vie, celane pose pas de problèmes, a priori. Mais le jour où ellesouhaite vendre une assurance de type IARD à ses gui-chets, si jamais un de ses clients se montre fort mécon-tent du règlement d'un sinistre, il se retournera volon-tiers contre elle. Une banque a donc beaucoup plus àperdre qu'à gagner dans ce cas là".

Dans un contexte économique encore très chance-lant, l'heure est encore à l'attentisme, mais chacun desacteurs en profite pour fourbir ses armes et se mainte-nir prêt à la reprise. Car de l'argent, il y en aura tou-jours à investir, même si, actuellement, la clientèle pré-fère se tourner vers d'autres types de placements sansdoute moins traumatisants. �

Dossier114 paperJam 06.2003

“Il faut savoiridentifier desbesoins à venirdont le client n'a pas forcémentconscience”JEAN-MARC ROBINET, FORTIS LUXEMBOURGASSURANCES

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Dossier116 paperJam 06.2003

dossier: assurances

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Dossier 117paperJam 06.2003

dossier: assurances

À la suite des événements du 11septembre 2001, le secteur desassurances a particulièrement souf-fert, en particulier en matière deréassurance, ce qui a donné lieu àquelques décisions prises unilatéra-lement par les principaux réassu-reurs du marché. "Ce fut parexemple le cas pour les clauses degarantie 'attentats et Terrorisme'dans les contrats" se souvientDenise Reding, Attachée de direc-tion IARD chez AXA AssurancesLuxembourg. Les assureurs avaientalors 90 jours pour modifier l'en-semble des contrats assortis decette garantie. Depuis, on peut à

nouveau la proposer, mais les tauxont été revus à la hausse.Néanmoins, cette garantie reste trèsdemandée".

Attentats, catastrophes natu-relles, accidents médiatiquementsurexposés: les raisons, pour lesassureurs, de revoir à la hausseleurs contrats et les montants deleurs primes ne manquent pas. Cequi n'est pas sans froisser certainsobservateurs "neutres": "Il est dom-mage que les assurés ne réagissent,en général, que de manière ponc-tuelle, à des événements particu-liers regrette ainsi Mervyn Martins,Partner, spécialiste des assurances

chez PricewaterhouseCoopersLuxembourg. Par exemple, lesprimes relatives à la couverture deserreurs ou des omissions ont forte-ment augmenté après qu'aient étérévélés les scandales financiersaméricains. Or, le risque n'était pasnécessairement plus grand aprèsces affaires".

De même, après le 11 septembre,outre le volet "garantie attentat",les primes d'assurances pour la cou-verture de certains immeubles éle-vés a fortement augmenté, toutcomme les tarifs pour les assu-rances des compagnies aériennes,au point que les gouvernements �

� Pour une entreprise, les risquesliés à son activité sont multiples etvariés. Une analyse approfondies'impose au préalable à toutedémarche d'assurance...TEXTE JEAN-MICHEL GAUDRON PHOTO DAVID LAURENT (BLITZ)

Assurersonentreprise

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� ont du intervenir le temps queleurs compagnies nationales trou-vent une solution de repli. "Or, àbien y regarder, constate M.Martins, le risque est tout aussigrand quand on prend sa voituretous les jours sur l'autoroute quelorsqu'on prend un avion. De même,après les attentats terroristes, on apu observer un regain d'intérêt pourles contrats d'assurance-vie.Idéalement, un assuré se doit d'êtreactif, tout au long de la vie d'uneentreprise, et non pas seulementréactif au moindre incident".

Prise de risque

Evidemment, ces cas extrêmes nedoivent pas faire perdre la réalité toutsimple de la nécessité, pour tout unchacun, particulier ou entreprise, des'assurer de manière la plus efficacepossible, étant entendu qu'il estd'usage de considérer qu'une assu-rance n'est chère qu'avant que ne sur-vienne un sinistre.

"Il faut bien voir qu'entre-prendre, c'est, à la base, prendredes risques rappelle Michel Duhr,Responsable commercial VieEntreprise chez Fortis LuxembourgAssurances. Certains de cesrisques sont acceptables pour l'en-trepreneur, d'autres non. Le pre-mier travail consiste donc à effec-tuer un audit de ces risques afin dedécider quels sont ceux que l’en-treprise peut courir et lesquels sontde nature à pouvoir mettre en périlla survie même de l'entreprise". Cesont ces derniers risques dont l’en-treprise peut clairement se libéreren les transférant à une compagnied’assurance.

Pour certaines activités etrisques, la loi impose des assu-rances de responsabilité civile obli-gatoires. Ceci concerne entreautres les architectes et ingénieurs-conseils; les hôteliers et les agentsde voyage. A ceci s’ajoute le risquerelatif à certains moyens de trans-port: dans ce cas, l'assurance laplus répandue est l'assurance

Responsabilité Civile Automobilequi couvre l'ensemble des véhi-cules de la société circulant surles voies publiques. Bien sûr, àcôté de ces assurances obliga-toires, existent bon nombre d’as-surances fortement recomman-dées telle que la responsabilitécivile professionnelle des avocats,des dirigeants d’entreprise etautres.

Peuvent également êtreconcernées les activités liées à lachasse; les bâtiments de plaisanceou encore les établissements dan-gereux, insalubres et incom-modes... Dans ce dernier cas, lesconditions et les montants desassurances à souscrire sont déter-minées dans le cadre de la procé-dure commodo-incommodo préa-lable à toute autorisation d'exploi-tation. Le règlement grand-ducaldu 16 juillet 1999 détailled'ailleurs, sur 15 pages, la listedes établissements dits "classés",et leur degré de classification enquatre classes et deux sous-classes. C'est à partir de cettenomenclature que sont définiesles compétences en matière d'au-torisation: les ministères duTravail et de l'environnement(classe 1, la plus répandue etclasse 4, plus spécifique ausecteur agricole); le bourg-mestre (classe 2); le seul ministè-re du Travail (classe 3A) ou del'Environnement (classe 3B), sansqu'il y ait, dans ces deux dernierscas, recours à la procédure com-modo-incommodo.

"Dans le cadre de cette procé-dure, les obligations et lescontraintes auxquelles sont sou-mises les entreprises peuventaller très loin reconnaît HenriMarx, Directeur général adjointdu groupe Assurances Le Foyer. Ànotre niveau, les activités deconseil sont alors très pointues etpas toujours faciles à mener.Heureusement, c'est souvent lepragmatisme à la luxembourgeoi-se qui l'emporte pour le règle-ment de problèmes délicats.Même si cette procédure est assezcontraignante, il est heureuxqu'elle existe. Il n'est alors plusquestion d'amortir des risques,mais bien plus d'améliorer leur �

Dossier118 paperJam 06.2003

dossier: assurances

“Il est dommageque les assurés neréagissent, en général,que de manière ponctuelle à des événe-ments particuliers”MERVYN MARTIN, PWC LUXEMBOURG

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� couverture. C'est une excel-lente voie de prévention et deprotection, pas seulement pourles biens mais surtout pour lespersonnes".

Travail d'experts

De ce constat se dégage uneévidence, mise en avant par M.Marx: "Il est impératif et essen-tiel de bien comprendre la socié-té, ce qu'elle produit et commentelle le fait". Un bon conseil passepar une bonne connaissance préa-lable du terrain.

A partir du moment où il estquestion d'évaluer la nature d'unrisque à couvrir, la compagnied'assurance contactée établira,elle-même, avec ses propresexperts, un état des lieux de lasituation, sous forme de "visitesde risques" (prévention contre levol, l'incendie, ...), à partir delaquelle seront établies des pro-positions concrètes de contrats."D'une manière générale, nouscherchons à informer le client aumieux, sur la base de son contratet des options possibles expliqueDenise Reding. La compagnieélabore différentes propositions,mais le client reste évidemment ledécideur final. Il choisit la cou-verture".

Dans le cas de risques bienplus spéciaux, liés, par exemple,aux questions d'environnement,un expert indépendant externe estsouvent mandaté. Selon les cas,ce sera à l'entreprise assurée defaire établir, elle-même, le rap-port d'expertise à transmettre àson assureur; ou bien l'assureur,dans le cadre de sa panoplie deservices, se chargera aussi decette partie administrative. "Onentre alors dans une probléma-tique de risk management pourl'entrepreneur, qui n'est pas for-cément habitué à payer son assu-reur pour ce genre de servicesanalyse René Arnoldy, Fondé dePouvoir, Responsable desServices Risques d'Entreprise etRisques Spéciaux chez Le FoyerAssurances. Mais il n'est pasd'usage pour nous de prester desservices de risk management. Il y

a des sociétés spécialisées pourcela. Nous nous contentons deconseiller le client sur la base deséléments fournis et d'étudier, aveclui, dans quelle mesure il lui estpossible de réduire ses primes autravers de quelques aménagementsdans son activité".

Les questions liées à l'environ-nement font notamment partie despréoccupations des entreprises detype industrielle, quelle que soitleur taille. Mais là aussi, les condi-tions de couverture des risques sonttrès précises et ne permettent pasde se décharger de toutes les res-ponsabilités auprès de son assureur.Ainsi, s'il est effectivement pos-sible de se protéger contre les éven-tuels dommages causés accidentel-lement à des tiers, ou bien de faireprendre en charge des travaux d'as-sainissement et de dépollution d'unsite d’exploitation suite à un événe-ment accidentel, les atteintes à l'en-vironnement dites "graduelles",directement liées à l'activité, nesont pas couvertes par les assu-reurs. "Dans ce cas là, c'est claire-ment à l'entreprise de provisionnerpour ensuite assurer la dépollutiondu site. Il n'est pas du rôle de l'as-sureur de se substituer à l'exploita-tion" confirme M. Arnoldy

L'assurance-crédit méconnue

On le voit, pour assurer tous lesaspects matériels, les réflexions àmener ne manquent pas, même si lasurvie même de l'entreprise n'estpas nécessairement systématique-ment en jeu. Ce n'est pas forcémentle cas de considérations immaté-rielles, souvent négligées de primeabord, ou d’assurance contre laperte d'exploitation mais qui revê-tent pourtant une importance pri-mordiale.

Dans le premier cas, il s’agit, parexemple, de préjudices financierscausés à des tiers lors d’un sinistre;dans le second cas, cette garantieintervient comme une secondecouche lorsqu’un sinistre empêchel'entreprise d'assurer une activiténormale. "C'est un domaine qu'il estplus délicat, pour nous, d'assurer,car cela implique une parfaite �

Dossier 119paperJam 06.2003

dossier: assurances

Nouvelles technologies

Ne pas se tromperde cible

On connaissait "l'ancienne économie",ses industries, ses sociétés de ser-vices... On a plus récemment été abreu-vé de "nouvelle économie", avec sestechnologies à la pointe du progrès etune utilisation d'Internet à tout va, pro-voquant, par la même, une sorte dedématérialisation de l'outil de produc-tion, réduit à un simple ordinateur etquelques unités centrales, serveurs etautres unités de stockage. À industrie "nouvelle", techniques d'as-surances "nouvelles" aussi? "Il existebien évidemment des polices d'assu-rances contre les risques liés aux infec-tions par des virus, ou bien tout simple-ment aux pannes techniques résumeMervyn Martins, Partner, spécialiste desassurances chezPricewaterhouseCoopers Luxembourg .Ces types d'assurances coûtent évi-demment très cher, car l'informatiquereste un domaine très vulnérable". Aussi, les sociétés qui se lancent dansl'Internet ont-elle parfois intérêt àprendre le risque, au départ, de se pas-ser de telles couvertures, en attendantd'avoir atteint une masse critique suffi-sante pour pouvoir mieux asseoir sacouverture. "Il faut bien voir qu'enmatière d'Internet, le gros challengeconsiste avant tout à se constituer unebase de clientèle afin de rentabiliser sonactivité rappelle M. Martins. La premiè-re chose à assurer pour une société quiveut se lancer dans ce domaine, ce sontdonc avant tout les technologies qui luipermettent de développer le contenu.Ce doit être la base de tout". Une autre utilisation rationnelle de sonassureur peut également consister àune aide dans la couverture des pre-mières échéances des crédits dedémarrage, ce qui permet à l'entrepre-neur de garder les mains libres pours'occuper au mieux du lancement deson activité. �

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� connaissance de la nature del'exploitation, des sources de reve-nus et de dépenses de l’Entrepriseet une évaluation pertinente del'éventuel manque à gagner en casde sinistre" analyse Denise Reding.Autant il est facile de se baser surdes informations statistiques sur lesrisques relatifs aux bâtiments, voireaux personnes, autant la perte d'ex-ploitation est un élément pour lemoins intangible.

C'est peut-être une des raisonspour laquelle, selon les estimationsde quelques assureurs, relativementpeu d'entreprises s'assurent contrece risque. Il en va de même pour cequi est de l'assurance-crédit,puisque selon Dirk Pankaert, man-dataire général, pour leLuxembourg, de Gerling NCM - laseule entreprise d'assurance exclu-sivement dédiée à l'assurance-créditau Grand-Duché, appartenant aunuméro deux mondial du secteur -entre 50% et 60% des entreprisesdu marché ne possèdent pas d'assu-rance-crédit.

De quoi s'agit-il exactement? "Ils'agit de couvrir le risque d'insolva-bilité d'un client, explique M.Pankert. De manière générale, dansles 3 premiers mois, c'est à l'assuré,lui-même de tout faire pour récupé-rer sa créance. A la suite de quoi ledossier nous est transmis et, à cemoment c’est notre service conten-tieux qui s’en occupe. Si nous n’ar-rivons pas à récupérer la créanceendéans les trois mois, nous devonsindemniser notre client au pourcen-tage de couverture convenu. Nousintervenons pour des entreprisesdont le chiffre d'affaires est de500.000 Euro minimum".

Il va de soi que pour des entre-prises ayant un nombre restreint de

clients, l'insolvabilité de l'und'entre eux est particulièrementdangereuse et il n'est pas rare quedes faillites soient intervenues enraison de clients mauvais payeurs.Souvent, les créances commer-ciales représentent le premierposte à l'actif d'une entreprise,pouvant même dépasser 50% dutotal. "D'une manière générale,l'assurance-crédit permet de déve-lopper sereinement son chiffred'affaires sans avoir trop de soucides impayés" résume M. Pankert.

Ce n'est pas à Luxembourg quela problématique des faillites estde nature à laisser indifférent, lepays en ayant connu environ 700pour la seule année 2002, dans uncontexte européen de flambée dunombre de disparitions d'entre-prises pour raison financières(+21,7% entre 2001 et 2002 selonles chiffres publiés par l'analysteallemand Creditreform).

La principale difficulté consis-te, alors, à établir de manière pré-cise le montant de la prime à ver-ser. Son montant, qui peut varierentre un pour mille et dix pourmille du chiffre d'affaires, dépen-dra ainsi directement du secteurd'activité (la sidérurgie, parexemple, est éminemment plus ris-qué que la branche alimentaire); leprofil du client (une industriecliente sera généralement plussolide financièrement qu'un simpledétaillant); le chiffre d'affaires glo-bal; la répartition du risque (l'en-treprise ne possède-t-elle quequelques clients assurant une gran-de part du chiffre d'affaires ou bienune multitude de clients demoindre "poids"?). Là encore, uneparfaite maîtrise de la nature del'activité est indispensable. �

Dossier120 paperJam 06.2003

dossier: assurances

Plans de pension

Au-delà de l'assurance

Assurer son matériel, ses locaux, sesrevenus, c'est bien. Assurer son person-nel l'est tout autant!. En la matière, ledéveloppement des produits d'assuran-ce-prévoyance collective est tout à faitsignificatif du grand intérêt marqué parles entreprises pour ce genre decontrats. Au Luxembourg, il existe plusde 700 plans de pension complémen-taires d'entreprise actuellement envigueur. "Ce sont d'abord les grandesindustries qui s'y sont lancées, puis lesecteur financier. Aujourd'hui, le marchédes PME est clairement la cible desentreprises d'assurance" note MichelDuhr, Responsable commercial VieEntreprise chez Fortis LuxembourgAssurances, qui ne manque pas de faireremarquer que ce créneau très particu-lier sort du cadre d'un produit d'entrepri-se dit "traditionnel", qui n'est riend'autre, finalement, qu'un outil de pro-tection contre un risque jugé aléatoire."Ici, ce produit fait partie intégranted'une politique de ressources humainesqui consiste soit à fidéliser l'employé,soit à proposer un atout intéressant envue d'un recrutement". L'intérêt pour l'entreprise – et pour l'em-ployé – est à la fois d'ordre fiscal etfinancier. Et s'il s'agit, en l'occurrence,d'une assurance collective, l'employeura tout le loisir d'ouvrir ce véhicule à l'em-ployé à titre individuel, avec des contri-butions personnelles déductibles à hau-teur de 1.200 Euro (art. 110 ter L.I.R.) parpersonne. Les primes sont investiesdans des supports à rendement garantiet le bénéficiaire peut ensuite toucherl'intégralité en capital ou bien via unerente viagère qui seront exempts d’im-pôts au Luxembourg, pour autant qu'ils'agisse d'un plan agréé par l’IGSS(Inspection de la Sécurité Sociale). "Ce type de produit est celui sur lequelles assurances misent beaucoup, mêmesi, évidemment, les besoins sont diffé-rents d'une entreprise à l'autre" consta-te M. Duhr �

“Entreprendre, c’est, à la base, prendre des risques”MICHEL DUHR, FORTIS LUXEMBOURG ASSURANCES

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la cuisine dans d'intéressantespréparations comme les parpadellede canard laqué aux épices ou le

carré d'agneau rôti aux épices decouscous. Service très profession-nel dirigé par Frank. On retrouveraavec plaisir la superbe terrasse.Bonaparte7, Bisserwee (Grund)22 71 66________________________________

Les citadins pressés et moinspressés se réjouiront de la réou-verture de cette braserie-pizzeriapleine de clarté et de bonnesodeurs. L’aménagement intérieur a

été entièrement refait mais demeu-re lumineux et dynamique. Pas dechangement dans les prestationset c’est dans un four à bois qu’onfait les bonnes pizzas. Fermé ledimanche.Farfalla8, rue Beck (Centre-ville)46 51 59________________________________

Sous la houlette de Sandra Sidon,changement et réorganisation à latête des cuisines de l’Opium. Lechef exécutif Thierry Fuchs, est unénergique Alsacien qui exerçaitprécédemment dans un grandhôtel renommé de Kuala Lumpur,Malaisie. Il travaille maintenant enparfait binôme avec son alter egoTang Wing Cheong, le chef asia-tique. Il en résulte une véritable

cuisine "fusion", avec des prépara-tions oú le traditionnel empruntehabilement d'originaux accords auregistre oriental. Prochaine ouver-ture d’un Opium Lounge.Opium427-429, route de ThionvilleHesperange26 36 01 60

Lorsqu'on parle d'Argentine et de gas-tronomie, c'est évidemment à une déli-cieuse grillade que l’on pense aussitôt.Mais, pour voir, essayez donc un des"Chupin" maritimes présents sur lacarte du Patagonia. Il s'agit de prépa-rations mijotées en cocotte et pleinesde saveur, aux trois poissons, aux cala-mars ou bien aux gambas et moules.Les carnivores invétérés se régalerontdu Locro, aussi en cocotte ou dutypique Plato Gaucho. Le soir, l'atmo-sphère devient magique avec, en arriè-re plan la terrasse illuminée dans laroche.Patagonia373, route de Thionville Hesperange36 00 95

Corazonal sur…

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time off RESTO NEWS

Distribués exclusivement auGrand-Duché de Luxembourg parles Caves Bernard-Massard, lesvins de la maison Pascal Jolivetbénéficient, dès la sortie, du millé-sime 2002, d’un nouvel habillagepour la gamme Pouilly Fumé etSancerre (blanc, rouge et rosé). Lebut est évidement de renforcer etrehausser l'image de marque deces produits.

On pourra noter, entre autre, quel'étiquette "aquarelle" a subi unléger lifting qui lui confère uncaractère plus moderne et renfor-ce l'identité de la marque. La cap-sule a également été revue, decouleur grise plus soutenue, afind'être en parfait accord avec lanouvelle étiquette. Les premièresimpressions livrées à la récolte seconfirment: 2002 sera un grandmillésime, offrant une grande res-semblance avec le superbe millé-sime 1996.Caves Bernard-Massard S.A.8, rue du Pont,L-6773 Grevenmacher,B.P. 13, L-6701 GrevenmacherTél.: 75 05 45-1 – Fax: 75 06 06e-mail :[email protected] ________________________________

Très saloon au rez-de-chaussée ettout à fait chic au 1er étage, leCountry vient d’ouvrir. Une des

spécialités, le steak de Picanhapermet de goûter à cette viandesavoureuse taillée dans un mor-ceau particulier du boeuf brésilienou argentin. Toutes les volaillessont préparées au grill et au 1er

étage les crêpes sont flambées àvotre table.CountryRestaurant Bar Grill29, rue Joseph Junck (Gare)26 19 64 81________________________________

Changement de propriétaire auBonaparte. Repris par FernandCirelli, l’établissement subit unecure de jeunesse. Le cadre et lacarte sont totalement revus. BennyAzmi Affandi est le nouveau chefet apporte une touche asiatique à

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DIRECTORY time off

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Henry Maymil,du restaurantLa Caravela, nous propose…… le tourbillonde soleet saumonsauce homardine

Ingrédients (pour 4 personnes) 8 gros filets de sole400 g. de filet de saumon1/2 l. de sauce homardine (à acheter en épiceriefine)1 dl. de crème fraîche1 bouquet garni1 oignon2 carottes2 dl. de vin blanc secSel, poivrePersil

Son vin préféré:Un vin portugais, Cortes de Cima reserva. Son restaurant préféré La Bergerie.Où le trouverA la Caravela, 10, rue des Forains, Luxembourg-Weimerskirch.Tél: 42 63 28-1

Recette:

Temps de préparation: 15 minutes

Temps de cuisson: 10 minutes

Bien aplatir les filets de sole et les enrouler

autour d’un morceau de saumon.

Eventuellement ficeler. Faire un court-

bouillon avec 1/4 l. d’eau, le vin blanc, les

carottes, l’oignon et le bouquet garni.

Saler, poivrer.

Pocher les tourbillons dans le court-

bouillon frémissant pendant 10 min, les

retirer et réserver au chaud. Réchauffer la

sauce homardine lentement et y ajouter la

crème. Dresser les tourbillons sur assiette

bien chaude et napper de sauce. Décorer

avec le persil. Accompagner de légumes,

pommes vapeur ou riz.

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time off RECETTE

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DIRECTORY time off

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time off CLUB PAPERJAM

LE CLUB PAPERJAM INVITÉ PAR… … la vinothèque Vinissimo

et le Restaurant PomodoroLe Club paperJam, c'est chaque mois, la veille de la parution, l'équipe du magazinequi invite des décideurs à partager une sélection de vins dans un établissementdu Grand-Duché.

Pour ce Club, Alexandre Proudhon sommelier-conseil nous a reçu à Livange dans le cadretrès technique de la vinothèque qui se développe sur deux étages. Il nous a entraîné dansune ballade piémontaise. Au pied des Alpes, cette région de collines bénéficie d’un climat àtendance continentale, chaud et humide en été, brumeux en automne et froid en hiver tout àfait propice à la vigne. Pour accompagner la dégustation, le Pomodoro de Roeser avait dres-sé un buffet de petites spécialités italiennes.

Time Off126 paperJam 06.2003

Gavi Etichetta GiallaVilla Sparina 2001100% de cépage cortese,vignes d’environ 30 ansexposées au sud à unealtitude de 300 mètres.Un vin “d’artiste”, élégantet fin, belle acidité etlongue persistance aro-matique. Il accompagnerades poissons grillés, descrustacés ou des fro-mages frais. Le flacon estélégant.

Barbera d’Asti Cipressidella Court 1997C’est le millésime du siècledans cette région. Onsoupconne le potentiel dece barbera 100% deMichele Chiarlo qui, avecsa puissance et son aciditépromet d’être un vin degarde. Arômes d’épices,de tabac blond, de poivre,presque giboyeux. Pourles viandes rouges, gibiers,abats et fromages doux.

Dolcetto d’Alba AugentaPelissero 1999Ce dolcetto 100% débutebrillament la série desrouges. Il provient de la par-celle Augenta et le jeune viti-culteur qui le produit trouvedéjà sa place parmi lesgrands. Un vin particulière-ment rond, avec du fruit noiret une belle longueur enbouche. Accompagne aisé-ment charcuteries, viandesrouges ou pâtes.

La Bernardina 1999Avec ce chardonnay 100%nous sommes sur la commu-ne d’Alba. La bouteille qu’ilcontient est d’ailleurs sur-nommée “bernardina”.L’acidité de ce vin en masquepartiellement la puissance.Notes grillées, un peu brio-chées même, florales, ampleet gras en bouche, terminantmiellé, cire d’abeille. Pour“l’ènerver”, servir en carafe etavec un poisson en sauce ouune volaille à la crème.

Eléonore D´Anstaing (JC Decaux) Jaques Demarque (Explorator) Serge Meurice (VDS Computing)

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CLUB PAPERJAM time off

Time Off 127paperJam 06.2003

Anne-Marie Dutreix (Immo Foyer)Jaques Poloni (Tel Up)Marc Hostert (INFPC) Pierre Voos (ING)

Barbaresco Michele Chiarlo1996Aussi une très bonne annéeau Piemont. Du même vigne-ron que le précédent, ce neb-biolo 100% a été élevé envi-ron 24 mois en fûts de chêne.Belle robe, soyeux, grandecomplexité aromatique avecune acidité bien fondue. Ilfaut le décanter en carafepour le servir avec des pâtesaux truffes, des viandesrouges ou du gibier.

Moscato d’Asti Ceretto2002On termine sur la douceur,la fraîcheur et la rondeuravec ce 100% muscat petitgrain provenant d’unvignoble de 10 ha exposéau sud-ouest et à environ300 m d’altitude.Légèrement perlé il peut êtreservi en apéritif et accom-pagne à merveille les des-serts à base de fruits fraiset, pourquoi pas un fromagedu style gorgonzola.

Barolo Brunate Ceretto 1996Une grande appellation de laparcelle la mieux exposée etau terroir exceptionnel avec lecepage ancestral nebbioloMichet et Lampia. Le disqueest brillant, la robe tuilée.Aromes torréfiés, de morilles,bois de cèdre. Un bel équi-libre et une acidité marquéelaisse prévoir, comme dans leprécédent un belle garde.Décanter. Gibier, viandesrouges, pâtes aux truffes.

Barolo Monfaletto Cordero diMonzemolo 1998Encore un nebbiolo 100%. Enplein coeur de la zone de pro-duction des Barolo, les vignessont agées d’environ 60 ans.Vendanges manuelles en sep-tembre avec tri sévère et 24 moisen fût de chêne. C’est un grandvin de grande garde, on ira sansdoute jusqu’à 15 ans! Nez confi-turé avec notes de truffes et bellestructure en bouche. Mêmeaccord vins-mets que le précé-dent. Soyez patients et servez-leen carafe.

Alexandre Proudhon (Vinissimo) Aurelio Angius (tempo!) René Dessart (Creyf´s Technics) Mike Koedinger (mké)

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Index128 paperJam 06.2003

index

Index des entreprises et institutions citées327 entreprises, organisations et institutions citées dans cette édition.Les annonceurs sont signalés en gras.

Entreprises et institutions no. de pages

1, 2, 3, Go 40; 42

AADA 69ADEM 36Advantage Communication Partners 77; 78Agence française de sécurité sanitaire environnementale (AFSSE) 15Ajilon 54Alcatel 99Alcatel Skybridge 69Alert SMS 96Alysea 40Arbed 35Arcelor 34; 68Argest 45ASPECTA AssuranceInternational Luxembourg 106; 114; 121Association des banqueset banquiers, Luxembourg (ABBL) 27Association des commerçants, artisans et industriels de la ville d'Esch-sur-Alzette (ACAIE) 68Association des compagniesd'assurances à Luxembourg (ACA) 106Association des Professionnels des Foires et Marchés (APFM) 36Association luxembourgeoise des professionnels du patrimoine (ALPP) 27Association luxembourgeoise des télé activités (ALTA) 25Astra-Net 25Atelier Kronwitter 82Atlas Air 46A'Venue International 57AXA Assurances Luxembourg 117

BBadenoch & Clark 55Bamboo 51; 83Bank of New-York 32Banque Bruxelles Lambert 32Banque Centrale du Luxembourg (BCL) 31; 39; 40Banque du Gothard 113Banque et Caisse d'Epargne de l'Etat (BCEE) 35; 113Banque Privée Edmond de Rothschild 31Banque Raiffeisen 113Basic Consulting 78Battin 71Berl 20Bertelsmann-GBL 49BGL 80; 113Bijouterie Hoffmann 71Binsfeld Communication 78Bizart 69; 83Blintz Agency 69; 70Bofferding 79Bonaparte 122Boucherie Oswald 19Bourse de Luxembourg 35; 48; 49Buromex 97Business Initiative 42

CCactus 35; 83Cargolux Airlines International 29; 46Cat Club 91Caves Bernard-Massard 122Cedel International 25Cegecom 83Cegedel 35Cellule de renseignement financier (CRF) 104; 107Center Al-Stad 84Centre de Recherche CSP 39Centre de Ressources des technologies pour l'Environnement (CRTE) 26Centre des Musiques Amplifiées 89Centre National de Littérature 84CEPA 80CEPS/INSTEAD 36CEREM 69Cetrel 82CFL 35; 82Chambre de Commerce 25Chambre des Députés 106Chambre des fonctionnaires et employés publics (CFEP) 30Chambre des Métiers 18; 37; 68Chiggeri 123Cisco 51Clearstream 25CMI Créative Communication 69; 70Cockerill-Sambre 34Confédération luxembourgeoise du commerce 45Coljon 70Come Prima 69Comed 45; 79Comet 79Comité de conjoncture 36Comité de surveillance du marché 48Commissariat aux Assurances 105; 107; 112Commissariat aux Bourses 113Commission de Promotion des Vins et Crémantsde Luxembourg 46Commission de Surveillance du Secteur Financier (CSSF) 40; 48; 106; 113Commission des Finances et du Budget 113Commission européenne 31Commune de Pétange 83Compaq Belgique-Luxembourg 45Concept Factory 74; 78Conseil de l'Europe 68Conseil d'Etat 46Conseil Economiqueet Social (CES) 32; 46COPILAB 106Country 122Cour de Justice Européenne 46Courthéoux 35Crédit Européen 32; 80Crédit Lyonnais 48Creditreform 120Creyf's technics 127Cropmark 45; 83CRP Henri Tudor 25; 26

DDatacenter 59déi Lénk 34Delarue Cash System 103Delux Productions 41Design Luxembourg 45Dexia Fund Services 39Dexia-BIL 30; 35; 90DHL 93Distellerie Zeimet-Linden 84D-Link 50Dresdner Bank 38DT Publicité 84DTZ Consulting 44; 45DTZ Winssinger Tie Leung Luxembourg 45

EEcole de Musique de l'Union Grand-Duc Adolphe 29Editus 79Eldoradio 45Eluris 40Entreprise des P&T 15; 23; 38; 69; 70; 80Epson 50; 52Ericsson 102Espace Concept 65Etudes et Formation 25European Fund Administration (EFA) 54Everest 70; 71Explorator 126Explorator 123; 125; 126

FF/P/C 45; 78Farfalla 122Farvest 27Fédération européenne des conseils et intermédiaires financiers (FCI) 27Fédération européenne des métallurgistes 34Fiduciaire Jean-Marc Faber 84Foires internationales de Luxembourg (FIL) 27; 37; 44; 46Fonds monétaire international (FMI) 31; 104Fonds national de Soutien à la Production Audiovisuelle (FONSPA) 41Format 45Fortis Investment ManagementLuxembourg 49Fortis Luxembourg Assurances107; 110; 118Fortuna Banque 47Free-Beep Mobile 40

GGerling NCM 115; 120Gilat Satellites Networks 69Goblet Lavandier & Associés 29Goethe Stuff 69Goodyear Luxembourg 35; 42Gouvernement 34; 46Grey Worldwide 78Guardian 35Guineu Immobles Suisse 36

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Index 129paperJam 06.2003

index

HHappy Snacks 29HDI Haftpflichtverband der Deutschen Industrie 114Hemisphere Films 41Hilton Luxembourg 46; 49Hitachi Data Systems 50HP 50; 51HP Services Belux 45Husky InjectionMolding System 29

IID Prod 82IGSS (Inspection de la Sécurité Sociale) 120Immo Croissance 30Immo Foyer 127Imprimerie Schlimmé 2Infopartners 25ING 4; 32; 80; 110, 127ING Life Luxembourg 111Institut européendes itinéraires 68Institut luxembourgeois de régulation (ILR) 28Institut monétaire luxembourgeois (IML) 113Institut national pour le développement de la formationprofessionnelle continue (INFPC) 18; 127Institut scientifique de service public de Liège 16Intel 53Intercommunication 78Inter-Continental Luxembourg 46Internaxx 83In-visible 69IPL 78Iris Production 41

JJC Decaux 126jobs.lu 45Julius Bär Investment Funds Services 39

KKeyjob 61KLM Royal Dutch Airlines 46Kreutz&Friends 78Kulturfabrik 87

LLa Bergerie 124La Luxembourgeoise 105; 112; 132La Mirabelle 69Le Foyer Assurances 25; 29; 110; 118Le Manhattan 69Le Quotidien 77Les Domaines de Vinsmoselle 83Loterie Nationale 83Luxair 84Luxair 21Lux-Dévelopment 82Luxemburger Wort 77; 79Luxlait 74Lycée de Bonnevoie 69

MM&V Concept 71Magolux 45

Massen 29MBS 78Mercedes Cafe 125Michel Greco 8, 125Micro-Macro Material Modeling (4M) 42Microsoft 69Mikado Publicis 70; 78Mikado-Online 68; 69; 78Millicom International Cellular 25; 36Ministère de la Promotion féminine 63Ministère de la Recherche 26Ministère de l'Education Nationale 18Ministère des Affaires Etrangères 69Ministère du Travail 46mké 127Mobilux 79Monster 44; 54Motorola 99Musée d'Histoire de la Ville de Luxembourg 83Musée National d'Histoire et d'Art 80

NNationale-Nederlanden 32; 111NCI Luxembourg 46Neofacto 78Network Appliance 50NMB Postbank Groep 32; 111Nokia 23; 99; 100

OOffice luxembourgeoispour l'accroissementde la productivité (OLAP) 28OGB-L 34Oniria Production 41Opium 122Optic Shop 70Optique Moïtzheim 79Orange 23Orbite Conseil 79Organisation mondiale de la santé (OMS) 15Oxygen 84

PPanasonic 100paperJam 77; 78; 85Parquet de Luxembourg 104; 107Patagonia 122Peugeot 17Pharmacie Engel 82Pizza Hut 71PricewaterhouseCoopers 43PricewaterhouseCoopers Luxembourg 41; 117pro forum 97Promoculture 40Prosud 89Prosun Solarium 79

RRattlesnake Pictures 41Real Solutions 45Relais Gourmand 123Renault 12Renault Belgique-Luxembourg 46Repères Communication 39; 72Restaurant Bice 79Restaurant Pomodoro 126Rose de Claire 78RTL 37; 44; 49; 74; 77

SSacred Heart University 8Salt&Pepper by Jaco 45Samsa Film 41Sanichaufer Toitures 82Satlynx 69; 70Saveurs Complices 69Schroeder et Associés 29Securicor 35Services Généraux de Gestion 29SES Astra 36; 39SES Global 69Siebel Systems 45Siemens 101Siemens 131Sitec 25; 26Sit-Net 69Société européenne de Communication 25Société national de crédit et d'investissement 46Sony 69; 102Sopartec 42Sources Rosport 79Spiral 6State Street Bank Luxembourg 29Statec 3; 31; 35; 36Sun 67Swiss Life 106Symbian 53

TTango 15; 22; 36Tango TV 23; 80Tarantula Luxembourg 41Tailormade 83Technoport Schlassgoart 87Tecsys 25Tel Up 127Tele2 15tempo! 127tempo! 46, 81The Human Resources Consultants (HRC) 28TNT Express Luxembourg 38Toshiba 51Transcom WorldWide 44; 97Trend Micro 51; 52Treo 102

UUnisys 45; 52Université Catholique de Louvain (UCL) 42Université d'Anvers 15Université de Luxembourg 30; 89

VValorlux 33VDS Computing 126Ventos 35Viasolutions 53Vidale-Gloesener 45; 78Videopress 41Ville de Luxembourg 29; 70; 89Vinothèque Vinissimo 126VITIS Life Luxembourg 106; 109; 110Vittel 80VRT 36

WXYWeckbecker 69Xpectis 82Yosemite 53

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à suivre130 paperJam 06.2003

à suivre

paperJam 07.-08.2003Parution:12 juin 2003;date limite de réservations:23 mai 2003

COVERSTORY:Henri Grethen, ministre del'Economie et Serge Allegrezza,Directeur du StatecSelon les premières estimations du Statec, la croissance restera très limitée en2003 et en 2004 au Luxembourg, aucun signe de réelle reprise n'étant réellementattendu avant 2005. Excès de prudence ou réalité concrète? Henri Grethen,ministre de l'Economie, nous apportera son analyse et sa vision des perspectiveséconomiques du pays. Un tour d'horizon complété par le point de vue de SergeAllegrezza, récemment nommé à la tête du Statec, et qui expliquera quelles y sontses ambitions et ses objectifs.

DOSSIER:Marketing au LuxembourgTrop souvent négligé, le marketing représente pour la vie des entreprises unsavoir-faire pouvant créer la différence: comment penser son produit? Commentfixer son prix? Comment le lancer? Ce n'est pas parce que le Luxembourg est unterritoire économique restreint que l'on peut se passer d'une véritable réflexionmarketing. Quelles sont les règles du marketing? Quelles sont les spécificités luxembour-geoises? Quels sont les outils à disposition des entreprises et des agences en mar-keting? Quels sont les professionnels qui peuvent aider les entreprises à améliorerleur démarche marketing, à augmenter leurs parts de marché, image de marque etleurs marges?

paperJam 09-10.2003Parution: 18 septembre 2003; date limite de réservations: 29 août 2003

DOSSIER: Bureautec 2003Avec moins de 13.500 visiteurs enregistrés, la dernière édition du salon Bureautecavait été, en 2001, la moins fréquentée depuis...1985! Deux ans plus tard, dans uncontexte économique qui n'est guère meilleur, quel succès rencontrera le saloninterrégional de la Bureautique, des Techniques de Communication et desNouveaux Médias? Traditionnellement, les exposants profitent de cet événementde la rentrée pour dévoiler quelques nouveautés. Quels seront les incontournablesà découvrir cette année?

paperJam 11.2003Parution: 16 octobre 2003; date limite de réservations: 26 septembre 2003

DOSSIER: ProductivitéLa productivité est un grand enjeu pour chaque entreprise. L'augmenter, c'est amé-liorer sa compétitivité par rapport à ses concurrents. Ne pas l'améliorer, c'est êtrecertain, à plus ou moins court terme, de disparaître du marché. Grâce à l'organi-sation du travail, à la formation, à l'informatique, on bénéficie de nombreux outils.État des lieux.

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