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Présentation Dieu Merci

Date post: 19-Jul-2015
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Ce nouveau chemin de croix aurait pu être plus pénible… (préfecture, papiers, re-papiers, Alliance française, difficultés de langage, "on dit une baguette ou un baguette ?")…, si, Dieu Merci , il n'avait rencontré‚ Bernadette.

Une succession d’histoires, articulées autour du thème central de la quête des lendemains qui chantent, qui s’imbriquent et s’entremêlent. La Sibérie, les ponts de Paris, la Côte d’Azur ; autant de lieux qui ponctuent un destin hors du commun. Tous les sujets sont prétextes à la drôlerie in situ, contés, mimés et chantés tout au long du spectacle : un périple rythmé et passionnant pour un spectacle de 1H20.

Ce voyage à travers le regard d'un immigré soviétique nous transportedans un autre monde, tantôt par le rire, tantôt par l’émotion, sans oublier les élans de l'âme russe présente tout au long du spectacle, grâce notamment à cette musique qui nous touche au plus profond.

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Il s’appelle MELS Markarian, avec un prénom né de l’"ingéniosité" du communisme à la ruskoff (Marx – Engels – Lénine – Staline), un arménien autodidacte, mais surtout soviétique entreprend là de nous narrer sa vie.

Quand l'Empire soviétique s'écroule, même son prénom d’homo soviéticus ne lui sauve pas la mise. Alors notre homme n’a guère de choix que de prendre son destin en main. La tête pleine de rêvesd’Occident mais les poches vides, il s’enrôle alors dans la clandestinité. Les frontières se succèdent, ses pérégrinations le mènent en Russie, Biélorussie, Pologne puis, enfin, à Paris.

Biographie

En 1977, il reçoit le premier prix du concours d'Art dramatique des jeunes comédiens d’Arménie et le deuxième Prix pour tous les pays de l'Est.En 1979, il rejoint le Théâtre Expérimental, premier théâtre d’avant garde d’Erevan, où il joue la comédie et met en scène.1982 : Il arrive en France et devient pianiste de jazz à Marseille puis à Paris.En 1985, il réalise pour FR3, La mort d'un fonctionnaire d’après Tchekhov, Alain Choquart étant son chef opérateur.En 1986, Lioubimov le dirige à l’Opéra de Paris dans Salammbô de Moussorgski où il interprète le rôledu compositeur tout en jouant au piano.En 1987, il monte la comédie musicale Nazar le Téméraire d'après un conte populaire arménien et en 1988, à l’Opéra de Marseille, il met en scène l’opéra Anouche (direction musicale Ogan Dourian).

Narek est né en 1959 à Erevan, capitale de la

République socialiste d'Arménie. Sa mère est

professeur d'Art dramatique et son père, chef

d’orchestre, est directeur musical de l’Opéra

d’Erevan. Invité régulièrement en dehors des

frontières de l’URSS, il demandera l’asile

politique à l’Autriche en 1974.

Entre 1976 et 1980, Narek poursuit ses études

à l’Institut supérieur de théâtre d’Arménie,

ainsi qu’au Conservatoire de Musique où il

apprend le piano.

L’année suivante, au Palais des Sports d’Erevan, il met en scène et

signe la musique de la comédie musicale, Nom : Don Quichotte,

adaptée de l 'oeuvre de Boulgakov.

Ce spectacle sera repris en 1990, au Théâtre des Arts-Hébertot avec 15

comédiens et 8 musiciens.

Depuis, il crée le théâtre de la Bohème et deux fois par an, Narek

tourne avec sa troupe de comédiens d’Arménie dans toutes les

communautés arméniennes en Europe, aux Etats-Unis et au Moyen -

Orient. Plus d’une vingtaine de pièces sont inscrites au répertoire de la

Compagnie : des comédies, des comédies musicales

(dont il écrit les musiques) ou encore des drames comme Opération

Nemesis, reprenant le célèbre procès de Soghomon Teylirian, ce jeune

Arménien qui a abattu les principaux responsables turcs du génocide

arménien, à Berlin en 1922 et, qui fut acquitté par la cour de justice

allemande.

Actuellement, son répertoire compte plus de 15 spectacles divers, allant de la comédie musicale au

one man show.

Dieu Merci ! a d'abord été créée et jouée en langue arménienne, puis en bilingue français–arménien,

avant d’être totalement retravaillée en français et mise en scène par Alain Choquart.Ce spectacle met

en lumière son formidable talent de conteur, sa passion pour la vie, son amour des autres, sur fond de

désespérance, d’ironie joyeuse et d’espoir absolu envers l’avenir et l’humanité qu’il porte en lui et qui

fait partie de sa propre histoire.

BiographieALAIN CHOQUART

En tant que directeur de la photographie, depuis 1989 il a tourné des films publicitaires (réalisés par Enki Bilal, Alain Franchet, Th. Dupetit, Audrey Schebat…), des courts-métrages et des documentaires et a particulièrement signé l’image de nombreux longs métrages de Bertrand Tavernier (Holy Lola, Laissez-passer, Ca commence aujourd’hui, Capitaine Conan, L’Appât, L 627, La guerre sans nom) Vanessa Lhoste (Looking for David Lynch) José Giovanni (Mon Père), John Berry(Boesman and Lena), Moussa Touré (TGV, Toubab bi), D. Bourdon et B. Campan (Les trois frères), Cheik Doukouré (Le ballon d’or), Simon Reggiani (De force avec d’autres), Alex Métayer (Mohamed Bertrand Duval), etc… et des téléfilms réalisés par Sabine Azéma, J.P. Sinapi, Patricia Mazuy, Didier Bezace et J.L. Benoit…Il est à ce titre jury de la Caméra d’or lors du Festival de Cannes 2004, sous la présidence de Tim Roth.Il a créé les lumières de Le Misanthrope de Molière, mis en scène par Pierre Pradinas (Théâtre de la Renaissance et Maison de la Culture d’Amiens)

Né en 1960, Alain suit des etudes de cinema à l’Ecole NationaleLouis Lumière (1977-1979).Entre 1980 et 1985, il est assistant opérateur sur des films de Y. Boisset, A. Corneau, B. Tavernier, R. Davis, P. Granier Deferre, J.C. Missiaen, R. Parrish…Entre 1986 et 1990, il est le cadreur de nombreux films publicitaires (Yves St Laurent, Renault, Kleenex, Nescafé, etc..) et tourne les Clips d’Eddy Mitchell (la peau d’une autre), d’Eurythmics (Thorn in my side, when tomorrow comes, Angel, Beethoven), de Renaud (Lola, réalisé par Serge Gainsbourg), etc… et tient également la caméra sur des longs métrages signés IrèneJouannet, P.W. Glenn, J.C. Missiaen, B. Tavernier, John Berry…

- La 5ème victime (téléfilm)- Géraldine dans la ville (long métrage)- Et la force d’aimer (long métrage) adapté du roman de YannQuéfellec- Les nuages qui passent là-bas (long métrage) prime à l’écriture CNC- T.G.V. (long métrage)- Pierre le chat (long métrage)- Mémoire vive (téléfilm)-L’enfer de Hans von Bülow (projet de long métrage) primé au Festival de Genève

et enfin a réalisé :pour le cinéma :- A green and quiet river (prod The Bureau/ British Film Council) tournage 2005-2ème équipe du film de John Berry Captive in the land

pour la télévision :-Huit épisodes de 52mn pour la série télévisée La vie devant nous(Adélaide prod / TF1)-Six épisodes de 52mn pour la série télévisée Même âge, même adresse(Ego prod / M6)

Après avoir réalisé une trentaine de fictions de 52 mn pour la télévision, il signe actuellement un documentaire La colo de Recoubeau (une colonie de vacances dans le Diois de l’après-guerre àl’après 68) et prépare actuellement son premier long métrage comme réalisateur, tourné en anglais, A green and quiet River, adapté des romans de Hubert Mingarelli.

Il est par ailleurs scénariste de cinéma et de télévision et est l’auteur de :

- A green and quiet river (long métrage en dévt The Bureau et UK Film Council))

Un seul échappa à cette « épuration sauvage » : le théâtre DEJAZET. Oublié, ce théâtre devint 135 ans après, l’unique rescapé de ce mythique Boulevard...Aujourd'hui, il est le seul témoignage de cette fabuleuse époque où les gens se pressaient, envahissant dès 18 heures les guichets de tous les théâtres. Le théâtre Dejazet , réhabilité depuis 1976, a maintenant retrouvé son écrin et sa décoration du 19ème siècle. Coluche fait sa réouverture le 1er février 1977.Autrefois, vous auriez pu croiser Arletty, Barrault, Brasseur, Carné et Prévert sortant de ce théâtre où ils tournaient « Les enfants du Paradis ».Depuis se sont succédés : Léo Ferré, Gréco, Moustaki, Jean Guidoni, Catherine Lara, Véronique Sanson, Anna Prucnal, Sylvie Joly, ainsi que de très nombreuses pièces de grands auteurs, de nombreuses créations permettant ainsi de remporter 3 Molières en 3 ans.Le propriétaire du théâtre, Mr Jean BOUQUIN, le dirige d’une main de maître. Il a découvert de jeunes artistes devenus de grands noms dont notamment Gad ELMALEH ou Elie KAKOU.

Bien plus qu’un simple théâtre, le DEJAZET, théâtre

à l’italienne construit en 1770, ancien jeu de paume du comte

d’Artois, repris en 1859 par Virginie Dejazet, lieu de

mémoire et dernier théâtre du Boulevard du Crime, a une histoire propre et unique.

En 1862, tous les théâtres du boulevard furent démolis. Le

15 juillet à minuit, la dernière heure du boulevard du

Temple avait sonné.

L'impitoyable Préfet Haussmann maintient sa décision, les théâtres ont annoncé leurs dernières

représentations. Certains se réinstallent ailleurs (le théâtre de la Gaîté, le

théâtre Lyrique, le Cirque impérial,…), d’autres

disparaissent définitivement (Le théâtre du petit Lazarini,

les Funambules ainsi que tous les autres petits

théâtres).


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