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Press-book E de'Pazzi

Date post: 22-Mar-2016
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Maxime, Série “Visages”, 2005 © Edouard deʼPazzi Press-book
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Maxime, Série “Visages”, 2005 © Edouard deʼPazzi

Press-

book

14 march3

june07

5/7 rue de Fourcy75004 ParisTéléphone: 01 44 78 75 00Télécopie : 01 44 78 75 15www.mep-fr.orgOuvert du mercredi au dimanche inclus de 11h à 19h45. Fermé lundi, mardi et jours fériés.

Contact presse de la Maison Européenne de la Photographie Aurélie Garzuel - 01 44 78 75 01 - [email protected]

Maxime, “Faces” Serie , 2005 © Edouard deʼPazzi

Edouard de’Pazzi‘‘ Memento Mori’’

From words to images : Edouard de’ Pazzi has followed an unconventional journey from writing to photography, and for the «Vitrine» room of the Maison Européenne de la Photographie he has devised a hanging made up of various works from the period 2001-2006.

Edouard de’ Pazzi, a wandering existentialist, is a collector of elaborate or spontaneous images, accumulated like so many feelings, sensations and visions. He will feed from this large corpus of work to compose diptychs and series: the objects, bodies and places that emerge from this creative process are seen as floating in time and space that are left purposely undefined. He invites the spectator to lose himself, only to find himself later in a better place.

Edouard de’ Pazzi has called this ensemble «Memento Mori», alluding to the intimate, primeval consciousness of ephemerality, as well as to the pictorial representations that symbolise man’s mortality - what art historians call Vanities.

Beyond imagery, photography is, for Edouard de’ Pazzi, the way to explore the frontier between the world of dreams and that of reality, to give substance to his phantasmagoric visions: «Photography for me is a contemplative act. I don’t think of it, or not any more, as an end in itself, but as a link between an idea and its representation».

A book Memento Mori, is published by éditions Arthus.120 pages, 16,5x16,5 cm. 500 copies + 25 copies with original print.

Procession, 2003 © Edouard deʼPazzi

“No matter how provocative some of Edouard de Pazzi’s pictures might be, his technique, his skills with shadows, are all strangely appeasing; they bring unity to his portfolio; they confer an air of requiem to his work. At first, our sight seems to find refuge in a «don’t enter unless you are a mathematician» attitude; in this case, a photography technician. As experienced in the Zenon paradox, we get the irresistible feeling that movement is just impossible, that movement, which could bring the photography and its subject closer (women’s portraits for example), will never end: distance increases as we get closer. Each face that could seduce, each body that could spell desire or be its platform, is situated at an undetermined distance, which just does not give us a chance. At best, will we know we have an appointment with death when, thinking we caught sight of feminine nudity, we discover the gracious and welcoming death drawn by its body. Unless, moved by the vain hope of an innocent kiss of the eyes, we are already transported on the orbit of death.

Here is another demonstration of Pazzi’s remarkable “against the flow” art. As is tradition, painting and music have allowed for a wide coverage on the theme «Young lady and death». A wandering scholastic, Pazzi knows, as one says, that the number of angels which fit on the prick of a needle, is equal to the square root of 2. One needs to understand that there is not enough room for two. If there is a young lady, then death is in excess. But since death is there first, the young lady is death. This way, the baroque macabre is saved, without recourse to any excesses.”

Extract from Sur un art du contresens : ou de la photographie comme Radeau de la Méduse by Jean-Pierre Dauzat

Transparition I , 2005 © Edouard deʼPazziCrypte,“Architecture of light” Serie, 2003

© Edouard deʼPazzi

Edouard de’Pazzi Born in 1964. Lives and work in Paris. Represented by La Galerie 13 Sévigné, Paris (http://www.13sevigne.com/) and by OMC Gallery, CA (http://www.omc-llc.com/) Exhibitions2006 : « Eros & Thanatos », Galerie 13 Sévigné, Paris« Transparences » and « Fantasma », Galerie Beckel-Boïcos, ParisEros & Thanatos, Galerie OMC, Photo LA, Los Angeles2005 : Collectif Exmundo, Espace Lommond, Paris2004 : « Eros & Thanatos », Galerie OMC, Photo SF, San Francisco« Eros & Thanatos », Galerie OMC, Düsseldorf2003 : Transparences, Galerie OMC, Paris Photo« Suaires », Abbaye de Royaumont« Urbanités », Intervençao Fotogràfica, Porto Publications2007 : Portfolio “Memento Mori”, Eyemazing, February issue2005 : Portfolio “Bords de mer”, Connaissance des arts spécial photo n°4

Série “Claire Obscure”, 2006 © Edouard deʼPazzi

Par Étienne Helmer Dans les photos en noir et blanc de grand format et les deux vidéos composant Memento Mori, Edouard de’Pazzi saisit la fragilité de l’être, qui vacille entre l’af-firmation de sa présence et les forces d’anéantissement à l’œuvre dans sa présence même.

Les photos évoquent la tradition des vanités picturales et la présence souterraine de la mort au cœur de la vie, tant par l’objet qu’elles représentent, comme le crâne humain, que par la manière de le représenter: un flou subtil absorbe souvent tout ou partie de l’objet, jusqu’à le plonger partiellement dans des ténèbres évoquant la mort et le néant éternels.

Chaque photographie capte son sujet dans sa présence et dans son absence, dans ce moment où être est déjà disparaître. L’éclat parfois irisé de la lumière blanche et la profondeur du noir se mêlent intimement, et leur jeu célèbre à la fois l’instant d’éternité que la vie, si éphémère soit-elle, arrache à jamais à la mort, et l’éternité tout aussi nécessaire que la mort remporte sur la vie.

Cette dualité s’exprime toutefois selon des échelles de temps différentes, qui vont d’une période de la vie, évoquée par les corps flottant dans une sorte de durée suspendue proche de l’extase, à celle d’un instant, que suggère la goutte d’encre se dissipant en arabesques irrégulières dans l’eau. Entre les deux, l’épanouissement de quelques heures ou de quelques minutes de la fleur saisie dans sa pleine éclo-sion, mais qui demain sera fanée. Edouard de’Pazzi rappelle ainsi l’ambivalence de l’image photographique, qui éternise l’instantané mais en rappelle précisément le caractère transitoire.

Les deux vidéos évoquent, chacune à leur façon, la plénitude existentielle — impos-sible ou au contraire d’autant plus intense? — qu’implique une telle conception de l’être et du temps. La première filme à travers un voile sombre une femme nue, qui semble endormie. Ses mouvements doux suggèrent une intimité primitive ou fœtale, que le voile empêcherait d’atteindre, comme le souvenir lointain d’une vie archaï-que, immédiate, inconsciente d’elle-même car inconsciente de la mort. La seconde fait se superposer et se succéder, par un jeu de transformations progres-sives, des visages, des corps qui passent de l’épanouissement vital à la décompo-sition, des gouttes d’encre qui tombent dans l’eau et perdent leur forme pleine et arrondie. Les coups saccadés d’un métronome rappellent la marche inexorable du temps. À la profusion des formes répond leur corruption macabre, dans un cycle où la mort semble toutefois avoir le dernier mot.

Memento Mori déplore l’impossibilité d’une vie pleine et entière, mais célèbre aussi l’intensité fugace que seule la conscience de la finitude peut donner à la vie: sans conscience de la mort, il ne saurait y avoir ni conscience de la vie ni jouissance de son bref passage.

Edouard de’ Pazzi, Memento MoriDans Memento Mori, Edouard de’ Pazzi saisit la fragilité de l’être, pris entre apparition et disparition.

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Andy WarholWarhol est mort il y a vingt ans. Pour lui rendre hommage, la Galerie Thaddaeus Ropac a réuni des dessins et descollages de pop stars dont beaucoup ont servi de maquettes ou d’études pour ses grands tableaux sérigraphiés àl’acrylique. Après avoir photographié au Polaroïd la star, Warhol se servait d’un rétroprojecteur pour agrandir cesimages sur du papier tendu contre le mur, puis il retraçait au crayon graphite les contours les plus importants… GALERIE THADDAEUS ROPAC. Andy Warhol. Popstars. Drawings and collages. 7 rue Debelleyme, Paris IIIe.14 avril/19 mai 07. 01 42 72 99 00. Ouvert 10h-19h, fermé dimanche et lundi.«Mick Jagger», c.1975 ©Galerie Thaddaeus Ropac, The Andy Warhol Foundation for the Visual Arts, Inc., New York.

Edouard de’ PazziLa technique d’Edouard de’Pazzi, son goût pour les ombres donnent à ses photographies le ton d’un requiem.Un univers qui hésite entre le rêve et la mémoire. MAISON EUROPEENNE DE LA PHOTOGRAPHIE. Edouardde’ Pazzi. Memento mori. Jusqu’au 3 juin 07. 5-7 rue de Fourcy,Paris IVe. 01 44 78 75 00. Ouvert 11h-20h, fermé lundi et mardi.«Transparition I», 2005 ©Edouard de’Pazzi.

L E Q U A R T I E R M A R A I S / B E A U B O U R G / R I V O L I

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14_Exporama5-01 Beaubourg_SR2 27/03/07 11:03 Page 20

Le choc des Nouveaux

Réalistes

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N°5Le premier magazine

gratuit sur l’art à Paris

PASQUALE CORPSEN FACE

LES REVESDE FISCHLI& WEISS

ATGETLA POESIEURBAINE

LUCIEN HERVEFORMESET LUMIERES

ARAKILES DERNIERES

IMAGES

MARCLAYLA SYMPHONIEDES SCRATCHS

ARTSDU PACIFIQUE

SUD

REMBRANDTET LA NOUVELLE

JERUSALEM

KALVARLE CHASSEUR

DE MAGIE

PICASSOLA PASSION

CARMEN

MAGNUMLA MEMOIRE DES

IMAGES

MENDOZALA VIE

HANTEE

EXPORAM

A

01_Exporama5_Cover 28/03/07 10:46 Page 1

ARTHUS GALLERY

BRUXELLES, 15 JUIN-15 SEPTEMBRE 2007

MEMENTO MORI EDOUARD DE’PAZZI

MAISON EUROPENNE DE LA PHOTOGRAPHIE

PARIS, 13 MARS-3 JUIN 2007

[…] dans la partie la moins noble, la plus reculée de la MEP, derrière les chiottes et le bistrot, il y a un petit joyau, Memento Mori d’Edouard de’Pazzi. Quelques grandes photos en noir et blanc, d’autres se mêlant en diaporama sur un moniteur. Une atmosphère sobre, grave, un noir en-vahissant, tragique, une brume qui enveloppe tout, qui nimbe les êtres et les choses. Eros et Thanatos (2005), omniprésents. Une lumière mystique, biblique, affirmant une présence divine comme dans cette Crypte (2003). Ces quelques instants mélancoliques rachètent tout le reste, j’en suis sorti songeur, enchanté, troublé, et content d’avoir découvert un grand photographe. Et je rêverai longtemps à cette Vénus déchirée (2006), si doucement sensuelle, si proche d’une Madonne, émergeant dans notre monde en crevant l’écran, rompant l’hymen ou le suaire.

Photos copyright Richard Kalvar et Magnum, et copyright Edouard de’Pazzi

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8 rue de la Calade 13200 Arles, FranceTel : 0682043960 [email protected]

L’EXPOSITION : Le titre de cette exposition fait allusion à cette conscience intime, archaïque de l’éphémère, en même temps qu’à ces représentations picturales, symboliques, de notre condition de mortels, que les Anciens gardaient à la vue pour s’en pénétrer l’esprit, et que les historiens d’art et les moralistes appellent les « vanités ».

Ces photographies ont été réalisées pour la plupart ces six dernières années. Elles font partie d’une collection d’images, élaborées ou spontanées, accumulées au cours du temps comme autant de sentiments, de sensations, de visions fantasmatiques, fantasmagoriques puisées dans la nappe souterraine de l’imaginaire et qui sont remontées peu à peu à la surface sensible, comme un corps de noyé. Ce corpus photographique a été rassemblé dans un livre, Memento Mori, publié à l’occasion d’une exposition qui a eu lieu en 2007 à la Maison européenne de la photographie à Paris.

L’ARTISTE : De l’écriture à l’image, Edouard de’ Pazzi a suivi un itinéraire atypique qui l’a mené à la photographie. Promeneur existentiel, il a emprunté un chemin tortueux, marchant parfois à contre-sens voire même sur ses brisées, brouillant les pistes, procédant par accumulation, et par sédimentation pour matérialiser une vision aussi forte que fragile,

aussi dérangeante qu’apaisante. Entrer dans son univers si singulier, qui semble flotter entre le rêve et la mémoire, entre la vie et la mort, est un parcours initiatique et privilégié, qui ne laisse pas indifférent.

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LA FORCE DU SILENCE : UN PHOTOGRAPHE DANS SON UNIVERS

EDOUARD DE’ PAZZI VanitésARLES : EXPOSITION DU 7 mai au 12 juin 2010

8 rue de la Calade 13200 Arles, FranceTel : 0682043960 [email protected]

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esse EDOUARD DE’ PAZZI Muses

ARLES : EXPOSITION VANITéS DU 7 mai au 12 juin 2010ARLES : EXPOSITION MUSES DU 18 mai au 12 juin 2010

Telle des poupées russes (pour adultes avertis) les photographies d’Edouard de’ Pazzi sont composée de plusieurs effigies qui revêtent chacune le même visage dans une forme différente. Elles occupent trois des salons de la Galerie Huit.

Bien que l’artiste poursuive les mêmes thèmes ténébreux qu’il a explorés avec tant de succès dans son exposition « Memento Mori », exposition qui s’est déroulée à la Maison Européenne de la Photographie à Paris en 2007, il s’est laissé captiver par des égéries de passage et entraîner vers d’autres univers plus charnels, sous l’effet de cette dichotomie propre à la nature humaine, divisée entre Eros et Thanatos.

Les Muses d’ Edouard s’invitent dans le cabinet particulier de la Galerie Huit

« Les muses revêtent les atours que les dieux leur ont donnés pour élever l’âme des poètes et exciter leur verve épique. Elles naquirent dans l’esprit et le cœur des hom-mes bien avant l’invention de la prosaïque photographie, mais celle-ci, par son don de double vue, peut parfois percevoir leur aura et s’efforcer de rejoindre leur dimen-sion onirique. Ces quelques im-ages entendent rendre hommage à celles qui, au-delà de leur simple qualité de modèles, ont été pour moi des inspiratrices. » E. de’ Pazzi

musesmuses

8 rue de la Calade 13200 Arles, FranceTel : 0682043960 [email protected]

BiographieEXPOSITIONS2010 7-16 mai : exposition « Anatomies », Palais de l’Archevêché et exposition « Vanités », Galerie Huit, Arles, dans le cadre du Festival Européen de la photo de nu. 7 mai -12 juin : exposition « Vanités » et 18 mai - 12 juin : « Muses », Galerie Huit.2007 10-30 décembre : exposition « Mers », IC Bank, Tbilissi, Géorgie 13 mars-3 juin : exposition « Memento Mori » à la Maison Européenne de la Photographie, Paris. 15 juin-15 septembre : exposition personnelle à la galerie Arthus, Bruxelles.2006 Exposition à la galerie Beckel Boïcos Paris. Exposition à la galerie 13 Sévigné, Paris.2004 Diptyques de la série « Eros et Thanatos » présentés par la galerie OMC à Düsseldorf et Photo San Francisco.2003 Tirages de la série « Transparences » exposés par la galerie OMC. »Suaires » exposés à l’abbaye de Royaumont. Transparences exposées par la galerie OMC au Beyerd Musuem of Breda, Holland. Paris Photo avec la galerie OMC.2002 5 panneaux de la série « Urbanités projetés à Porto dans le cadre de l’intervençao fotografico.

PUBLICATIONS2010 Portfolio « Anatomies », publié dans Eyemazing (sortie fin mai).2008 Publication de 4 doubles pages dans A Magazine, semestriel.2008 Portfolio « The Art of Perception », publié dans Eyemazing Livre Memento Mori publié par Arthus Editions.2005 Sélectionné pour le prix HSBC. Porfolio « Le paysage miroir » publié dans Connaissance des Arts Photo publié à cette occasion.

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esse EDOUARD DE’ PAZZI Vanités

ARLES : EXPOSITION DU 7 mai au 12 juin 2010 Muses

8 rue de la Calade 13200 Arles, FranceTel : 0682043960 [email protected]

Livre et projection : Memento Mori« j’en suis sorti songeur, enchanté, troublé, et content d’avoir découvert un grand photographe. Et je rêverai longtemps à cette Vénus déchirée, émergeant dans notre monde en crevant l’écran, rompant l’hymen ou le suaire. » Lunettes Rouges (blog le Monde.fr)

Edouard de‘ Pazzi est un collectionneur d’images. De ce corpus photographique, il se nourrira a posteriori pour composer des dyptiques ou des séquences. La vidéo présentée à la Galerie Huit est composée d’un empilement d’images fixes et animées dont le procédé narratif est plus perspectif que linéaire. Les objets, les corps, les lieux, qui émergent de ce processus idéatif, flottent dans un espace et un temps volontairement indéfinissables et indéterminés, invitant le spectateur à se perdre pour mieux se retrouver.

L’exposition sera visible pendant le Festival “Regards sur le corps” qui fête cette année sa dixième édition, et dont Edouard de’ Pazzi est l’invité d’honneur. Esthétique, graphique, formel, le travail d’Edouard de’ Pazzi est aussi et avant tout un éloge de l’ombre et de la lumière qui l’engendre.

La Galerie Huit est située dans un hôtel particulier de la fin du XVIIe, dans le centre historique d’Arles. Restaurée récemment, cette maison-galerie constitue un cadre exceptionnel pour la photographie et autres « objets de désir ». En 2009, la galeriste-propriétaire Julia de Bierre a collaboré avec le prestigieux Victoria and Albert Museum de Londres pour l’exposition estivale très médiatisée « The Half » de la Galerie Huit.

Commissaire des expositions Vanités et Muses MARCO ZAPPONE – M/ 33 (0) 6 84 59 19 70, email : [email protected]

Presse et Galerie JULIA DE BIERRE – M/ 33 (0) 06 82 04 39 60, email : [email protected], www.galeriehuit.com Visuels sur demande

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ARLES : EXPOSITION DU 7 mai au 12 juin 2010


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