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PRESS BOOK Juin 2019 Réception du 1 au 30 juin 2019...Concept enregistre une croissance importante...

Date post: 01-Oct-2020
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57 rue d’Alésia - 75014 PARIS – France Tél. : 01 43 20 50 69 - Fax : 09 57 15 46 23 e-mail : [email protected] - internet : www.agenceways.fr SARL au capital de 10 000 euros – Siret : 498 250 612 00013 - APE 741G Contact : Bruno COFFINIERES – Tél. : 06 60 61 71 83 – e-mail : [email protected] PRESS BOOK Juin 2019 Réception du 1 er au 30 juin 2019
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57 rue d’Alésia - 75014 PARIS – France

Tél. : 01 43 20 50 69 - Fax : 09 57 15 46 23 e-mail : [email protected] - internet : www.agenceways.fr

SARL au capital de 10 000 euros – Siret : 498 250 612 00013 - APE 741G Contact : Bruno COFFINIERES – Tél. : 06 60 61 71 83 – e-mail : [email protected]

PRESS BOOK

Juin 2019

Réception du 1er au 30 juin 2019

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BoaConcept s'attaque aux robotscollaboratifs avec Effidience

Actualité > Equipementiers >

Saint-Etienne, le 27 Juin 2019

BoaConcept a décidé de se rapprocher de l'entreprise Clermontoise Effidence pour introduire lesrobots collaboratifs au sein de ses installations.

Le Plug-and-Carry® et l'Effibot, pour une Supply Chain au service de l'utilisateur

BoaConcept, fondée en 2012 autour du concept inédit de convoyeur modulaire intelligentPlug-and-Carry®, développe des solutions toujours plus flexibles et simples de prise en main.C'est donc tout naturellement que l'entreprise a décidé de s'associer à Effidence pour proposer dessolutions de manutention au service des utilisateurs. Effidence, créée en 2009 développe etcommercialise des solutions innovantes de navigation. Avec l' EffiBOT , l'entreprise a développéun véritable chariot robotisé au service de la supply chain.

Une solution qui augmente la productivité et réduit la pénibilité

100% électrique, Flexibles et modulaires, les systèmes de convoyages robotisés Plug-and-Carry ®accroissent la productivité en entrepôts. Grâce à leur intelligence embarquée et leur système depilotage décentralisé, sans automate, les solutions BOACONCEPT garantissent une grandeévolutivité de fonctionnement. L' EffiBOT , quant à lui, est un véritable assistant pour lesopérateurs. Il effectue les trajets à leur place et leur permet ainsi de se concentrer sur leurpréparation de commandes ou autres tâches à valeur ajoutée. Autonome , il est capable decollaborer avec le Plug-and-Carry® en temps masqué afin d'accroitre la productivité desinstallations. Équipé de capteurs, il peut également endosser le rôle de robot suiveur et assister lesopérateurs dans leurs missions de picking, il réduit donc le port de charges et peut transporterjusqu'à 300kg mais également tracter jusqu'à 500kg. Totalement complémentaires, les solutionsde BoaConcept et d'Effidence offrent une réponse globale aux problématiques de préparation decommandes.

[embedded content] Une solution au service de l'utilisateur

Ensemble, Effidence et BoaConcept offrent donc une solution simple de prise en main,ergonomique et productive. Les systèmes de communication des deux entreprises échangent entemps réel pour une remontée d'information instantanée et un suivi efficace de vos préparations decommandes. Patrice Henrion, Directeur du Développement de BoaConcept nous parle du projet :« Chez BoaConcept, nous réfléchissons constamment à améliorer l'expérience utilisateur et àaccroitre la qualité de nos solutions sur les plans économiques, humains et environnementaux.Avec deux solutions entièrement conçues en France, flexibles et ergonomiques, nous sommestotalement en accord avec nos ambitions. »

A propos d'Effidence

Fondée en 2009, EFFIDENCE est concepteur de solutions robotiques destinées à la manutentionlogistique en entrepôts et en industries. EffiBOT est un robot de manutention aussi bien adapté àla préparation de commande e-commerce qu'à l'approvisionnement de pièces en bord de ligne. Ilest capable de suivre un opérateur comme de naviguer de manière totalement autonome. Unensemble de solutions complémentaires est proposé, allant du module de gestion de flotte derobots au module de chargement & déchargement autonome. EffiNAV est le système derobotisation EFFIDENCE, destiné à équiper tout type de véhicule pour lui permettre de naviguerde manière intelligente.Effidence accompagne ses clients, grands noms de la Supply Chain et del'industrie, principalement en France, Allemagne, Pologne, Royaume Uni et Espagne.

Plus d'information sur : www.effidence.com

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27 juin 2019 - 12:47 > Version en ligne

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A propos de BoaConcept

BoaConcept, spécialiste du convoyeur modulaire intelligent Plug-and-Carry®, est une entreprisefondée en 2012. Le Plug-and-Carry® est rapidement plébiscité par les partenaires et lesorganisations et BoaConcept est lauréat en 2013 du concours national d'aide à la créationd'entreprises innovantes organisé par le Ministère de l'Enseignement Supérieur de la Recherche etde l'Innovation.

La profession ne tarde pas non plus à reconnaître les avantages du convoyeur modulaireintelligent qui remporte de nombreux prix (prix de l'innovation, prix de l'intralogistique...). BoaConcept enregistre une croissance importante et dispose du Pass French Tech dès 2016.

Aujourd'hui, c'est une équipe de 50 personnes. Attachée à son territoire, BoaConcept fabrique àSaint-Etienne (42, Loire) et s'approvisionne également dans l'hexagone. Un savoir-faire Made InFrance qui s'exporte bien puisque l'entreprise compte des clients en Belgique, en Suisse, au Marocou encore en Allemagne. BoaConcept, c'est la créativité d'une start-up et la fiabilité d'une PME,le tout basé sur des valeurs de Flexibilité, de Réactivité et d'Innovation.

Plus d'informations sur : www.boaconcept.com

FAQ logistique est un média relayant les actualités des secteurs transport, logistique etsupply-chain. Les communiqués de presse publiés sur FAQ Logistique ne sont pas rédigés par noséquipes mais directement par les sociétés qui souhaitent les diffuser sur notre site.

FAQ logistique ne peut donc en aucun cas être considéré comme responsable de leurs contenus.Pour toute question relative à un communiqué, nous vous invitons à vous rapprocher directementde la société concernée.

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BoaConcept et Effidence rapprochentconvoyeurs et robots

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Automatisation

Supply Chain Magazine | Dossiers supply chain | publié le : 27.06.2019 | Dernière Mise à jour :27.06.2019

Le robot EffiBot d’Effidence (guidé par le système de navigation EffiNav) est utilisé danscertains projets comme une extension flexible du système de convoyeurs modulairesPlug-and-Carry de BoaConcept.

Crédit photo DR

L’une a été créée en 2012 autour du concept inédit de convoyeur modulaire intelligentPlug-and-Carry, l’autre développe depuis 2009 des solutions innovantes de navigation qui lui ontpermis de commercialiser le chariot robotisé EffiBot pour des applications en logistique. Lesstartups stéphanoise BoaConcept et clermontoise Effidence ont décidé de s’associer pourproposer des solutions de manutention 100% électriques, ergonomiques, flexibles et simples àmettre en service et à prendre en main. Il y aurait déjà plusieurs projet en cours de déploiementassociant le système de convoyage modulaire de BoaConcept avec des robots EffiBot, quipeuvent transporter jusqu’à 300 kg en en tracter jusqu’à 500. Un projet pilote actuel prévoitnotamment d’utiliser les robots « en temps masqué » lors des périodes d’inactivité de l’entrepôt(pendant les pauses ou la nuit) pour approvisionner automatiquement les systèmes de préparationà gares avec des bacs ou des emballages afin que les opérateurs puissent démarrer leur activité dèsleur arrivée sur leur poste. Les EffiBots peuvent également être utilisé comme une alternativeflexible aux convoyeurs (dans des zones de l’entrepôt où il n’est pas pertinent d’en installer un)pour acheminer les colis vers les expéditions, en sortie de miniload ou pour faire la navette entredifférents ateliers de préparation personnalisée. Les deux entreprises ont déjà travaillé sur leséchanges de données et l’interfaçage de leurs deux systèmes. BoaConcept envisage par ailleursde proposer sa propre technologie de convoyeur pour équiper le robot EffiBot. JLR

Dossier

Au sommaire

Auteur

Jean-Luc Rognon

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BoaConcept collabore avec l'entrepriserobotique Effidence

Une collaboration au service de l'automatisation en entrepôt. BoaConcept, spécialiste desconvoyeurs modulaires, vient d'annoncer son partenariat avec Effidence, société clermontoise quidéveloppe des solutions de navigation, parmi lesquelles EffiBot, un chariot robotisé destiné à lasupply chain. Le concept : allier leurs technologies pour offrir une solution complète. « Chez BoaConcept, nous réfléchissons constamment à améliorer l'expérience utilisateur et à accroitre laqualité de nos solutions sur les plans économiques, humains et environnementaux. Avec deuxsolutions entièrement conçues en France, flexibles et ergonomiques, nous sommes totalement enaccord avec nos ambitions », explique Patrice Henrion, directeur du développement de BoaConcept.

L'EffiBot, pensé comme un assistant pour les opérateurs, effectue les trajets à leur place demanière autonome ou les suit pour les missions de picking, pouvant transporter jusqu'à 300 kg ettracter jusqu'à 500 kg. Un robot également capable de fonctionner avec le système de convoyagerobotisé Plug-and-Carry de BoaConcept, afin d'offrir une solution globale pour la préparation decommandes.

La collaboration BoaConcept et Effidence en images :

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Ce que fait mieux queLyon

CAPOGNA

Dans de sa voisinelyonnaise, durementtouchée par la vague dedésindustrialisation des années 1980serait-elle enfin de retour ? Design,qualité de vie, démocratie locale,savoir-faire de Autant

sur lesquels mise la capitaleforézienne pour exister à côté deLyon sans renier son histoire. Tour

PHOTOSCHASSIGNOLE IndustriellereconvertieSi Lyon et sa voisine stéphanoiseont longtemps fait fiure deennemies, les tensions semblentreléguées au sport. Ce printemps, lesdeux métropoles ont fait causecommune pour obtenir le labelCapitale French Tech de Ausein de French TechOne, les entreprises lyonnaises onttoujours la prééminence même si sesdirigeants assurent que « des acteurspurement stéphanois » devraientbientôt rejoindre le réseau comme lascaleup Manutech ou Boa Concept.Diffile pourtant le fosséqui sépare les deux villes. « Il nefaut pas raisonner ainsi, tranche pourTribune de Lyon le premier édilestéphanois, Gaël Perdriau. Si Lyonest si puissante, pourquoi atelle eubesoin de pour obtenirle label Capitale French Tech ? »

en 2014, le jeune maire LRdéfend ardemment sa ville aux septcollines contre les clichés. « Elle

plus celle que vous croyez. »

Métropole lyonnaise et ses 5millions de nuitées annuelles (contre421 600 pour mais dese démarquer. « Plus lepositionnement de estclair, plus cela est intéressant pour lalocomotive Lyon. Nousreprésentons une offecomplémentaire. estune ville qui a connu des momentsdiffiles mais qui a su serenouveler. » En témoigne la lenteconvalescence de la rue de laRépublique voisine de la placeDorian, pas de la place Bellecour

les boutiques abandonnéescommencent à trouver preneurs.

du design« Si Lyon est si puissante, pourquoia-t-elle besoin de ? »

PERDRIAU Maire LR de

Miser sur ses atouts sans se bercertel est le credo

stéphanois des dernières années. SiGaël Perdriau laisse le soin à

de promouvoir Saintauprès des entreprises

étrangères, il se défend de placer saville en position de faiblesse.« Notre ville a une qualité de vie quilui est propre, elle a une taillehumaine et 3 000 PME/PMI. Elle asa propre identité, mais à

Lyon etle

même point sur la carte de France. »donc à locale que la

capitale ligérienne joue sesmeilleures cartes. La première

elles : le design. Mâts

colorés disposés sur la place dede ville, arbre multicolore du

parvis de la gare, mastodonte dejaune et de vert pensé par

Manuelle Gautrand pourhéberger le bâtiment administratif dela deindustrielle fait écho à dece hautlieu de production houillère.Ce nouvel étendard, reconnu par

comme un slogansous le logo de Saint

design ».Depuis dix ans etsymbolique de la Cité du design ausein des bâtiments de laManufacture royale

se démène pour faireconnaître sa nouvelle spécialité auplus grand nombre, notammentgrâce à son supérieure etdesign réputée. En 2019, la Biennaleportée par la Cité a attiré 235 000visiteurs au de la ManufacturePlaineAchille, la vitrine de cenouveau serencontrent étudiants, chefs

et artistes. « Notre défiétait entre lesvisiteurs grand public et lesprofessionnels, pose le directeur dela Cité du design,

Thierry Mandon. Le designdoit imprégner tous les domaines dela société. la créationrécente collectif deprofessionnels locaux du tourisme :

Hors Cadre. Le siteInternet propose des parcours quifont la part belle au design et auxparties méconnues de la ville.

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RUBRIQUE : Focus territoire

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JOURNALISTE :

20 juin 2019

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« Notre démarche est de promouvoirle city break. Cela touche plutôt desCSP+, des couples qui pas

et qui viennent leweekend », confime StéphaneDevrieux. Une clientèle « trèsprescriptrice », qui passera le mot àson entourage : achangé.Atouts méconnus

a une résilienceinouïe, elle aurait très bien pusombrer »THIERRY MANDON Directeur dela Cité du DesignSi le design sert de bannière,

peut compter suratouts plus surprenants. La

Comédie de a investien 2017 le site abandonné de laSociété Stéphanoise desConstructions Mécaniques. Unbâtiment de 8 000 m2 à la hauteurdes ambitions du directeur. la têtede depuis 2011, ArnaudMeunier défend la créationcontemporaine, plus discrète à Lyon.En huit ans et demi, le nombre despectateurs a doublé pour passer à55 000. Le budget suit, passant de 4,7 à 7, 2 millions avec lesoutien de la Ville. « Cela ne faisaitpas partie de politique deGaël Perdriau, mais je crois aeu une épiphanie. Il a découvert lepouvoir de la culture pour sa ville. »Au point de réunir les acteursculturels stéphanois chaque année auFestival « Pourconvaincre un cadre de à

évoquer les théâtresmais aussi ou les cinémas

et peut aider au mêmetitre que la qualité de vie, renchéritle metteur en scène. ilexiste une offe culturelle diverse ettrès accessible àLe prix moyen spectacle à laComédie est de dix euros. Un prixraisonnable pour le Centre

Dramatique National qui produit etcoproduit le plus de spectacles enFrance. La Comédie possède sapropre école dramatique quiaccueille depuis cinq ans unecinquantaine comédienschoisis sur critères sociaux. Unevingtaine de ces étudiants estparvenue à intégrer les plus grandesécoles de théâtre françaises. Moinsattractive que Lyon,pourrait pourtant conquérir ledes jeunes bacheliers, et passeulement les comédiens en herbe.Héritage de son histoire, la capitaleforézienne reste une référence danscertains domaines de niche comme

ou le textile médical.Expertise. Cette carte secrète,

de Lyon ne pas.universitaire

ManutechSleight implantée àen septembre dernier.

Son credo : des surfaces,ou de travailler les matériauxpour leur donner de nouvellescaractéristiques. Grâce aufiancement de 6, 3 millionsannuels, cette graduate school fédèredes chercheurs, des acteurs de

et des flurons locauxcomme HEF. Même ausein de fusion quiréunira plusieurs établissements dont

le campus de Saintdevrait conserver une gouvernancepropre. Héritage de sapluridisciplinarité, le campusstéphanois sera le seul à hébergertous les pôles de formation deshumanités aux biosciences.entendu des critiques au sujet durapprochement de JeanMonnet avecles universités lyonnaises. Ce que jevois, que notre ville gagne 10% depuis deux ans »,estime Gaël Perdriau. En plus

une vie abordable (740 eurospar mois en 2018, selon laville profie du parapluie de et

des filières lyonnaises qui,elles, viennent créer des promotionsplus modestes. « Avec lesinstallations des antennes deSciences Po Lyon ou Lyon,des convergences entre sciences,humanités et design pourraient sefaire facilement », espère ThierryMandon. En tout cas, plus aisément

Lyon, il est complexe deréunir tous les acteurs autourmême table.Esprit campagnePour le maire qui a gérer ladésertion progressive du centreville,diffile de ne pas se réjouir de cetengouement. Mais il ne pas defaire allégeance à Lyon pourretrouver le prestige, ni lapuissante métropole. « Nous gardonsnotre identité. qui arriveà peut avoir

à la campagneavec les avantages de la ville »,assure Voici peutêtre leprincipal avantage desur sa gourmande voisine : la qualitéde vie. Loyers parmi les plusabordables de France, proximité duPilat, faible densité deSi elle pasparadis, la capitale ligérienne peut sedonner des airs de grand village. Laforce relative de la démocratie localepar rapport à Lyon contribue àentretenir cette image. 22 conseilsde quartier couvrent de petitsterritoires. « Le but est unevéritable permanence, explique

Paul Corrieras. Cesconseils ne servent pas seulement àdiscuter. Ce sont des instances detravail qui rassemblent les habitantset le monde économique. »Concrètement, il desdiagnostics détaillés sur les projetssoumis par la mairie. « Avec unbudget total de 1, 7 millionles conseils peuvent investir dessommes considérables pour mettre

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en des politiques globales. Sibâtit un espace vert, il faut aussi

modifir la voirie. » Une idée aboutiepeut bénéfiier enveloppe de150 000 euros.Nouveaux venus. 2 juillet,ces conseils pourront rencontrer lemaire pour faire un bilan depassée autour déjeuner. Uneimage pour une cité que

ne fuit plus. Depuis trois ans,27 classes ont ouvert leurs portes,signe que la hausse de ladémographie, longtemps stagnante,repart. Malgré ses indéniablesatouts, de citéouvrière ne se fera pas sans savoisine lyonnaise. Personne nesonge à en douter, surtout pas ledirecteur de la Cité du Design.« Lyon est plus riche et peut investir

tous les domaines, maispeut se concentrer sur

ses particularités. Cette ville a unerésilience inouïe, elle aurait très bienpu sombrer. » Quant à savoir si

souffe de lacomparaison avec sa voisine,

Arnaud Meunier qui aura ledernier mot : est

de Lyon. existait untrain pendulaire pour relier Perracheau centreville en 20 minutes, tout lemonde choisirait de ici. »

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Ce que Saint-Étienne fait mieux que Lyon

Dans l’ombre de sa voisine lyonnaise, Saint-Étienne, durement touchée par la vague dedésindustrialisation des années 1980 serait-elle enfin de retour ? Design, qualité de vie, démocratielocale, savoir-faire de niche… Autant d’atouts sur lesquels mise la capitale forézienne pourexister à côté de Lyon sans renier son histoire. Tour d’horizon.

Industrielle reconvertie

Si Lyon et sa voisine stéphanoise ont longtemps fait figure de sœurs ennemies, les tensionssemblent reléguées au sport. Ce printemps, les deux métropoles ont fait cause commune pourobtenir le label Capitale French Tech de l’État. Au sein de l’association French Tech One, lesentreprises lyonnaises ont toujours la prééminence même si ses dirigeants assurent que « desacteurs purement stéphanois » devraient bientôt rejoindre le réseau comme la scale-up Manutechou BoaConcept.

Difficile pourtant d’oublier le fossé qui sépare les deux villes. « Il ne faut pas raisonner ainsi,tranche pour Tribune de Lyon le premier édile stéphanois, Gaël Perdriau. Si Lyon est si puissante,pourquoi a-t-elle eu besoin de Saint-Étienne pour obtenir le label Capitale French Tech ? » Élu en2014, le jeune maire LR défend ardemment sa ville aux sept collines contre les clichés. « Ellen’est plus celle que vous croyez. »

Pour lutter contre l’image de ville désaffectée qui lui colle à la peau, les Stéphanois cherchent àvendre un nouveau tableau, notamment aux cadres lyonnais qui exercent sur leur territoire. Celuid’une métropole moderne, fière et agréable à vivre. « Changer la perception que les visiteurs ontde nous est un travail de long terme », admet Stéphane Devrieux, directeur de Saint-ÉtienneTourisme. Il ne s’agit pas de dépasser la Métropole lyonnaise et ses 5 millions de nuitées annuelles(contre 421 600 pour Saint-Étienne), mais de se démarquer.

« Plus le positionnement de Saint-Étienne est clair, plus cela est intéressant pour la locomotivequ’est Lyon. Nous représentons une offre complémentaire. Saint-Étienne est une ville qui a connudes moments difficiles mais qui a su se renouveler. » En témoigne la lente convalescence de larue de la République — voisine de la place Dorian, pas de la place Bellecour — où les boutiquesabandonnées commencent à trouver preneurs.

© Olivier Chassignole

Égérie du design

Miser sur ses atouts sans se bercer d’illusions, tel est le credo stéphanois des dernières années. SiGaël Perdriau laisse le soin à l’Aderly de promouvoir Saint-Étienne auprès des entreprisesétrangères, il se défend de placer sa ville en position de faiblesse. « Notre ville a une qualité devie qui lui est propre, elle a une taille humaine et 3 000 PME/PMI. Elle a sa propre identité, maisà l’international, Lyon et Saint-Étienne, c’est le même point sur la carte de France. » C’est donc àl’échelle locale que la capitale ligérienne joue ses meilleures cartes.

La première d’entre elles : le design. Mâts colorés disposés sur la place de l’Hôtel de ville, arbremulticolore du parvis de la gare, mastodonte de jaune et de vert pensé par l’architecte ManuelleGautrand pour héberger le bâtiment administratif de la Métropole… L’art de l’esthétiqueindustrielle fait écho à l’histoire de ce haut-lieu de production houillère. Ce nouvel étendard,reconnu par l’Unesco, s’inscrit comme un slogan sous le logo de Saint-Étienne : « L’expériencedesign ».

Depuis dix ans et l’installation symbolique de la Cité du design au sein des bâtiments de laManufacture royale d’armes, Saint-Étienne se démène pour faire connaître sa nouvelle spécialitéau plus grand nombre, notamment grâce à son école supérieure d’art et design réputée. En 2019,la Biennale portée par la Cité a attiré 235 000 visiteurs au cœur de la Manufacture Plaine-Achille,la vitrine de ce nouveau Saint-Étienne où se rencontrent étudiants, chefs d’entreprise et artistes.

« Notre défi était d’assurer l’équilibre entre les visiteurs grand public et les professionnels, pose le

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18 juin 2019 - 13:51 > Version en ligne

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directeur de la Cité du design, l’ex-secrétaire d’État Thierry Mandon. Le design doit imprégnertous les domaines de la société.” » D’où la création récente d’un collectif de professionnelslocaux du tourisme : Saint-Étienne Hors Cadre. Le site Internet propose des parcours qui font lapart belle au design et aux parties méconnues de la ville. « Notre démarche est de promouvoir lecity break. Cela touche plutôt des CSP+, des couples qui n’ont pas d’enfants et qui viennent leweek-end », confirme Stéphane Devrieux. Une clientèle « très prescriptrice », qui passera le mot àson entourage : Saint-Étienne a changé.

Gaël Perdriau, Maire LR de Saint-Étienne. © Susie Waroude

Atouts méconnus

Si le design sert de bannière, Saint-Étienne peut compter sur d’autres atouts plus surprenants. LaComédie de Saint-Étienne a investi en 2017 le site abandonné de la Société Stéphanoise desConstructions Mécaniques. Un bâtiment de 8 000 m 2 à la hauteur des ambitions du directeur. À latête de l’institution depuis 2011, Arnaud Meunier défend la création contemporaine, plus discrèteà Lyon.

En huit ans et demi, le nombre de spectateurs a doublé pour passer à 55 000. Le budget suit,passant de 4,7 à 7,2 millions d’euros, avec le soutien de la Ville. « Cela ne faisait pas partie del’ADN politique de Gaël Perdriau, mais je crois qu’il a eu une épiphanie. Il a découvert le pouvoirde la culture pour sa ville. » Au point de réunir les acteurs culturels stéphanois chaque année auFestival d’Avignon. « Pour convaincre un cadre de s’installer à Saint-Étienne, évoquer lesthéâtres mais aussi l’opéra ou les cinémas d’art et d’essai peut aider au même titre que la qualitéde vie, renchérit le metteur en scène. Aujourd’hui, il existe une offre culturelle diverse et trèsaccessible à Saint-Étienne. »

Le prix moyen d’un spectacle à la Comédie est de dix euros. Un prix raisonnable pour le Centred’Art Dramatique National qui produit et coproduit le plus de spectacles en France. La Comédiepossède sa propre école d’art dramatique qui accueille depuis cinq ans une cinquantained’apprentis comédiens choisis sur critères sociaux. Une vingtaine de ces étudiants est parvenue àintégrer les plus grandes écoles de théâtre françaises.

Moins attractive que Lyon, Saint-Étienne pourrait pourtant conquérir le cœur des jeunesbacheliers, et pas seulement les comédiens en herbe. Héritage de son histoire, la capitaleforézienne reste une référence dans certains domaines de niche comme l’optique ou le textilemédical.

Expertise.

Cette carte secrète, l’Université de Lyon ne l’ignore pas. L’école universitaire Manutech-Sleights’est implantée à Saint-Étienne en septembre dernier. Son credo : l’ingénierie des surfaces, oul’art de travailler les matériaux pour leur donner de nouvelles caractéristiques. Grâce aufinancement de 6,3 millions d’euros annuels, cette graduate school fédère des chercheurs, desacteurs de l’éducation et des fleurons locaux comme l’entreprise HEF.

Même au sein de l’Université-cible, fusion qui réunira plusieurs établissements dont l’UJM, lecampus de Saint-Étienne devrait conserver une gouvernance propre. Héritage de sapluridisciplinarité, le campus stéphanois sera le seul à héberger tous les pôles de formation deshumanités aux biosciences. « J’ai entendu des critiques au sujet du rapprochement deJean-Monnet avec les universités lyonnaises. Ce que je vois, c’est que notre ville gagne 10 %d’étudiants depuis deux ans », estime Gaël Perdriau.

En plus d’offrir une vie abordable (740 euros par mois en 2018, selon l’UNEF), la ville profite duparapluie de l’UDL et des filières d’écoles lyonnaises qui, elles, viennent créer des promotionsplus modestes. « Avec les installations des antennes de Sciences Po Lyon ou d’EM Lyon, desconvergences entre sciences, humanités et design pourraient se faire facilement », espère ThierryMandon. En tout cas, plus aisément qu’à Lyon, où il est complexe de réunir tous les acteursautour d’une même table.

© Olivier Chassignole

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Esprit campagne

Pour le maire qui a dû gérer la désertion progressive du centre-ville, difficile de ne pas se réjouirde cet engouement. Mais il ne s’agit pas de faire allégeance à Lyon pour retrouver le prestige, nid’émuler la puissante métropole. « Nous gardons notre identité. Quelqu’un qui arrive àSaint-Étienne peut avoir l’impression d’être à la campagne avec les avantages de la ville », assurel’édile.

Voici peut-être le principal avantage de Saint-Étienne sur sa gourmande voisine : la qualité de vie.Loyers parmi les plus abordables de France, proximité du Pilat, faible densité de population… Sielle n’a pas l’apparence d’un paradis, la capitale ligérienne peut se donner des airs de grandvillage. La force relative de la démocratie locale par rapport à Lyon contribue à entretenir cetteimage. 22 conseils de quartier couvrent de petits territoires. « Le but est d’assurer une véritablepermanence, explique l’adjoint Paul Corrieras. Ces conseils ne servent pas seulement à discuter.Ce sont des instances de travail qui rassemblent les habitants et le monde économique. »

Concrètement, il s’agit d’établir des diagnostics détaillés sur les projets soumis par la mairie. «Avec un budget total de 1,7 million d’euros, les conseils peuvent investir des sommesconsidérables pour mettre en œuvre des politiques globales. Si l’on bâtit un espace vert, il fautaussi modifier la voirie. » Une idée aboutie peut bénéficier d’une enveloppe de 150 000 euros.

Nouveaux venus.

Jusqu’au 2 juillet, ces conseils pourront rencontrer le maire pour faire un bilan de l’année passéeautour d’un déjeuner. Une image d’Épinal pour une cité que l’on ne fuit plus. Depuis trois ans, 27classes ont ouvert leurs portes, signe que la hausse de la démographie, longtemps stagnante,repart. Malgré ses indéniables atouts, l’avenir de l’ancienne cité ouvrière ne se fera pas sans savoisine lyonnaise. Personne ne songe à en douter, surtout pas le directeur de la Cité du Design.

« Lyon est plus riche et peut investir tous les domaines, mais Saint-Étienne peut se concentrer surses particularités. Cette ville a une résilience inouïe, elle aurait très bien pu sombrer. » Quant àsavoir si Saint-Étienne souffre de la comparaison avec sa voisine, c’est l’artiste Arnaud Meunierqui aura le dernier mot: « Saint-Étienne est l’avenir de Lyon. S’il existait un train pendulaire pourrelier Perrache au centre-ville en 20 minutes, tout le monde choisirait de s’installer ici. »

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Les convoyeurs de BoaConcept s’imposentdans la logistique

Les convoyeurs modulaires intelligents de BoaConcept tracent leur voie, en France et àl’étranger. Deux des derniers contrats signés témoignent du dynamisme de l’entreprisestéphanoise. Le premier de ces contrats porte sur une « grosse installation » au Maroc pour unsous-traitant de l’habillement français, une première en Afrique du Nord. Elle sera opérationnelleen juin. En France, Logtex renouvelle son partenariat technologique avec BoaConcept. Aprèsavoir testé une première ligne pour son site de Wancourt (Pas-de-Calais) depuis 2016, lespécialiste de la prestation logistique textile a récidivé pour équiper ses deux nouveaux entrepôtsde Cholet (Maine-et-Loire) et de Moussey (Aube) de près de 40.000 m² sur trois niveaux. Lesystème de convoyage intègre une évolution et un accroissement possibles des flux à terme dedeux à trois ans. Un autre contrat majeur a été conclu en début d’année à Lille avec Geodis.

BoaConcept est spécialisé dans les convoyeurs modulaires intelligents pour les entrepôtslogistiques et industriels. Ses convoyeurs autonomes embarquent leur propre systèmed’intelligence qui permet par exemple de gérer des flux sans intervention externe. Ils sontspécialisés dans le convoyage de charges légères, des colis de moins de 20 kg à vitesse élevée :3.000 colis à l’heure. Ces systèmes flexibles s’adaptent à de petites lignes (de 100 à 150 m delongueur) et peuvent être déménagés facilement.

Made in Auvergne Rhône-Alpes

Créé en 2012 et présidée par Jean-Lucien Rascle, BoaConcept connaît une croissance rapideauprès de groupes logistiques comme Kuehne + Nagel, et de spécialistes du e-commerce (Oscaro,Spartoo…). La société prévoit d’atteindre 10 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2019 avec50 personnes. Un tiers de ses effectifs est affecté à la R & D. Elle dispose de trois bureauxd’études en informatique, électronique et mécanique.

80 % de son chiffre d’affaires sont réalisés en France, particulièrement enAuvergne-Rhône-Alpes. Elle travaille également en Suisse, au Benelux et étudie des dossiers enItalie et en Espagne. L’ensemble des composants de ses convoyeurs proviennent de fournisseursde la région : acier de la vallée du Gier, cartes mères de Luriecq (Loire), rouleaux moteurs deHaute-Savoie.

Cet article a été publié dans le numéro 2372 de Bref Eco.

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