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Pseudoscience Les Faux Diagnostics de La Psychiatrie (DSM) French

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  • 8/8/2019 Pseudoscience Les Faux Diagnostics de La Psychiatrie (DSM) French

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    PSEUDOSCIENCELes faux diagnostics de la psychiatrie

    Rapport sur une imposture scientifique,et recommandations

    Publi par la Commission desCitoyens pour les Droits de lHomme

    Fonde en 1969

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    INFORMATIONS IMPORTANTESpour le lecteur

    La psychiatrie prtend tre la seule autorit enmatire de sant mentale. Les faits, cependant,dmontrent que la ralit est toute autre :1. LES TROUBLES PSYCHIATRIQUES NE SONT PAS

    DE VRAIES MALADIES. En mdecine, certains critresprcis doivent tre runis pour quun certain tatphysique soit appel maladie. Des frissons et de lafivre sont des symptmes. La malaria, la fivretyphode sont des maladies. Des examens phy-siques confirment de manire objective lexistence

    de maladies somatiques. Alors quen psychiatrie,personne na pu prouver scientifiquement lexisten-ce de la moindre maladie mentale.

    2. LES PSYCHIATRES NE TRAITENT QUE DES TROU-

    BLES MENTAUX, NON DES MALADIES RELLES.

    Alors que la mdecine somatique a lhabitude desoigner des maladies, la psychiatrie ne traite quedes troubles. Un ensemble de symptmes observschez diffrents patients est appel trouble ou syn-drome, en labsence dune origine connue. JosephGlenmullen, de lcole de mdecine de Harvard, ditconcernant la psychiatrie que tous ses diagnostics ne

    sont que des syndromes (ou troubles), des groupes desymptmes soi-disant apparents, non des maladies . LeDr Thomas Szasz, professeur mrite en psychia-trie, fait remarquer qu il nexiste pas danalyse san-guine ou autre test biologique permettant de certifier laprsence ou labsence dune maladie mentale, commecest le cas pour la plupart des maladies physiques .

    3. LA PSYCHIATRIE NA JAMAIS PU TABLIR LORIGINE

    DES TROUBLES . Dimportantes organisationspsychiatriques, tels lAssociation amricainede psychiatrie et lInstitut national amricain de lasant mentale admettent que les psychiatres igno-rent tout des causes ou des traitements des troubles

    mentaux. De mme, ils ne connaissent pas les effetsspcifiques quauront leurs traitements sur le

    patient. Ils navancent que des thories et des opi-nions divergentes dont le fondement scientifiquefait dfaut.

    Comme le dclarait un ancien prsident delAssociation mondiale de psychiatrie : Lpoque o les psychiatres pensaient pouvoirgurir les malades mentaux est rvolue. lave-nir, les malades mentaux devront apprendre vivre avec leur maladie .

    4. LA THORIE SELON LAQUELLE LES TROUBLES

    MENTAUX RSULTENT DUN DSQUILIBRE CHI-MIQUE DANS LE CERVEAU EST UNE OPINION,

    NON UN FAIT. Une des thories psychiatriquesles plus rpandues (en fait la cl pour la vente desmdicaments psychotropes) est que les troublesmentaux rsultent dun dsquilibre chimiquedans le cerveau. Comme pour dautres thories, ilny a aucune preuve biologique ni de quelqueautre nature qui puisse confirmer cette opinion.Elliot Valenstein, Ph. D., auteur de Blaming theBrain (Tout est la faute du cerveau) affirme qu [Il]nexiste aucun test disponible pour mesurer ltatchimique du cerveau dune personne vivante .

    5. LE CERVEAU NEST PAS LA VRITABLE CAUSE DES

    PROBLMES DE LA VIE. Les gens sont confronts des problmes et des bouleversements dans leurvie de tous les jours qui peuvent la longue susciterdes troubles mentaux, parfois graves. Mais, le faitde dclarer que ces troubles constituent une mala-die du cerveau quon ne peut soulager qu laidede pilules dangereuses est malhonnte, nuisible estsouvent fatal. De telles substances, souvent pluspuissantes quun narcotique, peuvent conduire laviolence et au suicide. Elles masquent la vritablecause des problmes de la vie et affaiblissentlindividu. Ainsi, la personne se trouve dans lim-

    possibilit de recouvrer sa sant et de retrouverlespoir dune vie future plus saine.

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    TABLE DESMATIRESIntroduction : La maladie par opinion et dcret psychiatrique

    Chapitre un :

    La science de la fraude ................Chapitre deux : Une sciencede pacotille dans nos coles .......

    Chapitre trois : Faux tmoignagesdevant nos tribunaux .................

    Chapitre quatre : Un systmeefficace de sant mentale ...........

    Recommandations .....................

    La Commission des Citoyens

    pour les Droits de lHomme .......

    PSEUDO-SCIENCELes Faux Diagnostics de la Psychiatr

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    trop souvent, la bible psychiatrique nous a rendu fous alors quenous sommes simplement humains . Ce qui est dur avaler,cest que le DSM a essay de mdicaliser beaucoup trop deproblmes humains .6

    Par ailleurs, Kutchins et Kirk mentionnent que lesgens peuvent ressentir un soulagement trompeur la lecturedun manuel psychiatrique qui encourage la croyance dans lillu-sion que la duret, la brutalit et la souffrance dans leurs vies etdans leurs communauts peuvent sexpliquer par une tiquette

    psychiatrique et tre radiques laide dune simple pilule. Cestcertain, nous avons tous un tas de problmes et nous les traitonsdune multitude de faons particulires pour les rsoudre. Maisla vie peut-elle tre diffrente ?

    Paul R. McHugh, professeur de psychiatrie lcole uni-versitaire de mdecine Johns Hopkins, a affirm qu causedu DSM, des personnes nerveuses et impatientes sont convain-cues quelles souffrent du trouble du dficit de lattention ; que lespersonnes anxieuses souffrent du trouble du stress post-trauma-tique (TSPT) ; que les personnes qui sont ttues, ordonnes et per-fectionnistes sont affliges du trouble obsessionnel compulsif(TOC) ; que celles qui sont timides et sensibles manifestent letrouble de lvitement des gens (TEG) ou de la phobie sociale. Tous

    ont t persuads que leurs rels problmes de personnalit sont,en fait, des problmes mdicaux et en tant que tels doivent trersolus grce des mdicaments... Et plus inquitant encore, par-tout, de telles personnes trouvent des psychiatres dsireux, avidesmme de leur donner satisfaction... Avec son obsession rcente proposer des traitements cl en main pour chaque symptmedtect, la psychiatrie sest gare non seulement intellectuelle-ment mais aussi spirituellement et moralement. 7

    En juin 2004, John Read, confrencier en psychologie luniversit dAuckland, crit : De plus en plus de pro-blmes ont t redfinis comme tant des troubles ou desmaladies, apparemment causs par des prdispositions gn-tiques et des dsquilibres biochimiques. Les vnements de la viesont relgus de simples dclencheurs dune bombe retarde-

    ment biologique sous-jacente. Se sentir trs triste est devenu untrouble dpressif. Trop sinquiter est signe dun trouble delanxit. Un got prononc pour les jeux, pour lalcool, lesdrogues ou la boulimie, tout cela relve de la maladie. De mmequun manque de nourriture, de sommeil ou dactivit sexuelle.tre extrmement timide est synonyme de trouble de la person-nalit de lvitement. Tabasser les gens rvle un trouble explo-sif intermittent. Le Manuel diagnostique et statistique destroubles mentauxprsente une liste de ces maladies sur quelques886 pages... tablir des listes de comportements, coller des ti-quettes qui ont une rsonance mdicale ces personnes, puis uti-

    liser la prsence de ces comportements pour prouver quelles ontla maladie en question, est scientifiquement sans fondement.Cela ne nous dit rien sur les causes et les solutions. Toutefois celadonne le sentiment rassurant que quelque chose de mdical est entrain de se passer. 8

    On se rfre si largement au DSM au sein de la socitau point quil a acquis une aura scientifique. Des millionsde personnes maintenant croient en ses capacits de dia-gnostics, sans jamais souponner que toutes les bases et lesystme lui-mme sont frauduleux. Ces personnes risquentde prendre alors des dcisions fatales pour leur vie et celledes autres.

    Cette publication apporte une rponse au grand videlaiss par la propagande psychiatrique au sujet de sa pre-

    mire prtention, la nature scientifique du DSM.

    Cordialement,

    Jan EastgatePrsidente de la Commission des Citoyenspour les Droits de lHomme internationale

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    FAITS IMPORTANTS

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    Cest par vote que les troubles psychiatriques sont identifis et ensuitepublis dans le Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders

    (DSM) (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux)En 2001, suite un vote international dexperts de la sant mentale

    le DSM-IV a t lu lune des 10 plus mauvaises publicationspsychiatriques du millnaire , Un monstre incontrlable

    Simon Wessley, professeur auKings College et lHpitalMaudsley, dans le sud de Londres,a organis un sondage auprs de150 spcialistes de la santmentale dans le monde. Selon

    eux, le DSM fait partie des dixpublications les plus mauvaisesde lhistoire de la psychiatrie.

    On vote pour ou contrelexistence de tel ou tel troublemental en se basant sur desfacteurs qui nont rien voir avecla mdecine. En fait, la psychiatrieadmet quelle na pas prouvla cause ni la source dune seulemaladie mentale.

    La thorie selon laquelle un

    dsquilibre chimique serait lasource des maladies mentales a t soigneusement discrdite.

    Les scanners du cerveau nepermettent pas didentifierla cause de la maladie mentale.

    Le Manuel diagnostique etstatistique des troubles mentaux)(DSM-IV) de lAPA (Associationamricaine de psychiatrie) affirmeque le terme trouble mental continue apparatre dans

    louvrage car nous navons pastrouv de terme de substitutionappropri .

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    CHAPITRE UN

    C H A P I T R E U NL a s c i e n c e d e l a f r a u d e

    5

    Les diagnostics psychiatriques se concentrentseulement sur la catgorisation des symp-tmes et non sur lobservation des maladiesphysiques relles, scartant en cela de ma-nire significative des diagnostics mdicaux .

    Aucun des diagnostics nest tay par des preuves scien-tifiques de maladiesbiologiques ou de maladies mentalesdaucune sorte.

    Margaret Hagen, docteur en philosophie, fait remar-

    quer : Il y a de nombreuses manires de mal pratiquer lascience. La science grossire qui constitue la plus grande par-tie du corps de la connais-sance de la psychologie cli-nique est l pour illustrerchacune dentre elles... Notresystme lgislatif sest vudire que la psychologie cli-nique est une disciplinescientifique, que ses thorieset sa mthodologie sont cellesdune science arrive matu-rit et notre systme lgislatif

    la cru. Si lon sen rfre ltat dplorable de la scien-ce de la psychologie cli-nique, ceci est proprementincroyable .

    Les professeurs Kut-chins et Kirk dclarent : Il existe en effet de nom-breuses illusions au sujet duDSM, (le Manuel diagnostique et statistique des troubles men-taux), ainsi quun rel besoin parmi ses inventeurs, de croire queleurs rves en terme dexcellence et dutilit scientifique sontdevenus ralit. Ces critres de diagnostics ont renforc la vali-dit, la fiabilit et la prcision des diagnostics utiliss par les cli-

    niciens de la sant mentale. 9Leurs rves sont demeurs une illusion.

    Le psychiatre Matthew Dumont sest aussi exprimsur les prtentions futiles du DSM se poser comme auto-rit scientifique : On ne parvient pas diffrencier lhumili-t de larrogance dans la prose, elles gambadent comme de jeuneschiots ! Ils disent : ... alors que ce manuel offre un classementdes troubles mentaux... aucune dfinition spcifique ne prciseles frontires du concept... Elle [lAPA, Association amricainede psychiatrie] poursuit : ... lhypothse selon laquelle chaquetrouble mental est une entit spcifique avec des frontires nettes

    entre lui et dautres troubles mentaux, ou entre lui et labsencede trouble mental nest pas pose [APA, 1987]. 10

    Les psychiatresne peuventpas dfinir letrouble mental

    Imaginez un docteuren mdecine traitant latension artrielle ou le dia-bte et qui ne peut mmepas dfinir ce que cest !

    Maintenant considrez lefait quil ny ait pas unseul psychiatre qui soit enmesure de dfinir ce quilest suppos traiter .

    propos de la schi-z op hr n ie , l e DSM-IIadmettait : Mme sil a

    essay, le Comit na pas pu se mettre daccord sur la dfinitiondu trouble, il a seulement pu convenir de la faon dont ondevait le nommer .

    Dans le DSM-III, les psychiatres disent quil nexiste

    pas de dfinition qui donne des limites prcises au concept de trouble mental... Concernant la plupart des

    Lpoque o les psychiatrespensaient pouvoir gurir

    le mental est rvolue.Dsormais, celui qui est malade

    mentalement devra apprendre vivre avec sa maladie.

    Dr Norman Sartorius,prsident de lAssociation

    mondiale de psychiatrie, 1994

    La sciencede la fraude

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    En 2001, Simon Wessley, professeur en psychiatrie auKings College et aux hpitaux Maudsley, Londres, aorganis un sondage et un vote auprs de 150 sp-cialistes de la sant mentale dans le monde au sujet des 10publications parmi les pires de lhistoire de la psychiatrie.

    Parmi les dix se trouvait la quatrime dition du DSM.

    Le sondage a montr que si vous ntes pas dans leDSM-IV, vous ntes pas malade. Cest devenu un monstrehors contrle .14

    Aujourdhui le monstre DSM est utilis pour : Dterminer laptitude mentale dun individu ou dun

    parent. Enlever un enfant de la garde de ses parents. Dterminer les capacits potentielles dun employ

    faire un travail. Priver une personne de son droit de vote dans cer-

    tains pays. Dterminer si une personne est en mesure de plai-

    der coupable devant une cour de justice. Enfermer un accus vie dans un tablissement

    psychiatrique plutt que de le dclarer coupabledun crime et de le laisser subir une peine dont ladure est dtermine.

    Empcher une personne dtre libre de prison oulibre sur parole.

    Annuler le testament dune personne.Annuler des contrats lgaux et passer outre lesvolonts dune personne concernant une affaire ouune proprit.

    Incarcrer une personne contre sa volont dans untablissement psychiatrique o des traitements auxlectrochocs et des drogues psychiatriques peuventtre administrs de force.

    Forcer une personne continuer prendre des droguespuissantes, crant des dommages nerveux et crbraux,alors quelle continue de vivre dans sa communaut.

    Escroquerie lassurance dune personne. Facturer les socits dassurance pour des viols commis

    par des psychiatres sur leurs patientes tout en les appe-

    lant thrapie .

    Rex Cowdry, Directeur de lInstitut National de la santmentale des tats-Unis, a admis : Nous ne connaissonspas les causes [de la maladie mentale]. Nous navons pas enco-re les mthodes pour gurir ces maladies .

    Le D

    r

    Thomas Dorman, membre du Royal Collegedes physiciens du Royaume-Uni ainsi que du RoyalCollege des physiciens du Canada, a crit : En bref, toutelaffaire consistant crer des catgories psychiatriques demaladies, de les formaliser selon un consensus et ensuite deleur attribuer des codes de diagnostic, qui leur tour sont utili-ss pour facturer aux assurances, nest rien dautre quun grandracket assurant la psychiatrie une aura pseudo-scientifique.Les malfaiteurs se nourrissent bien sr de largent public. 13

    Les diagnostics psychiatriquesse concentrent seulement sur

    la catgorisation des symptmes et pas sur lobservation des maladies

    physiques relles, scartant encela de manire significative

    des diagnostics mdicaux. Aucundes diagnostics nest tay par des

    preuves scientifiques de maladies biologiques ou de maladies

    mentales daucune sorte.

    * le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux

    Les troubles mentainventoris dans l eManuel diagnosti

    et statistique des

    troubles mentaux

    (DSM), lont tsans base scientifiqet sans preuve.

    INFILTRER LA SOCITLinfluence du DSM*

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    De plus en plus de problmes ont t redfiniscomme troubles ou maladies supposs trecauss par des prdispositions gntiques et desdsquilibres biochimiques. Les vnements de la viesont relgus au rang de dclencheurs dune bombe retardement biologique. Se sentir trs triste est devenuun trouble dpressif . Se faire trop de soucis estun trouble de lanxit ... tablir des listes decomportements, apposer des tiquettes connotation

    mdicale aux gens qui en sont lobjet, et utiliser laprsence desdits comportements pour leur prouverquils ont la maladie en question, est scientifiquementsans fondement.

    John Read, matre de confrence enpsychologie luniversit de Auckland,Nouvelle-Zlande, 2004.

    La pierre angulaire du modle de la mala-die psychiatrique aujourdhui est la tho-rie selon laquelle un dsquilibre chi-mique dans le cerveau serait la cause de lamaladie mentale. Vulgarise par le marketing,cette notion nest rien dautre que le vupieux de la psychiatrie. Comme pour tous lesmodles relatifs la maladie mentale enpsychiatrie, cela a t soigneusement discrdi-t par les chercheurs, psychiatres, psycho-logues et docteurs en mdecine.

    Le diabte est un dsquilibre biochi-mique. Toutefois, le test dterminant dudsquilibre biochimique est un haut niveaude sucre dans le sang. Le traitement dansles cas graves est linjectiondinsuline, ce qui restaure

    lquilibre du sucre dans lesang. Les symptmes seffa-cent et un nouveau testmontre que le niveau desucre est normal , nous ditle psychiatre de luniversit demdecine de Harvard, JosephGlenmullen. Un dsqui-libre en sel ou en sucre dansle sang, rien de semblable

    ACCUSER LE CERVEAU

    Lescroquerie du dsquilibre chimique

    Elliot Valenstein

    FAUSSE THORIE DU CERVEAUPrsents dans dinnombrables illustrations de magazinespopulaires, des chercheurs psychiatres ont dissqu, tiquetet analys le cerveau tout en bombardant le public avec lesdernires thories sur son dysfonctionnement.Ce qui manque, comme avec toute thorie psychiatrique cestune validit scientifique. Ainsi que lexplique le D r ElliotValenstein, Il ny a pas de tests fiables pour valuer ltatchimique du cerveau dune personne vivante.

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    nexiste pour mettre en vidence la dpression ou un autresyndrome psychiatrique.

    En 2002, le Dr Thomas Szasz, Professeur mrite enpsychiatrie, dclara : Il ny a aucun test sanguin ou autre

    test biologique pour accrditer la prsence ou labsence demaladie mentale, comme il en existe pour des maladies ducorps. Si un tel test tait dvelopp (pour ce qui jusqualorsavait t considr comme une maladie psychiatrique),alors cela cesserait dtre une maladie mentale et serait clas-s comme symptme dune maladie corporelle.

    Dans son livre, Complete Guide to Psychiatric Drugs,(Le guide complet des drogues psychiatriques), publi en2000, Edward Drummond, docteur en mdecine, directeurmdical associ au centre de sant mentale Seacoast Portsmouth, New Hampshire, crit : Tout dabord, aucu-ne tiologie biologique [cause] na jamais prouv le troublepsychiatrique... en dpit de dcennies de recherches...Alors

    nacceptez pas ce mythe selon lequel nous pouvons faire undiagnostic prcis....Vous ne devez pas croire que vos pro-blmes sont seulement dus un dsquilibre chi-mique. 15

    Bruce Levine, docteur en philosophie, psychologueet auteur de Commonsense Rebellion (la rbellion du senscommun) ajoute : Souvenez-vous quaucun marqueurbiologique, neurologique ou gntique na t trouvconcernant le trouble du dficit de lattention, le trouble delopposition dfiante, la schizophrnie, lanxit, la consom-mation compulsive dalcool ou de drogues, la boulimie, le

    jeu ou toute autre chose communment appele maladiementale ou trouble mental. 16

    Eliot Valenstein, docteur en philosophie, auteur de

    Blaming the Brain, (Accuser le cerveau) : Il nexiste aucuntest disponible pour dterminer ltat chimique du cerveaudune personne en vie .17

    Le psychiatre David Kaiser dclare : ... La psychia-trie moderne doit encore prouver la cause gntique / bio-logique de toute maladie mentale. Des patients ont t dia-gnostiqus comme souffrant de dsquilibres chimiques endpit du fait quaucun test nexiste qui pourrait soutenir unetelle thse et... il nexiste aucune conception relle de ce quoi ressemblerait un quilibre chimique correct. 18

    Les prtentions ou suggestions selon lesquelles, aujourdhui, latechnologie dimagerie du cerveau a prouv que la maladie men-tale est cause par des maladies ou des dsquilibres chimiquesest de la pure fantaisie psychiatrique.

    Steven Hyman, Directeur de linstitut de la sant mentale destats-Unis reconnat quune pratique sans finesse consistant scannerle cerveau, produit de jolies images mais sont inconsquentes en cequi concerne le cerveau .

    Un article du mois de mai 2004 dans le journal amricain, TheMercury News, mentionne : Un grand nombre de mdecins avertis-sent des dangers dutiliser limagerie du SPECT (Single Photon Emission

    Computed Tomography) [cerveau] comme outil de diagnostic, disantque cela ntait pas thique et potentiellement dangereux dutiliserle SPECT pour identifier les problmes motionnels, de comportementet psychiatriques chez un patient. Cet examen, qui cote environ 2000euros, noffre aucune information utile ou exacte, disent-ils. 19

    Cit dans le mme article, le psychiatre M. Douglas Mar dclare : Il nexiste aucune base scientifique ces prtentions (dutiliser le scan-ner du cerveau pour effectuer un diagnostic psychiatrique). Pour lemoins, on devrait dire aux patients que le SPECT est extrmementcontrovers. 20

    Un diagnostic prcis bas sur un scanner nest simplement paspossible. Jaurais aim que ce soit le cas , dclare le Dr Michael D.Devous du centre de mdecine nuclaire de luniversit du Texas.21

    Le Dr Mark Graff de lassociation psychiatrique de Californie,

    admet avec candeur : Lhistoire de la mdecine est jonche de sdui-santes procdures qui savrent ne pas fonctionner du tout. Nous aime-rions quil existe un examen qui soit facile et dfinitif. Mais dabord, ilnous faut des confirmations (de sources) indpendante que cela fonc-tionne. 22

    En dpit de labondance des explications biochimiques avancespour des tats psychiatriques supposs, Joseph Glenmullen de luniver-sit de mdecine de Harvard est clair : ... il ny a aucune preuve detout ceci. Bien au contraire. chaque fois quon a pens quun tel ds-quilibre avait t trouv, plus tard on a prouv que ctait faux.

    Lescroquerie desscanners du cerveau

    Tout dabord, aucune tiologie biologique[cause] na jamais prouv le trouble

    psychiatrique... en dpit de dcenniesde recherches... Alors nacceptez pas ce

    mythe selon lequel nous pouvons faire undiagnostic prcis .... Vous ne devezpas croire que vos problmes sont seulement

    dus un dsquilibre chimique. Edward Drummond, docteur en mdecine,directeur mdical associ au centre de sant

    mentale Seacoast Portsmouth, New Hampshire

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    17 millions denfants traversle monde se voient prescriredes psychotropes suite aux diagnostics du type DSMalors quaucun de ces diagnostics

    na de valeur scientifique.La liste des symptmespsychiatriques du THADA(Trouble dhyperactivit avecdficit de lattention) nest quuneliste des comportements propres presque tous les enfants.

    Le mdicament principalementutilis pour traiter le THADAest source dune trs fortedpendance, le suicide tantla complication pendant la

    priode de sevrage.Des millions denfants prennentdes antidpresseurs dont unnotamment a t associ plus dedcs et autres effets secondairesgraves que nimporte quel autremdicament dans lhistoire.

    En 2003 et 2004 les organismesde contrle mdical du Royaume-Uni, dAustralie, du Canada,dEurope et des tats-Unis ontalert sur les risques de suicides

    provoqus par la prescription decertains antidpresseurs pour lesmoins de 18 ans.

    1

    2

    345

    FAITS IMPORTANTS

    Une nouvelle catgorie de mdicaments est arrive sur le marchLa promotion des diagnostics frauduleux de la psychiatrie, tels que

    ceux identifiant les comportements des enfants des maladiesa suscit une sur-consommation de psychotropes. Dpendances

    crimes et violences en rsultent

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    Dans la plupart des pays du monde, il nexisteque peu de familles ou de professeurs dontles vies naient t affectes dune certainemanire par cette vague de mdication pourdes enfants, avec des prescriptions de mdi-

    caments effet nocif sur le mental. Il y a maintenant dix-sept millions denfants dans le monde qui reoivent untraitement sous forme de mdicaments psychotropes.

    Cest de plus en plus souvent que les psychiatres et

    les psychologues disent auxparents que leurs enfantssouffrent de troubles affec-tant leur aptitude appren-dre appels les troublesde lapprentissage (TA), lestroubles du dficit de lat-tention (TDA) ou plus com-munment de nos jours lestroubles de lhyperactivitet du dficit dattention(THADA).

    Le DSM-IV rpertorie

    les symptmes de THADAcomme suit : narrive pas fixer son attention sur desdtails ou fait des fautes dat-tention sur ses devoirs ouautres tches. Le travail estsouvent confus et sans soin.A des difficults soutenir son attention dans ses devoirs ou sesactivits ludiques, narrive pas finir son travail scolaire, lestravaux quotidiens ou autres tches ; se tord souvent les mainsou les pieds et se trmousse sur son sige ; court partout ougrimpe nimporte o dans des moments inappropris ; est sou-vent sur les starting blocks, parle beaucoup tort et travers,interrompt ou drange les autres (par exemple : intervient dans

    les conversations ou les jeux). utiliser tous ces critres, tout enfant ou presque

    pourrait tre diagnostiqu comme souffrant du THADA.

    Prconiser des mdicaments dangereuxSelon le Dr Sydney Walker III, psychiatre et neuro-

    logue, auteur du Canular sur lhyperactivit, 1998 : ... unenfant qui voit un mdecin imprgn des thses du DSM estpresque assur dtre tiquet cas psychiatrique et de recevoirune ordonnance, mme sil va trs bien. Cet tiquetage lem-porte-pice de malade mental, sur peu prs tout le monde, estun srieux danger pour les enfants bien portants, puisque tousles enfants ont virtuellement suffisamment de symptmes pour

    se voir attribuer ltiquetteDSM et un traitement basede mdicaments. Et bien sr,le label DSM est un vrai dan-ger pour les enfants maladesdont le bon diagnostic et lebon traitement ne sont pasappliqus.

    Les mdicaments pres-crits aux enfants ne sontni neutres ni efficaces ; toutau contraire ils sont dange-reux et provoquent une

    forte dpendance. Le Guidede rfrence du mdecin pr-sente des rapports stipulantque laugmentation durythme cardiaque et de lapression sanguine peut trele rsultat de puissants

    mdicaments stimulants utiliss pour traiter le THADA.23

    Le suicide est la complication la plus grave du sevrage auxmdicaments type amphtamines ou stimulants.24 LAgencede contrle des mdicaments des tats-Unis (DEA) met engarde contre la Ritaline qui prdispose son utilisateur auxeffets de la cocane en dautres mots la dpendance.

    Le psychologue Ty C. Colbert, auteur du Viol de lme :

    comment le modle de dsquilibre chimique de la psychiatriemoderne a sabot ses patients, explique que la Ritaline diminuelirrigation sanguine du cerveau : lirrigation sanguine

    C H A P I T R E D E U XU n e s c i e n c e d e p a c o t i l l e d a n s n o s c o l e s

    11

    Lirrigation sanguine amnela source dnergie ncessaire

    au cerveau. Le cerveau ne peutpas fonctionner sans glucose.Nous avons dcouvert que denombreux enfants sous Ritaline

    (ou autres stimulants) ontdes comportements de zombie.

    Ty C. Colbert, psychologue,auteur du Viol de lme : comment le

    modle de dsquilibre chimique de lapsychiatrie moderne a sabot ses patients

    CHAPITRE DEUXUne science de pacotilledans nos coles

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    amne la source dnergie ncessaire au cerveau. Le cerveau nepeut pas fonctionner sans glucose. Nous avons dcouvert que denombreux enfants sous Ritaline (ou autres stimulants) ont descomportements de zombie. 25

    Des antidpresseurs sont galement prescrits des

    millions denfants, dont essentiellement les inhibiteursspcifiques de la recapture de la srotonine (ISRS ou SSRIen anglais). En 2003, lAgence de Contrle de mdecinebritannique a mis en garde les mdecins contre les antid-presseurs SSRI prescrits pour les moins de 18 ans causedes risques de suicide. Lanne suivante, la Food and DrugAdministration des tats-Unis (FDA) en fit de mme, suivipar lAustralie, le Canada et les agences europennes. Enseptembre 2004, une commission de conseillers de la FDAalla encore plus loin en recommandant que lon place bienen vidence sur les bouteilles de SSRI un label noir de danger (une bote noire), mettant ainsi en avant que cemdicament peut causer le suicide. Mais ce label nest pasencore suffisant. Des enfants meurent, des enfants en tuent

    dautres ou sont en tat de dpendance cause de cesmdicaments et autres drogues psychiatriques. Leur ave-nir ne sera sauvegard que le jour o les troubles men-taux qui servent de base au diagnostic seront abolis et oles dangereux psychotropes quils avalent seront interdits.Pendant plus de dix ans, et comme le rapporte la FDA, unseul SSRI a t associ plus dhospitalisations, de mortsou de graves effets secondaires que nimporte quelle autredrogue dans toute lhistoire.26

    En ce qui concerne lediagnostic du THADA

    Bervely Eakman, auteur de best-sellers et prsident

    du Consortium de lducation nationale aux tats-Unis,dclare en 2004 : Ces drogues rendent les enfants plusgrables mais pas forcment meilleurs. Le THADA est un syn-drome, pas une maladie du cerveau . tant donn que le dia-gnostic de THADA est frauduleux, le fait que la drogue marche ou pas a peu dimportance. Les enfants sont forcs deprendre des mdicaments plus forts que la cocane pour unemaladie qui reste dmontrer. 27

    Le Dr Louria Shulamit, mdecin de famille en Isral,dclare : Le THADA est un syndrome, pas une maladie (pardfinition). En tant que tel il est diagnostiqu daprs les symp-tmes. Les symptmes de ce syndrome sont si communs quenous pouvons en conclure que tous les enfants et spcialementles garons rpondent ce diagnostic. 28

    Le Dr Fred A. Baughman, pdo-neurologue et membrede lAcadmie amricaine de neurologie alerte les parents,professeurs et enfants sur lhorrible trahison dont ils ont

    Ces mdicaments rendent les enfants plus grables maispas forcment meilleurs. Le THADA est un phnomne,pas une maladie du cerveau. tant donn que le diagnosticde THADA est frauduleux, le fait que le mdicamentmarche ou pas a peu dimportance. Les enfants sont forcsde prendre des drogues plus fortes que la cocane pour unemaladie qui reste encore dmontrer. Bervely Eakman, auteur de best-sellerset prsident du Consortium delducation nationale aux tats-Unis, 2004

    Les psychiatres ne font pas de tests. Le psychiatre coutelhistoire et prescrit ensuite un mdicament. Le THADAnest pas comme le diabte et [le stimulant utilis] nest pascomme de linsuline. Le diabte est une vritable maladiephysique que lon peut diagno stique r de faon object ive.Le THADA est une tiquette invente sans moyen objectif

    didentification. Linsuline est une hormone naturelleproduite p ar l e co rps et vita le po ur vivre. [Ce st imulant]est un driv chimique damphtamine, et comme toutedrogue elle nest pas essentielle pour vivre. Le diabte estune dficience dinsuline. Les problmes dattention et decomportement ne sont pas des dficiences [de stimulant] .Dr Mary Ann Block, auteur de No More ADHD (stopper le THADA)

    Un enfant qui voit un mdecin imprgn des thsesdu DSM est presque assur de se voir tiquet caspsychiatrique et de recevoir une ordonnance, mme silva trs bien. Cet tiquetage lemporte pice de malademental, sur peu prs tout le monde, est un srieux

    danger pour les enfants bien portants, puisque tous ontvirtuellement suffisamment de symptmes pour se voirattribuer ltiquette DSM et un traitement base demdicaments .Dr Sydney Walker III, psychiatre et neurologue, auteur deThe hyperactivity hoax (le Canular sur lHyperactivit), 1998

    Lorsque lon tiquette lattitude des enfants comme unemaladie, ces derniers pensent que quelque chose ne va pasavec leur cerveau, ce qui les rend incapables de se contrlersans laide de pilules. Dr Fred Baugham, Jr, neuropdiatre et membre

    de lAcadmie amricaine de neurologie

    Ce que disent les expertssur le THADA

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    fait lobjet quand on a tiquet le comportement dunenfant comme une maladie : Ils pensent quils ont quelquechose qui ne va pas avec leur cerveau ce qui les rend totalementincapables de se contrler sans la prise de mdicament. 29

    Les psychiatres revendiquent tort que le THADA

    demande un traitement tout comme le diabte deman-de un traitement linsuline.Le Dr Mary Ann Block, auteur de Plus du tout de

    THADA, souligne que : les psychiatres ne font aucun test.La psychiatrie coute ce quon lui dit et prescrit des mdica-ments. Elle indique encore : Le THADA nest pas le diabteet le stimulant nest pas linsuline. Le diabte est une vraiemaladie qui peut tre facilement diagnostique. Le THADA estune tiquette invente sans objectivit ou moyens tangiblesdidentification. Le stimulant est une drogue chimique base dedrivs damphtamines qui nest pas ncessaire la vie. Le dia-bte est une insuffisance dinsuline. Les problmes dattention oude comportements ne sont pas dus des manques de stimulants.

    Sil nexiste pas de tests pour le THADA , dit le

    Docteur Block, sil nexiste aucune information prouvantque le THADA est d un dysfonctionnement du cerveau, silnexiste aucune tude longterme sur les effets du mdi-cament et si les mdicamentsnamliorent pas les perfor-mances ou aptitudes sco-laires, mais engendrent plu-tt des troubles de lhumeuret des tats compulsifs, alorspourquoi des millions den-fants , dadolescents etdadultes se voient tiquets

    comme THADA et se voientprescrire ces mdicaments ? Les psychiatres ont

    galement redfini le com-portement perturbateurdes adolescents commeune maladie mentaleaccompagne de troublescomme les troubles de laconduite et les troubles oppositionnels dviants .

    Dans son livre paru en 2002, The Culture of Fear, (LaCulture de la Peur), Barry Glassner, sociologue lUniversitde Californie du Sud, explique que le DSM fait des enfantsde parfaits candidats lemprisonnement psychiatrique

    sils font mme moins d1/5e de ce qui suit : se disputeravec des adultes, contrer les demandes des adultes, faire deschoses qui embtent les autres, se mettre en colre, se dsintresser

    facilement des choses, agirmchamment, critiquer lesautres pour leurs erreurs, sefcher, avoir de la rancune oujurer. 30

    Selon le docteur

    Thomas Szasz, professeurmrite en psychiatrie : Puisque les maladies men-tales qui sont supposesaffliger lenfant sont indnia-blement des comportementsincorrects et parce que len-fant en tant que patientmental est encore dans une

    situation plus dsespre quun patient adulte, la pdo-psy-chiatrie est donc une entreprise doublement problmatique .31

    De plus, la dlinquance nest pas une maladie au mme titreque le diabte... Bien que le terme dlinquance juvnileimplique que lenfant ainsi diagnostiqu soit coupable de mau-

    vaise conduite, le diagnostic est souvent fait en labsence depreuve dmontrant que lenfant accus a vraiment dsobi auxautorits ou la loi.

    C H A P I T R E D E U XU n e s c i e n c e d e p a c o t i l l e d a n s n o s c o l e s

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    Le DSM fait des enfants de parfaitscandidats lemprisonnement

    psychiatrique sils font mme moinsde 1/5e de ce qui suit : se disputer

    avec des adultes, contrer les demandesdes adultes, faire des choses quiembtent les autres, se mettre en

    colre, se dsintresser facilementdes choses, agir mchamment, critiquerles autres pour leurs erreurs, se fcher,

    avoir de la rancune ou jurer. Barry Glassner, sociologue

    lUniversit de Californie du Sud

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    FAITS IMPORTANTS

    Dans les affaires de justice,les psychiatres sont rarementdaccord entre eux sur lediagnostic porter surlattitude dun tmoin,dun accus etc.

    Selon le DSM-IV, quand ladescription des troubles mentauxest utilise pour des expertises,il existe un risque considrable...Il nest pas suffisant de constaterlexistence de troubles mentaux des fins juridiques, pourdterminer la responsabilit

    criminelle ou lincapacit lgale.

    En 2003, le Psychiatric Timespubliait un article disantdu DSM quil tait un puitsdimbcilits pour les autresspcialits mdicales .

    Excuser un crime parla folie est une inventionde la psychiatrie.

    1

    34

    2

    Appels pour leur dfense, des psychologues ont dclarque les frres Menendez (condamns plus tard)

    souffraient de vulnrabilit acquise quand ils onttir et assassin leurs parents avec des armes feu.

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    En 1962 dans un article de la NorthwesternLast Review, le psychiatre Alfred Baurcitait le cas dun hpital qui avait reu unpatient en observation pendant une prio-de de trois mois avant sa comparution

    devant un tribunal.Baur et ses collgues conclurent quil ne rv-

    lait aucun trouble mental . La Cour cependantengagea de son ct deux psychiatres privs pour

    donner un diagnostic. Aprs une premire obser-vation, lun des deux conclut que le patient taitun paranoaque schizo-phrne. Lautre conclutquil tait un cas deparanoa simple.Pendant le procs, lesdeux psychiatres delhpital tmoignrentde la bonne sant des-prit du patient alorsque les deux autrespsychiatres nomms

    par la Cour insistrentsur linverse.Le ct absurde de

    laffaire fut critiqu,comme le rapporteBaur, par le fait que : Le jury dcida donc quelhomme ntait pas cou-pable du fait de sa folie, quil tait encore fou et lecondamna un internement dans lhpital qui venaitjuste de tmoigner quil navait aucun trouble mental.

    En 1994, deux jurys amricains se retrouvrentdans une vritable impasse dans les procs de Erikand Lyle Menendez, deux frres qui avaient sau-

    vagement tu leurs parents dans leur luxueusemaison familiale de 4 millions de dollars. Une

    quipe de psychiatres, psychologues et thra-peutes fut engage pour construire la dfense. Undes psychologues expliqua que les frres souf-fraient de dsespoir acquis d des abus inten-sifs et rpts. Un autre psychologue tmoignadun dsordre de stress post traumatique .

    Limpasse se situait au niveau de la notion decriminalit que la psychiatrie considrait commeexcusable et au fait que les deux psychiatres ne

    pouvaient se mettre daccord sur le diagnostic. Selon le mme DSM-IV lui-mme : quand

    les catgorisations, lescritres et les descrip-tions textuelles sontutiliss des fins dex-pertises, il existe alorsdes risques importantspour que les diagnos-tics soient mal utilissou mal compris .

    Et il nestpas suffisant dtablir

    des fins juri-diques lexistence dun trouble mental ,dune inaptitude men-tale , dune maladiementale ou dune dfaillance mentale pour attribuer une res-

    ponsabilit ou irresponsabilit criminelle. Le regrett Jay Ziskin, psychologue, qui lana

    un mouvement pour loigner la psychiatrie des tri-bunaux, indique dans un article paru en 1988 : Les tudes dmontrent que les cliniciens profession-nels ne rendent pas de jugements cliniques plus prcis

    quun simple nophyte. Ils sont aussi srs que desprdictions faites en regardant dans une boule de cristal.

    Pourquoi ne pas juste jouer pileou face ou tirer les cartes ?

    Pourquoi ne pas juste se banderles yeux et examiner les patientsles yeux ferms ? Cela ne gnera

    en rien le niveau de prcision

    dun diagnostic, qui est correctmoins dune fois sur trois.

    Dr Margaret Hagen,docteur en Mdecine, 1997

    CHAPITRE TROISFaux tmoignagesdevant nos tribunaux

    C H A P I T R E T R O I SF a u x t m o i g n a g e s d e v a n t n o s t r i b u n a u x

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    Les professeurs Kutchins et Kirk trouvrent des raisons amplement suffisantes permettant dednoncer la nonfiabilit des dernires versions du DSMcomme outil clinique et par consquent, son manque de

    viabilit comme systme de classification . Le Dr Hagen ne mche pas ses mots proposdes psychiatres et des psychologues qui redfinis-sent le comportement criminel comme une mala-die : Pourquoi ne pas jouer pile ou face ou tirerles cartes ? Cela ne gnera en rien le niveau de prci-sion dun diagnostic, qui est correct moins dune foissur trois. Il ny a pas de traitement psychologiquecontre le besoin de taper sur une femme, de violer ou detuer. La seule ide que la psychologie contemporainepuisse mme y prtendre est parfaitement ridicule... 32

    Il y a plus de cent ans, en 1884, la Cour dappelde New York concluait dj : Douze jurs ayant dubon sens et de lexprience feront bien mieux tout

    seuls plutt quavec laide dexperts dont lopinionne peut tre quentache par la volont de promouvoir lacause quelle veut dfendre .33

    Pourtant, les psychiatres et les psychologues

    ont, depuis lors, pass leur temps fausser parleurs opinions les avis des tribunaux.Ainsi, la poursuite de la vrit, toute la vri-

    t et rien que la vrit a donn lieu des tonnesdinformations sans fondement, des spcula-tions fondes sur la peur et des conjectures fan-taisistes. Les tribunaux rsonnent de discourstrompeur au bout du compte, apparemmentsrieux mais noncs systmatiquement, dans unjargon professionnel. Les avocats eux-mmes dsi-gnent ce genre de discours comme tant de lascience de pacotille .34

    La justice est laction entreprise par la socitsur un individu quand ce dernier en a gravement

    viol les codes civilset pnaux.Cest une action

    entreprise par le grou-pe pour assurer sapropre survie. Quandun psychiatre affirmelinsanit dun crimi-nel en se fondant surla science de paco-tille quest le DSM etque le criminel enquestion devrait tre

    acquitt ou trait plu-tt quemprisonn, lajustice est alorsdtourne au profit delindividu plutt quedu groupe. De cettefaon, les psychiatressont arrivs affaibliret entraver les seulsmoyens lgaux aveclesquels la socitpeut se protger deslments criminels.

    COMMENT DVELOPPERLES AFFAIRES

    En 1998, la psychiatrie a pntr le domainede la mdecine avec la publication du kit guide

    des premiers soins de la sant mentale delOrganisation Mondiale de la Sant, conu

    pour faciliter et promouvoir lutilisation par lesmdecins de listes comportementales

    psychiatriques pour diagnostiquer les troublesmentaux. Le manque de valeur scientifique

    tait compens par une campagne demarketing intense et de la vente agressive .

    La liste de symptmes toute prtepermet de faire un diagnostic instantan,denchaner avec un traitement prpar lavance puis denvoyer le patientchez un psychiatre.

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    Marginalise par lemonde de lamdecine du fait

    de son manque de rigueurscientifique, la psychiatriecontempora ine s enor-gueillit de la nature appa-remment scientifique de sonsystme de diagnostic, leDSM et de lutilisation deprescriptions de mdica-ments psychiatriques.

    En 1998, lOrganisa-tion Mondiale de la Santdveloppa un kit de pre-miers soins pour les troubles

    mentaux qui fut distribudans le monde entier pour facil iter les premiersdiagnostics des maladiesmentales.35 Fond sur leDSM-IV et le ICD-10, le kit apour but dengranger plusde business pour le sys-tme de la sant mentale etinvite les mdecins passeren revue une liste desymptmes pour diagnos-tiquer un ventuel trouble

    mental. Ils doivent servirgalement de prescripteursauprs des psychiatres pourles troubles plus srieux .

    Grce ces effortsmarketing, les mdecinsgnralistes prescrivent plusde 80 % dantidpresseurs.

    Peter Tyrer, professeurau service psychiatrique duCollge Imprial de Londresdit en 2003 : Je dis tou-

    jours que le DSM signifie leDiagnostic des Simples dEsprit. Il fournit ce que les [psy-

    chiatres] amricains appellent les critres oprationnels pour diagnostiquer un certain tat. En fait, si vous atteignezun certain quota, alors vous diagnostiquez ltat en question.Cest la mentalit de la bote diagnostic. Et bien, vous tesun bien mauvais clinicien si vous devez vous y prendre ainsi.Les mdecins doivent sintresser la personne. 36

    Les mdecins sont certainement en train de dcouvrirlimposture de la psychiatrie et de son invention du diagnostic.

    En avril 2003, dans larticle du Psychiatric Times intitul bas le DSM , le psychiatre Paul Genova dnonait la pra-tique psychiatrique base sur ce systme de diagnostic par

    ces mots : Cest un puitsdimbcillits pour les autresspcialits mdicales .

    J. Allan Hobson etJonathan A . Leonard,auteurs de Compltementfolle, la psychiatrie est encrise. Un appel larforme dclarent : De

    par ses descriptions dtailles et son statut autoritaire, le DSM-

    IV tend appuyer lide quun diagnostic brut associ unrecours systmatique aux pilules est tout fait acceptable. 37

    La plupart des nouvelles souffrances de lme , faondont le psychiatre suisse Asmus Finzen traduit les nombreux troubles du DSM, ne sont ni plus ni moins que les hautset les bas normaux de la vie. En les isolant, on vient grossir la personnalit anti-sociale . La tristesse naturelle a t clas-sifie en psychiatrie comme un trouble dadaptation .38

    Bien que ce soit une tche phnomnale, il est vital quele systme de diagnostic du DSM soit rejet universellementpuisquil na pas de fondement scientifique.

    LES MENSONGES DIVULGUESMettre jour le monstre DSM

    Ces gens nont pas dthique.Ils nont aucune moralit.

    Ils ressemblent aux pilleurs de tombesdans la vieille Angleterre qui fournissaientles cadavres aux coles de mdecine.

    Paul McDevitt, conseiller du Massachusettsintervenant sur le sujet de la fraude

    en sant mentale en 1993

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    Les patients souffrant de relsproblmes physiques sont souventdiagnostiqus de faon erronecomme souffrant de troublespsychiatriques, puis sont droguset placs en milieu hospitalier.

    De nombreuses tudes montrentque des problmes physiquesnon diagnostiqus peuvent causerdes problmes de comportementet des troubles motionnels.

    Selon un professeur en mdecinede lUCLA, les mdecins diagnos-tiquant une maladie mentaledevraient vrifier lhistoriquedittique du patient ainsi quedautres facteurs nutritionnels.

    Un des manuels gouvernementauxdvaluation de la sant mentaleindique que les professionnelsde la sant mentale ont une obligation de reconnatrela maladie physique qui peut causer des troublesmentaux chez le patient...

    Des tests mdicaux appropris,effectus par des spcialistes endiagnostic non psychiatrique,pourraient liminer plus de 40 %des admissions en psychiatrie.

    FAITS IMPORTANTS

    32

    1

    45

    Nimporte quelle solution traitant de sant mentale dolaccent sur des mthodes de soin prouves, commenc

    examen mdical non psychiatrique du patient et un dde toute maladie physique qui affecte son b

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    Lancien prsident dAfrique du Sud, NelsonMandela, dans son autobiographie Long Walkto Freedom (La longue route vers la libert)crit : Une socit dont lhumanit entire serafire doit natre de lexprience de cet norme

    dsastre humain qui a trop longtemps dur. Jamais au grandjamais ce magnifique pays ne devra connatre nouveau lop-pression des uns par les autres... Jamais le soleil ne devrait secoucher sur de tels accomplisement. 39

    Charles B. Inlander,Prsident de la PeoplesMedical Society, a crit dansMedicine on Trial : Les per-sonnes prsentant des troublespsychiatriques ou de comporte-ment avrs ou supposs, sontmal diagnostiques... Nombredentre elles nont pas de pro-blmes psychiatriques, maisprsentent des symptmesphysiques qui peuvent ressem-bler des problmes mentaux ;

    ces patients sont ainsi mal dia-gnostiqus, mis sous mdica-ments, placs dans des tablis-sements psychiatriques et tom-bent dans un oubli do ilspeuvent ne jamais revenir...

    Dans un livre traitant dela recherche clinique pro-pos des influences nutrition-nelles sur la maladie menta-le, Melvyn R. Werbach, doc-teur en mdecine, professeur assistant clinique lcolede mdecine de luniversit de Californie Los Angeles,recommande que les mdecins vrifient, lors du diagnos-

    tic des patients, lhistorique dittique et les habitudesalimentaires , examinent le patient pour dventuels

    signes de carences nutritionnelles et si indiqu, effec-tuent des tests de laboratoire slectifs et valuatifs .

    Ce qui suit est un court exemple de littrature etdtudes montrant que des problmes physiques, nondiagnostiqus, peuvent causer des comportements nondsirables et des problmes motionnels :

    W.V. Tamborlane, professeur en pdiatrie lEcolede Mdecine de lUniversit de Yale, a rapport, aprsavoir tudi 14 enfants en bonne sant que lorsquil rece-

    vaient une dose de sucrequivalente deux petitsgteux recouverts de sucreglace pour le petit djeuner,leur niveau dadrnalineslevait dix fois sonniveau de base, laissantsupposer que les enfantspeuvent tre enclins dessymptmes tels que lanxit,lirritabilit et de la difficult se concentrer aprs uneingestion de sucre. 40

    Un rgime teneurleve en protines, basse englucides et sans sucre a permisde diminuer une activit exces-sive chez des enfants. Dans unetude conduite sur 20 enfants incapables dapprendre quifurent soumis un tel rgime,90 % dentre eux ont montrdes amliorations gnralesquant leurs symptmes dits

    dhyperactivit. 41

    Les enfants prsentant des tumeurs au cerveau unstade prcoce peuvent dvelopper des symptmes dhyperactivi-

    t ou dattention basse. Il en est de mme pour les enfantsintoxiqus par le plomb ou les pesticides. Il en est de mme pour

    Les professionnels de la sant

    mentale travaillant ont une

    obligation professionnelle

    de reconnatre la prsence de

    maladies physiques chez leurs

    patients... Les maladies physiques

    peuvent causer des troublesmentaux chez le patient et peuvent

    faire empirer un trouble mental... Dpartement de la Sant mentale

    de Californie, Manuel dvaluationmdicale de la sant mentale, 1991.

    C H A P I T R E Q U A T R EU n s y s t m e e f f i c a c e d e s a n t m e n t a l e

    19

    CHAPITRE QUATREUn systme efficacede sant mentale

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    les enfants ayant des attaques prcoces de diabte, des maladiescardiaques, des vers, des infections virales ou bactriennes,souffrant de malnutrition, blessures la tte, dsordres gn-tiques, allergies, exposition au mercure ou au manganse, petitsmaux et autres crises et des centaines oui des centaines de

    problmes mdicaux dun ordre ou dun autre, mineur, majeurvoire mortel. Pourtant tous ces enfants sont tiquets commehyperactifs ou ADD dit le Dr Sydney Walker III, psy-chiatre et neurologue, auteur du Canular de lHyperactivit.

    Le professeur Stephen J. Shoenthaler, docteur luniversit de ltat de Californie, criminologue, a effec-tu une tude dans 12 tablissements pour dlinquants et803 coles publiques, dans lesquelles les chercheurs ontaugment la consommation de fruits et de lgumes etde crales compltes et diminu les lipides et les sucresdans le rgime alimentaire des enfants. Les tablisse-ments pour dlinquants ont accus une baisse de 47 % de lattitude antisociale parmi 8 076 dlinquants. Dansles coles, les performances scolaires parmi les 1,1 million

    denfants ont augment de 16 % tandis que les troublesde lapprentissage diminuaient de 40 %.42

    Des tudes montrent la frquence avec laquelle desmaladies physiques sont diagnostiques tort comme maladies mentales dans une tude, 83 % des gens qui des cliniques ou assistantes sociales avaient recom-mand un traitement psychiatrique avaient en fait desmaladies pathologiques mal diagnostiques. On dcou-vrit plus tard que 42 % de ceux que lon avait diagnosti-qus avec des psychoses taient en fait atteints demaladies, et 48 % des gens que des psychiatres avaientdiagnostiqus comme ayant besoin dun traitement psy-chiatrique, souffraient en fait dun trouble dordre phy-

    sique non diagnostiqu. Une autre tude a dcouvert que76 % des patients ayant un certain type de cancer, mon-traient des symptmes dordre psychiatriques commepremier indicateur de la maladie.43

    Plusieurs maladies ressemblent exactement laschizophrnie, trompant la fois le patient et le mdecin.Le Dr A. A. Reid a fait la liste de 21 critres en commen-ant par celui de plus en plus rpandu : la psychosetemporaire induite par des amphtamines . Le Dr Reid aexpliqu que la psychose induite par les drogues est com-plte, avec illusions de perscution et hallucinations et souvent ne se distingue pas dune maladie aigu ou para-node-schizophrnique .44

    Lgalement, les tablissements psychiatriques

    devraient disposer dun quipement de diagnostic com-plet. Selon le Manuel dvaluation mdicale du domaine duDpartement de sant mentale de Californie (1991) : Lesprofessionnels de la sant mentale qui travaillent au sein dunsystme de sant mentale ont une obligation professionnelle etlgale de reconnatre la prsence dune maladie physique chezleurs patients... les maladies physiques peuvent causer desdsordres mentaux chez le patient [ou] peuvent empirer undsordre mental... 45

    (suite page 22)

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    Les personnes suivantes furent diagnostiques parerreur comme souffrant dun dsordre mental dcritdans le DSM ; on leur prescrivit des mdicaments psy-

    chiatriques pour dcouvrir plus tard quelles avaient une mala-die purement physique, non diagnostique et non traite.

    Lorsque javais 18 ans, jai pass trois semaines dansun hpital psychiatrique car on ma dit que je faisais une dpression . Ensuite, jai pris des mdicaments psychia-triques pendant dix mois. Les mdicaments me rendaientlthargique, impatient et irritable. Elles obscurcissaient mespenses mais jtais tellement convaincu par les experts que javais un problme fondamental de chimie du cerveauet que leurs drogues taient mon seul espoir ! Des annesplus tard, on a diagnostiqu un Syndrome de fatigue chro-nique ainsi que des allergies alimentaires dbilitantes !Ctait l, la cause de ma soi-disant dpression .

    Une jeune fille fut diagnostique par un psychiatre

    comme ayant du mal se faire des amis, elle tait irritable etavait cess de manger. Elle fut diagnostique par un psy-chiatre comme souffrantdun dsordre de lalimenta-tion. On lui prescrivit desantidpresseurs ; elle devintsuicidaire. On lui donnadavantage de psychotropeset son tat empira. On dia-gnostiqua alors un troublede personnalit non spcifiautrement et un cas limi-te de dsordre de la person-

    nalit . Sa mre dclara Plus rien navait de sens .Plus on augmentait son trai-tement, plus ses problmesaugmentaient. Un examenmdical appropri montraplus tard quelle souffrait dedeux infections, dont lunetait une inflammation ducerveau. Le mdecin dter-mina quelle ntait pas mentalement malade . Elle fut soi-gne avec des antibiotiques et gurit.

    Ma femme Dianne avait des sautes dhumeur et uneconduite erratique. Sans aucun examen physique pralable,

    les psychiatres la dclarrent mentalement malade et luidonnrent des calmants et des antidpresseurs. Elle empiraet empira, pendant que ma compagnie dassurance payaitencore et encore les traitements... Un jour, elle fut si maladeque je dus la conduire en toute hte aux urgences. Et cestl que nous avons dcouvert la vrit ; elle souffrait dunemaladie rare du foie. Traite de faon incorrecte pendanttous ces mois, elle souffre prsent de dommages phy-siques permanents et doit marcher avec une canne ; elle a

    du mal parler et son cer-veau est endommag... Lesgens devraient faire lobjetdanalyses mdicales appro-pries avant dtre tique-

    ts, drogus et jets dans lesystme psychiatrique . Charlie avait 10 ans ;

    il souffrait de violentessautes dhumeur, hurlaitdes obscnits, donnait descoups de pieds sa sur,ne pouvait pas se contrler lcole et avait de mau-

    vaises notes. Il fut tiquet hyperactif . On dit sa mre : Vous avez deux possibi-lits : donnez-lui de la Ritaline, ou laissez-le souffrir. Ondonna de la Ritaline Charlie, mais une seconde opinionmdicale, base sur un examen physique et des analyses

    approfondies dmontra quil avait un taux de sucre levdans le sang et une insuline basse. Chacune des deux ano-malies, si elle nest pas contrle, peut conduire des sautesdhumeur, une conduite erratique, et de violents dborde-ments, les symptmes mme que lhyperactif Charliemontrait indiqua le Dr Sydney Walker III. la suite dun trai-tement mdical adapt, ses conduites hyperactives se cal-mrent, son agressivit et ses accs de colre cessrent etses notes samliorrent.

    FAUX DIAGNOSTICSDes remdes rels peuvent sauver des vies

    Charlie tait un enfant qui souffraitde violentes sautes dhumeur, et avait

    de mauvaises notes. Il fut tiquet hyperactif . On lui donna de la

    Ritaline. Mais aprs un examen mdical[et] des analyses approfondies on

    dcouvrit quil avait un taux de sucre

    lev dans le sang et une insulinebasse. la suite dun traitement mdicaladapt, ses conduites hyperactives

    se calmrent, son agressivitet ses accs de colre cessrentet ses notes samliorrent.

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    Lorsque les psychiatres tiquettent un enfant (ou un adulte),ils le font au vu des symptmes. Ils nont pas de diagnostic

    pathologique ; ils nont pas de diagnostic de laboratoire ; cest

    totalement non scientifique. DrJulian Whitaker, auteur de la lettre

    dinformation Sant et gurison

    Dr Julian Whitaker, auteur de la lettre dinformationSant et gurison indique : Lorsque les psychiatres tiquet-tent un enfant (ou un adulte), ils le font au vu des symptmes.Ils nont pas de diagnostic pathologique ; ils nont pas de dia-gnostic de laboratoire ; ils ne peuvent montrer aucune diffren-ciation qui soutiendrait le diagnostic de ces maladies psy-chiatriques. Si vous avez une attaque cardiaque, vous pouvez

    trouver la lsion ; si vous souffrez du diabte, votre taux desucre dans le sang est trs lev ; si vous souffrez darthrite, onle verra lors de radiographies. En psychiatrie, cest de la divina-tion laide dune boule de cristal, de la bonne aventure ; cesttotalement non scientifique.

    Les psychiatres prfrent dire ou insinuer que seulesles maladies mentales bases sur le cerveau peuventinfluencer une conduite ou une pense irrationnelle, queles patients ont besoin de soins long terme, voire tout aulong dune vie et quils sont incurables. Ces mensongesont t propags avec un tel succs, dans le systme desant mentale et parmi le grand public, que de nom-

    breuses personnes ont t piges comme le sont lespatients demeurant toute une vie dans les services psy-chiatriques et psychologiques.

    Il faut dnoncer ces mensonges.

    C H A P I T R E Q U A T R EU n s y s t m e e f f i c a c e d e s a n t m e n t a l e

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    P S E U D O - S C I E N C ER e c o m m a n d a t i o n s

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    On doit installer des maisons de sant mentale pour remplacer les tablissements psy-chiatriques coercitifs. Elles doivent se doter dun quipement de diagnostic mdical, quedes docteurs en mdecine, non psychiatres, peuvent entirement utiliser pour examineret faire passer les examens ncessaires pour dcouvrir tout problme dordre physiquesous-jacent qui peut se manifester par un comportement anormal. Les fonds du gouver-nement et les fonds privs devraient tre achemins vers ces structures plutt que versdes tablissements psychiatriques et des programmes qui ont largement prouv quils ne

    marchent pas.

    Permettre aux patients et leurs compagnies dassurance de recevoir des dommages etintrts dans le cas de traitements de sant mentale qui nont pas atteint les rsultats pro-mis ou lamlioration promise, ou qui ont eu pour consquences des dommages avrspour lindividu, assurant ainsi que la responsabilit retombe sur des praticiens identifiset des centres psychiatriques plutt que sur ltat.

    Raliser des audits cliniques et financiers de tous les organismes psychiatriques, publicset privs qui reoivent des subventions ou des remboursements de compagnies dassu-

    rance. Procder une vrification comptable et un tat des lieux des statistiques dad-missions, des traitements, et des dcs, tout en conservant le secret mdical.

    Mettre en place ou dvelopper le nombre de groupes dinvestigations pour fraude psychia-trique afin de rcuprer les fonds qui sont dtourns dans le systme de sant mentale.

    Tout trouble mental recens dans le DSM devrait tre valid par des preuves scienti-fiques et physiques. Tous les organismes publics, de lutte contre la criminalit, pourlducation et pour la justice ne devraient plus se fonder sur les troubles mentaux du DSMet aucune lgislation ne devrait lutiliser comme base pour dterminer ltat de sant, de

    comptence, le niveau dducation ou les droits dun individu quel quil soit.

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    RECOMMANDATIONSRecommandations

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    a Commission des Citoyens pour lesDroits de lHomme (CCDH) a t fondeen 1969 par lglise de Scientologie afinde procder des investigations, rvlerles violations des droits de lhomme per-ptres par la psychiatrie et assainir le

    domaine de la sant mentale. Aujourdhui, la CCDHcompte plus de 130 bureaux dans 31 pays. Sesconseillers, appels commissaires, comprennentdes mdecins, des artistes, des avocats, des duca-teurs, des hommes daffaires et des reprsentantsdes droits de lhomme et des droits civils.

    La CCDH ne prodigue pas de conseils sur leplan mdical ou juridique. En revanche, elle colla-

    bore avec des mdecins. Leffort de la CCDH portesurtout sur les diagnostics trompeurs et subjec-tifs de la psychiatrie, de surcrot dpourvus depreuves scientifiques ou mdicales. Sur la basede ces faux diagnostics, la psychiatrie prescrit destraitements qui dtruisent des vies, parmi lesquelsdes psychotropes qui masquent les problmes phy-siques sous-jacents et empchent la gurison.

    Laction de la CCDH respecte la Dclarationuniverselle des droits de lhomme, en particulier

    les points suivants, que la psychiatrie viole jouraprs jour :

    Article 3 : Tout individu a droit la vie, lalibert et la sret de sa personne.

    Article 5 : Nul ne sera soumis la torture, ni des peines ou traitements cruels, inhumains oudgradants.

    Article 7 : Tous sont gaux devant la loi et ontdroit sans distinction une gale protection dela loi

    Chaque jour, partout dans le monde, de fauxdiagnostics psychiatriques, des tiquettes qui stig-matisent, des lois dinternement, ainsi que des traitements brutaux et dpersonnalisants plon-gent inutilement des milliers dindividus dans cesystme coercitif. Ce systme bafoue les droits delhomme qui sappliquent aux patients et illustre lanotion mme de violation des droits de lhomme.

    La CCDH a inspir et dirig des centaines derformes en tmoignant des audiences lgislativeset en organisant des audiences publiques sur lesabus de la psychiatrie. Elle collabore aussi avec

    les mdias, les organismes chargs de lapplicationde la loi et les officiels du monde entier.

    C O M M I S S I O N D E S C I T O Y E N Sp o u r l e s D r o i t s d e l H o m m e

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    La Commission des Citoyenspour les Droits de lHomme

    L

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    LA MISSION DE LA CCDHLa Commission des Citoyens pour les Droits de lHomme effectue des enquteset divulgue les violations des droits de lHomme commises en psychiatrie. Elletravaille de concert avec des organismes et des individus partageant la mme

    aspiration, et dont le but commun est dassainir le domaine de la sant mentale. Ellepoursuivra son action jusqu ce que disparaissent les pratiques abusives et coercitives

    de la psychiatrie et que les droits et la dignit de tous soient respects.

    Pour plus dinformations :CCHR International

    6616 Sunset Blvd.Los Angeles, California 90028, USA

    Tlphone : (323) 467-4242 (800) 869-2247www.cchr.org e-mail : [email protected]

    Ou contactez le bureau de CCDH le plus proche (voir en fin douvrage).

    LA MISSION DE LA CCDH

    Dr Giorgio Antonucci, M.D., Italie : Au niveau international, la CCDH est le

    seul groupe qui combatte efficacement et mette unterme aux abus psychiatriques.

    Raymond N. Haynes, professeur honoraire,

    Assemble de ltat de Californie : Les contributions apportes par laCommission des Citoyens pour les Droits delHomme ont t sur le plan local, national, etinternational, dune valeur inestimable en ce quiconcerne les questions de la sant mentale. Ellesrefltent une organisation dvoue des idauxlevs en matire de services de sant mentale.

    DrJulian Whitaker M.D.Directeur de linstitut Whitaker Wellness,Californie, auteur de Health and Healing : La CCDH est une organisation but nonlucratif qui sattache dnoncer les abus despsychiatres et de la profession psychiatrique.

    La sur-mdicalisation, ltiquetage, les erreursde diagnostic, labsence de procdure scienti-fique, toutes ces choses qui se produisent etque personne ne voit, CCDH sen occupe,attire lattention du gouvernement dessuset trace le chemin pour stopper leffet de rou-leau compresseur de la profession psy-chiatrique.

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    C O M M I S S I O N D E S C I T O Y E N Sp o u r l e s D r o i t s d e l H o m m e

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    CCDH INTERNATIONALECommissaires et conseil consultatifLes commissaires de la CCDH soutiennent

    officiellement la CCDH dans son travail afindassainir le domaine de la sant mentale et deprserver les droits des malades mentaux.

    Prsidente internationaleJan EastgateCitizens Commission onHuman Rights InternationalLos Angeles

    Prsident national (tats-Unis)Bruce WisemanCitizens Commission onHuman Rights United States

    Membre du conseilIsadore M. Chait

    Commissaire fondateurDr Thomas Szasz, professeurmrite de psychiatrie auCentre des sciences de la santde luniversit de New York

    Arts et spectaclesDavid CampbellRaven Kane CampbellNancy CartwrightKate CeberanoChick CoreaBodhi Elfman

    Jenna ElfmanIsaac HayesSteven David HorwichMark IshamDonna IshamJason LeeGeoff LevinGordon LewisJuliette LewisMarisol NicholsJohn NovelloDavid PomeranzHarriet Schock

    Michelle StaffordCass WarnerMiles WatkinsKelly Yaegermann

    Politique et droitTim Bowles, Esq.Lars EngstrandLev LevinsonJonathan W. Lubell, LL.B.Lord Duncan McNairKendrick Moxon, Esq.

    Science, mdecine et santGiorgio Antonucci, M.D.Mark Barber, D.D.S.Shelley Beckmann, Ph.D.Mary Ann Block, D.O.Roberto Cestari, M.D.

    (aussi prsident de CCHR Italie)Lloyd McPheeConrad Maulfair, D.O.Coleen MaulfairClinton Ray MillerMary Jo Pagel, M.D.Lawrence Retief, M.D.Megan Shields, M.D.William Tutman, Ph.D.Michael WisnerJulian Whitaker, M.D.Sergej Zapuskalov, M.D.

    ducationGleb Dubov, Ph.D.Bev EakmanNickolai PavlovskyPr Anatoli Prokopenko

    ReligionRv. Doctor Jim Nicholls

    AffairesLawrence AnthonyRoberto Santos

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    Bureaux nationaux de CCDHCCDH FranceCommission des Citoyens pourles Droits de lHomme CCDHBP 7675561 Paris Cedex 12 , FranceTl. : 01 40 01 09 70Fax : 01 40 01 05 20

    E-mail : [email protected]

    CCDH BelgiqueCommission des Citoyenspour les Droits de lHommePostbus 552800 Mechelen 2,BelgiqueTl. : 324-777-12494

    CCDH Lausanne, SuisseCommission des Citoyens pourles Droits de lHomme CCDHCase postale 57731002 Lausanne, SuisseTl. : 41 21 646 62 26E-mail : [email protected]

    CCDH Zurich, SuisseCitizens Commission onHuman Rights SwitzerlandSektion ZrichPostfach 12078026 Zrich, SwitzerlandTl. : 41 1 242 77 90E-mail : [email protected]

    CCDH Ticino, SuisseCitizens Commission onHuman Rights Ticino(Comitato dei cittadini per

    i diritti delluomo)Casella postale 6136512 Giubiasco, SwitzerlandTl. : 41 76 327 8379E-mail : [email protected]

    CCDH Afrique du SudCitizens Commission onHuman Rights South AfricaP.O. Box 710Johannesburg 2000Republic of South AfricaTl. : 27 11 622 2908

    CCDH AllemagneCitizens Commission on

    Human Rights GermanyNational Office(Kommission fr Verste derPsychiatrie gegenMenschenrechte e.V.KVPM)Amalienstrae 49a80799 Mnchen, GermanyTl. : 49 89 273 0354Fax : 49 89 28 98 6704E-mail : [email protected]

    CCDH AustralieCitizens Commission onHuman Rights AustraliaP.O. Box 562Broadway, New South Wales2007 AustraliaTl. : 612-9211-4787

    Fax : 612-9211-5543E-mail : [email protected]

    CCDH AutricheCitizens Commission onHuman Rights Austria(Brgerkommission frMenschenrechte sterreich)Postfach 130A-1072 Wien, AustriaTl. : 43-1-877-02-23E-mail : [email protected]

    CCDH CanadaCitizens Commission onHuman Rights Toronto27 Carlton St., Suite 304Toronto, OntarioM5B 1L2 CanadaTl. : 1-416-971-8555E-mail :[email protected]

    CCDH DanemarkCitizens Commission onHuman Rights Denmark(MedborgernesMenneskerettighedskommissionMMK)Faksingevej 9A2700 Brnshj, Denmark

    Tl. : 45 39 62 9039E-mail : [email protected]

    CCDH EspagneCitizens Commission onHuman Rights Spain(Comisin de Ciudadanos porlos Derechos HumanosCCDH)Apdo. de Correos 1805428080 Madrid, Spain

    CCDH FinlandeCitizens Commission onHuman Rights FinlandPost Box 145

    00511 Helsinki, Finland

    CCDH GrceCitizens Commission onHuman Rights65, Panepistimiou Str.105 64 Athens, Greece

    CCDH HongrieCitizens Commission onHuman Rights HungaryPf. 1821461 Budapest, HungaryTl. : 36 1 342 6355Fax : 36 1 344 4724

    E-mail : [email protected]

    CCDH IsralCitizens Commissionon Human Rights IsraelP.O. Box 3702061369 Tel Aviv, IsraelTl. : 972 3 5660699Fax : 972 3 5663750

    E-mail : [email protected]

    CCDH ItalieCitizens Commissionon Human Rights Italy(Comitato dei Cittadini peri Diritti UmaniCCDU)Viale Monza 120125 Milano, ItalyE-mail :[email protected]

    CCDH JaponCitizens Commission onHuman Rights Japan2-11-7-7F KitaotsukaToshima-ku Tokyo170-0004, JapanTl./Fax : 81 3 3576 1741

    CCDH MexicoCitizens Commissionon Human Rights Mexico(Comisin de Ciudadanos porlos Derechos Humanos CCDH)Tuxpan 68, Colonia RomaCP 06700, Mxico DFE-mail :[email protected]

    CCDH Monterrey, MexiqueCitizens Commission onHuman Rights Monterrey,Mexico(Comisin de Ciudadanos porlos Derechos HumanosCCDH)Avda. Madero 1955 PonienteEsq. Venustiano CarranzaEdif. Santos, Oficina 735Monterrey, NL MxicoTl. : 51 81 83480329Fax : 51 81 86758689E-mail : [email protected]

    CCDH NpalP.O. Box 1679Baneshwor Kathmandu, NepalE-mail : [email protected]

    CCDH NorvgeCitizens Commission onHuman Rights Norway(Medborgernesmenneskerettighets-kommisjon,MMK)Postboks 8902 Youngstorget0028 Oslo, NorwayE-mail : [email protected]

    CCDH Nouvelle-ZlandeCitizens Commission onHuman Rights New ZealandP.O. Box 5257Wellesley StreetAuckland 1, New ZealandTl./Fax : 649 580 0060

    E-mail : [email protected]

    CCDH Pays-BasCitizens Commission onHuman Rights HollandPostbus 360001020 MA, AmsterdamHollandTl./Fax : 3120-4942510E-mail : [email protected]

    CCDH Rpublique TchqueObcansk komise zalidsk prvaVclavsk nmest 17110 00 Praha 1, Czech RepublicTl./Fax : 420-224-009-156E-mail : [email protected]

    CCDH Royaume-UniCitizens Commission onHuman Rights United KingdomP.O. Box 188East Grinstead, West SussexRH19 4RB, United KingdomTl. : 44 1342 31 3926Fax : 44 1342 32 5559E-mail :[email protected]

    CCDH Russie

    Citizens Commission onHuman Rights RussiaP.O. Box 35117588 Moscow, RussiaTl. : 7095 518 1100

    CCDH SudeCitizens Commission onHuman Rights Sweden(Kommittn fr MnskligaRttigheterKMR)Box 2124 21 Stockholm, SwedenTl./Fax : 46 8 83 8518E-mail : [email protected]

    CCDH TaiwanCitizens Commission onHuman RightsTaichung P.O. Box 36-127Taiwan, R.O.C.E-mail : [email protected]

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    Publie par la Commission des Citoyens pour les Droits de lHomme.

    Aux tats-Unis, CCDH est une association but non lucratif exempte dimpts par ladministration fiscale.

    L ducation tient une place prpondrante dans toute initiativepour renverser le dclin social. La CCDH assume cette res-ponsabilit trs srieusement. Grce une large diffusion deson site internet, de livres, de lettres dinformation et autres publi-

    cations, la CCDH renseigne de plus en plus de patients, de familles,de professionnels, de lgislateurs et autres personnes sur la vrit

    propos de la psychiatrie et sur ce qui peut et devrait tre entrepris.Les publications de la CCDH disponibles en 15 langues mon-

    trent limpact destructif de la psychiatrie sur le racisme, lduca-tion, les femmes, la justice, la rhabilitation des toxicomanes,

    la moralit, les personnes ges, la religion et autres domaines.Cette liste comprend :

    La Commission des Citoyens pour les Droits de lHommeSUSCITER UNE PRISE DE CONSCIENCE

    MISE EN GARDE : Personne ne devrait interrompre sa consommation de mdicaments

    psychiatriques sans lavis et lassistance dun mdecin non psychiatre comptent.

    Crdits photo : page 9 : Tom & Dee Ann McCarthy/Corbis ; page 14 : LA Daily News/Corbis ; page 20 : David Buffington/Getty ;page 21 : Jim Cummins/Getty ; page 22 : Tom & Dee Ann McCarthy/Corbis.

    LA VRITABLE CRISE de la sant mentaleRapport sur la nature non scientifique de la psychiatrie et sur sonmanque de rsultats, et recommandations

    PSYCHIATRI E : UN S E CTE UR CORROMPULa fraude grande chelleRapport et recommandations

    LIMPOSTURE DE LA PSYCHIATRIE La subversionde la mdecin eRapport sur linfluence ngative de la psychiatrie sur le systmede sant, et recommandations

    PSEUDOSCIENCE Les faux diagn ostics de l a psychiatrieRapport sur une imposture scientifique, et recommandations

    S CHI ZOPHR NI E Une mal adie qui rapporte la psychiatrieRapport sur les mensonges et les faux diagnostics psychiatriques,et recommandations

    UNE RALIT BRUTALE Les traitementsnu is i b l e s d e l a psychiat ri eRapport sur les effets destructifs de llectrochocet de la psychochirurgie, et recommandations

    VIOLS EN PSYCHIATRIE Les femmes et l es enfants victimesRapport sur les abus sexuels dans le domaine de la sant mentale,et recommandations

    CONTRAINTES FATALES La violence en guised e t r a i te m en t ps y c hi a t ri q u eRapport sur lutilisation des mesures de contention dansles tablissements de sant mentale, et recommandations

    LA PSYCHIAT RIE Plo n ge l e m o n d e d an s l e nf e r d e s d r o g ue sRapport et recommandations

    RHABILITATION DES TOXICOMANESRapport sur les rsultats dsastreux des programmes psychiatriques base de mthadone et autres drogues de substitution,et recommandations

    ENFANTS SOUS DROGUESP S YC H IA T RI Q U ES , d e s v i e s d t ruitesRapport sur les faux diagnostics psychiatriqueset sur leurs consquences, et recommandations

    LES JEUNES EN DANGER Quand l a psychiatries en prend aux enf ants et adolescent sRapport sur les programmes, tests et valuations psychiatriquesdans les coles, et recommandations

    QUAND LE DANGER PSYCHIAT RIQUE SE RAPPROCHEDE VOUS Les traitements sous contrainteRapport sur lchec des centres psychiatriques en ville,

    et recommandationsLES ARTISTES EN DANGE R Quand l a psychiatriesattaque l a crativit Rapport et recommandations

    QUAND LA PSYCHIATRIE ATTAQUE LA RELIGIONRapport sur la subversion psychiatrique des croyances et pratiquesreligieuses, et recommandations

    ROSION DE LA JUSTICE La psychiatrie corrompt le droitRapport et recommandations : subversion psychiatrique destribunaux et des maisons de correction

    ABUS PSYCHIATRIQUES sur les personnes gesRapport et recommandations

    TE RRE UR ET CHAOS fabriqus par la psychiatrieRapport et rle de la psychiatrie dans le terrorisme international,et recommandations

    LA CR ATI ON DU RACI S ME La trahison psychiatriqueRapport sur le rle de la psychiatrie dans les conflits raciaux,et recommandations

    LA COMMISSION DES CITOYENSPOUR LES DROITS DE LHOMMESauvegarder les droits de l homme dans le domaine de la sant mentale

    2004 CCHR. Tous droits rservs. CITIZENS COMMISSION ON HUMAN RIGHTS, COMMISSION DES CITOYENS POUR LES DROITS DE LHOMME,CCHR, CCDH et le symbole de la CCDH sont des marques dposes proprit de Citizens Commission on Human Rights.Imprim par Southern California Graphics, 8432 Steller Drive, Culver City, CA902 32, tats-Unis. Item #18905-9 FRE NCH

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    En rsum, cette histoire consistant

    crer des catgories de maladies

    psychiatriques, les faire valider par vote,

    puis leur attribuer un code permettant

    de facturer les assurances-maladies

    nest rien dautre quune forme

    de racket donnant la psychiatrie

    une aura pseudo-scientifique.

    Naturellement, les auteurs de ce systme

    sengraissent sur le dos du public.

    Dr Thomas Dorman,

    membre du Collge royal des mdecins

    du Royaume-Uni et du Canada


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