STRATEGIE DE COMMUNICATION · 2018. 10. 5. · s’engager et à s’associer mais également de...

PROGRAMME DE PRODUCTIVITE AGRICOLE EN AFRIQUE DE L’OUEST

PPAAO/WAAPP

STRATEGIE DE COMMUNICATION

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Table des matières

Liste des abréviations et acronymes ............................................................................................... 3

Résumé exécutif .............................................................................................................................. 4

1. Introduction ................................................................................................................................. 6

2. Présentation des parties prenantes .............................................................................................. 7

3. Analyse FFOM du WAAPP/PPAAO ......................................................................................... 9

4. Objectif Stratégique ................................................................................................................. 12

5. Approche Stratégique................................................................................................................ 12

i. Niveau régional ..................................................................................................................... 13

ii. Niveau national .................................................................................................................... 14

iii. Institutionel .......................................................................................................................... 15

6. Mécanismes de mise en oeuvre................................................................................................. 16

7. Formation et renforcement des capacités ................................................................................. 19

8. Suivi et Evaluation ................................................................................................................... 20

9. Conclusion et recommandations ............................................................................................... 21

10. Plan d’action .......................................................................................................................... 22

ANNEXE1: Evaluation des besoins ............................................................................................. 42

Liste des Tableaux

Tableau 1: Acteurs régionaux ......................................................................................................... 8

Tableau 2: Acteurs natioaux ........................................................................................................... 9

Tableau 3: Analyse FFOM du PPAAO ........................................................................................

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Liste des Schémas

Schéma 1: Les quatres principaux piliers ..................................................................................... 14

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Liste des Abréviations et acronymes

CARGS- Mécanisme de fonds compétitifs pour la recherche agricole

CEDEAO -Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest

CNS- Centre national de spécialisation

CORAF/ WECARD - Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles

CRI- CSIR- Institut de recherche sur les cultures

FARA- Forum pour la Recherche Agricole en Afrique

IFPRI- Institut International de recherche sur les Politiques Alimentaires

IUs- Unités de mise en œuvre

MOFA- Ministère de l’Agriculture du Ghana

NEPAD- Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique

NWC- Coordinateur national du WAAPP/PPAAO

OMD- Objectifs du millénaire pour le développement

ONG- Organisation Non Gouvernementale

PAD- Document d’évaluation du projet

PPAAO- Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest

RELC- Research Extension Farmer Linkage Committees

SNRA- Système national de recherche agricole

T IC- Technologie de l’Information et de la Communication

UA- Union Africaine

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Résumé exécutif Le Programme de Productivité Agricole en l’Afrique de l’Ouest, WAAPP/PPAAO, repose sur une diversité singulière et une perspective élargie. Les différents contextes nationaux, les intérêts et les croyances des parties prenantes, les niveaux opérationnels et d’engagement, les antécédents culturels ainsi que les forces et les faiblesses économiques, font du WAAPP/PPAAO un projet prometteur. Son potentiel réside dans les processus visant à réaliser ses objectifs - la croissance économique régionale et la réduction de la pauvreté –ainsi qu’à travers l’usage des mécanismes pour assurer la durabilité du projet dans sa réalisation.

La stratégie de communication identifie ces contextes singuliers non pas seulement comme des forces mais également comme des points d’entrées et des liens aux réalités de la vie du projet. Les forces et faiblesses des parties prenantes, les processus agricoles et de recherche qui diffèrent d’un pays à un autre, la dynamique politique et les programmes d’actions pour soutenir l’effort d’intégration régionale, l’alignement des priorités nationales avec les priorités régionales ainsi que le besoin en ressources et en capacités pour surmonter les insuffisances du projet.

L’évaluation des besoins a porté sur quatre des six pays qui sont: le Ghana, le Nigéria, la Côte d’Ivoire et le Sénégal. Il s’est agit de passer en revue les besoins, les défis et les questions sur le terrain et de proposer des solutions pour parer à des risques éventuels. Bien que l’exercice ne couvrait pas directement le Mali et le Burkina Faso, les deux pays peuvent cependant en bénéficier car ils partagent une structure interne similaire avec d’autres pays du WAAPP/PPAAO et aussi parce que certaines des questions ont trait aux expériences du projet pilote et une nouvelle expérience pour les pays qui entament la mise en œuvre du projet.

Les résultats montrent un grand besoin d’employer des stratégies de communication pour lier les processus du projet à différents niveaux et pour permettre aux acteurs de contribuer et de participer efficacement. Il apparaît également le besoin en structures de communication et en capacité qui permettent aux acteurs d’être en contact et d’apprécier les différences qui émergent en raison de la singularité de la diversité du projet.

La stratégie de communication propose la création d’un environnement de travail favorable et renforcé permettant ainsi aux acteurs de comprendre les facteurs de risques et les problèmes grâce à l’échange constant d’informations et de connaissances en appréciant les objectifs à atteindre. Elle propose qu’il y ait un échange permanent d’informations et de connaissances au niveau régional de sorte que les unités de coordination et les chercheurs qui se focalisent sur les divers domaines spécialisés puissent s’approprier du projet; participer et s’engager dans les différentes perspectives qui en découlent. Les réussites, les enseignements et les procédures partagés permettront à tous les acteurs de s’approprier les processus du projet à l’instar des défis et des solutions partagées.

Elle recommande également un flux constant de communication entre les acteurs au sein des pays et avec chaque institution d’apporter au projet le soutien escompté et de faire participer

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tous les acteurs du projet. Cela est seulement réalisable à travers l’usage des TIC: internet, systèmes d’information ou plateformes, portail web ainsi que d’autres forums conventionnels tels que les rencontres, les memos, les bulletins et les ateliers. Ce sont ces atouts qui vont réduire les distances et consolider les efforts pour encourager les publics internes - Les parties prenantes - à s’engager et à s’associer mais également de les informer sur les différentes perspectives du projet.

La stratégie de communication met également en évidence l’importance du partenariat avec les mass média. Tant au niveau régional que national, le projet a besoin du soutien des médias dans la sensibilisation du grand public. Les médias ne peuvent mener à bien cette mission qu’en étant copartenaires dans l’appréciation des problèmes fondamentaux de ce projet- croissance économique de la région à travers un effort concerté en matière de technologie et de production agricole et à travers l’intégration régionale. Cela peut mieux se réaliser par l’utilisation de tous les canaux possibles de communication, même avec le téléphone portable largement utilisé par les acteurs du milieu rural notamment les agriculteurs et les producteurs.

Le rôle de financement de la Banque Mondiale est capital comme l’est son effort de maintien de l’efficacité, la qualité, et la viabilité financière du système de génération et de diffusion de technologies dans la région. Il en va de même du rôle joué par le CORAF/WECARD pour la mise en œuvre du projet.

En définitive ce que l’on attend, c’est qu’un mécanisme de communication rationalisé et stratégique ainsi que tous les autres éléments conduise ce projet à la fois vaste et varié vers une productivité agricole réelle en Afrique de l’Ouest.

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1. Introduction

Le Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest, WAAPP/PPAAO, s’est assigné comme objectif d’accroitre le potentiel agricole en Afrique de l’Ouest étant donné les atouts de la région en matière de production de diverses cultures comme la production cacaoyère et cotonnière, l’huile de palme, de noix de cajou et d’arachide ainsi que les cultures comme l’hévéa, les fruits et la banane plantain, entre autres. Le WAAPP/PPAAO est un effort de financement de la Banque Mondiale afin de faire face à la production agricole commune ainsi que les défis environnementaux, l’insécurité alimentaire et la faible croissance économique qui constituent des obstacles communs auxquels font face, en général, l’Afrique sub-saharienne et l’Afrique de l’Ouest en particulier.

Son objectif est de contribuer à l’accroissement de la productivité agricole durable dans les secteurs prioritaires clés de la CEDEAO.

Les objectifs spécifiques du projet sont:

1. L’intégration régionale et l’identité entre les membres des pays participants;

2. L’utilisation et la diffusion accélérée des technologies améliorées dans le but de renforcer les liens régionaux, d’échanger des informations techniques et de développer l’expertise dans des secteurs spécifiques prioritaires des pays.

3. La création d’engagements d’appui et des capacités qui permettent aux parties prenantes de mettre en place des stratégies de lutte contre la pauvreté et les défis dans le secteur agricole et environnemental.

La réalisation de ces objectifs devra permettre de générer l’accroissement de l’efficacité, de la qualité et de la viabilité financière du système de génération et de diffusion des technologies dans la région et d’attirer les partenaires et les investissements du secteur privé. Il est également prévu d’utiliser l’avantage que constitue l’intégration régionale pour éviter la duplication et de compléter le financement public.

Le WAAPP/PPAAO a été lancé en 2007 et la mise en œuvre a d’abord concerné le Ghana, le Sénégal et le Mali dans le cadre du programme financé par la Banque Mondiale sur 10 ans. Cette Phase (1) a porté sur les mécanismes de partage des technologies, de création de centres nationaux de spécialisation (CNS) et du financement de la génération et de l’adoption de technologies dans les secteurs hautement prioritaires des pays participants. Ces secteurs prioritaires clés sont: les plantes à racines et tubercules pour le (Ghana), le riz pour le (Mali), et les céréales résistantes à la sécheresse pour le Sénégal.

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La phase 2 de ce projet porte sur l’approfondissement et l’élargissement de ces objectifs à travers le renforcement des centres de spécialisation, la consolidation de la génération et de la diffusion des technologies ainsi que l’amélioration des technologies.

Le WAAPP/PPAAO 1B devra donc profiter aux consommateurs touchés par l’extrême pauvreté et d’impliquer les producteurs agricoles et l’agroindustrie qui sont les utilisateurs des technologies améliorées. D’autres participants majeurs qui génèrent et diffusent les technologies sont les chercheurs, les organismes de vulgarisation et les Universités.

L’objectif de développement du projet WAAPP-1B est de générer et diffuser des technologies améliorées dans les domaines prioritaires des pays participants qui soient alignés sur les priorités de la Région. Les trois nouveaux pays entrant dans le projet WAAPP/PPAAO sont: le Nigéria, la Cote d’Ivoire et le Burkina Faso.

Leurs domaines de spécialisation sont les suivants: Nigéria – Aquaculture ; Côte-d’Ivoire – Banane Plantain et Burkina Faso – Fruits et légumes.

Le caractère unique du projet PPAAO financé par la Banque mondiale réside dans la diversité des intérêts, d'origines, d’objectifs et des contextes nationaux. Les parties prenantes représentent cette diversité tant au niveau national et qu’au niveau régional où, malgré les différences et similitudes des pays, on s'attend à transcender les intérêts et objectifs nationaux vers les normes et règlements régionaux en vue de remplir les objectifs de développement escomptés du projet.

Le Ghana, le Sénégal et le Mali sont déjà en train de mettre en œuvre le projet où une structure similaire de la mise en œuvre du projet a été créée. Cette structure comprend une Unité de Coordination dans chaque pays, qui est principalement le ministère de l'agriculture ou l'agence gouvernementale relative, l’Institution de recherche qui est chargée de générer et de diffuser des technologies améliorées, les Communautés agricoles actives qui sont principalement les petits producteurs, les agences de vulgarisation, les universités, les entreprises agricoles et les autres utilisateurs finaux ainsi que les acteurs et autres parties prenantes du secteur agricole.

2. Présentation des parties prenantes

L'exercice de cartographie des parties prenantes est destiné à créer une meilleure compréhension des intérêts des parties prenantes, des objectifs, des niveaux d'influence et du potentiel en vue de s'engager dans le projet. En regard des travaux dans le domaine de l'agriculture, des TIC et des rencontres avec certains acteurs, il semble y avoir un grand intérêt pour le projet. Cela pourrait signifier qu'ils sont susceptibles d’influencer positivement le projet en particulier avec de meilleures capacités.

Le pouvoir d’influence des médias est assez important, mais il leur faut encore mesurer ce qu’il est nécessaire d’impliquer dans le projet au niveau de cette étape, afin de permettre aux

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partenaires et au grand public de comprendre les avantages du projet par delà les frontières et au sein des pays respectifs.

Les parties prenantes du WAAPP/PPAAO sont à différents niveaux, à savoir, les niveaux régional, national et organisationnel. Les Tableaux 1 et 2 indiquent le rôle des parties prenantes aux niveaux régional et national. La structure régionale est coordonnée par le CORAF/WECARD, qui est l'agence d'exécution. Au niveau national, les Unités de coordination assurent la gestion du projet en coordonnant les activités des différentes parties prenantes. Au niveau institutionnel, chaque organisation ou institution dispose de sa propre structure.

Tableau 1: Acteurs régionaux

Rôle Niveau d’engagement Parties prenantes CORAF/WECARD- CEDEAO

Agence d’exécution, unités de coordination des pays respectifs

Primaire

Secrétariats du WAAPP et gouvernement

Collaboration et appui intergouvernemental; Échange sur les sujets d'informations du secrétariat du WAAPP

Primaire

Institutions de recherche et Universités

Recherche, échange de connaissances et de technologies à travers la région

Primaire

Média

Diffusion d’informations au delà des frontières sur les questions relatives au WAAPP et autres questions liées

Primaire

Autres partenaires – Agra, AU, NEPAD, IFPRI

Appui similaire Secondaire

Acteurs nationaux

Les acteurs nationaux, à l’exception de ceux qui opèrent à deux niveaux (comme ci-dessus) fonctionnent principalement à l’intérieur du pays. Ils sont (ci-dessous) classés comme catégorie primaire ou secondaire selon leur niveau d'activité et d'engagement. Les parties prenantes primaires jouent des rôles essentiels dans le projet tandis que celles classées dans la catégorie secondaire bien que jouant un rôle important, ne sont pas aussi engagées que les parties

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prenantes primaires. Comme indiqué ci-dessus, les niveaux d'engagement correspondent à l'activité de communication attendue et à la fonction.

Tableau 2: Acteurs nationaux

Partie prenante Rôle Niveau d’engagement Gouvernement/Ministères

Appui et orientation des politiques

Primaire

Secrétariats du WAAPP/PPAAO

Coordination et gestion du projet-pays et des parties prenantes

Primaire

Institutions de recherches et Universités

Recherche, génération et diffusion de technologies améliorées

Primaire

Services d’extension Formation, et diffusion de connaissances auprès des agriculteurs

Primaire

Fermiers, producteurs, associations, coopératives

Produit; Utilisateurs finaux des technologies

Primaire

Média Etablir une visibilité, une diffusion d’information sur les questions du WAAPP, créer un support public

Primaire

Agro-industrie

Transformation d’aliments, approvisionnement

Secondaire

Société civile

Normes de suivi secondaire

Secteur Privé, en particulier le secteur des TIC

Approvisionnement, fourniture et conception de technologie requise ou alternative

secondaire

Public Représentation des intérêts publics

secondaire

3. L’analyse FFOM du WAAPP/PPAAO L'analyse FFOM montre d’une part les forces et les faiblesses en tant que facteurs internes dans la structure de la partie prenante et d’autre part les opportunités et les menaces qui existent et qui sont susceptibles de constituer des facteurs à risque dans la mise en œuvre du projet.

Ces différents facteurs contribuent à la mise en œuvre complète du projet et donnent, surtout, des indications sur la manière dont la fonction de communication devrait être conçue et mise en

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œuvre. Les menaces et les faiblesses ci-dessous constituent des indicateurs clés de suivi pour les points d'entrée de stratégie et pour l’amélioration des tactiques stratégiques de communication tandis que les forces et opportunités font ressortir des suggestions quant à ce qu’il faut renforcer ou construire.

Tableau 3: Analyse FFOM du PPAAO/WAAPP

Analyse FFOM du PPAAO/WAAPP

Parties prenantes Rôle Forces Faiblesses Opportunités

Menaces

CORAF/WECARD

Agence de mise en œuvre - coordination des unités pays respectifs

Structure diversifiée pour les régions ayant les possibilités d’assurer le réseautage avec les parties prenantes et d’atteindre les objectifs

Flux limité de communication et échange entre elle et les parties prenantes

Promesse de nouvelles technologies et résultats plus rapides

Intégrer l’Anglais et le Français

Réglementations et normes régionales pour l'harmonisation des processus

Gouvernements

Superviser les politiques

Ressources et expertise

Mauvaise pratique en gestion et comptabilité ; corruption

Bonne foi publique

Défis économiques et gouvernance non adaptée Insécurité politique en Côte d 'Ivoire

Secrétariats PPAAO/WAAPP

Coordination et gestion des projets pays et parties prenantes

Expertise et leadership

Structure et flux de communication limité entre les pairs et autres parties prenantes

Améliorer les structures existantes et engagements

Ressources pour lui permettre de mettre en œuvre

Institutions de recherches

Produire et partager les variétés améliorées et autres

Professionnels formés; structure de recherche

Capacités technologiques inadéquates

Partage de connaissances des pairs

La lenteur du traitement des règlements intergouvernementaux et des normes

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technologies régissant la recherche et les œuvres scientifiques

Business agricole Acquérir, traiter et diffuser

Expérience Capacités limitées des procédures WBP

Marchés Régionaux

Non-engagement gouvernemental ; Règlementation d'affaires transfrontalière

Parties prenantes Rôle Forces Faiblesses Opportunités

Menaces

Services de vulgarisation

Former et Guider les agriculteurs sur l'utilisation des technologies

Confiance des agriculteurs; expérience Volonté d’acceptation de technologies

Formation insuffisante, capacités TIC, Ressources limitées

Renforcement des capacités avec TIC et nouvelles technologies

Soutien gouvernemental limité, ressources et formation

ONG Civile Suivi Expertise Manque de ressources et capacités

Suivi Insuffisance de collaboration avec les parties prenantes

Secteur Privé – entreprises ICT

Concevoir et mettre en œuvre les TIC pertinentes pour les agriculteurs

Expertise et expérience

Limité

Grande demande pour téléphones portables et info. Système

Paysage/environnement concurrentiel

Partenaires, Agra, UA, NEPAD, IFPRI

Soutenir, collaborer

Expérience en gestion des affaires similaires

Collaboration

Engagement du gouvernement

Public général (dans tous les pays)

Suivre

Intérêts, attentes élevées pour la croissance économiqu

Réserves au sujet des projets gouvernementaux

Influence et soutien

Réserve sur la croissance économique en raison du projet d'intégration régionale

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e

4. Objectif stratégique

L'objectif global du programme de communication vise à définir la vision, susciter l’appui, la compréhension et la capacité de communication pour les efforts de collaboration du PPAAO/WAAPP. Il crée également des liens entre les structures et processus qui permettent aux parties prenantes du PPAAO/WAAPP de s’engager, de participer et d’acquérir la capacité en tant qu’acteurs régionaux dans leur effort pour atteindre les objectifs du projet à tous les niveaux.

5. Approche stratégique

Vision du WAAPP/PPAAO

Le Programme de productivité agricole en Afrique de l'Ouest apportera une contribution significative à la productivité agricole durable et la facilitation des engagements de soutien et des capacités aux sous-secteurs hautement prioritaires des produits de base de la région CEDEAO.

Compte tenu de ses diverses parties prenantes, opportunités et atouts singuliers (comme indiqués ci-dessus), cette vision peut être satisfaite par une approche multiforme bien pensée qui adressera ses niveaux divergents d'intérêt, de participation, de parties prenantes et de besoins. La priorité du projet dans cette phase est de produire et de diffuser des technologies améliorées dans les domaines prioritaires des pays participants qui soient en phase avec les priorités régionales.

L'approche stratégique implique un lien entre acteurs et processus en renforçant la participation, les engagements, les relations et un sentiment d'appropriation à travers les TIC et la production des technologies améliorées.

Il s’agira pour l'approche d’établir des ponts d'information et de communication à travers les lacunes/écarts tels qu’ils apparaissent dans les résultats de l'évaluation des besoins (Réf: ANNEXE1).

Etant donné que le projet a trois niveaux de fonctionnement - régional, national et institutionnel, l'approche sera multiforme afin de s'assurer que les flux de communication ainsi que les parties prenantes à différents niveaux peuvent s'engager à travers les possibilités des technologies et des capacités disponibles.

L'approche stratégique repose sur quatre piliers qui guideront la mise en œuvre du projet et profiter à la fois au premier groupe de pays - Ghana, Mali et Sénégal - dont l'expérience est un atout pour aller de l'avant dans le projet, ainsi que ceux sur le point de mettre en œuvre le projet

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maintenant - Nigeria, Burkina Faso et la Côte d'Ivoire. Les piliers sont transversaux en ce qu'ils s'appliquent à tous les niveaux de communication - régional, national et institutionnel.

Les quatre piliers sont illustrés dans le diagramme ci-dessous et discutés comme suit

1. Construire des relations et des solutions équipe bien informées

Cet objectif sera atteint grâce au renforcement du partage efficace d'informations et de connaissances par les acteurs à travers la consultation, et autres moyens de communication en vue d’aborder les problèmes majeurs identifiés dans le projet. L'objectif et les activités de ce pilier traverseront le niveau régional et les niveaux national et institutionnel.

2. Promotion de l’appropriation et de la participation (régionales)

Il s'agira de favoriser la compréhension, l'intérêt, le soutien, l'identité et l’appropriation de la perspective régionale du WAAPP/PPAAO parmi les parties prenantes et le public. Ceci permettra aux acteurs de voir au-delà de leurs frontières nationales et commencer à apprécier le projet comme étant à la fois national et régional, d'où les opportunités qui découlent de cette perspective, par exemple le commerce transfrontalier, les nouveaux résultats de recherche et des technologies nouvelles dans les domaines prioritaires profitables au besoin aux parties prenantes dans toute la région.

3. Renforcement des capacités, formation et compétences de promotion des TIC

Ce pilier sera axé sur le renforcement des capacités, l'intérêt et le soutien à l'utilisation des TIC et la production et la diffusion de technologies améliorées. Il impliquera les acteurs à tous les niveaux afin de former et de renforcer les capacités sur l'utilisation des TIC et une technologie améliorée.

4. Sensibilisation et Visibilité

Ce pilier va se construire autour du renforcement et de la compréhension, l'intérêt et l'appui des objectifs et des activités du WAAPP/PPAAO dans les médias et auprès du grand public. Il impliquera tous les niveaux d’acteurs puisque les médias parcourent les niveaux régional, national et institutionnel.

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Strategic Approach

Building Capacity

Training & ICT Promotion Skills

Promoting Ownership & Participation

Creating Awareness &

Visibility

Building Relationships

&Knowledgeable Team Solutions

Figure 1: Les quatre principaux piliers

Activités

Diverses activités seront menées dans le cadre de ces approches en vue d’atteindre les objectifs de la stratégie. Ce sont

i. Niveau régional

:

1. Créer un portail Web commun qui permet l'interaction et l'accès par les membres du WAAPP/PPAAO et avoir un flux d'informations régulièrement mises à jour qui soit bien géré

2. – CORAF/WECARD.

Mettre en place un Comité Information/Communication sous la coordination du Gestionnaire Information Communication du CORAF/WECARD afin de coordonner la communication institutionnelle et interne, y compris la gestion du portail Web et la dynamique interactive pour un public interne

3. – CORAF/WECARD

4.

Ateliers pour les pairs dans les Instituts de recherche en vue de partager leurs connaissances et de s'engager sur les processus de recherche.

Sensibilisation de la population régionale à travers des conférences de presse, des articles et des programmes sur la pertinence du WAAPP/PPAAO, l'importance de l'amélioration des technologies et des résultats de recherche et leur pertinence pour le secteur agricole;

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5.

6.

Plan de rencontre et d’ateliers pour les unités de coordination, les chercheurs et autres acteurs en vue de soutenir la perspective régionale et des engagements entre les parties prenantes;

Etablir et maintenir une pratique de la langue français-anglais dans tous les documents, sur le site Web commun et le système d'information ainsi que dans toutes les activités du WAAPP/PPAAO

7.

;

8.

Initier des programmes/émissions radio/TV ou un forum porteurs d’informations spécifiques sur les questions régionales d’agriculture et de développement afin de créer une identité régionale entre les pays membres;

ii. Niveau national

Discussions actives sur le site avec la participation prévue des membres ainsi que des ateliers prévus pour les différents niveaux de participation, par exemple entre les membres du secteur de la recherche, des fora réguliers.

1. Créer un portail Web commun qui permet l'interaction et l'accès par les membres du WAAPP/PPAAO et avec un flux d'informations régulièrement mises à jour et bien géré

2. ;

3.

Recruter ou former un expert en communication afin de coordonner la communication institutionnelle et interne, y compris la gestion d'un portail Web et la dynamique interactive pour un public interne;

4.

Organiser des activités sociales et des consultations avec des journalistes pour les intéresser aux questions de la coopération régionale, du développement agricole vus comme spécialisation de l’actualité ou de l’information Installer le site pour un accès facile de l'information aux agriculteurs, commerçants, agents de vulgarisation et d'autres, par exemple les prix des matières premières, les nouvelles variétés

5. etc.

6.

Diversifier l'information sur le web en anglais et en français pour un accès facile par tous les membres

7.

Identifier une équipe de journalistes aux niveaux régional et national pour des couvertures des activités du WAAPP/PPAAO et des questions connexes

8.

Concevoir des tribunes libres avec les entreprises de presse pour des débats, entretiens et des entrevues prévus sur des questions en rapport avec le WAAPP/ PPAAO

9.

Organiser des activités médias autour de nouveaux produits afin de les intéresser, par exemple, à la publication de nouvelles variétés de cultures au Ghana, le nouveau pain à Dakar Utiliser la structure communautaire existante des réseaux sociaux pour introduire de nouveaux produits et renforcer la facilitation dans laquelle les gens se rencontrent pour d'autres réseaux sociaux pour introduire et renforcer l'utilisation des TIC, y compris les téléphones mobiles pour les informations et de services agricoles

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10. Installer des appareils de téléphone mobile conviviaux avec une application visuelle et un système de plateforme pour connecter les agriculteurs ruraux sur les informations cruciales et accélérer la dynamique des TIC dans les communautés rurales

11.

Identifier les programmes/émissions TV et radio et des articles de presse écrite ou qui peuvent être utilisés pour sensibiliser sur les activités du WAAPP/PPAAO

.

a. Niveau institutionnel 1. Renforcer les capacités en TIC à travers la formation au niveau institutionnel afin que

les capacités nationales et régionales en matière de TIC puissent être renforcées2.

. Utiliser le téléphone mobile comme canal de diffusion de l'information et d’échange associé à un système d'information auquel les acteurs ont accès

3.

;

Utiliser la structure communautaire existante dans laquelle les gens se rencontrent pour d'autres réseaux sociaux

6. Mécanisme de mise en œuvre

pour introduire et renforcer l'utilisation des TIC, y compris les téléphones mobiles pour les informations et de services agricoles

L'objectif global du mécanisme de mise en œuvre est de s'assurer que les objectifs de communication sont respectés et que les acteurs ont pour tâche d’atteindre cet objectif.

Dans l'ensemble, le CORAF/WECARD coordonnera la mise en œuvre des activités d'information régionale en liaison avec les unités de coordination nationale. Ce sont le Ministère de l'agriculture (MOFA, Ghana); l’Agence de la diversification agricole et du projet de développement du marché, ADMP & CNRST (Burkina Faso); le FIRCA (Côte d'Ivoire), l’ARCN (Nigeria), le CNRA (Mali) et le FNRAA (Sénégal).

Les activités du WAAPP/ PPAAO 1 B tournent surtout autour de la génération et de la diffusion des technologies. Ainsi, la communication entre les Institutions nationales de recherche agricole (INRA) et les services de réglementation à travers les frontières et à l'intérieur des pays, la communication entre les services de vulgarisation et les agriculteurs/producteurs, ainsi qu'avec l'agro industrie sera renforcée. La communication institutionnelle sera mise en œuvre à travers les sections de communication respectifs pour assurer une fluidité de l’information au sein de l'organisation.

Cette tâche est à confier à un comité de travail en vue de coordonner la mise en œuvre de la communication et représenter les membres des différentes institutions/parties prenantes et qui fera en sorte que le flux de communication soit pertinemment mise à jour et que les équipes et les membres soient en mesure de s'engager de façon significative sur les déroulements du projet et de discuter des obstacles et des défis au fur à mesure qu’ils apprennent les uns des autres. Cela permettra de créer une appropriation et une identité.

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L'exercice de mise en œuvre facilitera la circulation et l'échange d'informations entre les publics internes et externes. Cela se fera à travers

i)

:

La Mise en place d'un comité de communication qui facilite la mise en œuvre de la stratégie de communication

ii)

;

Création / renforcement des TIC grâce à l'utilisation du système d'information, le portail Web qui est relié à un système de téléphonie mobile pour l'information agricole.

Le comité doit être présidé par le président de coordination. Il doit être composé de membres des différents secteurs du WAAPP/ PPAAO, si possible avec l'expertise des médias, par exemple agent des communications des CNS. Cela permettra de représenter les enjeux au sein du PPAAO/WAAPP et de faciliter un résultat professionnel du secteur de l'information/communication.

L’expert ou le cabinet doit travailler avec le gestionnaire de l’information et la communication du CORAF/WECARD afin d’aider à

i.

:

Alimenter le site Web régional WAAPP/PPAAO et d'autres besoins de communication

ii.

;

Mettre à jour / informer les parties prenantes sur les questions de communication

iii.

;

Coordonner /établir des relations entre le WAAPP/ PPAAO et d'autres partenaires régionaux du secteur de l’agriculture / des TIC

iv.

;

v.

Conseiller /organiser des interviews des porte-parole du PPAAO dans les médias

Organiser des activités de surveillance des médias afin d’évaluer la qualité et la fréquence de la couverture médiatique

vi.

;

Mener des recherches sur les perceptions du public au sujet des questions d'intégration régionale, les TIC et l'agriculture ainsi que l'utilisation de la technologie

Arrangement institutionnel

Au niveau institutionnel, l’équipe aura pour rôle de:

.

1.

2.

Développer et organiser les articles pour le site Web

3.

Affecter /recueillir les récits requis pour le site

4.

Bulletin mensuel provenant des articles Web

Mécanismes réguliers pour des discussions interactives entre les membres de l'équipe

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5.

Relations publiques

Assurer une version anglaise/française des articles sur le web

i.

Au niveau relationnel, l’équipe s’attellera à :

ii.

Gérer les relations d’entreprise et les médias

iii.

Établir un rapport / relations avec les maisons de presse - des journalistes locaux et internationaux

iv.

Identifier une équipe de journalistes de travailler et de consulter et de prendre des dispositions pour le réseautage social comme un effort pour leur intérêt dans les efforts PPAAO, les questions à voir avec l'intégration régionale, les TIC et l'agriculture, etc.

Organiser une réception autour de l'activité du WAAPP/PPAAO afin d’intéresser, d'éduquer et mettre à jour les journalistes et de recueillir leurs commentaires; on peut également puiser dans un forum des médias existants, par exemple Press club ou fonctions des associations de médias

v.

;

Concevoir, en collaboration avec les maisons de presse des forums de discussion sur des sujets liés au WAAPP/ PPAAO

vi.

;

vii.

Identifier les opportunités de collaboration au sein des activités existantes des médias et

Mécanisme de mise en œuvre pour la région

les forums, par exemple une émission hebdomadaire télé ou radio à travers laquelle les questions PPAAO peuvent être diffusées ou des interviews avec des experts fait pour informer et éduquer davantage le public sur le projet

Le CORAF/WECARD mettra en place ou renforcera un Comité de communication qui va coordonner les activités entre les pays et s’assurer qu’une représentation à tous les niveaux est maintenue. Cela permettra de garantir des mises à jour de la communication à tous les niveaux.

Le comité sera coordonné par le responsable de la communication du CORAF/WECARD et qui fera en sorte que le comité soit régulièrement en contact grâce l'interaction web, conférence téléphonique vidéo et courriels. Il devra s'assurer des mises à jour d’information /communication des différentes composantes et que les secteurs du PPAAO/WAAPP sont représentés.

Le portail web et le système d'information informeront régulièrement sur divers aspects du projet à travers l'interaction web – les progrès, les retards, les différentes approches politiques des pays,

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les bonnes pratiques, les activités des agriculteurs, la participation et l’implication des membres etc.

Le système d'information, le portail Web, ou toute information doit être communiquée en français et en anglais afin de permettre l'accès et de briser le fossé français/anglais et d'encourager l'unité régionale

Les partenaires / ONG - Collaborent avec d'autres partenaires comme Agra, la CEDEAO, l'Union africaine, le Nepad- suscitent l’intérêt du public en matière d'intégration, de recherche régionale, d'agriculture et de développement

7. Renforcement des capacités et formation

.

La formation et le renforcement de capacité de la structure et du personnel du WAAPP/PPAAO sont essentiels aux processus de mise en œuvre et la réalisation des objectifs du projet. Une partie des handicaps du projet provient des insuffisances dans le processus du projet, en particulier avec la structure et les compétences à différents niveaux.

Il existe de réelles possibilités du secteur privé pour aider à renforcer les capacités en TIC. Une telle organisation, basée à Dakar au Sénégal, a la capacité de concevoir un système de plateforme de téléphonie mobile pour communiquer aux agriculteurs du secteur rural sur des informations cruciales et d'accélérer la dynamique des TIC au sein des communautés rurales. La société est en mesure de concevoir un produit convivial (à l’aide des visuels) qui prendra en compte les niveaux d'alphabétisation dans la région

Niveau régional

.

Il est nécessaire que les ateliers favorisent la compréhension entre les parties prenantes sur le concept d'intégration régionale et les avantages pour la sécurité alimentaire, la croissance économique et le commerce. Le CORAF/WECARD avec le soutien de la Banque mondiale pourra initier et coordonner cela dans le cadre de l'effort de team-building (constitution d’équipe) et d’appropriation entre les parties prenantes dans la région.

Il existe aussi un besoin de formation des acteurs et du personnel sur les TIC, en particulier en ce qui concerne les systèmes d'information et le portail web afin de créer la familiarité et rendre plus facile pour les parties prenantes l’accès aux informations sur les activités du PPAAO. Les activités seront ainsi coordonnées aux niveaux régional, national et institutionnel afin d'aider à stimuler l'activité sur les flux de communication et d'engagement.

Les institutions de recherche telles que citées dans l'évaluation des besoins qui sont handicapées par le manque ou l'inefficacité des systèmes Internet ont besoin de mettre à jour leurs capacités pour qu'elles puissent avoir de meilleurs outils de réalisation et de collaborer avec leurs pairs à travers les frontières et avec les autres niveaux d’acteurs qui ont besoin d'informations sur leurs travaux.

20

Niveau national Il est nécessaire de renforcer les capacités des structures de communication au sein des unités d'organisation et de coordination. La formation de mise à jour pour l'utilisation de nouvelles variétés et technologies ainsi que des compétences de communication, les TIC sont nécessaires, car ils œuvrent avec les agriculteurs et les producteurs qui se retournent vers eux pour de telles compétences. Dans certains domaines, les capacités et la formation de techniciens et d'experts agricoles doivent être adressés en raison du décalage de la formation dispensée étant donné la volonté politique et de ralentissement économique, par exemple en Côte d 'Ivoire

Les agriculteurs et les producteurs ont besoin de familiarité et de formation à l'utilisation des technologies nouvelles et améliorées. Compte tenu de l’usage répandu de la téléphonie mobile dans toutes les communautés rurales du WAAPP/ PPAAO, il est nécessaire d'introduire et de créer la familiarité avec d'autres applications de téléphonie mobile conviviales et visuelles pour susciter l’intérêt des producteurs et des agriculteurs les amenant à croire qu'ils peuvent compter sur la téléphone cellulaire pour faire des affaires agricoles. Vu que la plupart des agriculteurs en milieu rural, (certains jusqu'à 70 pourcent) sont analphabètes, les paquets d’applications visuelles sont nécessaires pour les aider à trouver le téléphone mobile adapté à l'agriculture et pour l'information des agriculteurs. Il s'agira de spécifications afin de répondre à ce besoin et donc leur implication pour éclairer ce qui répond au mieux à ce besoin. Cela pourrait se faire à travers une étude ou une discussion de groupe pour d'aider à cristalliser leur besoin.

Nouveaux produits

Les journalistes / rédacteurs ont besoin de formation et de renforcement des capacités sur le journalisme de développement, les approches participatives et l'importance de l'intégration régionale ainsi que l'utilisation des nouvelles technologies pour la croissance économique. La facilitation des débats par des journalistes / rédacteurs expérimentés régionaux au sujet des thèmes tels que ‘‘Rapport pour la région: leçons et défis" ou des diplomates sur la question

8. Suivi et évaluation

La planification et la formation sont nécessaires vu que de nouveaux produits du programme émergent. Par exemple, la percée de la nouvelle panification de Dakar qui utilise les céréales locales et les nouvelles variétés publiées au Ghana. Il y a nécessité d'une stratégie de marketing pour ces produits et pour l'activité médias prévue pour sensibiliser sur ces nouveaux produits

L’indicateur de suivi et évaluation portera sur le changement des attitudes, des croyances et modes de relations, des engagements et la fréquence d'un flux de communication entre les parties prenantes.

La recherche qualitative, à savoir orienter les discussions de groupe, les interviews, les observations, les questionnaires et enquêtes seront utilisés pour évaluer les changements de comportement et établir comment les besoins ont été atteints ou comment les modèles d'attitudes

21

et les perceptions ont changé. Cela aidera à établir les tendances dans les questions en rapport avec la capacité, les attitudes régionales et la familiarité avec la technologie. Des recherches seront également menées pour établir l'impact des technologies nouvelles et améliorées et comment elles affectent les utilisateurs finaux comme les agriculteurs et les producteurs.

La couverture médiatique à travers l'analyse de contenu de la presse écrite et électroniques pour contrôler les schémas de couverture sera également faite. Les efforts de recherche seront liés aux schémas de mise en œuvre de sorte qu’au cours du premier trimestre de mise en œuvre, des enquêtes soient menées pour évaluer les progrès et comprendre tout besoin de changement tactique en ce qui concerne la mise en œuvre. Plus de recherches seront prévues trimestriellement. Le suivi du site sera également un indicateur essentiel en termes de hits et de retour de clients

9. Conclusion et recommandations

.

Le succès de la stratégie de communication du WAAPP/PPAAO dépendra de la construction réussie des relations, des capacités et des engagements à travers les niveaux régionaux, par conséquent, entre pays et dans le renforcement des flux nationaux et institutionnels de communication.

Avec un système de communication efficace, le public interne sera en mesure de s'engager, d'échanger des informations et de participer pleinement aux activités du projet et les décisions. La nécessité de l'impact d'un système d'information (s) qui répond aux besoins des différents niveaux afin de soutenir l'objectif global du projet sera un grand atout.

L’implication des médias à ce niveau contribuera également à accélérer l’atteinte des objectifs du WAAPP/PPAAO par le soutien qu'ils sont susceptibles de gagner une fois que le programme régional est compris par le public, les décideurs et autres partenaires et parties prenantes

.

22

10. Plan d’action Ce qui suit est un tableau pour illustrer le plan d'action de mise en œuvre. Il comprend les publics, l'activité, les canaux de responsabilité ou tactiques, les délais et, si possible, le coût. Un résumé des principales activités et des efforts de capacités ont également été joints

•

.

Plan d'action du WECARD/CORAF

Activités principales

Mettre en place un comité régional de communication /information sous la coordination le Gestionnaire de l’Information du CORAF/WECARD et qui facilitera la mise en œuvre de la stratégie de communication

;

• Renforcer le système d'information, le portail web et Internet et initier des discussions web régulières entre unités de coordination WAAPP PPAAO, les équipes de recherche et des membres dans les différents pays sur les différentes activités du projet

;

• Afficher l'information sur le web en français et en anglais pour un accès facile pour tous les membres

.

• Identifier une équipe de journalistes avec qui travailler et consulter au niveau régional et national, renforcer leurs compétences professionnelles et l'appréciation de l'intégration régionale, l'agriculture, les questions liées au développement et l'essence du journalisme de développement

;

• Organiser des visites de terrain pour les journalistes sur les différents sites du projet WAAPP/PPAAO

;

• Organiser prix annuel régional de journaliste pour des reportages de premier plan et cohérents sur les nouvelles agricoles et de développement, l'intégration régionale et la génération et l'utilisation de technologie. Le prix peut être divisé en trois secteurs (ci-dessus) ou combinés

.

• Initier des programmes radio / TV/ interviews et des articles de presse se focalisant sur des informations spécifiques relatives aux questions agricoles et de développement dans la région, la pertinence de l'initiative PPAAO et l'importance de l'amélioration des technologies et de la recherche pour le secteur agricole

;

• Lancer le WAAPP/ PPAAO au Nigeria, au Burkina Faso et en Côte d 'Ivoire en invitant des acteurs clés, les représentants des trois pays et les principaux rédacteurs et

23

journalistes; Lancer la deuxième phase du PPAAO en invitant un conférencier / expert et des représentants des trois nouveaux pays et les principaux professionnels des médias - les rédacteurs et les journalistes clés identifiés

.

•

Générer l'intérêt des médias et du public grâce à de nouveaux produits par exemple la publication de nouvelles variétés de cultures et le pain populaire à Dakar

•

•

Ateliers, visites de terrain et d'échanges des pairs dans les institutions de recherche afin de partager les connaissances et de s'engager dans des processus de recherche et des technologies

Des ateliers régionaux et visites de terrain pour toutes les équipes - unités de coordination, chercheurs et autres acteurs pour des mises à jour et le partage des connaissances sur les progrès des secteurs spécifiques, par exemple de recherche, et ‘hold-ups’ administratifs et gouvernementaux ainsi que les avancées technologiques

Activités clés de renforcement de capacités

Régional

.

• Créer un portail Web commun qui permet l'interaction et l'accès par les membres du WAAPP/PPAAO

•

Mettre en place une équipe de communication sous la supervision du Gestionnaire de l’information et de la communication du CORAF/WECARD afin de coordonner la communication institutionnelle et interne, y compris la gestion d'un portail Web et la dynamique interactive pour un public interne

•

- CORAF

Organiser des ateliers pour favoriser la compréhension entre les parties prenantes sur le concept de l'intégration régionale et les avantages pour la sécurité alimentaire, la croissance économique et le commerce

•

;

•

Former /améliorer les compétences du personnel sur l'utilisation des TIC, en ce qui concerne les systèmes d'information et le portail Web pour aider à améliorer la connaissance et le partage d'informations sur les activités et les acteurs du WAAPP/PPAAO

Installer / améliorer les systèmes d'Internet au sein des institutions du WAAPP/PPAAO pour de meilleur résultat, prestation et engagement

•

;

Former les journalistes sur l'appréciation de l'intégration régionale, l'agriculture, les questions liées au développement et l'essence du modèle de développement

24

• Renforcer / former les compétences professionnelles et l'appréciation du journalisme de l'intégration régionale, l'agriculture, les questions liées au développement et l'essence du journalisme de développement

Niveau national

;

• Ateliers/réunions des unités de coordination, des chercheurs et autres acteurs afin de soutenir le point de vue régional du projet et les engagements

•

;

Installer / améliorer le système de communication - Internet, le portail web ou système d'information

•

•

Formation de mise à jour sur l'utilisation de technologies améliorées et de nouvelles variétés - chercheurs, vulgarisateurs et agriculteurs

Formation à l'utilisation de portail web et des processus interactifs à l’intention du secrétariat du WAAP/PPAAO (personnel de communication et des TIC

Niveau institutionnel

);

• Installer / améliorer le système de communication - Internet, le portail web ou système d'information

•

;

•

Former /améliorer les compétences du personnel sur l'utilisation des TIC, en ce qui concerne les systèmes d'information et le portail Web pour aider à améliorer la connaissance et le partage d'informations sur les activités et les acteurs du WAAPP/PPAAO

Formation de mise à jour sur l'utilisation de technologies améliorées

•

;

Formation à l'utilisation de portail web et des processus interactifs à l’intention du secrétariat du WAAP/PPAAO (personnel de communication et des TIC

);

25

PLAN D’ACTION du CORAF /WECARD

Partage efficace d’information et de connaissances par les parties prenantes à travers des concertations, et autres voies de communications afin d’adresser les questions et sujets du projet

Partie prenante

Questions stratégiques

Messages Activités Délais Responsabilité Indicateurs de suivi

Estimations du coût budgétaire ($)

Secrétariats

WAAPP

Flux et échange d’information amélioré

L’échange de connaissances et d’informations permettra de construire un objectif commun

1. Organiser des ateliers régionaux de mise à jour et des discussions sur les avancées du projet, les leçons de recherché, les questions administrative pays ;

Trimestriel

WECARD/CORAF

Enquête pour juger de

l’impact sur le partage de

connaissances et l’interaction

Comme ci-dessus

Comme ci-dessus

Comme ci-dessus

2. Organiser des visites régionales de terrain pour échange d’informations et de connaissances par exemple pour chercheurs, agroindustrie

Trimestriel

WECARD/CORAF

Comme ci-dessus

Comme ci-dessus

Comme ci-dessus

Comme ci-dessus

3. Afficher des informations à jour sur le web et initier des sessions interactive avec les parties prenantes sur les questions actuelles du projet en français et anglais

Régulièrement

Comme ci-dessus Comme ci-dessus

Médias

La couverture médiatique des

questions agricoles et de

L’intégration régionale et l’agriculture

vont améliorer les économies

4. Identifier une équipe de journalistes au niveau régional et national, organiser des ateliers pour renforcer leurs compétences

Sur le champ

et suivis trimestriels

Comme ci-dessus

Enquête de

présence des opinions des

journalistes et l’évaluation des

26

développement est limitée

des pays

et leurs appréciations professionnelles de l’intégration régionale, de l’agriculture, des questions de développement et l’essence du journalisme de développement;

besoins sur la couverture

d’information

Partie prenante




Médias

Appréciation inadéquate des nouvelles de développement

Aligner le rythme de l’intégration régionale avec les nouvelles de développement

5. Inviter les principaux conférenciers, experts sur les questions ci-dessus de même que les experts en recherche agricole à s’adresser aux journalistes au forum ci-dessus sur les questions actuelles de développement agricoles et le rôle du projet WAAPP ainsi que l’importance de la recherche et des avancées technologiques

Trimestriel

WECARD/CORAF Nombre de participants; analyse du

contenu

Secrétariats WAAPP

Couverture inconséquente du développement et de

Le WAAPP/PPAAO

améliorera les efforts de

développement et le niveau de

vie

6. Lancer la deuxième phase du PPAAO en invitant un conférencier / expert et des représentants des trois nouveaux pays et les principaux professionnels des médias - les rédacteurs et

Lorsque prêt à être lancer

WECARD /CORAF

Participation

27

l’agriculture

les journalistes clés identifiés. Saisir l’occasion pour parler des réalisations faites au Ghana, au Mali et au Sénégal;

Médias

Manque d’intérêt sur les nouvelles agricoles et de développement régional

Vous pouvez être

avec les nouvelles sur le développement

régional

7. Organiser un prix annuel régional de journalistes sur un reportage de premier plan cohérent sur les nouvelles de développement et d’agriculture, l’intégration régionale et la génération de technologie ainsi que leur utilisation au sein des communautés rurales .

Annuel

Comme ci-dessus

Participation et sur le mode d’analyse du

contenu télé et radio ainsi que presse écrite

Partie prenante




Secrétariats

WAAPP

Sensibilisation inadéquate des objectifs et projet WAAPP/PPAAO

Les nouvelles technologies vont accroître le rendement agricole

8. Envoyer des communiqués de presse/brièves pour annoncer des nouvelles variétés culturales, percée dans la génération de technologie par exemple le pain populaire à Dakar et ailleurs au sein du WAAP/PPAAO

Régulièrement

WECARD/ CORAF

Réponses des journalistes et du public

28

2. Susciter la compréhension, l’appui , l’appropriation régionale et l’esprit d’équipe du WAAPP chez les parties prenantes et le public

Partie prenante




Secrétariats WAAPP

NCO; Instituts de recherche

Universités

Réaligner l’objectif

national avec la mission

régionale

Le travail d’équipe

WAAPP va toujours

motive des résultats rapides

1. Ateliers régionaux et exercice de construction d’équipe en vue de renforcer l’appui et la relation d’équipe

Trimestriel

WECARD/ CORAF

Enquête, commentaires

reçus Couverture médiatiques

3. Initier des articles et émissions TV/radio sur le développement et le projet WAAPP basés sur les informations de tous les pays impliqués

Hebdo Comme ci-dessus Couverture médiatique

commentaires d’émissions

TV/radio

Secrétariats WAAPP

Flux et échange d’amélioration améliorés


4. Organiser des ateliers régionaux sur les mises à jour et des discussions sur le projet, les leçons de recherché, les questions administrative pays,

Trimestriel

WECARD/CORAF

Enquête pour juger de

l’impact sur le partage de

connaissances et l’interaction

29

2. Susciter la compréhension, l’appui , l’appropriation et l’esprit d’équipe du WAAPP chez les parties prenantes et le public

Partie prenante




Secrétariats WAAPP

Flux et échange d’amélioration améliorés


2. Organiser des visites de terrain pour échange d’informations et de connaissances

Trimestriel

WECARD/CORAF Enquête pour juger de l’impact sur le partage de connaissances et

l’interaction

As comme ci-

dessus

3. Afficher des nouvelles à jour sur le web et initier des sessions interactive avec les parties prenantes sur questions actuelles du projet en anglais et en français

Trimestriel

Comme ci-dessus Comme ci-dessus

30

4. Susciter la compréhension, l’intérêt et l’appui aux activités et objectifs du WAAPP dans les medias et pour le soutien public

Partie prenante




Secrétariat du WAAPP

Couverture inadéquate des questions agricoles et de développement

Les nouvelles agricoles sont essentielles à la croissance économique

Renforcer et nommer un expert en communication

pour coordonner la communication

institutionnelle et interne y compris le portail web et le dynamisme interactif pour

un public interne

Immédiat pour la mise en

œuvre de la stratégie

CORAF/WECARD Commentaires internes

Comme ci-dessus

Couverture inadéquate des questions agricoles et de développement et d’intégration régionale

Orienter les modèles

d’informations vers

l’agriculture et le

développement

Les activités de réseautage et de concertation pour

intéresser les journalistes et rédacteurs au développement régional tels que l’expertise en matière d’information,

l’agriculture et le développement

Immédiat

Comme ci-dessus

Commentaires

contenu et qualité de la couverture

Comme ci-dessus

Partage d’information obstrué

Nous pouvons surmonter les barrières linguistiques

Info. sur le web en anglais et français pour un accès facile

Immédiat Comme ci-dessus

Commentaires des membres

31

Plan d'action pour les Unités d'exécution et les parties prenantes du WAAPP/ PPAAO

Activités principales

• Mettre en place un comité régional de communication /information qui facilitera la mise en œuvre de la stratégie de communication;

• Nommer un expert /cabinet en communication pour superviser le programme de

communication stratégique et de coordonner les communications externes et internes (au sein du programme WAAPP/PPAAO), y compris la gestion d'un portail Web lié à tous les membres du WAAPP et la dynamique web interactif. L’expert devra travailler main dans la main avec le gestionnaire de la communication du CORAF/WECARD

• Renforcer le système d'information, le portail web et Internet et initier des discussions

web régulières entre unités de coordination WAAPP/ PPAAO, les équipes de recherche et des membres au sujet des différentes activités du projet;

• Afficher l'information sur le web en français et en anglais pour un accès facile pour tous

les membres.

• Identifier une équipe de journalistes avec qui travailler et consulter au niveau régional et national, renforcer leurs compétences professionnelles et l'appréciation de l'intégration régionale, l'agriculture, les questions liées au développement et l'essence du journalisme de développement à travers des ateliers;

• Organiser des visites de terrain pour journalistes sur les différents sites du projet

WAAPP/PPAAO;

• Créer le Kit WAAPP résumant les sujets clés du projet et de la région et le donner aux journalistes;

• Initier des programmes radio / TV/ interviews et des articles de presse se focalisant sur des informations spécifiques relatives aux questions agricoles et de développement dans la région, la pertinence de l'initiative PPAAO et l'importance de l'amélioration des technologies et de la recherche pour le secteur agricole;

• Lancer le WAAPP/ PPAAO au Nigeria, au Burkina Faso et en Côte d 'Ivoire en invitant des acteurs clés, les représentants des trois pays et les principaux rédacteurs et journalistes; Lancer la deuxième phase du PPAAO en invitant un conférencier / expert et des représentants des trois nouveaux pays et les principaux professionnels des médias - les rédacteurs et les journalistes clés identifiés.

32

• Imprimer des brochures, calendriers, des affiches à distribuer entre acteurs et les

membres cible du public;

• Générer l'intérêt des médias et du public grâce à de nouveaux produits par exemple la publication de nouvelles variétés de cultures et le pain populaire à Dakar

• Ateliers et visites sur le terrain pour les acteurs pour partager leurs connaissances et

discuter des sujets relatifs au projet

33

PLAN D’ACTION DE COMMUNICATION DU WAAPP/ PPAAO-

1. Echange efficace d’informations et de connaissances entre les parties prenantes à travers des consultations et d’autres moyens de communication en vue de faire face aux problèmes majeurs identifiés dans le projet.

Parties prenantes


Messages Activités Délai Responsabilité Indicateurs de suivi

Estimations du cout budgétaire ($)

i). Composition

des secrétariats du PPAAO

Restriction relative à la

circulation et à l’échange

d’informations

Echange de connaissance

et d’informations pour aboutir à

un but commun

1. Mise en place d’un comité de communications/Information qui facilitera la mise en œuvre de la stratégie de communication ;

Trimestriellement

Secrétariats du PPAAO

Enquête sur l’impact

concernant l’efficacité du programme de communication

2. Nommer un expert en communication/entreprise pour

superviser le programme de communication stratégique et coordonner la communication

externe et interne

Décembre 2010

Secrétariat du PPAAO

(expert en communications et

TIC)

Sondage pour jauger l’interaction

et l’information sur le Web

3. Installer ou renforcer un portail web en Français et en

Anglais pour connecter tous les membres du PPAAO.

Régulièrement

Comme ci-dessus remarques sur l’activité relative

au web

ci-dessus

Comme ci-dessus

4..Informations d’actualité sur le projet concernant des entrevues des membres comme par exemple sur les activités des agriculteurs, les scientifiques

Hebdomadaire

Comme ci-dessus

Evaluer la participation

34

relatives à la nouvelle variété végétale ;

Parties prenantes

Questions stratégique

Messages Activités Délai Responsabilité Indicateurs de suivi Estimations du cout budgétaire ($)

Composition des


Restriction relative à la circulation

et à l’échange

d’informations

L’échange d’informations et de connaissances est capital pour la

croissance de

l’équipe

5..Sessions de plan interactif en faveur des membres sur le portail Web;

Mensuellement


Interviews et Evaluations pour jauger l’intérêt, la

participation et l’impact au niveau des parties

prenantes

Comme mentionné ci-dessus

6. Imprimer un bulletin d’informations en faveur des membres


7. Réunions & ateliers pour discuter des avancés du projet, les mises à jour et analyser les problèmes préoccupants comme par exemple les retards au niveau des politiques nationales

trimestriellement

Comme indiqué ci-dessus

ii). ONG,

Institutions et Universités

de recherche, Industrie

agro-

Le partage de

l’information et de la connaissance sera

profitable

1. Organiser des ateliers et des visites sur le terrain en faveur des équipes pour le partage des mises à jour et de connaissances sur les progrès relatifs aux processus spécifiques, exemple : la nouvelle génération de technologie ou de

Trimestriellement

Secrétariat et équipes du PPAAO


35

alimentaire

aux équipes du

projet

nouvelles conclusions, les réponses des agriculteurs face aux nouvelles variétés ;

(iii) Les

agriculteurs, les

coopératives, les

associations, Et les

organismes de

vulgarisation

Mettre l’accent sur l’objectif commun du projet

L’échange d’informat

ions accroit la

compétence

1. Réunions de groupe pour discuter: sur la meilleure manière de participer au projet PPAAO; l’utilisation des nouvelles technologies par exemple le cellulaire dans l’information agricoles et aux problèmes liés à l’adoption de nouvelles variétés

Mensuellement

Secrétariat et équipes du PPAAO

Les évaluations d’impact et de participation

Parties prenantes


Messages Activités Délai Responsabilité Indicateurs de suivi Estimations du cout budgétaire ($)

Liens incertains due à la non familiarité avec les nouveaux produits

De nouvelles variétés

végétales ont été testées

pour de meilleurs

rendements

2. Des séances de démonstration relatives aux nouvelles variétés agricoles et à l’utilisation de nouvelles technologies. Exemple: les nouvelles applications de téléphone mobiles ; les groups d’écoute de la radio aux heures indiquées

Initialement et tant que le

besoin se fera sentir

Secrétariat PPAAO avec des équipes des agriculteurs et agents de vulgarisation

Comme ci-dessus

L’effort du groupe fera accroitre les

connaissances

3. Former et organiser les agriculteurs aux méthodes de groupe d’écoute radio et à l’utilisation des nouvelles technologies. Les groupes d’écoute radio de façon

Mensuellement pour la

formation et de façon

hebdomadaire pour les

Secrétariat du PPAAO, équipes des agriculteurs et organismes de vulgarisation

36

2. Favoriser au niveau régional la compréhension, le soutien, la propriété et l’esprit d’équipe relatif au PPAAO entre les parties prenantes et le public


Messages Activités Opportunités Responsabilité

Indicateurs de suivi Estimations du cout budgétaire ($)


Le secrétariat du PPAAO, les instituts de recherche et les universités, l’industrie agro-alimentaire, les agents de vulgarisation, les agriculteurs

Promouvoir l’esprit de

propriété et d’équipe au

niveau régionale entre les parties

prenantes

Le PPAAO est une opportunité qui

mérite d’être développé

1. L’échange au niveau des régions favorise des

visites entre les pairs

Trimestriellement


Les enquêtes et les réactions sont

couvertes par les médias


Comme ci-dessus

Permet d’harmoniser les plans nationaux d’avec les plans régionaux

2. Discussion interactive prévue sur le portail Web relative aux différents évènements du projet

De façon hebdomad

aire

secrétariat du PPAAO (expert en communication)

Intérêt suscité; réaction obtenue

hebdomadaire groupes d’écoute

37


Susciter l’intérêt de

l’agriculture, du

développement, et des questions

d’intégration régionale au

public

L’effort au niveau régional du PPAO

permettra d’améliorer la vie

3. Initier des articles & programmes TV/Radio pour informer le public sur les activités du PPAAO et les questions connexes

De façon hebdomadaire


Extension de la couverture médiatique

de l’information à travers des programmes

TV/Radio

3. Susciter l’intérêt, l’appui et le renforcement de capacité pour l’usage des NTICS et génération et vulgarisation des technologies améliorées

Acteur Questions stratégiques

Messages Activités Délais Responsabilité Suivi des Indicateurs Estimations du cout du Budget ($)

ii).

NCO

Chercheurs

Besoin de renforcer les

capacités pour la

génération des

L’usage des technologies améliorées va améliorer l’effort de recherché et

1. Accès et formation sur les technologies

améliorées

En cours

Secretariat du PPAAO

Rétroaction sur les nombres on

formation et son utilisation

38

Université

Agri-entreprise

technologies améliorées et l’usage

des NTICS

son efficience

Mentionné ci- dessus


Améliorer l’efficience par l’accès à l’information et la technonologie

2. Installer ou améliorer l’accès à l’internet et l’usage de la Prestation de la technologie

Decembre 2010

Mentionné ci-dessus Nombre d’installation et étude sur l’amélioration de l’usage

iii.

Conseillers agricoles

Besoin de renforcer les

capacités pour la

génération des

technologies améliorées et l’usage

des NTICS

NTICS plus efficace choix

pour la diffusion de l’information

1. Former les paysans et montrer l’usage de la nouvelle variété de récolte et l’accès à l’information de

l’agriculture par le téléphone portables des

paysans

Regularité


Rétroaction du producteur et utilisateurs


Messages Activités Délais Responsabilité Suivi des Indicateurs

Estimation du cout du Budget ($)

iv.

Groupe des planteurs


L’usage du téléphone portable peut rendre

Formation sur l’usage du téléphone à des fins agricoles;

En six mois Secretariat du PPAAO

Fréquence et effet de l’usage

du téléphone portable

39

associations,

cooperatives

l’agriculture plus efficace

Adoption et accès à la

nouvelle variété de récolte

/nouvelles variétés de

récoltes

4. Favoriser une compréhension, intérêt, appui des objectifs du PPAO et ses activités dans les medias pour l’appui du public


Messages Activités Délais Responsabilité Suivi des Indicateurs



Meilleure couverture de l’agriculture et problème de

développement

Les informations sur l’Agriculture est un élément clé pour la croissance économique

1. Communications assignées aux experts pour coordonner et la communication interne comprenant le portail et les dynamiques interactives pour l’auditoire interne

La mise en œuvre de stratégie

immédiate

Mise en œuvre immédiate


Retroaction interne

Mentionné ci -dessus

Couverture inadéquate de l’agriculture, problème de développement et intégration régionale

Affecter les nouveaux paradigmes à l’agriculture et le développement

Système social et consultation aux intérêts des journalistes et /éditeurs dans le développement régional comme nouvelle expertise


Rétroaction

Contenu et qualité de la couverture

40


Messages Activités délais Responsabilité Suivi des Indicateurs


Secretariats du PPAAO

Manque d’engagement dû à la barrière linguistique

Aucune barrière linguistique au développement

Information sur le site en Français et Anglais pour un accès facile

Décembre 2010


Enquête sur les succès hits et

l’utilisation du site web


Intérêt inadéquat en terre régionale et les informations sur l’

agriculture

Terre régionale et le traitement des informations

est un domaine spécialisé

1. Identifier une équipe de journalistes pour travailler et se consulter régulièrement

Immédiatement Secrétariat du PPAAO et

secrétariat et consultant

commentaires

Media Compétences non requises pour couvrir l’intégration régionale et le traitement de l’information sur l’agriculture

2. Ateliers sur l’état actuel de la région , le développement et les problèmes liés à l’agriculture

Trimestiel

comme ci- dessus Suivi réponse et couverture

secretariats WAAPP

3. Organiser la fonction pour la publication des nouveaux produits par ex.. nouvelles variétés culturales

Au besoin secretariats WAAPP

Réponse et couverture

Secretariat WAAPP

L’agriculture et le development pas

dignesd’niformation

Appuyer les nouvelles sur l’agriculture et le

Prévoir des forums libres avec les maisons de presse pour des interviews et débats

hEBDO secretariat WAAPP

Enquête pour réponse

41

développement prévus pour des discussions sur des questions régionales-WAAPP

42

ANNEXE1: Evaluation des besoins Introduction

L'évaluation des besoins a fait partie de la stratégie de communication pour évaluer les besoins de communication et d'information du programme de productivité agricole en Afrique de l’ouest, WAAPP/PPAAO, et en retour contribuer à la conception du programme de communication stratégique et la mise en œuvre du plan d'action ainsi que la réalisation des objectifs du projet.

Elle a porté sur une vaste gamme d'éléments, notamment la cartographie des parties prenantes et de leurs intérêts ainsi que du niveau des engagements et de compréhension, des circonstances sociopolitiques susceptibles d'affecter le projet ainsi que d'autres contextes, défis et fonctionnement du projet WAAPP et ses parties prenantes. Un élément central a été aussi l’environnement médiatique de même que la structure d’'information et de communication et la capacité du WAAPP/PPAAO et par rapport aux institutions compétentes, les contextes sociopolitiques, les activités de communication, les médias, la société civile et d'autres partenaires.

L'exercice a eu lieu entre le 16 mai et Juin 5 et menée dans quatre des six pays participant au projet PPAAO. Ce sont le Ghana, le Nigeria, la Côte d'Ivoire et le Sénégal. Il a impliqué des représentants et le personnel de la Banque mondiale, les unités de coordination nationale (secrétariats PPAAO), et les centres nationaux de spécialisation (CNS), les instituts de recherche, les services de vulgarisation, les coopératives ou associations de producteurs /agricoles, les médias dans les différents pays, la société civile, le secteur privé, de l'agro-industrie et les TIC. Les organisations représentées incluaient:

L'évaluation des besoins a fait partie de la stratégie de communication pour évaluer les besoins de communication et d'information du programme de productivité agricole en Afrique de l’ouest, WAAPP/PPAAO, et en retour contribuer à la conception du programme de communication stratégique et la mise en œuvre du plan d'action ainsi que la réalisation des objectifs du projet.

Elle a porté sur une vaste gamme d'éléments, notamment la cartographie des parties prenantes et de leurs intérêts ainsi que du niveau des engagements et de compréhension, des circonstances sociopolitiques susceptibles d'affecter le projet ainsi que d'autres contextes, défis et fonctionnement du projet WAAPP et ses parties prenantes. Un élément central a été aussi l’environnement médiatique de même que la structure d’'information et de communication et la capacité du WAAPP/PPAAO et par rapport aux institutions compétentes, les contextes sociopolitiques, les activités de communication, les médias, la société civile et d'autres partenaires.

L'exercice a eu lieu entre le 16 mai et Juin 5 et menée dans quatre des six pays participant au projet PPAAO. Ce sont le Ghana, le Nigeria, la Côte d'Ivoire et le Sénégal. Il a impliqué des représentants et le personnel de la Banque mondiale, les unités de coordination nationale (secrétariats PPAAO), et les centres nationaux de spécialisation (CNS), les instituts de recherche, les services de vulgarisation, les coopératives ou associations de producteurs /agricoles, les médias dans les différents pays, la société civile, le secteur privé, de l'agro-industrie et les TIC.

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Il a été fait à un moment où le Ghana, le Mali et le Sénégal, les trois premiers pays mettant en œuvre le projet PPAAO était à mi-chemin dans la première phase. Le projet a été initié par la Banque mondiale en 2007, mais la mise en œuvre avait été fonctionnellement effective à compter de 2008.

Le Nigeria, le Burkina Faso et la Côte d'Ivoire venait d’entamer le processus de mise en œuvre donc avec beaucoup de marge pour intégrer la communication dans son processus de mise en œuvre et prévoir des moyens de gérer les défis.

Comme l'a souligné un des acteurs, une partie des grandes leçons aux groupes pilotes avaient été le fait que les acteurs ont travaillé séparément vers leurs objectifs, une approche qui a refusé au projet l'approche globale régionale dont il avait besoin.

“Nous étions tous à travailler très dur pour atteindre nos objectifs mais nous ne communiquions pas les uns avec les autres ou en reliant nos objectifs avec d'autres au niveau national ou régional”.

L'évaluation a été faite en utilisant différentes techniques et en consultation avec la Banque mondiale en matière de communication et de l'agriculture dans les DC et dans les différents bureaux pays où le PPAAO est mis en œuvre.

The Les techniques utilisées comprennent la revue de la littérature pertinente, les questionnaires, les entretiens, les discussions de groupe, l’observation directe, les études de rapports et le profilage des organisations parties prenantes.

Analyse situationnelle

1. Incohérence de la communication

Dans l'ensemble, certains intervenants se sont réunis au moyen de réunions, d'ateliers et de missions. Cependant, les lacunes de communication et les incohérences sont évidentes à tous les niveaux, à savoir régional, national et institutionnel. Il ya un manque général de flux de communication cohérente et planifiée au sein des organisations, entre les parties prenantes au niveau national et au niveau régional. Ceci est démontré par le fait que les principaux intéressés, comme les secrétariats PPAAO qui ont un sort commun en cours au niveau régional, n'ont pas eu un flux d'échange d'informations tenant lieu. Cela signifie que des défis tels que la réglementation du pays, les retards et la nécessité de comprendre les différences des pays respectifs ne sont pas partagées par l'équipe.

Les acteurs nationaux, d'autre part, dont les activités sont étroitement imbriqués et qui devaient s'influencent mutuellement dans leur direction n'a pas eu de communication courante et l'appropriation des enjeux le projet global a été confronté. Les membres ont travaillé dans le cadre de leur mandat, mais sans la fonction de communication prévue pour l'intérêt général du reste des acteurs. De ce fait, les chercheurs qui, par exemple au Ghana, ont publié de nouvelles variétés, n'ont pas nécessairement de lien avec les agents de vulgarisation ou les agriculteurs sur leur nouvelle version. Il s'agit d'une rupture du flux d'information nécessaires à la diffusion des variétés et des activités de communication qui nécessitent l'acceptation des variétés. En raison du manque d'échange d'informations prévu, cette information n'a pas été partagée avec d'autres PPAAO peu après la publication et le lancement officiel qui a impliqué du personnel

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gouvernemental de haut rang, n'a pas été suivie de communication stratégique ou de l'activité de l'entreprise. C'est un handicap pour atteindre les objectifs d'intégration régionale et la nécessité de diffuser des informations sur ce que chaque équipe fait.

Le Ghana, le Mali et le Sénégal sont dans la mise en œuvre du projet depuis 2007, bien que plus opérationnel depuis 2008. Avec les différents domaines de spécialisation, leurs objectifs communs à atteindre leurs domaines prioritaires spécifiques n'ont pas été liés à l'orientation régionale en raison de lacunes dans l'information et de la communication. Leurs domaines d'action prioritaires sont: les céréales au Ghana, les racines et tubercules, au Mali, le riz et le Sénégal, les céréales. En tant que tel, il n’a pas assez d'engagement des pairs entre les scientifiques et chercheurs. Cela n’offre pas aux acteurs la possibilité de se lier et de s'engager dans une perspective régionale ainsi que le grand public.

2. Manque de structures fonctionnelles

Les indications à partir des résultats montrent également qu'il existe une capacité insuffisante en raison de non mise à jour ou de l'absence de structure fonctionnelle qui prend en charge la libre circulation de l'information et l'échange au sein des organisations et entre acteurs. Certains ont des systèmes Internet dysfonctionnels ou d'une structure de communication insuffisante de sorte qu'il y existe un moyen irrégulier de communications et les acteurs comptent notamment sur les forums régionaux ou des réunions nationales pour comprendre le fonctionnement et les besoins de leurs pairs. Cela a privé les parties prenantes de la possibilité de se lier, de s'engager, et participer dans le projet global à la fois aux niveaux national et régional.

Aussi bien au niveau régional et national, il ya une utilisation limitée des TIC aux fins du projet et ce qui semble d'usage courant dans tous les domaines est le téléphone portable que les agriculteurs dans certaines régions isolées de ces pays utilisent déjà pour les prix des produits de base. La technologie est essentielle dans le projet parce qu'il permet aux chercheurs d'améliorer les variétés culturales et de travailler sur de nouveaux produits. L’utilisation de l'Internet, sites Web et des systèmes d'information permettra la libre circulation d'information et des forums interactifs dans lesquels les acteurs peuvent s'engager. Cela comprend l'utilisation d'un portail Web ou système d'information au niveau régional dans lesquels les acteurs de chaque pays peuvent avoir accès, soit directement ou par l'intermédiaire de leurs unités de coordination. Cela implique aussi des portails web au niveau national avec accès à ses membres spécifiques et un accès et interactionnel avec les pairs ou d'autres membres. Cela renforcera les liens les uns avec les autres, mais aussi être très utile pour les agriculteurs qui peuvent accéder à travers le système à leur téléphone mobile.

3. Attitudes, valeurs et croyances

Les valeurs, les attitudes et les croyances des acteurs, varient à tous les niveaux. Étant donné le large spectre du projet y compris les différentes origines culturelles et nationales, les niveaux d'engagements et d’opérations, le projet réunit un large éventail de différence. Des interviews avec les différents représentants des acteurs de différents niveaux montrent cependant une banalité générale de l'objet en voulant mettre en œuvre le projet PPAAO et une volonté de participer aux différents niveaux.

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Il existe cependant un besoin de plus d'appréciation pour le concept d'intégration régionale à tous les niveaux car il ya des indications que les parties prenantes travaillent plus du point de vue national que régional, ce qui contrarie un peu la perspective régionale dans son ensemble, mais commune visée. Cela signifie que les intervenants n'ont pas l'occasion d'apprécier les défis liés aux questions régionales comme la réglementation des différents pays et les lois ou les normes que les différents pays utilisent pour le matériel scientifique en matière de droits de propriété..

Les acteurs ont également adaptent les perceptions à l'égard de la façon dont ils sont habitués à travailler et se rapportant à d'autres parties prenantes. Le projet met en avant des processus participatifs pour que les intérêts des agriculteurs et les besoins soient prioritaires et pour que le travail de recherche soit guidé par les besoins des agriculteurs.

“Un acteur a déclaré :"Nous devons travailler dur à changer cette perception parce que les scientifiques font des recherches pour leur propre intérêt ou publient des articles qui ne peuvent pas être étroitement liée à ce qui se passe sur le terrain’’.

4. Formation et renforcement des capacités

Les compétences sont nécessaire pour la génération et la diffusion de technologies améliorées et l'utilisation des TIC, des systèmes d'information sur Internet qui sont tous nécessaires pour le flux de communication et d'échange d'informations. Les experts agricoles ont besoin de formation tant pour les doter des compétences nécessaires à leur domaines d'expertise, mais aussi d'améliorer le flux de communication au sein du PPAAO. Les nouvelles technologies doivent être diffusées, de façon à ce que les agriculteurs et les agents de vulgarisation les trouvent facile à comprendre.

Dans tous les pays PPAAO, une structure à travers laquelle un service de vulgarisation est utilisé pour établir des liens avec les agriculteurs par le biais d'écoles d'agriculture et des champs de démonstration (écoles) a été utilisée pendant une longue période. Toutefois, les acteurs dans le service de vulgarisation à travers la région PPAAO n'ont pas de compétences et des ressources adéquates et ont besoin de renforcement et d'engagement pour travailler efficacement avec les agriculteurs. Ils auront besoin de nouvelles compétences pour l'utilisation des TIC afin d’être en mesure de travailler en étroite collaboration avec les agriculteurs, si la proposition d'utiliser le système de téléphonie mobile est installé et relié à une plateforme ailleurs dans leur localité. Tout aussi important, le service de vulgarisation doit être mis à jour et de personnel formé pour pouvoir utiliser les nouvelles technologies en toute simplicité afin qu'ils puissent transmettre les connaissances aux agriculteurs. En Côte d'Ivoire, par exemple, les insuffisances créées par les troubles politiques et économiques ont entraîné une perturbation des programmes de formation pour le personnel agricole, notamment ceux du service de vulgarisation, les agriculteurs et les cadres supérieurs de l'agriculture qui ont besoin pour de ceux qui ont pris leur retraite.

Les agriculteurs ont également besoin de familiarisation et de formation pour l'utilisation de certaines applications de téléphonie mobile nécessaires à l'information agricole, les nouvelles technologies et des transformations des produits de base.

Les journalistes ne sont pas bien formés pour apprécier les spécialisations comme le paradigme de journalisme de développement ou la perspective d'intégration économique et régionale. Il est

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nécessaire de renforcer les capacités des médias pour que les journalistes puissent apprécier le concept d'intégration régionale et le journalisme de développement.

Les membres du PPAAO ont également besoin d'une formation pour apprécier les perspectives d'intégration régionale et sur l'utilisation des médias afin qu'ils puissent savoir comment traiter des relations avec les entreprises et les médias.

5. Paysage médiatique

ya une couverture générale limitée et une attention accordée aux questions de l'agriculture, de l'environnement ou de développement. La force motrice derrière la plupart des médias en Afrique de l'Ouest est typiquement politique afin que les nouvelles à voir avec l'agriculture ou dans un domaine connexe captent souvent l’attention l'attention seulement lorsqu’ il ya une crise alimentaire, des scandales financiers liés à l'alimentation ou lorsque les nouvelles sont perçues comme étant une question d'affaires. Cela signifie que des nouvelles sur l'agriculture ne sont jamais appréciées pour ce qu'elles sont ou l'attention qu'elles méritent.

Certains propriétaires de médias sont des politiciens, par exemple, au Nigeria, où certains journaux ou maisons de presse préconise un agenda politique spécifique et exerce une influence. En tant que tel, l'agriculture et le développement qui sont des questions qui recoupent occupent une place insignifiante dans la couverture des nouvelles, sauf si elles contribuent à ce programme. La télévision et la presse écrite ont une couverture limitée bien qu'il y ait de légères différences d'un pays à l'autre.

La radio est très populaire partout, en particulier dans les zones rurales. Elle est d’une grande utilité aussi pour les programmes liés à l'agriculture dans les stations FM qui diffusent des émissions en anglais et en français et en langues locales. Certaines stations situées dans les centres urbains ont aussi une station sœur dans les zones rurales qui diffuse des programmes similaires et d'autres dans les langues locales. Ceci est particulièrement utile dans les communautés rurales dont certaines ne sont pas alphabétisées et peuvent de ce fait accéder à l'information sur l'agriculture ou de toute autre information.

Dans toute la région Afrique de l'Ouest, les journalistes sont mal payés et veillent à s’assurer que leurs articles/récits sont publiés en couvrant ce qui est plus en demande. En conséquence, beaucoup se concentrent principalement sur la couverture de la politique pour s'assurer que leur travail est publié, donc payé pour les articles qu'ils écrivent.

Bien que la pratique courante est pour eux d'assister à des fonctions nouvelles, il ya une tendance et un modèle qui indiquent que ceux qui les invite doivent payer pour leur présence ou leur transport à la fonction. Cela compromet souvent l'éthique des médias, mais est une réalité pratique qui permet aux hôtes de fonctions de prendre des dispositions pour amener les journalistes à leurs fonctions s'ils veulent une couverture.

6. Barrière lingistique: français-anglais La différence de l’anglaise et du français est une réalité connue des acteurs du WAAPP/ PPAAO. Alors que la diversité leur donne une excellente occasion d'interagir et de participer, certains membres estiment la question linguistique un obstacle à l'engagement libre et significatif et à la réalisation de l'objectif complet des flux d'informations régionales. Jusqu'à présent, le site Web du CORAF est en français ce qui signifie que les membres anglophones n'ont pas accès à

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l'information. Il ya certainement un besoin procédural d’avoir des sites Web au niveau national et institutionnel dans les deux langues afin que les membres et le public puissent librement accéder aux informations sur le projet.

7. Conclusion

Le volet communication est un atout majeur pour le WAAPP/PPAAO en ce qu'il complète ses objectifs d'intégration régionales des pays membres et de réaliser des gains grâce à la croissance économique. La diversité du projet exige que les pays et les parties prenantes, indépendamment de leurs différences, alignent leurs priorités nationales et institutionnelles et les valeurs avec les celles régionales.

Le fil conducteur qui traverse cette diversité est la communication. C'est un atout qui peut être utilisé pour créer la compréhension et le soutien des objectifs du projet, renforcer l'appropriation, la participation et la banalité de l'objet et de sensibiliser les publics internes et externes. Cela va créer un environnement qui permet aux acteurs de s'engager et se sentir partie. Cela va créer un sentiment de confiance et aider les acteurs à se l’approprier et à travailler à la réalisation des objectifs du projet. Les pairs de la recherche doivent s’associer et se défier et les unités et la coordination doivent communiquer régulièrement entre elles en vue de partager des connaissances et des informations concernant leurs chapitres respectifs. Les agriculteurs, les producteurs et les agents de vulgarisation doivent participer activement et sentir le besoin d'apporter des changements grâce à l'utilisation des TIC et des nouvelles technologies.

Date post:	17-Oct-2020
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