T H É Â T R E N A T I O N A L D E N I C E
C E N T R E D R A M A T I Q U E N A T I O N A L N I C E C Ô T E D ’ A Z U R
D I R E C T E U R D A N I E L B E N O I N · W W W . T N N . F R
P R O M E N A D E D E S A R T S 0 6 3 0 0 N I C E · T 0 4 9 3 1 3 9 0 9 0T H E A T R E
N AT I O N A L
D E N I C E
CLUB 35PARTENAIRE DU TNN
CONSEIL GÉNÉRALALPES -MARIT IMES
Provence-Alpes-Côte d’Azur
Région
GODOTen attendant
9 > 23 oct
Samuel Beckett > Paul Chariéras > Création TNN
S a l l e M i c h e l S i m o n
2 0 1 3 >20 1 4
Contact presse >>> Astrid Laporte > [email protected] > Tél. 04 93 13 90 90 / 06 76 97 05 69
d o s s i e r d e p r e s s e
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Cré�ation TNN
Samuel Beckett
Mise en scè�ne >>> Paul Charié�ras
Avec
Estragon >>> Paul Charié�ras
Vladimir >>> Frédé�ric de Goldfiem
Pozzo >>> Laurent Chouteau
Lucky >>> Samuel Chariéras
Scénographie et lumière >>> Jean-Pierre Laporte
Effets sonores >>> Guillaume Pomares
Assistante à la mise en scène >>> Emmanuelle Duverger
Stagiaires à la mise en scène >>> Jannick Farrugia, Valentine Bernardeau
Stagiaire à la scénographie >>> Lisa Cousin, Manon Arestan
Production >>> Théâ�tre National de Nice - CDN Nice Côte d’Azur
Texte publié aux Éditions de Minuit
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GODOTen attendant
Représentations salle Michel Simon mardi et jeudi à 20 h, mercredi, vendredi, samedi à 21 h, dimanche à 15 h 30
”Vous me demandez mes idé�es sur En attendant Godot et en mê�me temps mes
idé�es sur le théâtre. Je n’ai pas d’idé�es sur le théâtre. Je n’y connais rien.
Je n’y vais pas. C’est admissible. Ce qui l’est sans doute moins, c’est d’abord,
dans ces conditions, d’é�crire une piè�ce, et ensuite, l’ayant fait, de ne pas avoir
d’idé�es sur elle non plus. C’est malheureusement mon cas. Je ne sais pas qui
est Godot. Je ne sais mê�me pas, surtout pas, s’il existe. Et je ne sais pas s’ils
y croient ou non, les deux qui l’attendent. Les deux autres qui passent vers la
fin de chacun des deux actes, ç�a doit ê�tre pour rompre la monotonie. Tout ce
que j’ai pu savoir, je l’ai montré�. Ce n’est pas beaucoup. Mais ç�a me suffit, et
largement. Je dirai mê�me que je me serais contenté� de moins. Quant à� vouloir
trouver à� tout cela un sens plus large et plus élevé�, à� emporter aprè�s le
spectacle, avec le programme et les esquimaux, je suis incapable d’en voir l’inté�rê�t.
Mais ce doit ê�tre possible. ”
>>>Samuel Beckett Lettre à� Michel Polac - Janvier 1952
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Note d’intention>>>
En attendant Godot est la pièce de théâtre la plus jouée au monde, c’est LA grande pièce métaphysique
du XXème siècle, mais s’arrêter à cette simple analyse serait réducteur de son autre dimension, poétique et
furieusement comique.
Beckett n’a pas écrit une pièce mais une partition, qu’il faut prendre dans sa globalité : le livret et la
musique. Tenter de séparer l’un de l’autre reviendrait à en dénaturer l’esprit et ferait perdre à l’œuvre toute
sa force.
Aborder cette pièce aujourd’hui, c’est se couler dans la contrainte du cadre dessiné par l’auteur, dans son
univers, dans sa musique des mots, ponctuée de silences rythmés ; c’est en respecter chaque détail
indispensable à la dimension sensible de Beckett.
La liberté du metteur en scène naît justement du carcan de cette contrainte.
>>>Paul Chariéras
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La pièce>>>
Dans un souci maniaque de vouloir classifier, codifier, on a cherché à faire entrer le théâtre de Beckett
dans la case ”théâtre de l’absurde” : rien de plus absurde ! Beckett ce n’est pas le théâtre de l’absurde,
c’est le théâtre du vide, du silence, du crépuscule, de la mort qui rôde, de l’anéantissement présent.
En 1948, quand il écrit cette pièce, nous sommes au sortir de la guerre, l’humanité a touché l’apocalypse :
Hiroshima, Nagasaki, la shoah...
Beckett, dans cette atmosphère, écrit l’histoire de deux clochards célestes, sans doute à cause de sa
fascination pour les clowns comme Laurel et Hardy, Buster Keaton dans le rôle de Lucky et pourquoi pas
W. C. Fields dans celui de Pozzo.
Ainsi donc commence la pièce : deux pauvres hères, Vladimir et Estragon, deux errances au bord d’un
“plateau“ (référence au plateau de théâtre bien sûr) dans un lieu de désolation avec pour seul horizon un
arbre, ou plutôt un ersatz d’arbre. Ils n’aspirent qu’à l’immobilité, alors ils voyagent en rêve, s’inventent
des histoires, des jeux, des dialogues pour faire semblant, pour passer le temps. Vladimir et Estragon ne
sont pas, ils jouent à..., se mettent en représentation pour avoir le sentiment d’exister.
Le temps, c’est le cancer qui les ronge, ils en ont perdu jusqu’à la notion : “Quel jour sommes-nous ?
Lundi, jeudi ou vendredi ?“ On ne sait plus, alors Godot est le recours, celui à qui on se réfère, qui autorise
l’espoir, qui viendra demain ou après-demain...
Mais est-il vraiment ? N’est-il pas le fruit de leur imaginaire ? Là n’est pas l’important, ce n’est pas de savoir
qu’il existe qui compte, mais de jouer à croire qu’il existe, qu’il viendra et nous sauvera (toute allusion à...).
Godot fait parti du Jeu, tout comme Pozzo et Lucky, l’autre couple indissociable, intermède à leur ennui.
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La scénographie>>>
En opposition à l’ascétisme du verbe, en l’absence d’action, d’intrigue, l’espace est structuré autour de
matières concrètes et palpables : du sable noir aussi fin que de la cendre, ce qui reste de la représentation
d’un arbre. L’atmosphère ainsi créée peut faire penser à Pompéi, à l’après d’une explosion thermonucléaire
ou à mes vacances à... pourquoi pas...
Il est à la fois réel et d’une subtile abstraction afin de permettre à chaque spectateur d’en imaginer les
contours.
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Les personnages>>>
La femme est absente, mais la sexualité est présente : la mandragore au pied de l’arbre qui refleurira
l’atteste (eh oui, à force de se pendre...).
Vladimir et Estragon sont les deux protagonistes d’une histoire immobile.
Dans leurs différences ils ne font qu’un, ils n’existent pas l’un sans l’autre. Ils souffrent d’un même mal
mais aux symptômes opposés. L’un, Vladimir, a des problèmes de vessie, l’autre, Estragon, a mal aux pieds ;
l’un interroge son chapeau (melon), l’autre sa chaussure. Ils n’ont rien, ne possèdent rien, leur costume,
qui fut, est usé, élimé, les couleurs en sont passées et portent les traces de combats anciens.
Pozzo et Lucky, l’autre couple d’inséparables. Ils portent en eux une forme de dégénérescence avancée, ils
sont frappés par un mal, un virus qui les ronge et les précipite vers leur fin. Dans la deuxième partie Pozzo
devient aveugle et impotent. Lucky a perdu ce qui lui restait de parole : ce n’est plus qu’un corps émacié
qui tire au bout de sa corde le “maître“ qui a perdu de sa superbe.
Pozzo a un je-ne-sais-quoi de l’ancien monde, un côté vieille France. C’est la figure colonialiste, le maître,
il tient son pouvoir de ce qu’il possède. Il est ventre, mange, boit, fume et jette ses restes à son animal de
compagnie, Lucky. Il est suffisant, veule et d’un humour méchant (W. C. Fields).
Lucky, c’est l’esclave, la figure keatonienne du personnage dans sa représentation stoïque, dramatique et
bien sûr humoristique. C’est la dimension émaciée et sans âge de l’esclavage, de la déshumanisation, de la
soumission et de la révolte silencieuse. À tel point qu’on peut se demander s’il est encore humain, s’il n’est
pas qu’un être hybride, une intelligence artificielle dont le disque dur est endommagé et à qui on peut faire
subir tous les outrages puisqu’il n’a pas d’âme...
Lucky est aussi l’image christique la plus affirmée. Lucky c’est le Christ ou plutôt c’est Keaton qui joue
Lucky qui joue le Christ.
On s’arrête souvent au monologue de Lucky mais c’est échapper à la dimension symbolique du personnage,
bien plus révélatrice dans sa corporalité, plus proche de la représentation qu’en fait Maguy Marin dans
May B ou qu’un acteur de Butô portant les valises de Pozzo et toute la tragédie de la condition humaine.
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Quelques photos de répétitions>>>
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>>>Paul Chariéras Metteur en scène, comédien [Estragon]
Depuis 2002, Paul Chariéras fait partie de la troupe de comédiens permanents du Théâtre National de Nice
où il joue dans la plupart des spectacles créés par Daniel Benoin.
Il travaille également avec de nombreux metteurs en scène tels que Pierre Debauche, Saskia Cohen-
Tanugi, Laurent Pelly, Antoine Bourseiller, Daniel Mesguich, Gildas Bourdet, Pierre Pradinas, Alfredo Arias,
Romain Bonnin, Jacques Bellay...
En tant que metteur en scène, Paul Chariéras crée en 2010 un triptyque, Le Théâtre est la poésie de l’espace,
comprenant L’Amateur de Gerardjan Rijnders, Le Fétichiste de Michel Tournier, L’Art du délire ou le délire
de l’art de Antonin Artaud. En 2011, il met en scène, toujours au Théâtre National de Nice, L’Impromptu de
Versailles de Molière, dans lequel il joue le rôle de l’auteur.
Au cinéma, il travaille notamment sous la direction de Myriam Boyer, Christine Carrière et Christophe Barratier.
En 1981, il recoit le Prix de la création au Festival d’Avignon pour sa mise en scène de La Fête des fous.
>>>Repères biographiques depuis 2000
Théâtre (comédien)2012/2103 L’Enterrement [Festen... la suite]
Thomas Vinterberg et Mogens RukovMise en scène Daniel Benoin
2012 Après tout, si ça marche… (Whatever Works) d’après un scénario de Woody AllenLe Roman d’un trader de Jean-Louis Bauer(reprise et tournée)
2011 L’Impromptu de Versailles de Molièremise en scène et rôle de Molière
2010 Des jours et des nuits à Chartresde Henning Mankellmise en scène Daniel BenoinLe Théâtre est la poésie de l’espaceGerardjan Rijnders, Michel Tournier, Antonin ArtaudLe Collectionneur de Christine et Olivier Orban 2009Le Roman d’un trader de Jean-Louis Bauermise en scène Daniel Benoin
2008 Rock’N’Roll de Tom Stoppardmise en scène Daniel BenoinLa Jalousie du Barbouillé / Le Médecin volantde Molière, mise en scène Pierre Pradinas
2007 Faces d’après le film de John Cassavetesmise en scène Daniel BenoinLe Nouveau Testament de Sacha Guitrymise en scène Daniel BenoinAmphitryon de Molièremise en scène Romain Bonnin
2006 L’Heureux Stratagème de Marivauxmise en scène Gildas BourdetLa Cantatrice chauve de Eugène Ionescomise en scène Daniel Benoin
2005 Actes de Tchekhovd’après plusieurs pièces de Tchekhovmise en scène Daniel Mesguich
Mère et fils, divers auteursmise en scène Alfredo AriasMaître Puntila et son valet Matti de Bertold Brechtmise en scène Daniel Benoin
2004 Le Bagne de Jean Genetmise en scène Antoine Bourseiller George Dandin de Molieremise en scène Jacques Bellay Avant l’éclipse d’après les Récits de Tchekhovmise en scène Sophie Duez
2003 Dom Juan de Molièremise en scène Daniel Benoin
2002 Festen de Thomas Vinterberg et Mogens Rukovmise en scène Daniel BenoinCage d’après Kafkamise en scène Jacques Bellay
2001 L’Avare de Molièremise en scène Daniel Benoin
2000 L’Amateur de Gerardjan Rijndersmise en scène Louis BonnetLe Baril de poudre de Dejan Dukowskimise en scène Louis Bonnet
Théâtre (metteur en scène)2011 L’Impromptu de Versailles de Molière2010 Le Théâtre est la poésie de l’espace
Gerardjan Rijnders, Michel Tournier, Antonin Artaud2006 Ma Secrétaire de Boris Le Roy2004 Gurs : une tragédie européenne de Jorge Semprun
co-mise en scène avec Daniel Benoin
Ciné�ma2008 Faubourg 36 de Christophe Barratier2000 Qui plume la lune de Christiane Carrière
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>>>Samuel Chariéras [Lucky]
Élève de l’Atelier de théâtre du TNN (professeur Cyril Cotinaut), Samuel Chariéras a joué dans L’Amateur de
Gerardjan Rijnders (Triptyque Le Théâtre est la poésie de l’espace mis en scène par Paul Chariéras, 2010)
dont il a réalisé la création musicale, et dans L’Impromptu de Versailles de Molière (mise en scène
Paul Chariéras, 2011).
>>>Laurent Chouteau [Pozzo]
Formé à l’École du Centre Dramatique National de Saint-Étienne (promotion 87/89), Laurent Chouteau
s’engage ensuite dans une recherche sur la voix (plusieurs stages sur la voix parlée et chantée avec Zygmunt
Molik de 1991 à 2001, et formation de pneumaphoniatre avec Serge Wilfart en 2008/09) et suit depuis 2006
des formations de clown avec Sandrine Gélain (Cie des Voyageurs debouts). Il collabore avec de nombreux
metteurs en scène dans le domaine du théâtre et de la comédie musicale, dont Nathalie Royer (Gogo de
Sophie Lannefranque), Jacqueline Bœuf (Les Dix Petits Nègres d’après Agatha Christie), Jean Paul Wenzel,
(La Strada de T. Pinelli) Andonis Wouyoukas (Hecube d’Euripide), Béatrice Bompas (La Tempête de
Shakespeare), Isabelle Ronayette (On ne badine pas avec l’amour de Musset) et plusieurs spectacles avec
la compagnie Maintes et une fois. Il a joué au TNN la saison dernière dans Médée de Corneile, mise en scène
Paulo Correia.
Il anime depuis dix ans des stages de voix, clown et gestion du corps auprès de publics particuliers.
Il travaille au cinéma et la télévision sous la direction d’Éric Guirado, José Giovanni, Germinal Alvarez et
Philippe Muyl.
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>>>Frédéric de Goldfiem [Vladimir]
Formé à l’École du Centre Dramatique National de Saint-Étienne (Direction Prosper Diss, Lucien Marchal,
Philippe Morier-Genoud) Frédéric de Goldfiem a joué, sous la direction de Daniel Benoin, dans Rock’N’Roll
de Tom Stoppard (TNN 2008), Faces d’après John Cassavetes (TNN 2007), La Cantatrice chauve de Ionesco
(TNN 2006), Maître Puntila et son valet Matti de Bertolt Brecht (TNN 2005), Dom Juan de Molière (TNN
2003), Festen de Thomas Vinterberg et Mogens Rukov (rôle de Christian, le fils, TNN 2002>03>04), Manque
(Crave) de Sarah Kane (2000>01). Il a également été dirigé par Frédéric Rey (La Célébration du lézard,
inspiré de l’univers de Jim Morrison, créé au Centre Culturel de La Providence en 2012), Linda Blanchet
(Making of de Claire Legendre, TNN 2009), Pierre Pradinas (La Jalousie du Barbouillé/ Le Médecin volant
de Molière, TNN 2008), Romain Bonnin (Amphitryon de Molière, TNN 2007), Gildas Bourdet (L’Heureux
stratagème de Marivaux, TNN 2006), Marie-Jeanne Laurent (Autour de ma pierre il ne fera pas nuit de
Fabrice Melquiot, 2004>05), Jean-Christophe Mast (Fairy queen d’après Shakespeare, 2004), Antoine
Bourseiller (Le Bagne de Jean Genet, TNN 2004), Krzysztof Warlikowski (Le Songe d’une nuit d’été de
Shakespeare, TNN 2003), Anne-Marie Lazarini (Ici ou ailleurs de Robert Pinget, 2001>02), Jacques Bellay
(Moi, Feuerbach de Tankred Dorst, 2000), Robert Cantarella (Du matin à minuit de G. Kaiser, mise en scène
Robert Cantarella, 2000), Dusan Jovanovic (Lorenzaccio d’Alfred de Musset, 1999).
En tant que metteur en scène, il a créé Dissonances Freud (TNN 2013), Macbeth de Shakespeare (TNN 2009),
Dissonances Mozart (2008), Norway Today de Igor Bauersima (TNN 2006), Itinérants éphémères.52,
spectacle itinérant, écriture et mise en scène, Tita Lou de Catherine Anne (2005), J’étais dans ma maison
et j’attendais que la pluie vienne de Jean-Luc Lagarce (TNN 2004), Attache-moi d’après le film de Pedro
Almodovar (TNN 2004), Disco Pigs de Enda Walsh (TNN 2002), Hamlet de Shakespeare (2000>01),
www-woyzeck e.com d’après Georg Büchner (1999).
Au cinéma, il a joué dans Une affaire de goût, réalisation Bernard Rapp (1999), et a participé à l’exposition
35 h au Centre d’Art d’AubervillIers (2005).
>>>Location
Tél. 04 93 13 90 90
du mardi au samedi inclus de 14 h à 19 h
sur place, par téléphone
ou sur le site www.tnn.fr
>>>TarifsPlein tarif : 24 €
Tarif réduit* : 18 €
* (- 25 ans, étudiants, seniors, chômeurs)
>>>ContactsPresse >>>Astrid Laporte
Tél. 04 93 13 90 90 / 06 76 97 05 69
Informations >>>Dominique Buttini-Chasles
Tél. 04 93 13 90 90
Relations publiques >>>Agnès Mercier
Tél. 04 93 13 36 26
Théâtre National de Nice
Promenade des Arts 06300 Nice
Tél. 00 33 [0]4 93 13 90 90
Fax 00 33 [0]4 93 13 79 60
www.tnn.fr
>>>Calendrier des représentations
Salle Michel Simon
Mercredi 9 octobre • 21 h
Jeudi 10 octobre • 20 h *
Samedi 12 octobre • 21 h
Dimanche 13 octobre • 15 h 30
Mardi 15 octobre • 20 h
Mercredi 16 octobre • 21 h
Jeudi 17 octobre • 20 h
Vendredi 18 octobre • 21 h
Samedi 19 octobre • 21 h
Mardi 22 octobre • 20 h
Mercredi 23 octobre • 21 h
* Rencontre avec l’équipe artistique
à l’issue de la représentation salle Michel Simon
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Autour de...
Table ronde”De Beckett à Godot”
> En présence de l’équipe artistique
> Présentation d’un extrait de la pièce
> Débat autour de l’œuvre
> Choix dramaturgiques de mise en scène
> Entrée libre
Mercredi 25 septembre à 15 hSalle Michel Simon