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Sm qcouleurmaquette n°27 def internet saint marc 10

Date post: 21-Jun-2015
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Saint-Marc: un bouquet d’IRIS "De quel quartier êtes-vous ?" demande-t-on parfois à un Brestois : Bellevue, Europe, Saint-Pierre, Lambé, Saint- Marc, Quatre-moulins, etc. Il y en a des quartiers, à Brest ! "De quel quartier êtes-vous ?" demande toujours un Saint-Marcois à un autre Saint-Marcois. "Pilier Rouge ? Forestou ? Guelmeur ? Kéruscun ? Le Bot ? Bourg ? Petit-Paris ?". Il y en a des quartiers, dans le quartier de Saint-Marc ! Avec chacun sa spécificité immobilière, com- merciale et paysagère. A chacun quelques caractéris- tiques bien marquées: environnement semi-rural pour les uns, plus urbain pour les autres; commerces de proximité pour les uns, mini-déserts sans boulangerie pour les au- tres; ouverture sur la rade de Brest pour les uns, sur le centre ville pour les autres, sur l’est de la ville en bordure de Guipavas pour d’autres encore. Ce sont ces différences et ces complémentarités qui colo- rent le quartier, qui lui donnent son charme. À ce découpage traditionnel du quartier, vient s'adjoindre celui de l'INSEE : les IRIS. C'est une façon d'étudier dans le détail, selon des Indicateurs socio-démographiques, les populations des villes de plus de 10 000 habitants : l'on prend pour référence des "îlots" comptant environ 2000 habitants. Ainsi, Saint-Marc est un bouquet de 10 Iris : Le Bot Pont- Neuf, Petit-Paris, Sébastopol, Poul ar Bachet, Forestou, Le Guelmeur bourg, Kérangall/Kérampéré, Ports, Kéruscun. Ces « iris » ont tous un point commun, saint-marcois tout autant que brestois : rues pentues et trottoirs étroits, es- paces verts, immenses arbres bruissants, brises et bises pluvieuses , écoles, patronages et maisons pour tous. Pépinière et jardin à la fois, notre bouquet d’iris est comme cette fleur aux multiples variétés qui comprend 210 espèces et d'innombrables variétés horticoles. L'iris symbolise les bonnes nouvelles. Dans la mythologie grecque, Iris était fille de Thaumos, fils de la Terre. Elle de- vint la favorite de Junon, à laquelle elle n'apportait jamais que de bonnes nouvelles. En récompense de ses ser- vices, elle fut changée en arc-en-ciel, symbole du retour du beau temps. L'iris blanc symbolise l'ardeur; le bleu, la confiance. Les IRIS de Saint-Marc symbolisent sans aucun doute le bien-être. LE SAINT-MARC QUOI? numéro 27 MARS AVRIL MAI 2014 SMQcouleurmaquette N 27 def imprimerie:SAINT MARC 10 18/03/2014 12:12 Page 1
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Page 1: Sm qcouleurmaquette n°27 def internet saint marc 10

Saint-Marc: un bouquet d’IRIS"Dequel quartier êtes-vous ?" demande-t-on parfois à unBrestois : Bellevue, Europe, Saint-Pierre, Lambé, Saint-Marc, Quatre-moulins, etc. Il y en a des quartiers, àBrest !"De quel quartier êtes-vous ?" demande toujours unSaint-Marcois à un autre Saint-Marcois. "Pilier Rouge?Forestou ?Guelmeur ?Kéruscun?LeBot ?Bourg ?Petit-Paris ?". Il y en a des quartiers, dans le quartier deSaint-Marc !Avec chacun sa spécificité immobilière, com-merciale et paysagère.Achacunquelques caractéris-tiques bienmarquées: environnement semi-rural pour lesuns, plus urbain pour les autres; commerces de proximitépour les uns,mini-déserts sans boulangerie pour les au-tres; ouverture sur la rade deBrest pour les uns, sur lecentre ville pour les autres, sur l’est de la ville en borduredeGuipavas pour d’autres encore.Ce sont ces différences et ces complémentarités qui colo-rent le quartier, qui lui donnent son charme.

À ce découpage traditionnel du quartier, vient s'adjoindrecelui de l'INSEE : les IRIS. C'est une façond'étudier dansle détail, selon des Indicateurs socio-démographiques, lespopulations des villes de plus de 10 000 habitants : l'onprendpour référence des "îlots" comptant environ 2000habitants.

Ainsi, Saint-Marc est un bouquet de 10 Iris : LeBot Pont-Neuf, Petit-Paris, Sébastopol, Poul ar Bachet, Forestou, LeGuelmeur bourg, Kérangall/Kérampéré, Ports, Kéruscun.Ces « iris » ont tous unpoint commun, saint-marcois toutautant que brestois : rues pentues et trottoirs étroits, es-paces verts, immenses arbres bruissants, brises et bisespluvieuses , écoles, patronages etmaisons pour tous.Pépinière et jardin à la fois, notre bouquet d’iris estcommecette fleur auxmultiples variétés qui comprend210 espèces et d'innombrables variétés horticoles.L'iris symbolise les bonnes nouvelles. Dans lamythologiegrecque, Iris était fille de Thaumos, fils de la Terre. Elle de-vint la favorite de Junon, à laquelle elle n'apportait jamaisque de bonnes nouvelles. En récompense de ses ser-vices, elle fut changée en arc-en-ciel, symbole du retourdubeau temps.L'iris blanc symbolisel'ardeur; le bleu, laconfiance.

Les IRIS deSaint-Marcsymbolisent sans aucundoute le bien-être.

LE SAINT-MARC QUOI?numéro 27

MARSAVRILMAI2014

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Votre journal est éditésur papier recyclé.Imprimé à Brest

Afin d’animer le quartier deSt-Marc, le collectif “Saint-Marc en fête” propose tout aulong de l’année diverses ani-mations. Ce comité est ouvertà toutes les personnes inté-ressées à participer à la ré-flexion et à la mise en oeuvredes projets.Contact : 02 98 00 85 78

LA MAIRIEServices ouverts au

publicdu lundi au vendredi

8h30 - 12h0013h30 - 17h30

samedi9h00 - 12h00

État civilDomaine Public

Cimetière(concession)

Inscription aux écolesCartes de transports

Tarifs spéciauxRecensement

Liste électorale...

La période de validitédes cartes d’identitépasse de 10 à 15 ans

LES MARCHÉS

Saint-Marc :mardi matin

Pilier-Rouge :mardi et vendredi

matin

Page 2LE SAINT-MARC QUOI ?

N° 27

C'est le lundi 24 février, qu’unemanifestation s’est déroulée pour la déno-mination de l'espace vert situé devantl'église de Saint-Marc. Il devient « jardinKristen Noguès », du nom de la brillantecompositrice et chanteuse, décédée àl'âge de 52 ans le 5 juillet 2007.Le musicien Jacques Pellen, compagnonde l'artiste et le maire François Cuillandreont dévoilé la plaque honorant l'engage-ment et la mémoire de la Brestoise.Kristen Noguès, née à Versailles était unemusicienne et compositrice française d'ori-gine et de culture bretonne, qui fut, selonBertrand Dupont, « la plus brillante com-positrice bretonne ».Durant son enfance en Île-de-France,elle démarre par l'apprentissage dupiano, la harpe celtique n'étant pas pro-posée aux débutants elle suit les coursde harpe bien plus tard. Au début des an-nées 1960, elle entre dans la Telenn Blei-mor, grâce à la popularisation del'instrument par Alan Stivell. De retour enBretagne à 21 ans, elle apprend leschants traditionnels bretons auprès deYann Poëns et dans les fest-noz, ainsi quedes ballades traditionnelles. Sa voix desoprane s'harmonise merveilleusementavec les sons de sa harpe.De 1973 à 1985, elle participe à la coopé-rative Névénoë avec Patrick Ewen et Gé-rard Delahaye. Au début des années 1970elle débute sa carrière solo. Dès 1974, ellesort un premier 45 tours, puis un secondl'année suivante, puis un 1er album . Ellecollabore avec Jacques Pellen,Jacky et Patrick Molard, Didier

Squiban, Didier Lockwood, ÉrikMarchand, Gildas Boclé.... Sescréations sont diverses ; compo-sition d'albums, musiques pourenfants, musiques de film (Finisterrae de Jean Epstein) mise enmusique de contes, poèmes,

spectacles de danse…On la retrouve surscène en solo, en groupe, ainsi que dansle cadre collaboratif de la Celtic Proces-sion. Elle joue beaucoup avec des jazz-men comme son compagnon JacquesPellen.Dans la salle des mariages se sont dérou-lées les allocutions devant de très nom-breux parents, amis, élus. Jean-BernardVighetti, président du Conseil culturel deBretagne et ancien directeur artistique duFestival rennais « Les Tombées de laNuit » a rappelé ses nombreuses partici-pations fabuleuses à ces manifestationsrennaises et souligné le grand talent de

l'artiste. Le maire lui asuccédé en indiquantque « la ville de Brestpoursuit sa politiqued’hommage enverscelles et ceux qui sesont distingués au

cours de leur vie par leur implication auservice des autres et qui ont contribué àconstruire une ville plus ouverte et soli-daire ». Il a également insisté sur lesgrandes qualités de compositrice de lamusicienne « trop tôt disparue ». Soncompagnon Jacques Pellen, très ému, aremercié toutes les personnes présentesavant que ne commence un mini concertde harpes, mar-quant la volonté dela ville de rappelercombien cet instru-ment correspondaità Kristen Noguès.

“Le Saint-Marc Quoi ?” est en dépôt chez les commerçants du quartier que nous remercions pour leur soutien. Vous pouvez, cherslecteurs, nous proposer des articles, nous donner des informations saint-marcoises.

courriel : [email protected]

page 2vie dequartier

Fleurissonsnotrequartier

À noter dansvos agendas

page 3En quelquesmots

Billet d’humeurbillet d’humour

Entraide

Réseauvoisinâge

page 4RencontreInterview

Interview

Quartier enchansons

page 5Savoir !

AnnedeBretagne

SouvenirsLe saviez-vous

page 6Evènements

Saint-Marcs’anime

page 7ActionsAssos

Festi-sport

Festi-ados

page 8

ViepratiqueLa recette duSaint-MarcQuoi?

Parlonsbreton...

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Depuis une dizaine d'années leréseau Voisin'âge s'est déve-loppé dans notre quartier avecl'aide de quelques bénévoles,Marie-Jo, Marie-Claire, Jeanne-Marie et les autres.

Il s'agit d'accompagner des personnes isolées et de les faireparticiper à des activités. Un dimanche par mois, c'estle Ciné-Café qui rencontre un grand succès avec des films ré-cents. La Maison pour Tous du Guelmeur est devenue unlieu convivial de rencontres et d'échanges, un rendez-vousque l'on ne manquerait pas ! Des boissons chaudes et des pe-tits gâteaux y sont servis par l'équipe de bénévoles.C'est là aussi que se tiennent les permanences du réseau, les2ème et 4ème vendredis du mois, de 10 heures à midi.Depuis 2013 l'action du réseau Voisin'âge s'étend, en collabo-ration avec la médiathèque du quartier. Des séances de lec-ture à voix haute, suivies de chants sur le même thème, y ontdéjà eu lieu en octobre 2013 et janvier 2014. Elles ont rencon-tré un franc succès. Prochain Bouquin'âge le 15 avril . Là aussiles bénévoles sont présents pour accompagner les personnesà mobilité réduite. De nombreux projets sont en préparation,notamment des mémoires de la Guerre 14-18 en collaborationavec les associations du quartier. Des souvenirs, des photos,des chansons seront échangés lors d'un après-midi à la MPTdu Guelmeur.Pour les personnes qui restent à domicile, des visiteuses sontdisponibles pour passer quelques heures en leur compagnie.

Nous avons besoin de vous pour renforcer nos actions...

Téléphoner à la MPT lors des permanences au 02 98 44 71 85Page 3

LE SAINT-MARC QUOI ?N° 27

Nos amis les chiens ?

Il suffit de se poster prèsdes espaces verts et jar-dins publics dans le péri-mètre formés par les ruesJacques Cartier, GeorgesMelou, Joseph le Brix,d’Estrée, Lacordaire, etc..).pour constater que certainsmaîtres sont peu exigeantsavec leur animal de com-pagnie. La balade quoti-dienne de nos amis leschiens leur est certes indis-pensable. Cependant, l’at-titude de quelquespropriétaires laisse souventperplexe. Il n’est pas rarede voir des chiens sanslaisse sur les espaces vertspublics ou privés et d’yconstater de très nom-breuses déjections ca-nines.Si vous voyez un chiensans laisse, la crotte queson maître ne ramassepas, soyez vigilants. Unconstat : sur 20 maîtres endéfaut, auxquels ont étéadressés des remarquesorales dernièrement, 13maîtres ont gardé le silenceet continué leur chemin ; 5ont haussé les épaules etrépondu insolemment ouinsulté ; 2 ont ramassé l’en-combrant colis.Un autre constat : dans lebas du quartier du Guel-meur ( rues Jacques Car-tier, Lacordaire, Joseph LeBrix, Estienne d’Orves) lesimmeubles sont tous privéset disposent d’une pelouseen copropriété. Les mai-sons ont toutes un petit es-pace privatif. Donc, si lesmaîtres permettaient à leurcher toutou de faire leursdéjections sur leur propreterrain, les crottes seraientmoins nombreusessur les pelouses d’au-

trui, les trottoirs et jardin pu-blic… Mais, c’est manifes-tement plus pratique defaire un « crottoir » chez lesautres que chez soi ! Demême , malgré le portilloncomme celui à l’entrée dujardin public du Guelmeur,il n’est pourtant pas rare devoir chien et maître sur lapelouse !Et ne nous trompons passur l’origine des déjectionscanines, ce ne sont pas lesmaîtres de chiens du bourgou de Kéruscun qui vien-nent promener leurs ani-maux au Guelmeur !La prévention n’apportantpas suffisamment de résul-tats, certaines villes ontappliqué un arrêté munici-pal qui prévoit une amendede 1ère classe aux maîtresqui ne ramassent pas lesdéjections canines sur lesespaces publics et ce, en

référence à l’article 99.2 ali-néa 1 du Règlement Sani-taire Départemental : ilprévoit une amende de3ème classe.Sur le domaine privé, celapeut se comparer à unedégradation volontaire debien.Selon l’avis de quelqueshabitants du quartier, leschiens sont parfois plussages que certains maî-tres.

...À MÉDITER

Signé :un propriétaire

de chien.BILLET D’HUMEUR

Parlons aupassé simple !

Cette conférence en grec était diffi-cile et cependant je la tins.

Nous avons bien joué les indiens dans ce film etnous nous y plûmes.

Votre chandail était tout pelé, pourquoi le mîtes-vous ?Dans cette bouteille, notre vin fut.

Le directeur nous donna une augmentation et nousla prîmes.

Invité à boire votre bordeaux, je vins....

BILLET

D’HUMOUR

RÉSEAU VOISIN'ÂGE

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N° 27

Pourquoi et comment la MPT enest-elle venue à participer à cetteopération “Quartier en chan-sons”.Nous en parlions entre nous depuispresque deux ans. Le directeur de la MPTconnait Jean-Luc Roudaut et a suivi l’aven-ture musicale que Jean-Luc accompagnaitsur le quartier de Kérangoff. Alors, quand lePEL a proposé un “Quartier en chansons”sur Saint-Marc, cela nous a tout de suite in-téressés. Nous n’étions pas tout seuls àl’être : les autres structures de quartier onttout de suite adhéré au projet. Pour tous,c’était un moyen de tisser des liens entreles structures que sont : Maison Pour Tous,Foyer et Patronage Laïque, CCQ, écoles,maison de retraites, etc.Qui sont les participants chan-teurs? D’où viennent-ils ?C’est un panel très varié. Dès le départ, leprojet s’adressait aussi bien aux enfantsqu’aux adultes de tout le territoire, puisqu’ilétait prévu l’enregistrement d’un CD enfantset d’un CD adulte. Au final, le CD enfants afait participer 9 classes venant de toutes lesécoles du quartier. 160 enfants (dont ceux dupériscolaire) ont travaillé sur les 12 chansonsenregistrées. Le CD adultes, lui, a réuni 150personnes venant de tout le quartier. Entreautres, des mères de famille, des choristes,les Jardiniers du Guelmeur, des assistantesmaternelles. Et dans les concerts, ils sont 60adultes à monter sur scène. Ce n’est pas maldu tout !On dit que chanter ensembletisse des liens. Vous avez pu levérifier ? Vous avez des exem-ples à nous donner ?Oui, je peux dire en effet que rassemblerdes chanteurs sur tout un territoire tisse desliens entre les structures, entre les indivi-dus, entre les structures et les individus.Quartier en Chansons a été porté en com-

mun par les équipements des quartiers :Guelmeur, PLPR, FLSM. Cela a permis decroiser et donc de partager des animationsattachées à cette initiative. Cela à créé dela cohésion et de la cohérence qui a étébien perçue par les participants et même lepublic.Les relations intergénérations se sont bienpassées et ont été très appréciées. Cela aété visible sur la scène du Festival de laSoupe où enfants et adultes chantaient en-semble. Il y a eu aussi des transmissionsorales entre les générations. Je pense auxenfants qui ont fait appel à deux dames,Claude et France, toutes deux versées dansla mémoire de quartier.Et puis, les chansons permettent aussi decroiser différentes expériences.

Justement,elles ont étéécrites parqui, ces chan-sons ?Ce sont desgroupes et desindividuels quiont créé lestextes. Dès

qu’un groupe demandait un coup de mainpour mieux avancer sur une chanson, ilpouvait compter sur la grande réactivité deJean-Luc Roudaut. Très vite, Jean-Lucproposait une musique d’accompagnement.Et le texte évoluait grâce à la musique etréciproquement.Écrire pour ou avec les autres amènent cer-tainement des ouvertures, une nouvelleécoute et aussi une plus grande confianceen soi parfois. Nombreux sont ceux quinous ont confié : “Je suis venu avec monhistoire à moi et vous m’avez accepté telque je suis”.Aujourd’hui, quel bilan tirez-vous deQuartier en chansons ?

Maintenant, on se connaît mieux. Lesconcerts et les multiples rencontres géné-rées par Quartier en Chansons nous onttous enrichis, individuellement comme col-lectivement. Les responsables des struc-tures se sont mis à travailler encore plus encohésion, les participants individuels ont ditavoir pris du plaisir à travailler ensemblesur les enregistrements et les concerts.Au départ, il y avait des gens persuadés dene pas être vraiment capables de chanterou d’écrire. Cette expérience musicale les aconduits à prendre confiance en eux-mêmes. Il y en a qui ont acquis le plaisir dechanter et aussi d’autres qui ont gardé leplaisir d’écrire.Où en est cette aventure musi-cale aujourd’hui ?Nous avions craint qu’elle ne se termine fin2013. Mais en fait, elle continue. Entrestructures, nous nous réunissons tous les 2ou 3 mois pour travailler sur une suite.Dans quelques écoles, des enseignants sesont passé le relai. Ceux qui n’étaient pasdans les classes concernées par les répéti-tions, enregistrements et concerts, se sontportés volontaires pour continuer l’aventuremusicale.Après le grand concert du 12 novembre auMac Orlan, nous avons décidé de faire unetournée dans les équipements de quartier.Cela a commencé le 29 novembre au FLSaint-Marc et s’est poursuivi le 14 décem-

Petits et grands, tous réunis en chanson.En févier 2013, était lancée sur Saint-Marc l’opération Quartier en Chansons.Pour en connaître le bilan et les nouvelles perspectives, nous sommes allés in-terroger Maud Vanden Driessche, la coordinatrice Enfance Jeunesse Famille àla Maison Pour Tous du Guelmeur. La MPT est une des structures partici-pantes, et porteuse de ce projet, via le Projet Éducatif Local (PEL).

INTERVIEWent re TERRE ET MER

VIVONS NOTRE QUARTIERPilier Rouge - Sébastopol - Kéruscun - Poul-ar-Bachet - Forestou - Petit Paris -Kérangal / Kérampéré - Le Guelmeur - Saint-Marc (bourg) - Le Bot / Pont Neuf .

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Les obsèques de Jean Ke-ranguéven ont été célébrées jeudi13 février en l'église de Saint-Marc en présence d'une foule deparents et amis.

Jean Keranguéven repré-sentait une figure saint-marcoisetrès appréciée en particulier au sein du tissus associa-tif. Il est né à Loqueffret puis a passé son enfance auvillage de Saint-Herbot. Il effectue ses obligations mi-litaires en Algérie puis s'engage dans l'armée de terre.Après différentes affectations, il choisit le service desanté après avoir réussi le concours d'officier d'admi-nistration. Affecté à Brest en 1967, à l'hôpital des ar-mées, il y rencontre, Jacqueline, infirmière, sa futureépouse. De leur union naissent deux enfants, Anne etPhilippe. En 1978, la famille gagne Chartres, puisCherbourg, où Jean devient gestionnaire de l'hôpital. Ilest affecté à Brest en 1983, où il occupe les mêmesfonctions à l'hôpital des armées. Il y termine sa car-rière au grade de lieutenant-colonel (ER).

Au service des Saint-Marcois, retraité actif,passionné d'horticulture, de jardinage et de pêche, ils'investit également dans le milieu associatif durantune vingtaine d'années. Il commence en tant qu'admi-nistrateur au sein de l'EHPAD de Kerampéré, puis de-vient président du club de la résidence de Saint-Marc,rue de Verdun. Affaibli par la maladie, il quitte sesfonctions en 2012. Il laissera l'image d'un homme al-truiste, discret et d'une très grande efficacité.

À Jacqueline, à ses enfants et petits-enfants, àtoute la famille, “le Saint-Marc Quoi?” présente sesplus sincères condoléances.

Vie Associative

DD UU CC HH EE SS SS EE AA NN NN EE500 ans d’histoire

Anne de Bretagne, duchesse etreine.Anne voit le jour à Nantes le 25 jan-vier 1477. Le moyen-âge s'estompeet les prémices de la Renaissancecommencent à apparaître. Son père

François II, duc de Bretagne, est le neveu du poète Charles d'Orléans.Sa mère, Marguerite de Foix, lui donne une ascendance hispano-béarnaise étant petite-fille de Gaston de Foix, dit « Phébus ».Le duché breton, indépendant, est très convoité, particulièrement parla « couronne de France ». En 1486 , François II n'a toujours pas d'hé-ritier mâle. Il fait reconnaître par le parlement de Bretagne ses deuxfilles (Anne et Isabault) comme héritières uniques du duché. Deux ansplus tard, les féodaux se rebellent contre le roi Charles VIII. Celui-ciréagit et les Bretons sont vaincus à Saint-Aubin-du Cormier le 28 juil-let.François II disparaît en 1488 et Anne, âgée de 12 ans sera couronnéeduchesse en la cathédrale de Rennes. Elle sera à 13 ans mariée parprocuration à Maximilien d'Autriche, seul prétendant capable de lasoutenir contre le roi de France.Pâques 1491, l'armée du roi assiège Rennes où Anne est réfugiée.Après annulation du mariage avec Maximilien, elle règle la situation enépousant Henri VIII ... un bon moyen d'annexer le duché de Bretagne.Le contrat de mariage stipule que, si Henri décède le premier, sansdauphin, Anne devra épouser son successeur et reprendre son titrede duchesse. Elle sera très affectée par la disparition, à 3 ans, deCharles-Orland, son premier enfant. Il ne lui en restera qu'un portait.De ce mariage, trois autres enfants ne survivront pas.Charles VIII décède accidentellement à Amboise et Anne redevientduchesse. Comme convenu, elle épouse le nouveau roi Louis XII pourqui elle sera sa « brette » (sa bretonne). Heureux à Blois, ils donnentnaissance à deux filles, Claude (future épouse de François 1er) etRenée.Anne effectue un voyage de 5 mois dans son duché en 1505 avecpour objectif premier un pèlerinage à Notre Dame du Folgoët. Elle tra-versera de nombreuses villes et fera un court séjour à Brest, logéedans le donjon du château. Cette étape lui donnera l'occasion de vi-siter son navire-amiral “La Cordelière”. Elle s'éteint à Blois en 1514 .Inhumée à Saint-Denis en tant quereine de France, son cœur rejoint laBretagne selon son souhait. Le reli-quaire appartient à ce jour au musée« Dobrée » de Nantes.Précurseur des temps modernes, ellefut européenne avant l'heure par sesrelations personnelles avec les plusgrands monarques, comme l'exigeaitla diplomatie de Louis XII. Cinq cents ans après sa disparition, elle est devenue, au fil dessiècles, un véritable mythe et le symbole de l'indépendance desBretons.

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N° 27

bre à la MPT, puis le 9 février au PLPR. Le 6 février il y auraune galette des rois pour rassembler tous les acteurs du projet. Aujourd’hui, nous sommes sollicités par les Pompiers le 31 mai,jour fixé pour la levée de fonds pour la recherche contre la mu-coviscidose. Et par la Société Nationale des Sauvetage en Mer.Ce sera en juillet. L’aventure continue pour tous et nous ensommes ravis.

VIVONS NOTRE QUARTIERPilier Rouge - Sébastopol - Kéruscun - Poul-ar-Bachet - Forestou - Petit Paris - Kérangal / Kérampéré - Le Guelmeur - Saint-Marc (bourg) - Le Bot / Pont Neuf .

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P o u r v o u s . . . . S a i n t - M a r c s ’ a n i m eP o u r v o u s . . . . S a i n t - M a r c s ’ a n i m e

Page 6LE SAINT-MARC QUOI ?

N° 27

SOIRÉE SALSA

En novembre 2013, la dernièreanimation organisée par leConseil Consultatif de Quartierde Saint-Marc avec l'aide de l'as-sociation "les Zamis de Zolobé"s'est déroulée au PatronageLaïque du Pilier-Rouge. Am-biance sympathique parmi les140 participants de cette soiréequi affichait complet.

Suite au repas composé notam-ment d'une paëlla préparée par"Max" et servie par les bénévolesdu CCQ,.

Le groupe "Les Tumbaos" a en-traîné les convives dans la salletransformée en piste de dansejusque 1H00. Cette soirée, désor-mais traditionnelle, a été une vé-ritable réussite pour tous. Lesbénéfices de cette soirée était re-versée à l'association "les ZAmisde Zolobé".

VIVRE SA RETRAITE

En avril ne te découvre pas d’unfil, en mai fais ce qu’il te plaît :“Vivre sa retraite à saint-Marc”propose une nouvelle éditionpour 2014. La date provisoire estproposée pour le 27 mai....alorssoyez encore très nombreuxcette année à partager ces bons

mo-ments entre

jeunes et moins jeunesretraités. On y mange, on y chante et on ydanse.

FÊTE DE LA MUSIQUE

En juin c’est la fête de la mu-sique. C’est place Vinet -jardinKristen Noguès- que les groupesde musique se produiront. Tousceux qui souhaitent participer enmusique à cette nouvelle éditionsont les bienvenus, on l’espèresous un ciel clément.

SEPTEMBRE A KERUSKUN

En septembre, la musique re-prend ses quartiers à Kéruscun.Concert pop rock le 13 septem-bre avec buvette...soirée convi-viale et animée assurée.

Cette année cesera le 10ème an-niversaire du fes-tival de la soupe. Cette animationde quar-

tier, devenue incontournable,s’inscrit dans les moments im-portants de l’année. Les participants sont de plus enplus nombreux, les soupes deplus en plus variées, les acteursdes animations de plus en plusimpliqués.Soyons encore plus nombreuxen 2014 au prochain et 10 ème“Festival Saint-Marcois”de la soupe.

Sans oublier, toute l’année, lesexpositions culturelles et artis-tiques.

SALSA - SPO

RT - CULTUR

E

VIVONS NOTRE QUARTIERPilier Rouge - Sébastopol - Kéruscun - Poul-ar-Bachet - Forestou - Petit Paris - Kérangal / Kérampéré - Le Guelmeur - Saint-Marc (bourg) - Le Bot / Pont Neuf .

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Fest'Ado et Festi'Sport :plus de 500 participants

Les samedi 22 et dimanche23 mars, le centre sportifJean Guéguéniat ressemblaità une ruche bourdonnante, à

l'occasion des manifestations proposées: Festi'Ado etFesti'Sport. Deux manifestations proposées par la Fé-dération Sportive et Gymnique du Travail (FSGT), lefoyer laïque de Saint-Marc, des structures socio cul-turelles et des clubs sportifs .Le rendez-vous sportif concernant les ados représen-tait la seconde édition, Festi'sport en était à sa 11 èmebougie. Ce fut un très beau succès, tant sur le planpopulaire que sportif, avec la participation de 130ados le samedi, puis plus de 400 enfants et leurs pa-rents dimanche, répartis à la piscine, dans les diffé-rentes salles et à l'extérieur.Deux fêtes du sport et des associations:Les organisateurs ont deplus inscrit ces festivitésdans le cadre éco-citoyen,où l'objectif était de sensi-biliser tous les participantsaux petites actions écolo-giques du quotidien.Festi 'Ados a permis auxjeunes âgés de 12 à 18 ans de s'initier à une dizainede sports fun, allant de l'escalade à la danse hip-hop,en passant par l'art du déplacement, le handi-basket,la nage avec palmes... “Un régal avec les potes !”, ontaffirmé de nombreux ados.Le dimanche 23 mars, place était donnée aux enfantset à leurs familles. Dès 10 h, le centre sportif était en-vahi. Avec 20 activités sportives, du badminton à lazumba, en passant par le handi-escrime, le floorball,la boxe thaï... les jeunes se sont « régalés », commel'ont souligné plusieurs filles et gars. «Nous avonspassé une très belle journée», ont renchéri les pa-rents, radieux de faire du sport avec les enfants.Ce succès indéniable conforte les organisateurs àpoursuivre sur leur lancée. En février 2014, les deux

manifestations seront recon-duites avec des nouveautés.

Contact. FSGT. Tél. 02.98.47.07.07

Foyer laïque de Saint-Marc.Tél: O2.98.02.14.80.

FESTI ADOS FESTI SPORTS

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N° 27

L’école de Kérisbian a la particularité extrêmement rare voireunique dans le Finistère d’accueillir deux enfants âgés de 5et 8 ans ayant une trachéotomie. À l’origine, une mère de famille souhaitait scolariser son en-fant malade. Grâce à différentes formations et l’aide de l’as-sociation « La Brise », cette mère de famille par ailleursAuxiliaire de Vie Scolaire (A.V.S.), a obtenu les autorisa-tions de la directrice de l’établissement, de l’Éducation natio-nale et de la ville de Brest, pour la scolarisation de son enfantcomme tout autre en bonne santé. Depuis, un deuxième en-fant ayant également une trachéotomie a rejoint l’école. Lemois dernier, l’association saint-marcoise « AEMV Enfantsmalades » a souhaité financer une formation complémentairepour cette auxiliaire de vie scolaire sur le thème des « aspi-rations endo-trachéales ». Zaïd et Maelys, très souriants,sont épanouis au contact des autres élèves et, avec une aideponctuelle de Virginie (A.V.S.) qui pratique le langage dessignes, les deux enfants suivent une scolarité normale à lagrande satisfaction des deux familles. « Une intégration réussie de ces deux élèves différents quiapprennent et jouent avec leurs camarades! ».

Les conseils consultatifs de quartier oeuvrent de-puis près de 12 ans et sont renouvelés tous les 3ans. L’échéance arrive à son terme cette annéedans le calendrier des élections municipales. De

nouveaux conseillers de quar-tier seront appelés à participer àla vie publique, à apporter leurexpertise et faire profiter de leurvie de citoyen.

Nous avons consacré de nom-breuses rubriques à ce CCQ etsommes heureux d’apporternotre contribution à faireconnaître son travail de collabo-ration. Gageons que vous sereznombreux à y participer pour lestrois années à venir.

ENTRAIDEASSOCIATIONS

Le comité de rédaction:

Jeannine Arzur

Patrick Calvez

Eric Cann

J.-Yves Guéguéniat

François Grosjean

Fabrice Mauguen

Françoise Omnès

Albert Sparfel

Marie-France Thomas

Anne Youénou

crédit photo: le StMarc Quoi

RENOUVELLEMENT DES CCQ

VIVONS NOTRE QUARTIERPilier Rouge - Sébastopol - Kéruscun - Poul-ar-Bachet - Forestou - Petit Paris - Kérangal / Kérampéré - Le Guelmeur - Saint-Marc (bourg) - Le Bot / Pont Neuf .

Le saviez-vous ?

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Fest noz Fest noz

Ce terme qui, traduit mot à mot en françaisCe terme qui, traduit mot à mot en françaissignifie 'fête de nuit', ne s'applique pas àsignifie 'fête de nuit', ne s'applique pas àtoute fête se déroulant de nuit en Bretoute fête se déroulant de nuit en Bre--tagne. Il désigne, non pas un spectacle detagne. Il désigne, non pas un spectacle dedanses bretonnes, mais une soirée dedanses bretonnes, mais une soirée dedanses traditionnelles bretonnes à laquelledanses traditionnelles bretonnes à laquelletoute l'assistance est appelée à participer.toute l'assistance est appelée à participer.Aujourd'hui, les affiches annonçant 'festAujourd'hui, les affiches annonçant 'festnoz' se voient dans toute la Bretagne.noz' se voient dans toute la Bretagne.Il n'en a pas toujours été ainsi. Dans l'imIl n'en a pas toujours été ainsi. Dans l'im--médiat après guerre, et même au débutmédiat après guerre, et même au débutdes années cinquante, alors que le renoudes années cinquante, alors que le renou--veau culturel breton battait son plein - muveau culturel breton battait son plein - mu--sique, danse, langue bretonne etc. -sique, danse, langue bretonne etc. -aucune manifestation 'folklorique' ne faiaucune manifestation 'folklorique' ne fai--sait encore mention de soirées de cesait encore mention de soirées de cegenre. Qui plus est, le terme de 'fest noz'genre. Qui plus est, le terme de 'fest noz'était inconnu avant la fin des années 50,était inconnu avant la fin des années 50,dans la plus grande partie de la Bretagne.dans la plus grande partie de la Bretagne.Pour comprendre le sens premier de cettePour comprendre le sens premier de cettefête de nuit bretonne, il faut se reporter àfête de nuit bretonne, il faut se reporter àson terroir d'origine et aux motifs qui enson terroir d'origine et aux motifs qui encréaient l'occasion dans notre anciennecréaient l'occasion dans notre anciennetradition populaire. La région d’origine dutradition populaire. La région d’origine du'fest noz' est la Cornouaille intérieure, plus'fest noz' est la Cornouaille intérieure, plus

précisément une partie de cette Corprécisément une partie de cette Cor--nouaille intérieure, se limitant dans lesnouaille intérieure, se limitant dans lesannées 20 à une dizaine de cantons dontannées 20 à une dizaine de cantons dontquatre dans le Finistère : Carhaix, Huelquatre dans le Finistère : Carhaix, Huel--goat, Châteauneuf-du-Faou, Pleyben.goat, Châteauneuf-du-Faou, Pleyben.

FestnozFestnoz

Eur « fest-noz » a zinifi eun abadennEur « fest-noz » a zinifi eun abadenndañsou giz koz ma vez pedet an oll dadañsou giz koz ma vez pedet an oll dazañsal. Hiziozañsal. Hizioan deiz, e vez gwelet afichou merketan deiz, e vez gwelet afichou merketwarno « fest-noz » dre Breiz a-bez.warno « fest-noz » dre Breiz a-bez.Gwechall ne oa ket memestra. JustGwechall ne oa ket memestra. Justgoude ar brezel, ne oa kont ebed deuzgoude ar brezel, ne oa kont ebed deuzkement-se e-kerzkement-se e-kerzabadennou mod koz, ha dizanavezet eabadennou mod koz, ha dizanavezet eoa an ano « fest-noz » araog fin ar bloaoa an ano « fest-noz » araog fin ar bloa--veziou 50 elveziou 50 ellodenn vrasa deuz Breiz.lodenn vrasa deuz Breiz.Ar hornad-bro ma oa « festou-noz »Ar hornad-bro ma oa « festou-noz »ennañ a zo al lodenn deuz Kreiz Kerne,ennañ a zo al lodenn deuz Kreiz Kerne,ha ne oa ketha ne oa ketouspenn eun degad a gantoniou er bloaouspenn eun degad a gantoniou er bloa--veziou 20 (Karaez, an Uhel Goad, arveziou 20 (Karaez, an Uhel Goad, arHastell Nevez,Hastell Nevez,Pleiben).Pleiben).

Cuisson : ¾ heure à 180° dans un moule à cake beurré & fariné.Ingrédients: - 1 chope d'eau chaude (20/25 cl) dans laquelleon a fait infuser, pendant 10 minutes, 1 c. à caféde badiane, c'est-à-dire 5 ou 6 fleurs d'anis étoilé.- 250 g de farine- 125 g de miel- 125 g de sucre- 80 g de beurre fondu - 1 pincée de sel (pas nécessaire si beurre ½ sel)

- 1 c. à café de bicarbonate de soude

Mélanger farine, sucre et bicarbonate (et l'éven-tuelle pincée de sel), puis le miel. Très vite, la masse mielleuse n'arrive plus à ab-sorber la farine. Verser alors l'infusion tiède debadiane, en mélangeant bien pour éviter d'éven-tuels grumeaux.

Terminer en ajoutant le beurre fondu.

Note : le mélange final est assez liquide (un peuplus épais qu'une pâte à crêpe).

PARLONS BRETON !

LA BONNE RECETTE DU SAINT-MARC QUOI !RECETTE ORIGINALE

PAIN D’EPICES AU MIEL DE KERSTEARS

KOMZOMP BREZHONEG YAC’H !

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