~ El S ASJRAX*E.I MATIN, 5 JUIPILET'1862.
02-samidi dernier, l. comlwgnip de cavalerie
do 0 Vj .I. Todd, qui avait t 4$pche
dui Camp Pratt paor venir c h;erclekr dr~
ftspelEi~i4C~i&IE~t sr etsver
Wd''O glsuddians' partie sud .oteat de
Nous sommest beurent d'apprendrc que glce
1fectivitet la priuderiat duOi#tainerdtt, tousl
Jes r1tsetires de ces qurtier!.Ik ont t ameneue
su' voir- gans diAlcolti aucune, navbstaiit les
I*sts qui, it circul que le Cap'line To>lH vit
t- oblig dipo tufr.e dx et de voit blesser phi.
hieli di NflhuMats Tout cela tait taux, et L'o-
p4rs$.es~iiqujdushau metioneest pioba.
bs n~ l a rnsriire d'agir perms'v tt eti
MMe ta'nrs fermie d cupitaitie Todd.
al"Nous apprermgn ofUiielleu1eait qur le Gn-
rt P. 0. Hbeat e4.oavernettPde la-Louisiane)
va prendi le coi"ndermeiff'de troupes confet.
res, du DOPRutempm milita*re.ghi comprendra fi
I;eus et crtte partie d la Louistne qui ne trouve
4l'0"duu Mississippi (dlont nous faisons at~Nous ine savons encore o il tablira son Qtia.-
IIrLe Capt. Fetay ~nou cri t 1d bord titimwamer musi4 WaVieill Rivire la dite dit
2 "Vebtilet amnnecer dalis vo*e joo*nal que]*g d Lui d membrez, de gi~mp'e
Ealum.34gkrentite St. Land;y, a *uddeescalffisq#rpu jJpp4Aait la nuitk doralre. I11 iti!mat
et ~ 90rqu'il s'est noyt
!71l fat un temps o nous recevions trois loispar semaine des joupux de sque tous les Etatsdes ax-Etats-UJdi. .4)I'M4 it venir gla-
nireles nouvelles que chequmsn.J apportait. Cer-taiies db ais connaiss aesnaoubliaient jamais lesjours de coorrier, et souvent housdaiotemous con-Mirer 1Mnh quand oas o nous escamonait "
. wdeWtib'e- dates. Auej'ttd'hbui4se Prte $eaobt4 ow ir n x qou es o bitb*nj*, OqaS
fttaqW oqc a. appel anosamis qui ont le bonlieurd'en pouvoir obtenir quelque fis, et les invitonsvouloir bien nous favorissr de Vaobaine de cegenre dontegW pourront Aipouu,
Ie '"d i pfrn~, le u e or vereu d'un de ses amis ei bprd*t'qadq eu steamersqui 6; la, t'lie#des lacs et des bayous, une copieau crayon d'une srie de d6pcbea tlgiajphiqucsdates. d' g8 {p~.amfstu ande vie-
4oae 4. 1 ~9sJ~upe ilouafte ae milles ied
Ces if4kO aolt ppreape le GErai Le~a Pdn'U Te4r Le. flicite notri
de deux jours u eau ' .*ft.js neet
**t~ & p ~s~d *le.
Quoiqo. msp4dtailsasur ceush~~~~~d "ei~Ue*&~ noncent ce.-
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N0*t traduiFcnsd'up de no@ cha aKs quei-
.,es extr s J'u-diKcours proponeI par ..
[Sadstone, un membre du Ministre Anglis
it en nimme temps Chancelier de l'Echiquier:
"11 n'egt que juste, j. crois, que nous fas-stois conunaire notre opinion et noi senti-
ments sur la litto gigantesque qui se pour-suit avec taeit d'nergie str le coutineiiLamericain et sur le ip!iiestent -i grandiose defeames miitaires 4e la. pat des tats.Uui.Ils ont obtenu certains succssur es hebampsde bataille; mais messieuro, encore ume foisie rfrerai, cet 'rd, a notre exptienceanglaise (coutiez.) Si vous consultez les an-uales de la guerre de l'indpendance entielle4 colonies del A'mirique et notre pays, ctrouverez-vous les succs obtenus par nos ar-.mies sur les champs de bataille, dans cetteguerre? Ce n'tait pas le manque do succsqui nous empcha de conqurir les coloniesde l'Amrique. C'tait ceci: Au fur et n'eaure que nous obtenions des succs par lesarmes nous nous apercevions que nous Dn'a-proehioup enaucune ftaon du but qae nousnoua tions propos. Euand aedila lasubjugation d'un peuple, la question uet fpasde mvoir ai on peut battre les arm es . ,ce
peuple dans le pays o on porte l gPtre.question est simplement celle-ei C'est de
savvir sa les populations peuvent tre converties par un raisotnnement sain et juste, ousitu contraires elles sont dteralicnces obtc-nir une sparation (applaudisements ) Sices populations ne sont pas d'eaccord sur la se-paration, es peuvent i tre cunOquies, uinssi au contraire clies solt dtern'dte et unn-
nims l'gard do la scession, et s'il cirenle,das leurs veies du sasg de Wahington etdes' Bidioite 'daujourdbui de la VrugiuieaIofi lsV peu prs'imnposible do bubju-jr ler habitaltis de l'AXariqnuUa Sudi et&ors donc il est tout au& imposaiMe que Pobsj ititaifaississo, 0t si toutefdis eetobfejtrussissait les difficults civiles et politiqesqui ;xisteiti Aobinrt.; seraient tel) queces succs ipilitairag aeraieut un aspour ceux qui les auraieut acqui. '
tIll eat d' uotre habitude, messiu a4ce pays-ci, de parler frauclhemaet, eje a ois,qu'il est juste, considuat.p 1.p,;qnmii etl'intilit 4p Hos relations ave-toma deut quihabitent le continent Ajpptiotia, il stjuste,dis-je, que nous consultious otre esrit etnos sentiments l'gard de ce que vons ap-pelez juste raison cettp luLte 4plorable.-Puisse l'Eternel aimener unefin rapide cet-te lutte! Pour l'amour do nous names, auno*tiiurtoUA des A'nrioains, fasse le ciel quecette lutteoe termiiopromipteflent. Puissecem veu fervent s'exaicer, non, pas paucequesous le dpirons, mais parceqme ce sera laphiA. Je boSbeur et le bien-*des habitant-
'de o beaut pays, qu'ils poieut blancs on qu'il&soient rpits (eoutez). lIais, messieurs, noUsremekotem noba mame ici les effets de soettelutte maheureuse. NoUs ne pouvous les nigr,non pas sur seue seulement, mais assai surd'aitres pays' de l'Europe. La France,ensouire, l) Belgique on souf(re, chaquepaysqiu a une manufacture do otou soufre plysoumuinti^-plus que notre pays, parcequedans les autres pays il n'y a pas cet espritd'indpendance qui nous earaetrie; parcqque dans les autres pays on e4 pl eaoli4. .'appmyer sar le gcevernement.
* 'uia quand T'org,~ui de ^iB^qufioSine,.oiu' dit que l'fiuropeio& l'e gt re
le' pprieiogwr, se sont 4a cojlit eniversl'Armrique, je so#G .9 iea rdest fial del'iatin aqra cuel: te9 j iaacusme ns-
ji&iieg', dangaueun tepaip$Audoif paci.AIq*4'ene guerre jijile mgapa gigpatseue
giqaejseuaias own gouverBpmeut I's senti-g' e ^I^
:VPl09DE QVUATtlRitYV.-i1eds ciuq- individus condamns tiea nspqv avoir cotmujo iun vol rue Tou.
1buado. -99, disfs c'kvk aned indi.ques llc.re Q u~ aqqvons publihier, i e hiks& ten tiv,s'dit mine geuru, -ou t t*Ms Mmr Une
~~ -ationnadrditemi"in aux-abuordl de la- prwUn, bierr q'Y',ent. en dt
interdite, et, que le spectaeiej au
ilugWfflt'es- corps de. au4flklie. MaisllIiorfth 4, Vw ettrot tout pWI&-Ont ,#r les
a.e~ omis finua .4% enfant sedamsla
*nV"ew, 4ehr4s dwmiqanLu q4.re.
ts gTiitrl'or deI la jleritii et ou pletilt,PowbMr -g r1g&.4i#up~e-
<pot odms, u 118 des IegirB ,fnwjona.asi&ber aux apprte du drame sanglant qui*dqvAi4, wu termilper mar lMeuiv detr- qutftr
Jae iniquimw*, Thedo, 'Leibl .t seuls.m~& e-di -l~taus,? ,s peine Com.e
wu~u~~ 4~5i5~i U~a l'le *ozi
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d n ait, e' pid hte)
i~~relw, e I#c1'evir< $ aus~
deUx portaient '~cUi tptltq e*laiges.Aprs -la- Ieotmo ,#. ,rtudre 4g gnral
Botter faite par le dputd; pt*vOzdaealSt0M~d le apnevh t"eka sur la Ltt
des.-. ')a pl 0n fer
qllaque olwios a dire, lkygi
di"p n'il epeaieu dt'
$jqs4exgqql. n ~ueatd
Fe r t*'r ><et u t uii ci. ' ui' t ria .uvant <4e p,-tir poer I ge ax vaiS&psx. Eotriant & I^Nruvrll-Orlar s il .tbr. aDa-
!ade et on l'exemipta du service ee qui luipermit d errer a sa guise.
Il rcnrontr; W. Clary qui, aprs avoirlit onuaissance avee lui, lui montra des pa
ipiers et lui demanda son asi;;taice ro.raire une reciercybo d,'4cuer caCbbe0. Il
conseutt aller avec Ini et il jure qfe lapremire nuit il ne souposuait pas les vri.tables intentions de son compguon. - 11l setrTouva bientt en rapport aveci oute la bandejt, apri avoir vu prePdre des bijont chezon armurier qui u'avait d'autre armie qu'unpolgnard, il comnprit le ritable but de l'eu.n-treprisc. Dans a inme nuit, ou trouva
iaIs un autre endroit un pistolet et u re-volverct on enleva une montre. Le leudcmain on partagea les dpouilles et on reconm-mena la nuit suivante. Newton quitta labande le troisiue juur en emportant latontre de M. Finn pour se venger de Claryqui avait menac de le tuer. C'est toute laPrt qu'il prtlid avoir prise aux entre-prises tiocturuci dCes soi-disant chcrcbheUard'armes.-Abeille du 17.
DU REMPLACEMENT MILITAIRE.On sait ce que c'est qu'un remplaant.-
C'est un honme qui, tant exempt par la loida service militaire, s'engagb, pour uneesnmme convenue, prendre la plice d'unautre et faire tout ce que '2}ai-c1 et ttenu de tfaire lui-mme.
On le voit, il 'agit ici d'un contrat syral-lagnatique, d'une convention faite'de bonnefoi et l'amiable. Si les deiax iarties iut-resses 1e -pliasent les couditions stipulesdans l'acte, tout va bien, et personne n'a ledroit d'y trouver redire.
D'o vient cependant qu*it existe engnral, nue prvention tfavorable contreelui des deux contractunts qui le mrite as-surment le moins? D'o vient qu'ua rem-plaant est peu consider, et que l'on dit
uoloitiers de lui. pour le mpriser, qu'il avendu sa pecu?
Ceux qui se servent son gard de cetteexpression grossire et humiliante, n'y outpas rflcbi.
Tout travail, en ce monde, toute peinedoit obtenir son asiaire...,
Est-ce que Tes luinistres des autels, lesmagistram, les mdedins, les avocats, les eutm-ploys on engaga, eufu, nimporte quelstitres, e sont pas rmunrs pour les ser-vices qu'ils rendent a la socit ou aux sim.pies particiulirs? Oni, certakLeoene, ils lesont.
Eh hieu! pourquoi voudrait-on que celuide tous qui donne le plus,-que c.;lui quis'oblige a supporter les fatigues. les priva-tions et les enuui' de la guerve; que celuienfin, qui doit exposer sa vie et repaudreson sang, s'il le faut, dans vingt combats,-pour.i*rai donc, dis-je; voudrait-on que celui-la cul tit exception'a la rgib comimune'!Conver ui -en, ce serair absurde.
Fnour ui lu me defiandait lequel, mes .: eux, G de mrite du remplaantou i', ' d, je n'hsiterai pas wepron'e' .f Sveur du premier.
Je dirz: mme, sas'avoir l'intention deblesser qui que ce soit, que j'estime autant,sinon plus, A'hmtoeo db ceur qui, pouvants'en dispenser, 4 f.it volontairement soldat,que eelui qui marche pour! non proprecompte; car celaeti ne pevait faire autre-ment.
It faut conclure de ce, qui prcde, qu'onpeut-tre tut a lufe.i bomme d'honneur etremplalt, -bt que l'opinion pop*taire quiaccrdite l'ide -totitraire, n'est qu'une in-just pr4t ea , qu'un prjug dont il est
justice. O. h P.Democrate de.St. Martin
LA PAIE DE L'ARMEE FEIERALE.Le nombr .des rguliers s'lve 30,834,
tandis qua lm forees volontaires s'lvent 642,27 hopwees, faisant un total de 6$2,571.Dans l'organisation figurent 1 liensntnnt g-nral dont le salaire annuel est de $9,096; 9majors gnraux 'reoivent $49,356 ; 9 briga-diers gnraux $37,425; 1 adjudant gnral$2450; 40 officiers d'tat-ma;jor, attachs l'tat-major dugnral McClcllan, parmi ls-quels 6 brigadiers gnraux, 9 colonels, 16lieutenante-oalonels, 1 major et 8 capitainesqui rWoiventc496,777; ecamminsariat du d.partement $2&,473,889; depwtemeut decquartiers-manistre (167,628; 01 dolonels dugnie et de cavalerie $S86,65Q0 ; 4J lieute-Snants-colonels $167.623; 61 ewjar S132,40261 adjudanta $84,548; 1220 fieutecaits$169,801 ; 1180, lers sergenta $240,72 ,;.3540 sergents 4722,160 59 sergents-majorset 5 quart5? s-atres-scrgets $28,536 ;118,clhirurgi ens, et assistuts chirurgienae2 2 6 550 ; 59 aid4e d'hptal a ooomes$17,700 ; et 52,470 timp soei ats $6 026,832De l'arti 1 lerie et do l'infanterie 8 5P colonoel1,.04,l20; fieus l.nt-clonels $1,281,i
1u8; 568 m j ,I20; ,;704tapftiines$78,725,4- Il efieA n t$14,488,4006,7001ers 8srgi4 fl000 ;7,i00 autresabrgesks $S, ,-40 8,800Aip<ax S056.800e; 12 tManjois 4 aer ge)tquartierswayiteM 8I.7:84;ui150 ohirirgienet asasitsoe442,2009U.40; 71 oonoas4dw 3-pital t,^; 1200 arciiierf 821,M0t; '510,318 simples soldais $67,381,975.4jon.mne* 'es obiftpe la soldxsnewMhaire
d'offiiers d'tatma jor, le service du re.rate-ment es les'servieuA Apeciaux $10,64OH874,et le salairede 667 rpayeurs et assistants$100,817 ; 1600 gardea.malades*T2,O00;100' sergente d'ordonnance -,$1 pourquaiaer aitreco.mm sseaire ^t chirurgietisgnraux 4823,788 et 725 chapoins $1,100-500 ete nous trouvons lin total de salairecuannuel s'Ietadt' $223,344,272. No1wajouterons eaci $60,000,000 pour le dpswtement d'ordonnance et pour approvieioniniment d'r ,effO00 pour le buiei]adifal; ^O, ^our transport et S000;890 z^ dpenl continumtes, et get6auros u~irafannu~ef dg %^^|,272 'w
d^meeq q&i lvient'i ^^ta^ ?ec$2,000,0 r jour, ktlleas4uf1^ditaaeporopprate 1esoonmi^'d'^nquh't-et ltsgraflNous pensosto que ces ^dtails authentiquesdonoeront utoe ic masW juste deg4asiasnor-,
e qm'ctrpneW mise sunr pied d'b g*jiidLrteentitnps 'S trtible' o'e de''yrStf. j
lui&
Po~
' niathtig qu iui il ya q tJq t abnes,ars avoir Mdlheore le poste de premier
.itgisirat de Vew'Yort il retronva son ni-iveau dads les derwes profonde.nrs de l'in-signiLiance et de l'ot.bli et son parti l'aban-donna; mais depuis, la boue a t remnue etcelui qui tait descendu dans la vase ttardmutil a reparu la surface gros crapaudplus bruyant et plus iimpudent que jamais.C'est souvueit ce' qui, trive dans notre sobi&-t o rien n'est plus -ue de voir un escroc,aprs que le temps a un pas effac sescrimes, devenir tout--coup an objet de fa-veur populaire on l'appui de l'ekecutif. Laposition qu'a ptise et les principo qu'a son.u-tenus dans son discours cet homme de bastage seraient une hante pour tout autre quelui.
ACTEC! T ERELATIF AU SElVIC* DES iATBOUfLLES
Sec. 1. Le Snat et la Chambre des Rle.prseastants de l'Etat de la Louisiane, runisen Assemble Gnrale, dcrtct: Les jur-sde7 police des diffreutes paroisses et corpora.tions municipales de l'Etat, except la Nlle-Orlans, seront aitoriss atatur ue amiien-de qui ne devra Bas excder dix piastres, etun emprisonncaintt dans la! gle de la pa.roisse qui n'exeera pas vingt.-quatre heurespeqr tous manq"tAents sans excuse valableau service de la atrouille. Los diffrentsjuges de paix de chaque paroisse pourrontIconnaitre de ces manquements et appliquerles peines arrtes par les juris de police surle rapport du clief de patrouill& de la circon-scription dans laquelle le manquemnent auralieu.
Sec. 2. Dcrtent de plus : Tout chef depatrouille qui ngligera de faire son rapportsera passible des peines dont il st parl laprcdente section, et ce, sur le rapport detoute personne rsidant dans se circonscrip.tion.
Sec. 3.. Dcrtent de plus: Le prsentActe entrera n vigueur le jour de son adop-Lion.
Approuv le 23 Janvier 1862.THOMAS O. MOORE,
Gouverneur de 'PEtat de la Louisiane.
gyUn journal de mdecine a ddonvert que lesdemoi.elles sont plus sujettesau%:niaax detteque les femmes maries. C'est ai, rpond unvieux celibataire; mais il est galerent reconnuq u. les hommes maris ont le mal de tte plus sou-vent que ctux qui n'ont pas pris femme.
O le monstre !
0y*Le pouce est un membre trbsutiTe; mais cen'est pas une raison pour que ceini qlui en a deuxtienne son voisin sous le pouce. t
07Un ami consolait un homme dont la femmevenait le fuir le domicil conjugal:: "Ne me plai-gnez, lui rpondit le malheureux, ne me plaignuezque lorsqu'elle reviendra?'
f?-Qu'avez.vous , remarquer, Madame, sur laminire dont je viens de vous chanter cette roman-ce, demandait un fzquin une darde de bon goIL-Rien,monsier;je n'y ai rien vu de renmrquat>l.
- femme est le nqyau de la crinoline
A nos abons.-At4endu les cir-constances que chacuin con sendra seasdote, nous nous vyons far de rayer denoti e liste d'omes les noms de ious ceixqui nous doivent deux ans ot plus, d'a.bonnement. Nous invitons donc ceuir quise trouvenf dans cette catgoYi et Pui de-s |tent encore recevoir le Courrier de von-loir bien venir rgler sans diaai, afn dene pas intcerrnzprrPenvcoz dt jotrnd.
PocRDAf.E OFFleIEiLLASna RureaS d P alce A ille1 Dff
A une asdmb ixtraordiiaire du BeIeau, tenuece jour, fui ent pYents: f. A. King, |irsi(fent, J.J. Beauchamp, O. Foiret,E. f Depf, Jau MeCor-mick et W. R. Meinil.
E. D. Estilette, lu le 9 Juin pour remplir la ta-cance occasionnrbe par la r iggesito dlonre A.Latur, prdsente sonu certifical d'd Wiba et pWetandson lgu.
Surmoiton de M. Beauchamp, i est rol quer'oerdonnmiue intitute "Ordounaane potur inepderr'article XX d'une ordonnanie. tituti *rdoonatinw.ce coneernant l Marbl public. d'%i eowua," ad6p.te le 7 Juin 1862, soit et par le priaent est 'ppe-le, et quejusqu' nouvel ordre il 4era loiwible auxbouchers de 'vendre de la viande fwiche a epuditmarch un prix qui n'excdera pas dix ceatew lalivre.
Sur motion de M. Meginley, il 4st rsolu que lesalaire du TtirWsride la ville pour l'anue 1862soit port la seame de soixante plstres.
Les propositions de M. Megiiley, pour lI cons-trUdiion d'un pint eue lb coule pi-s de la rsidencede M. Rawls, pour a eSmme de cent piastres, ontt aceaptfaet ladite conatraoion lul adjage.
Sur motion le Buaeau ajourne.. F. A. KlNiI Prusident.
Jos. D. Racean, Grefier.
R... Lo e )kTi iaetcedi pro.
premidL L.."frre 6r . sont hwit8sauisater &16* (e
442DE &ct~~e
Une i~inqastai8 Ife jigi4uru 'iIer U mianu dfr de 0-s'loua. ''den au woMiaai
izl aUC d'peleauM, ou P. L.rwaciex4, c~opr ~jes
J8N . N4~IONS.
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VEyT4 PIJBMsIgE$ 9Succession de Marclite Fonsenoti Vewue
Valrien Lajfieur.N vertu d'un. ordrt de Tl'Honorable
Cour de Disatrict dans et pour la Pa.roisse St. Landry, il sern vendu aux e.n-chres publiques, zur l'btbitaeon ci-dessousdcrite, par Paul L. E. Guillanmin, Encan-tour, le
Jeudi 10 Juillet prochain, 1862,Jes proprits, eiaprs dcrites, dpendantde la succession de la feue dame e-iarcliteFontenot, veuve Valrien Laflcur, savoir:
Une petite Hlabitation,situe en la Paroisse St. Landry,en la Prairie Ville Plate, contenant
maison de demeure et dpendances, avec en-viron 140 acres de terre de prairie, tenadt:au nord, Louis Chlapman et John 81raw; ausud, Ju. J3te. Lafiegr; l'est, John Shaw etJu. Bte. Lafleur; l'ouest, Loi haspmauet Philmon Chapian.
U LOT OE B101S,situ en la mnnie Paroisse, str les confins dela prairie de Ville Plate, la pointe alileur,contenant environi 156 arpents, tenant: aunord, Jn. lBte. Lafleur au sud et l'ouest,Mme. veuve O. Lafieur; l'est, L. Chapmian.Ce bois sera vendu en deux morceaux;
STrois Esclaves,James, ngre, g de 33 ans;
0 Jn. Baptiste, uare, g de29 ans;
Aime, nregsse, ge de 55 ans.Une paire de beufs de travail;Environ 40( ttes de btes cornes (bo-
vines) douces;Jument et poulain; chevaux;Un fer mnar4uer les animaux;Vu lot de cochous;Charrette boufs; calche;7 balles de coton;Rcolte faire en mas, riz, patates; et
une foule de meubles meublants, ustensilesde cuisine, et instrliments oratoires.
(Co.rrtroNs:-Les acqureurs paierontleurs prix en deux ternies gaux, les pre-inier Avril 1864 et 1865; ils paieront les in-trts 8 pour cept. par au, partir desechances, et fourniront, le jour de la veute,deux cautiou.ns solidaires. Les inimeubles etles esclaves resteront greves du privilge devendeur jusqu'au paiement .e leurs prix.
LOUIS CHAPMAN,Administrateur.
Opelousas, 7 Jtrin 18it.
ORDONNANCEAmendant l'&rtt/e XX d('ne Ordomnan-
ce intitule "Ordonnance concernait leAarch Public dans la Ville dO'pelou.sasb" adoptt l 7'Juillet 18t0.A RTICLE I. Qu'il soit ordono par le
Burentw de Police de la ville d Ope-louas: Que l'article XX d'une Oidonnanceintitule "Ordonnance concernant le MarchPublic de la ville d'opeloutas," aopte le 7Juillet 1860, soit amende de manire a lirecomme suit, savoir:
"Que toute viande fraehie de l'espce bo-vine offerte en vente audit archli, ne serapas tendue plus de huit oents la livre, acompter du 1er de Juia jusqu'au 31 de N-velbre, inclusivernet. ni plus de dix ets.la livre compter du 1er'Denmbrejtusqiqu'au31 Mai, inclusivement, sous peine d'amendede viugt-cinp< piastres pour chaque coutra-vention."
Art. IL Qu'il sit de plus dert, Quecette Ordonnance nura force de loi daterdesa premire publicatiotn.
Ordonn le Juin 18&-2.P. A. KING, Prsident.
SJos. D. RICHARD, Grfer.
ORDOWNNANCEA n diant l'aftle il70 de fAt loi 13 de 'd
VildldOpelousus.A RTICLI I. Qu'il soit ordonn par leBureaude Police della Ville d'<pe.
louss: Que l'Article 170 de la loi il de laVille d'Opeloupsas soit aiendlt de manire lire comme sgit. savoir: 'Tout hlabitknt libreet 4biano qui aura atteipt l'ge de dii-huitan.r et qui sera au-dessous de soizaute anu, etqui sera rsident do la ville d'Opfousas de-puis tro moims; sera tenu de remplir les de-voirs incombant la patrouille, dans lditevilled'Opelousau. excepte les ministres del'vangile, les Praticiens en iedeciue, les per-sonnis employes au transport de la malledans les Etata Confdrs, et 'ls bouchers etles boulangers,"
rt. II. Qu'il soit de plus ordonm, Quecette Ordnmnee aura fore de loi dater desa rainre pu6blicatit
Ordonnu le 7. Jui4 1862.F. A. KiblI, rsidqnt?.
Jos. D. Ricamas, Grefier.S(14 Juin 1862. 28<-.5t
.Idiriet palre .crcle, te-bef apettenant au gouvernergent des Mtats Coii"dw, etma4ewtenaasdetet ejutaes eticef&es Matoisioan.tue, farmi lequelts iL s'nt0ieIi ~ oiie.pmsmmarais. Tot individu #pi ewwaertira ce Isou aucun d'e Ns on- propre carg, oq qui en di#'posor oule4aer>u sun lit.p.conque aere poumukiaiel.a toute lorigu.Mrsleu es.cF
* .gmet du J4iwr1ernea d*a siredu GokpewmeW es tdaRttaowid &
Opelousaa 17 m 162. 124
buerstion de Louis Petloi L i?,smtu.7E OIiTI esuES povtm~t avoiri dq
Ipww# PLbOU B., F'uutenot1 s ont Invits a.s'aissr emd4ement >lArclDqe,,i
Ville Plate.Peux "ds :h!rtierf& L. P. b.foiteot,'qu Oe'nt P" toucli leur paig'dni~s 16 pro
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portant aucune marque:-lf poulain, d'un an, sui-rel, front blanc, marqu peu grs ain-si: J-(
vAussi, un Oetit chdval crole, qui va inaturelle-
ibeat l'amnblb, pt porteit uns marque donut on ne sesourient pas db la forntu.
La rcoampense oi-dessus sera accorde quicon--que ramacera cea chervux au soiesign, et une r-meni-asatIin Uraite ii celui qui donnera des infui nia-Lions qui conduironit a. leur appribeisioin.
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et environ 3 milles de la ligne projetedu chemin de fer entre la Nelle. Ihrie et la Texas.Cette terre sera vendue en un seul morceau, cornmmeeilu se trouve, ou elle ser- partago- et vendue parlot?, pour l'agriment des acqureurs, attendu qu'il y '
a sur ditfftrentes parties de la terre d'assez bounes :aimllicrations. j
Cette proprit6 sera vendue un prix raisonnableet de longs termes de crdit, si on le dsire. x
gfrouiir plus d'informinations, s'adresser au EoU..s "sigr, au Bois Mallet, ou au bureai du Courier.
F. FFRAY.St. Landry 18 Janvier 1862. 7-tf
LI QLT R1'I R$ G 17NF RAUX, .
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COUR D;AS$F.SSEMEN,\T.
E S oiticiers suivaotit sout par les prsentes i.Eichpisis' pour condtituer la CourdAismet 'Y
pour ce Rgimenst, savoir:fies'tenant.Colotel A. R. Hawkins, Prsident, 8
en remplacement du capitoane John C. Barry, qu-ar'.ge
Capikaine Leroy S. Ilavard.-Lietitetiart' theodqure lXXValronrt. a
Jel Ti. Sanrio, J tiom-A roct.L. V'. (?haclipt. 'tarclial Pr-cre.
Coulfor'mtrent l'Orile spcal N'. 1 de A}Tawk-ils. commandant rcemment ce Rjrre, R 4cette Cotr "e r,nira une oijis par m~ois. La Couidsiienernelle-mme le jour et l'heure de sarunion.
Par ordre de JAS. M. PORTER.Coluneie omimnutt. l*
Tmoa. L.%sTn.&rEs, dyiidanf. a.
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Plus de crdit. Va les circonstances, nou. AIne pourrons plus vendre que pour du conip- Btant. Mais nous sommes srs d'avance que .les prix auxquels nous vendrons nos marchaun- wdises satisferont pleinement !e pubec. lie
BLOCH, FIRNBERG & Co,Opelousas, 14 Septi 1861.-(tf)
COUl 1'ASSESSE.IEN'I \" ETTE Cour se runira a la Maison de ur.%- Opelonsas. le Samedi 7 Juitin p 'n,1862. 10 heures du matin, et ensnite le premnierSamedi de chaque mois. pour la transactiou df*I- Di'tfaires de la juridiction de cette Cour. u
Les Capitaines de IMilice tdo Regiment de- 3t.Landry douiiieront avis leurs compagnies respec-tives. le jour de revue ou d'exercice qui prqederaimmadialterent cha!ue rurion de cw.te Coss, dq lie
pour assessemrent d'amendes pour avoir twaliqub Lailaux exercices on aux revues, puissent faire valoir palles raisons. si aurune ils ont. pouni lisquelles teilest deameildes ne seraient pas assesspes rentre eux. l'&
JOHN C. BARRY, IMPrid dit ludite Cour.. noi
Opelousias 17 m-a 182. 24 .
BLOCHI,FIRNBER4*&CO. u i
1Waurchawds en eto e vn dtail gt CI
CAILLEIUE, VERRERIE, bi
,RE. CiIAPE.A UX. G'AsQi UE i.TTE.S.9 Mars 1861r I (!Iua k
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coiarhla priktiqede la hirurgie. tttM*iep>stel est u imstks d'ex4uter toute,ipration, quelh'ue difcI~reesoit, avee la -Clplus grande prciuidn:.-Il ezteIle dans l'art de con-'-iervrr les deals nielutellesi Yt s'y appliqu paiticu ~liremcnt. '1
Le U)r, Lunter' ton*,Ua'ie font son temsps et son.,CIattietion I'extevit-e oe sa profrasrjos fr
Washington, 26Mui 1S860-ia
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RENDRONT en collection le rechmattons de -pStontes sortes qui pourront lenr etre confies I
par ceui qui ont des effets ctaeter des Paroisses leSt. Landry et de celles avoisinca&e, aiasi que de la IeNouvelle-Orians. Ils .spentawriter,par lear as-8 ,siduit etleur exactitude, une partie de l'encounagt- chment du public. Leur Bureau est. aux Opeloess ouivis--vris M. Proevost, ue de Maise. eai
Opelousas, 15 Janvier 31869-lt soileAaur
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Creek. Les.pironn qui dpieraienst pser leurt & cette agrable retraite, poriero.it 'ten procureren s'adressmut au soussign a Opelonase, on .M. Alfred Andins. I
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HE0NR PROV18I10 MaM 1862.
Ju~3J~hAj~ GflC D~L.4> '~
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