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Archidoc News, n°10

Date post: 21-Jul-2016
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Septembre 2014 ArchiDoc NEWS Périodique du service archives et documentation de la Direction générale Victimes de la guerre
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Septembre 2014

ArchiDoc NewsPériodique du service archives et documentation de la Direction générale Victimes de la guerre

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ArchiDoc NewsPériodique du service archives et documentation de la Direction générale Victimes de la guerre

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Fonds particulier

les lohnüberwes-unglistenUn fonds assez volumineux des archives de la DG Victimes de la Guerre contient les Lohnüberweisunglisten, les listes de salaires des résidents belges qui ont travaillé, de force ou volontairement, dans les firmes recrutées par l’Organisation Todt (O.T.) dans le Nord de la France.

Le fonds consiste exactement en 60 liasses soit 665 dossiers, chaque dossier correspondant à une firme. Dans quel contexte ces listes ont-elles été utilisées ?

L’Organisation Todt, du nom de son fondateur Fritz Todt, ministre du Reich pour l’Armement et les Munitions (mars 40 - février 42), est créée, à la base, dans le cadre de l’achèvement de la ligne Siegfried (« West Wall ») en 1938. Elle devient ensuite rapidement une organisation permanente chargée de l’exécution des constructions militaires dans un but défensif pour l’armée allemande. Dès

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mars 1942, elle est notamment chargée de la construction du Mur de l’Atlantique.

Tous les travailleurs étrangers, excepté les propres travailleurs de l’Organisation Todt ou d’une firme, étaient considérés comme de la « main-d’œuvre assignée ». Certains étaient volontaires, les « Hilfswillige », les autres, les « Zwangsarbeiters », des travailleurs forcés. La plupart étaient utilisés en tant que travailleurs manuels dont certains pouvaient être des travailleurs qualifiés (l’affectation la plus élevée étant « contremaître » ou « contremaître qualifié »).

Le salaire fixé par l’Organisation Todt variait en fonction du statut de l’ouvrier (manœuvre, contremaître, apprentis, spécialistes,…) et de son âge. Au départ, la rétribution variait selon la nature du contrat qui liait la firme avec l’O.T. Ce n’est qu’en 1943 qu’apparaît un tarif plus uniforme, sauf pour les

travailleurs forcés. Après une retenue pour la nourriture et les cotisations sociales obligatoires, les ouvriers pouvaient recevoir une avance sur salaire ne pouvant dépasser 1.5 RM /jour. Le solde était alors envoyé à leurs ayants droit ou versé sur un compte d’épargne. Notons également que certaines sommes pouvaient être octroyées en tant qu’indemnité de séparation, de danger ou allocations familiales. Ces indemnités ne concernaient toutefois pas les travailleurs juifs obligatoires.

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Les salaires devaient être payés au moins une fois par mois, au plus tard 3 jours après la clôture de la période concernée. Chaque travailleur devait recevoir un décompte de son salaire avec la mention du salaire brut, des suppléments de salaire éventuels, des indemnités, des primes, le nombre d’heures accomplies ainsi que le montant des retenues effectuées.

Les salaires versés aux familles en Belgique par la Banque de Paris et des Pays-Bas (BPPB) à Bruxelles transitaient, en vertu des réglementations générales, par les succursales locales de la Banque de France. Les formalités prenant du temps, la Banque de Paris et des Pays-Bas pouvait payer une avance suffisante à l’Office national du Travail à Bruxelles qui répartissait l’argent aux ayants droit, via ses Offices du Travail régionaux. Dans les listes de transfert, rédigées en plusieurs exemplaires, les périodes de salaires couvrent 15 jours et mentionnent les noms, prénoms et adresses des destinataires ainsi que le montant du salaire en francs belges. Des frais de banque s’ajoutaient au total final qui devait être indiqué en francs belges et français.

En ce qui concerne la remise des traitements aux ayants droit des travailleurs juifs obligatoires à l’Organisation Todt, dont les noms figurent sur des listes de transferts spéciales, ce fut difficilement réalisable en raison de la déportation massive vers l’Est. Vu la complexité de la tâche, la Banque de Paris et des Pays-Bas chargera l’Association des Juifs en Belgique (AJB) de la recherche des bénéficiaires. La

Photo : Fonds des

Lohnüberwesunglisten (SVG-DOS )

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grande majorité des travailleurs Juifs de Belgique quitteront l’Organisation Todt dans le courant d’octobre 1942 et seront, pour la plupart, déportés de Malines par les convois XIV, XV, XVI et XVII.

Ces listes permettent de retracer les parcours individuels des intéressés, que l’on peut identifier et localiser dans le temps et l’espace. Elles fournissent, en outre, des informations sur les dispositions prises envers les travailleurs assignés pendant la guerre à l’Organisation Todt dans le Nord de la France.

Photo : Fonds des

Lohnüberwesunglisten (SVG-DOS )

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Photo : Liste de salaires Erbes Bau Jüdischer Arbeiter (SVG-DOS, OT farde 21/142 bis)

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Photo : Liste de versement

des salaires (SVG-DOS,

R.451/Tr.211667/6)

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Dès le 15 juin 1940, des vétérans de la guerre 14-18, bientôt suivis par de nombreux Belges, utilisent « la presse clandestine », par exemple le journal « Cœurs belges », afin d’empêcher le défaitisme provoqué par la presse au service des occupants.

Les seules armes de ces résistants étaient les articles de presse, dont l’efficacité indéniable fut assimilée à une forme de résistance combattante, au même titre que les actes des résistants armés.

Les auteurs de la presse clandestine encouraient, en effet, de lourds risques ; les représailles allemandes furent sévères, plusieurs d’entre eux furent torturés, fusillés ou moururent en captivité.

rÉsistants par la presse clandestine

les statuts de reconnaissance nationale

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Afin de rendre hommage à ces héros de l’ombre, le législateur assimila, au départ, leur activité à la résistance civile1 mais leur statut fut définitivement réglé par une loi 2créant le statut de reconnaissance nationale de résistant par la presse clandestine.

Qui peut bénéficier de ce statut ?

Les personnes qui ont participé à la Résistance patriotique à l’ennemi :

• d’une manière personnelle et « désintéressée » • tout en ayant conscience des risques encourus• au sein d’une organisation• pendant une période de plus de six mois

` par la rédaction, l’impression, la constitution de dépôts, le transport et la diffusion systématiques de publications entrant dans la catégorie des organes de presse dans des conditions telles qu’ils s’exposaient aux représailles de l’ennemi.

` via des publications n’entrant pas dans la catégorie des organes de presse : tracts, affiches, communiqués, etc... , si cette activité a été la cause directe de rigueurs qu’elles ont dû endurer de la part de l’ennemi ou de personnes servant sa politique.

1 Article 1er, alinéa 2, de l’arrêté-loi du 24 décembre 1946 (M.B. 16 janvier 1947)2 Loi du 1er septembre 1948 (M.B. 27/28 septembre 1948), modifié par la loi du

9 juillet 1951 (M.B. 9-10 juillet 1951)

les statuts de reconnaissance nationale

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Par ailleurs, la loi impose également des conditions de nationalité et détermine des motifs d’exclusion. Ainsi, des personnes qui ont travaillé volontairement pour l’ennemi ou qui se sont comportées d’une manière indigne sont exclues du statut.

Au fur et à mesure des décisions rendues, la jurisprudence des Commissions de contrôle a joué un rôle important dans la précision des éléments nécessaires à l’obtention du statut :

• notamment quant à l’étendue de l’activité • sa durée• son caractère systématique • la nature de la « publication écrite ou imprimée », c’est-

à-dire la diffusion • la définition des organes de presse • le but poursuivi : la discussion des faits, de pensées ou

d’idées.

Des avantages divers ont été octroyés par la loi aux bénéficiaires du statut et notamment la bonification pour la pension de retraite du temps passé dans la résistance par la presse clandestine.

Une étude systématique de cette jurisprudence a été réalisée par Mme Nadia Simal dans le cadre de son rapport de stage et est disponible en nos services.

Photo : « Cœurs Belges, novembre 1943»

(SVG-DOS) et « De Vrijheidsklok n°6,

februari 1943 » (SVG-DOS)

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Dans le cadre d’un stage en archivistique réalisé à la DG Victimes de la Guerre, Matthieu Triffaux, étudiant en dernière année de Master Histoire à l’Université Libre de Bruxelles, a eu pour tâche de dépouiller, comprendre, classer et reconditionner des archives non encore exploitées concernant le service de la mise au travail obligatoire pour l’effort de guerre allemand, la Werbestelle.

Sont concernées, les Werbestellen de six provinces : Arlon, Bruxelles, Hasselt, Liège, Mons et Namur. Par manque de temps, seules les liasses de la Werbestelle d’Arlon ont été traitées. Elles se composent de deux types de questionnaires, chacun se référant à une ordonnance allemande3, auxquels étaient le plus souvent joints des documents administratifs.

3 Le premier se réfère à l’ordonnance du 6 octobre 1942 qui instaure la mise au travail obligatoire sur le territoire allemand des hommes de 18 à 65 ans et des femmes de 21 à 35 ans, alors que l’autre se réfère à l’ordonnance du 27 juillet 1943 et s’adresse à tout homme entre 16 et 65 ans et à toute femme entre 17 et 45 ans résidant en Belgique et dans le Nord de la France.

Fonds werbestelle non encore eXploitÉ

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Ces ordonnances et la documentation du Service, ont permis d’expliquer la signification et l’utilité de ces questionnaires ainsi que la procédure de convocation au travail obligatoire. La première tâche de l’occupant fut de dresser la liste des personnes aptes à travailler pour l’effort de guerre allemand, sur base des registres de population. Chaque individu recensé était fiché et une convocation envoyée à ceux susceptibles d’être soumis au travail obligatoire. La personne convoquée devait fournir divers renseignements comme le nombre d’enfants à charge et la composition de famille, la profession exercée ou le nom de la firme l’employant et la date d’engagement… Lors de son renvoi complété à la Werbestelle, le questionnaire pouvait être accompagné de pièces justificatives : certificats médicaux invoquant une infirmité, composition de famille prouvant une famille nombreuse à charge, attestations de l’employeur certifiant le travail dans une entreprise utile à l’effort de guerre allemand ou à l’économie de la région, preuves du travail dans une culture d’au moins quinze hectares... Plusieurs critères des ordonnances précitées dispensaient certaines personnes du travail obligatoire, soit définitivement soit pour un délai maximum d’un an.

Sur base des nombreuses listes mises à jour et répertoriant les noms des personnes dispensées, des catégories de dispenses de travail obligatoire ont pu être établies : des employés de la S.N.C.B, des agriculteurs, des ouvriers travaillant à l’étançonnement dans les mines, ou encore

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Photo : Attestation d’un employeur (SVG-DOS)

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des employés de la Régie des Téléphones et Télégraphes… Enfin, d’autres listes de noms sont classées par commune et par date à laquelle le formulaire devait être délivré.

Les liasses, débarrassées de leur emballage désagrégé et de tout élément métallique, furent conditionnées dans des chemises et boîtes non-acides. Les questionnaires et documents administratifs sont désormais classés par ordre alphabétique et les listes des métiers dispensés, par thèmes. Ce fonds d’archives ne présentant, à l’origine, pas d’intérêt dans le cadre des missions du service, n’avait pas été dépouillé. Aujourd’hui, l’intérêt historique de ces archives prend le dessus. Les archives de la province d’Arlon et celles des autres provinces, prochainement inventoriées sur base du même schéma de classement, permettront d’intégrer au fonds Werbestelle de la documentation générale, une partie « dispense ». Grâce à leur reconditionnement, ces archives pourront désormais servir à l’étude scientifique mais aussi intéresser les généalogistes par l’exploitation des compositions de famille présentes, en masse.

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Nous remercions chaleureusement tous nos donateurs pour l’envoi de leurs publications qui ont à présent pris place dans le fonds de notre bibliothèque :

ARCHIVES GÉNÉRALES DU ROYAUME = ALGEMEEN RIJKSARCHIEF ; SÉNAT = SENAT, Archief en Democratie : Studiedag - 25 november 2009 = Archives et Démocratie : journée d’étude - 25 novembre 2009. - [Bruxelles] : Archives Générales du Royaume = Algemeen Rijksarchief, 2009 AUTRIQUE Bob, Beauvois : Moed en zelfopoffering voor het vaderland. - Kalmthout : [S.n.], 2013

BANNENBERG Dagmar ; KLAWITTER, Petra ; KLAWITTER Holger, Und fragt uns nicht, wieso ? Die letzten Zeugen der Shoah. – Rostock : Stadtdruckerei Weidner GmbH, 2013

BECK Philippe, Umstrittenes Grenzland : Selbst- und Fremdbilder bei Josef Ponten und Peter Schmitz, 1918-1940. – Brussels : P.I.E. Peter Lang, 2013

BIREN Raymond ; COLLING David, J.-L. HOLLENFELTZ, Président provincial de la Croix-Rouge durant la guerre : entre les contraintes de l’occupant et les tourments de la population. – In : Bulletin trimestriel de l’Institut archéologique du Luxembourg – Arlon. - (Avril 2013), p. 102 à 109

BITTNER Alicja ; [et al.]…, Museum of the Second World War : Gdansk 2012. – Gdansk : Museum of the Second World War, [2012].

BITTNER Alicja ; [et al.]…, Report on the activities of the Museum of the Second World War in 2013. – Gdansk : Museum of the Second World War, 2014

acquisitions rÉcentes

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acquisitions rÉcentes BODELET Jean-Michel, Les pouvoirs locaux sous l’occupation. Le Nord Luxembourg dans la tourmente. – In : L’histoire en marche : annales 2013 / Cercle historique de Marche-en-Famenne, Hotton et Rendeux. – (2013), p.93 à 98

BRÄNDLE Brigitte ; BRÄNDLE Gerhard ; MENTRUP Frank, Karlsruhe erinnert : 1. April 1944 - Widerstandskämpfer aus Frankreich und Belgien, gestorben für ein Europa ohne Barbarei = 1er avril 1944 - Résistants français et belges, morts pour une Europe sans barbarie. – Karlsruhe : Stadt Karlsruhe - Kulturamt/Hauptamt, [2014]

BROSENS Griet, Congo aan den Yser : de 32 Congolese soldaten van het Belgisch leger in de Eerste Wereldoorlog. – Antwerpen, Brussel : Uitgeverij Manteau, Instituut voor Veteranen - Nationaal Instituut voor Oorlogsinvaliden, Oud-strijders en Oorlogsslachtoffers (I.V. - N.I.O.O.O.), 2013

CARNAGHI Benedetta, Virginia d’Albert-Lake, une “comète” à Ravensbrück (1910 - 1997) : résister au féminin. Paris : Université Paris 1 - Panthéon-Sorbonne, 2013. - Mémoire de Master 2 Histoire contemporaine des mondes étrangers et des Relations Internationales

DELECOSSE Monique ; DE VOS Léa, 1914 - 1918 : soldats, prisonniers, déportés, victimes de l’entité de Silly. – [S.l.] : [Chez l’auteur], 2014

FÜEG Jean-François, Jozef Bielik n’est pas un héros. – Liège : Les Territoires de la Mémoire, 2013

GLAS Daniël, De Politieke gevangenen van Ardooie : hun lijdensweg. – In : Jaarboek / Heemkundige kring Ardooie - Koolskamp. – (2013), p.3 à 55

GORIS Gorik, De Holocaust in Turnhout. – In : Taxandria : Jaarboek van de Koninklijke geschied- en oudheidkundige kring van de Antwerpse Kempen. – (2012), p. 165 à 195

LABOUX David, La grande évasion. – In : Le Figaro Histoire. - N°8 (juin/juillet 2013), p.38 – 39

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LAURANT Mylène, Le frisson de la victoire. – Tenneville : Editions Memory, 2014

LAUSBERG Sylvie ; BREDAEL Jacques, Bruxelles, 3 septembre 1942. La déportation des Juifs de Belgique [Images animées]. – Bruxelles : Centre d’Action Laïque, 2012

LEJEUNE Bernard, Recueil de documents sur les combats qui se déroulèrent à Nalinnes le dimanche 23 août 1914. – Nalinnes : Syndicat d’initiative de Nalinnes ASBL, 2014

LOUCHE Marius P. R., De fusillade te Leopoldsburg - 6 september 1944. - [Leopoldsburg] : [S.n.], 2013

MARTIN Fernand, Angre : de choses et d’autres (La vie civile). - [Mont-sur-Marchienne] : [S.n.], 2013

MEINEN Insa ; MEYER Ahlrich ; PAULSEN Jörg, Verfolgt von Land zu Land : Jüdische Flüchtlinge in Westeuropa 1938-1944. – Paderborn : Ferdinand Schöningh, 2013

NARDI Alicia, Profils de femmes inconnues : des femmes dans la Résistance à Charleroi durant la Seconde Guerre mondiale [Ressource électronique]. – Bruxelles : Université Libre de Bruxelles (U.L.B.), 2013. - Mémoire de fin d’études : Faculté de Philosophie et Lettres. Département d’Histoire

PERTHUIS-PORTHERET Valérie, Août 1942, Lyon contre Vichy : le sauvetage de tous les enfants juifs du camp de Vénissieux. – Lyon : Editions Lyonnaises d’Art et d’Histoire, 2012

PETIT Maurice, Double assassinat allemand à Hodister - 27 décembre 1944. – In : L’histoire en marche : annales 2013 / Cercle historique de Marche-en-Famenne, Hotton et Rendeux. – (2013), p.75 à 92

PETIT Maurice, Gênes au fil du temps. – Rendeux : Administration communale de Rendeux, 2013

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PETIT Olivier, “L’affaire Cornil” : séminaire de recherche sur le jugement rendu le 6 mars 1944 par la justice allemande à l’encontre des 22 Belges faisant partie de “L’affaire Cornil”. – Bruxelles : Université Libre de Bruxelles (U.L.B.), 2013

PIRON Julien, Pellenberg tijdens de oorlogsjaren 1940-1945. – In : Lubbeekse Historische Tijdingen. – (Oktober 2012), p.4 à 71

RUSTIN Hélène, Les enfants juifs cachés au château de Beloeil (Foyer Léopold III) durant la Seconde Guerre mondiale. - Louvain-la-Neuve : Université catholique de Louvain (U.C.L.), 2013

RUTTEN Roger, De nazirazzia van 25 mei 1943. – Berchem : Uitgeverij EPO, 2013

STASSART Mouchka ; PAHAUT Claire, Je vous le dis, j’aime la vie. - [Bruxelles] : Claire Pahaut, 2013

THIERY Laurent, La répression allemande dans le Nord de la France 1940-1944. - Villeneuve d’Ascq : Presses Universitaires du Septentrion, 2013

TILLIET Jacques, Breschler Schmuel, alias Willy Laurent. – In : Trait d’union / Association des Anciens du Collège Saint-Julien. – (Octobre 1996), p.9 - 10

TRIFFAUX Jean-Marie, Le Dr. Jean-L. HOLLENFELTZ au cours de la Deuxième Guerre mondiale. In : Bulletin trimestriel de l’Institut archéologique du Luxembourg – Arlon. - (Avril 2013), p.110 à 115

TURNER Frédéric, Les oubliés de 39-45 : les Britanniques internés à Tost, Kreuzburg, Giromagny et Westertimke. – Arras : Editions Jaft, 2013

VAN DEN WIJNGAERT Mark ; RODEN Dimitri ; JORISSEN Tine, Auffanglager Breendonk 1940-1944 : De gevangenen van Breendonk - Gedenkboek = Les prisonniers de Breendonk - Livre-Mémorial. – Willebroek : Nationaal Gedenkteken van het Fort van Breendonk = Mémorial National du Fort de Breendonk, 2012

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VANDEVELDE Luc, Afspraak met de dood - voor het leven getekend - het werdervaren van Ronsenaar Maurice Vandevelde en andere kz-gavangenen in Buchenwald en Ohrdruf. Deel 1. – In : Annalen = Annales / Geschied- en oudheidkundige kring van Ronse en het tenement van Inda = Cercle historique et archéologique de Renaix et du tenement d’Inda. – (2013), p.221 à 250

VANDEVELDE Luc, Het Zwarteboek van Ronse 1940-1945. - [Ronse] : [Chez l’auteur], 2013

VANDEVELDE Luc, Le livre noir de Renaix 1940-1945. - [Renaix] : [Chez l’auteur], 2013

WYNANTS Jacques, Emile Tromme, premier agent saboteur du S.O.E. Verviers 1941. – In : Bulletins de la Société verviétoise d’Archéologie et d’Histoire. – (2012), p. 227 à 294

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Archidoc News.

Archidoc News est consultable en ligne sur le site Internet de la DG Victimes de la Guerre http://warvictims.fgov.be, à la page “publications”.

Si vous souhaitez recevoir un exemplaire d’Archidoc News, vous pouvez vous inscrire par e-mail à [email protected], par fax au 02/528.91.75 ou par courrier au SPF Sécurité sociale, DG Victimes de la Guerre; Archidoc News, 31, Square de l’Aviation 1070 Bruxelles.

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SPF Sécurité socialeDirection générale Victimes de la Guerre31, Square de l’Aviation1070 BruxellesTél : 02/528.91.00Fax : 02/528.91.75E-mail : [email protected] internet : http://warvictims.fgov.be

Ont collaboré à cette éditionGert De Prins, Marie Lejeune, Alexandra Matagne, Nadia Simal, Matthieu Triffaux, Ellen Van Cauwenberghe et Sylvie Vander Elst

RéalisationService Communication, SPF Sécurité sociale

TraductionService de Traduction, SPF Sécurité sociale

Editeur responsableClaire Barette - septembre 2014

D/2014/10.770/38


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